Les populations qui se trouvent sous le joug des canons des islamistes et indépendantistes du Mnla en ont marre d’attendre les militaires qui se sont transformés en politiciens, engagés dans des disputes et manœuvres pour la conquête de ce qui reste un tant soit peu du pouvoir au Mali. C’est pourquoi, les jeunes au premier plan, suivis du reste de la population, ont sonné le tocsin de la révolte car ils en ont marre de cette situation de mi-esclavage mi-liberté dans laquelle ils sont maintenus depuis plusieurs mois.
C’est parce qu’aussi, les populations sous contrôle des bandes armées, ont l’impression d’être abandonnées par ceux du sud qui se fondent en déclarations d’intention, avant de leur envoyer quelques subsides qui arrivent rarement à destination comme souhaité. Il faut le dire, la nourriture, les médicaments et les habits, c’est bien ! Mais la liberté, c’est encore mieux. Mais puisque ceux qui se sont engagés à les défendre, devant la nation, ont détalé, sous le couvert de prétendus replis tactiques en cascade, pour venir bomber le torse à Bamako et y faire une démonstration de force, nos parents des quatre régions occupées – car c’est bien de quatre qu’il s’agit en y incluant une partie de la région de Mopti- se sentent abandonnés. En effet, chaque jour qui passe les occupants renforcent leur position et les plus sceptiques parmi les Maliens se demandent, à ce rythme, si nous n’avons pas perdu le nord.
Si de ce côté, la réponse peut être négative, d’un autre –au sens figuré du terme- la réponse est totalement affirmative: nous avons perdu le nord depuis le coup d’Etat du 22 mars 2012. Le paroxysme de cette folie collective, c’est naturellement la tentative odieuse d’assassinat du président Dioncounda Traoré. Les auteurs qui se disent fils du Mali ont tout simplement perdu le nord, pardon, ont perdu la tête, pour exposer le pays de Soundiata Kéîta à la risée du monde. Comme quoi, un fonctionnaire en mission à l’étranger nous rapportait que partout où on le présentait comme Malien, dans le cadre des séminaires et ateliers objet de son voyage, on le désignait du doigt en riant. Certains osaient même lui demander de leur raconter, avec un air goguenard et un brin d’humour, de leur raconter ce fait divers au sommet de l’Etat. Cette histoire de fous dans un pays qui répond de ce nom au troisième millénaire. Et l’un d’eux de lui dire vertement : «Mais, ils ont perdu le nord ou quoi ! ». C’est sans commentaire !
LINX
Je pense que les Maliens doivent s’unir pour faire face aux prolbèmes du nord au lieu de s’entredechirer.Beaucoup accusent sanogo à tord et à travers,mes frères et soeurs ouvrez les yeux.depuis combien d’année l’assemblé national vote le budget de la défense à coup de plusieurs milliards,ou sont parti ces sous,vous pensez qu’une armée sans équipement qui a recouler devant l’ennemi,se retourne immediatement sans équipement et sans sous pour faire face à ceux qui les ont chassé du terrain? si vous voulez que notre armée remporte la victoire ,il faudrait mieux le preparer et mieux l’équiper,tant que vous êtes entrain de sabotter des gens à tord et à travers,tant que vous vous dechirez ici, certaines situation avec passion,ce ne serait pas facile d’avancer.coup d’état ou pas,ces villes allaient bien tomber aux mains des rebelles.la preuve au moment où le nord était dans le feu de l’ennemi bien avant ce coup d’état les hommes politiques étaient en campagne pour l’élection;Unissons nos éfforts pour aller de l’avant afin de combattre l’ennemi commun,c’est le plus important.
Ce coup d’état est le pire des malheurs qui soit arrivé au Mali, malgré que certains maliens du sud moins éprouvés pensent que ça été une bonne chose.La mauvaise gouvernance ne saurait expliqué cela. La vérité est que “nous avons réellement perdu le nord”,car même si on nous donne le matériel de l’armée américaine, nous n’avons pas d’hommes capables de faire face aux assaillants. Depuis le 22mars la guerre est terminée. Si les pays occidentaux venaient à reconnaître l’azawad, ce serait fini; Si le chao de Bamako continue,cela ne saurait tardé. Les autres en ont marre
Le Mali vie encore comme au VXIème siècle, un petit capitaine et un poignet de militaire viennent foutre la merde dans un pays où il y a plus de 50 généraux et des centaines de colonel et autres officiers supérieurs.
Le Nord du Mali est la ,bien la, integre au reste du pays.Pas pour une semaine, mais pour cent ans et jusqu’a la fin des temps.Les Touaregues rebelles ne vont pas disparaitre avec les 2/3 du territoire Malien.Ils ont commence une guerre qui j’espere n’emportera pas la vie de leurs enfants et de leurs petits enfants.Ces territoires seront recuperes par les soldats Maliens ,ceux qui ont ete defaits par les forberies et la traitrise de ces libyens d’origine du Mali. Je demande aux Maliens de comprendre que notre Armee a ete prise de surprise ,que cette armee avait ete negligee par la corruption . Nous devons l’encourager et maintenir son moral haut.Les soldats maliens ne badinent pas .Ils ont le courage ,l’audace et la clairvoyance.En outre ,je demande aux soldats Maliens a se preparer pour recevoir en camarades, en amis et en freres les soldats qui viendront d’autres pays de la CEDEAO pour venir liberer le Mali.Nous devons leur vouer la reconnaissance toute entiere et malgre l’etat de guerre ,faire en sorte qu’ils gardent un souvenir inoubliable de notre pays.Pour la contribution de la CEDEAO,les pays limitrophes du Sahara,a savoir le Niger, le Burkina-Faso, la Mauritanie,le Senegal devrait fournir le gros des soldats CEDEAO .L’Armee Nigerianne pourrait participer a la couverture aerienne en traquant tout deplacement des troupes rebelles.Ces rebelles font actuellement la jamboree dans le sahel. N’y a-t-il pas une aviation militaire a Sevare pour aller les bombarder? La negociation n’empeche pas la guerre de se derouler!La greande attaque devra forcement se faire en tenailles et les eliminer completement. Le sort des populations touaregues du Nord sera pris par les bonnes mains des Touaregues Maliens qui ont temoigne de facon heroique leur patriotisme dans les situations les plus difficiles.
J’ai pri connaissance de la rebelion du 23 Mai 2006 avec Bahanga ou on parlait de
– demilitarisation du Nord
Aujourdhui j’attend parler
– d’independance du nord mali ( Aqmi,mnla et iyad)pas surprenant puisqu’on a delimitarisé le nord
Encore aujourdhui on me parle de demilitarisation du sud
– L’armee dans les casernes
Peut etre que demain les forces de la CDEAO seront a bko pour encore une autre occupation ca d
– l’independance du sud mali ( CDEAO, Adema, Djoncounda
Pardonnez moi c’est la jeunnesse 😳 😳 😳
Nous somme trés louin de perdre le nord au profi de cette petite minorité de trafriquant de toute sorte, c’est juste une quetions de temp pour les massacrés.
A mon avis oui puisque ton armée n’ira jamais affronter ces bandits de grand chemin mais au moins qu’elle laissent la CEDEAO intervenir le plus vite possible oubien qu’on autorise à la population de s’armer pour sa propre defense car ces bandits ne veullent pas rester seulement à l’azawad mais c’est partout au Mali.il est temps que la population regisse exemple aujourd’hui les jeunes du nord s’ils étaient armés ils allaient au moin se defendre mais notre brave armée a fuit et laissé la population à son sort c’est vraiment déplorable
le capitain na fini de ce drogue et plu d’aller au nord dumali au secoure la cedao
De toutes façons le nord est entre les mains des bandits, qu’il n’en plaise au Capitaine. Le temps qu’ils finissent de s’entre tuer ici à Bko, malgré la bonne volonté de la CEDEAO, qui n’attend que notre propre feu vert. Oubien y a t-il plus urgent pour le capitaine et ses “classes” que d’aller LIBERER ces populations innocentes et qui n’ont eu que “la malchance” de se trouver dans les terres de leurs ailleux et que le colonisateur ou qui, je ne sais pas, les a ajoutés à la liste malienne par erreur. S’ils sont maliens comme toi et moi, comme le capitaine et ses “classes”, comme tous ceux qui se disent patriotes au nom de tel parti, il est temps, grand temps d’aller LIBERER ces femmes et ces filles, ces vieillards et ses gens handicapés, ces jeunes filles vulnérables. Tant que cela n’est concrètement pas fait , je n’hesiterai pas de dire que le Grand Mali de Soundiata, de Soumankourou, de Askia Mohamed, de Bambeba, de Modibo Kéîta; le petit mali du petit Capitaine a perdu le nord.
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