Après une séance de travail avec le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour le Mali, et une rencontre avec le médiateur, le président burkinabè, Blaise Compaoré, les groupes armés du nord du Mali, ont annoncé leur retour au comité de suivi et d’évaluation de l’accord préliminaire d’Ouagadougou.
Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, est chargé des relations extérieures du MNLA. Le MNLA, le HCUA et le MAA avaient suspendu leur participation aux travaux du comité de suivi de l’accord pour exprimer leurs inquiétudes sur l’application dudit accord et sur la suite des pourparlers. Mahamadou Djeri Maiga, vice-président du MNLA.
Les groupes armés exhortent tous les signataires de l’accord d’Ouagadougou à trouver une solution rapide au cantonnement des combattants. « Un cantonnement qui ne concerne pas uniquement la région de Kidal, mais aussi celles de Gao et Tombouctou » , précise Mamadou Djeri Maiga.
Par RFI
Il faut mettre fin au Comite de suivi et d’evaluation de l’Accord Preliminaire de Ouagadougou en mettant en execution ses conditions prealables et preparer les Pourparlers Inclusifs qui s’adressent aux
nouvelles relations entre les organes de l’Etat et entre citoyens.Si les groupes rebelles ne se plient pas aux conditions prealables du Conseil de Securite reprises par l’Accord de Ouaga,ils ne doivent plus parcitiper aux pourparlers inclusifs.Il ne faut pas permettre a ces groupes de s’approprier des pourparlers inclusifs et de les saboter.Les pourparlers n’ont pas pour but de discuter de l’independance d’une quelconque partie du Mali,ni de l’autonomie qui n’est pas un statut permanent,mais l’etape precedant l’independance consentie a une region.Si les Touaregs rebelles et consorts ne renoncent pas a l’independance,donc a l’autonomie,l’armee Malienne,et tous les pays qui s’interessent a l’ordre constitutionnel dans le Sahel:le Tchad,le Niger,et Algerie doivent les neutralizer au SAHEL
Il faut mettre fin au Comite de suivi et d’evaluation de l’Accord Preliminaire de Ouagadougou en mettant en execution ses conditions prealables et preparer les Pourparlers Inclusifs qui s’adressent aux
nouvelles relations entre les organes de l’Etat et entre citoyens.Si les groupes rebelles ne se plient pas aux conditions prealables du Conseil de Securite reprises par l’Accord de Ouaga,ils ne doivent plus parcitiper aux pourparlers inclusifs.Il ne faut pas permettre a ces groupes de s’approprier de ces pourparlers inclusifs et de les saboter.Les pourparlers n’ont pas pour but de discuter de l’independance d’une quelconque partie du Mali,ni de l’autonomie qui n’est pas un statut permanent,mais l’etape precedant l’independance consentie a une region.Si les Touaregs rebelles et consorts ne renoncent pas a l’independance,donc a l’autonomie,l’armee Malienne,et tous les pays qui s’interessent a l’ordre constitutionnel dans le Sahel:le Tchad,le Niger,et Algerie doivent les purger du SAHEL.
Il faut dire à ceux bandits que nous dans nos villages du sud , les écoles, dispensaires,maternité , nous cotisons pour les édifiers . Nous n’attendons rien de l’état ce la ne se dit jamais assez. Alors que les bandits armés attendent tout de l’état . Développement du nord d’accord, mais développement du sud aussi par l’état.
pour quoi demande encore cantonnement a Tombouctou et Gao?si ce n’etait pas de mouvaise fois!
Ces indésirables veulent aussi un lieu de cantonnement à Tombouctou et gao !!! Oui mais pourquoi pas à Bamako,segou,sikasso ,et kayes.il ne faut absolument pas céder à ces gens.
Ca tourne carrément à la blague! Depuis 2012, ces types là ne cessent de naviguer un coup à droite un coup à gauche selon ce qui les arrangent! 😈
Un coup, ils n’hésitent pas à s’allier avec les terroristes et à le clamer, un coup, ils annoncent la main sur le coeur qu’ils veulent combattre le terrorisme, etc, etc… Il y a quelques jours, ils annoncent haut et fort qu’ils sortent des accords de Ouaga, aujourd’hui, ils annoncent qu’ils reprennent les négociations…
COMBIEN DE TEMPS ALLONS-NOUS ENCORE NOUS PLIER A CE PETIT JEU? 👿
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