Mali: reprise des discussions à Ouagadougou pour un accord avec les Touareg

35
Le représentant de l'Union africaine au Mali Pierre Buyoya (g) arrive au palais présidentiel de Ouagadougou pour assister à une rencontre entre le président Compaoré et les rebelles touareg, le 10 juin 2013  © AFP
Le représentant de l’Union africaine au Mali Pierre Buyoya (g) arrive au palais présidentiel de Ouagadougou pour assister à une rencontre entre le président Compaoré et les rebelles touareg, le 10 juin 2013
© AFP

Les discussions ont repris jeudi à Ouagadougou pour parvenir à un accord entre le pouvoir malien et les rebelles touareg occupant Kidal, dans le nord du Mali, a-t-on appris de source proche de la médiation burkinabè.

 

 

Le chef de la diplomatie burkinabè Djibrill Bassolé a retrouvé la délégation conjointe touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et du Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA), a indiqué à l’AFP cette source.

 

 

Il devait s’entretenir ensuite avec les diplomates qui l’assistent au nom de la communauté internationale. La délégation des autorités maliennes est attendue dans la journée dans la capitale burkinabè, selon la même source.

 

 

Lancées le 8 juin par le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur régional, les négociations ont pour objectif de permettre un retour de l’armée malienne dans la ville de Kidal (nord-est) dans la perspective de la présidentielle prévue le 28 juillet dans tout le Mali.

 

 

D’intenses tractations menées par M. Bassolé et ses partenaires internationaux, venus rencontrer mercredi à Bamako le président malien par intérim Dioncounda Traoré, ont échoué à convaincre le régime malien de signer l’accord élaboré à Ouagadougou. Attendu en début de semaine, un accord n’est désormais plus espéré avant quelques jours.

 

 

Selon des participants, les négociations bloquent surtout, du côté des autorités maliennes, sur le cantonnement et le désarmement des combattants touareg, et sur la question des poursuites engagées contre des chefs rebelles, que Bamako refuse de lever.

 

 

Les rebelles touareg se sont installés fin janvier à Kidal à la faveur de l’intervention militaire française contre les groupes islamistes armés liés à Al-Qaïda. Les jihadistes avaient pris en 2012 le contrôle du nord du Mali, s’alliant d’abord au MNLA qui avait lancé l’offensive, avant d’évincer ce mouvement dans la région.

 

 

Commentaires via Facebook :

35 COMMENTAIRES

  1. Pourquoi les candidats favoris aux elections présidentielles sont montent pas au creneau pour denoncer l’attitude irresponsable de la france, de la suisse et du Burkina. C’est maintenant qu’ils doivent prendre position au lieu d’attendre d’etre le medecin après la mort. Les maliens doivent juger les candidats par leurs faits. Aucun d’eux ne s’est prononcé sur le projet d’accord sachant que ce projet est un plan de partition du Mali. Mais comme les candidats comptent sur le soutien de la france, c’est normal qu’ils se taisent. Donc l’interet de la france passe avant l’interet du Mali.

  2. MA FOI,CHAQUE JOUR QUI SE PASSSE,ME LAISSE CROIRE QUE LE GOUVERNEMENT TRANSITOIRE MANQUE DE RIGUEUR POUR REGLER CE CAS MNLA.POURQUOI,JE DIS POURQUOI LA FRANCE A TRAVERS LE BURKINA FASO NOUS IMPOSE DES CHOSES QUI NE VONT DANS L’INTERET DU MALI.FRANCOIS HOLLANDE DISAIT DANS SON ALLOCUTION PRONONCEE A LA PLACE DE L’INDEPENDANCE,QUE LA FRANCE AVAIT INTERVENUE POUR SAUVEGARDER L’INTEGRITE TERRITORIALE DU MALI.MAIS POURQUOI CETTE MEME FRANCE SE RETROUVE A DEFENDRE L’INTERET DU MNLA.NOUS SOMMES ENTRE AFRICAIN,SI TU PACTISES AVEC L’OCCIDENT CONTRE UN FRERE AFRICAIN,DIS TOI QUE UN JOUR VIENDRA OU TU MORDRAS TOI-MEME LA BOUE.
    DE TOUTE FACON JE DEMANDE A LA SOCIETE CIVILE D’ETRE SUR LE QUI VIVE,ET A L’ASSEMBLEE NATIONALE D’EXIGER CET ACCORD SOIT APPROUVE PAR LE PEUPLE A TRAVERS UNE VOIX REFERENDAIRE,QUITTE A PROLONGER LA DATE DES ELECTIONS.

  3. LE FAMEUX ACCORD DANS SON INTEGRALITE …

    Le Gouvernement d’union nationale de transitionde la République du Mali, d’une part,etLa coordination du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et du Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA)d’autre part,ci-après dénommés les Parties ;

    Préambule

    Soucieux de rétablir et de maintenir la paix et la sécurité sur l’ensemble du territoire national et particulièrement dans les régions du Nord du Mali ;

    Réaffirmant leur détermination à édifier un Etat de droit démocratique et prospère, garantissant les droits de tous les citoyens et un développement harmonieux et durable au Mali ;

    Réaffirmant leur attachement à la Constitution de la République du Mali du 25 février 1992 ;

    Déterminés à trouver une solution politique juste, équitable et durable à la crise au nord du Mali par la voie du dialogue et de la négociation ;

    Réaffirmant leur attachement au principe de l’intangibilité des frontières tel que consacré par l’Acte constitutif de l’Union Africaine ;

    Soucieux de préserver l’unité nationale et l’intégrité territoriale de la République du Mali ;

    Déterminés à assurer un développement socioéconomique équitable et équilibré de toutes les régions du Mali dans le respect de la diversité de ses communautés ;

    Conscients de la nécessité de promouvoir une véritable réconciliation nationale comme fondement d’une paix durable au Mali ;
    Profondément attachés aux valeurs de la démocratie, de la bonne gouvernance, de la justice, de la promotion et de la protection des droits de l’Homme conformément aux instruments internationaux y relatifs ;

    Désireux de conjuguer leurs efforts et leurs énergies par le dialogue et la concertation afin de doter le Mali d’institutions républicaines et légitimes à travers l’organisation des élections présidentielles en juillet 2013 ;

    Considérant les revendications exprimées par les groupes armés du nord du Mali relatives aux causes profondes de la crise ;

    Se référant aux buts et principes consacrés par la Charte des Nations Unies, l’Acte constitutif de l’Union africaine et le Traité révisé de la CEDEAO ;

    Réaffirmant leur engagement à respecter les principes du communiqué fait à Ouagadougou le 4 décembre 2012 à savoir :
    – le recours au dialogue et à la négociation pour le règlement politique de la crise pour une solution définitive et équitable de la crise ;
    – le respect de l’unité nationale et de l’intégrité territoriale du Mali ;
    – le respect de la forme républicaine et la laïcité du Mali ;
    – le respect des droits de l’Homme, de la dignité humaine, des libertés fondamentales et religieuses ;
    – la protection de patrimoine culturel ;
    – le respect de l’égalité entre les citoyens maliens ;
    – le rejet de toute forme d’extrémisme et de terrorisme ;
    – le respect des communautés maliennes.

    Déterminés à lutter contre le terrorisme, l’économie criminelle et l’impunité sous toutes ses formes ;

    Réaffirmant leur engagement à respecter la résolution 2100 du 25 avril 2013 du Conseil de sécurité des Nations Unies sur le Mali, les décisions pertinentes du Conseil de paix et de sécurité de l’UA et de la CEDEAO sur le Mali ;

    Sous les auspices de SEM. Blaise COMPAORE Médiateur de la CEDEAO et de SEM Goodluck Ebele Jonathan, Médiateur associé, et avec la facilitation de l’Union Africaine, de l’ONU, de l’Union Européenne, de la France, de la Suisse, de l’Algérie, de la Mauritanie et du Niger.

    Conviennent de ce qui suit :

    CHAPITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

    Article 1

    Les parties signataires du présent Accord décident d’engager le processus de dialogue pour la sortie de crise au Mali en deux phases :
    1- avant les élections présidentielles ;
    2- après les élections présidentielles et la mise en place du Gouvernement.

    Article 2

    Les parties acceptent l’organisation des élections libres et transparentes sur toute l’étendue du territoire.

    A cet effet, elles s’engagent à créer les conditions requises pour permettre l’organisation et la tenue des élections présidentielles en juillet 2013 dans les régions du nord et particulièrement dans la région de Kidal.

    Article 3

    Après l’élection du Président de la République et la mise en place du Gouvernement, les parties conviennent d’entamer un dialogue inclusif pour trouver une solution définitive à la crise.

    CHAPITRE II : CREATION DE CONDITIONS FAVORABLES A LA TENUE DES ELECTIONS PRESIDENTIELLES

    I. De la cessation des hostilités

    Article 4

    Afin de créer les conditions sécuritaires propices notamment à l’organisation et à la tenue d’élections libres et transparentes sur toute l’étendue du territoire national, les parties s’engagent à arrêter définitivement toute forme d’hostilité et à observer un cessez-le-feu.

    Article 5

    Le cessez-le-feu entrera en vigueur à compter de la date de signature du présent accord.

    Article 6

    Les parties conviennent de mettre en place dès le lendemain de la signature du présent accord, une Commission Technique Mixte de Sécurité, présidée par le commandant de la MISMA/MINUSMA. Cette commission qui sera l’organe de prise de décision technique liée au cessez-le-feu, est chargée de :
    – observer le cessez-le-feu ;
    – élaborer, dans les 10 jours suivant la signature du présent Accord les modalités du cessez-le-feu incluant les arrangements sécuritaires, le cantonnement et le désarmement des groupes armés du nord du Mali ainsi que le redéploiement effectif des forces de défense et de sécurité du Mali ;
    – enquêter sur les violations du cessez-le-feu à travers les équipes mixtes de vérification et d’observation créées à cet effet ;
    – entreprendre le processus de vérification et de contrôle des arrangements sécuritaires.

    La Commission Technique Mixte de Sécurité sera basée au Mali.

    Article 7

    La Commission Technique Mixte de Sécurité est composée de :
    – 04 représentants des forces de défense et de sécurité du Mali ;
    – 04 représentants des groupes armés signataires ;
    – 02 représentants de la MISMA/MINUSMA,
    – 01 représentant de l’Opération Serval,
    – 01 représentant du Médiateur,
    – 01 représentant du Médiateur associé de la CEDEAO,
    – 01 représentant du Médiateur Associé de la CEDEAO.

    La Commission Technique Mixte de Sécurité est placée sous la supervision du Comité de suivi et d’évaluation, établie dans l’article 15 du présent Accord.

    Article 8

    La Commission Technique Mixte de Sécurité disposera d’un Secrétariat d’appui technique composé d’officiers supérieurs de la MISMA/MINUSMA. Le secrétariat technique sera basé à Gao. Il se réunira en tout lieu sur convocation de son commandant ou son représentant.

    La Commission Technique Mixte de Sécurité sera assistée par des équipes mixtes de vérification et d’observation sur le terrain composées de militaires de la MISMA/MINUSMA, et d’un représentant de chaque Partie. Ces équipes mixtes sont chargées de la vérification des violations du cessez-le-feu et des éventuels incidents liés à l’observation du cessez-le-feu. Elles en font rapport à la Commission Technique Mixte de Sécurité.

    Les équipes mixtes d’observation et de vérification sont autorisées à mener leur mission en toutes circonstances, y compris en cas de non-participation d’un ou plusieurs représentant. Les Parties s’engagent à assurer la sécurité, et à respecter la liberté de mouvement de ces équipes.

    Les contentieux identifiés par les équipes mixtes seront traités à l’interne et le cas échéant, référés au Commandant de la Force MISMA/MINUSMA, ou son représentant pour décision finale. Celui-ci pourra, si la question est de nature politique, la référer à la Commission Technique Mixte de Sécurité.

    Article 9

    Dans l’attente de l’élaboration des modalités du cessez-le-feu, les parties s’accordent notamment sur les mesures suivantes :
    – l’arrêt de toutes les opérations militaires, les attaques terrestres et aériennes, les activités de renseignement et de recrutement ;
    – l’arrêt de toute tentative d’occuper de nouvelles positions sur le terrain ;
    – le déploiement de la MISMA à Anéfis et dans la région de Kidal ;
    – la protection des populations civiles ;
    – l’arrêt de tous les actes de violence, des arrestations arbitraires, des actes de torture et de harcèlement, de la détention et des exécutions sommaires des civiles, de l’utilisation des enfants soldats, de la violence sexuelle, de l’armement des civiles, de la détention des prisonniers du fait du conflit, ainsi que de la formation et l’utilisation de terroristes ;
    – le déploiement progressif des observateurs des droits de l’Homme.

    Article 10

    En application du cessez-le-feu, les parties s’engagent à mettre en œuvre les mesures suivantes :
    – le cantonnement des groupes armés sous la supervision et le contrôle de la MISMA/MINUSMA dans des endroits définis conjointement avec la MISMA/MINUSMA. Le désarmement se déroulera après la signature de l’accord de paix global et définitif ;
    – le déploiement des forces de défense et de sécurité maliennes et de l’administration dans la région de Kidal se fera avant les élections présidentielles prévues pour le 28 juillet 2013 de la manière suivante :
    • déploiement d’éléments de la gendarmerie et de la police nationale dans la région de Kidal, y compris à Kidal ;
    • déploiement progressif de l’Armée malienne à Kidal, en étroite coopération avec la MISMA/MINUSMA et opération Serval.

    II. Du processus de normalisation

    Article 11

    Les parties s’engagent à faciliter le déploiement de l’administration génér ale et des services sociaux de base au nord du Mali.

    Article 12

    Les parties s’engagent à faciliter le déploiement de l’assistance humanitaire dans le nord du Mali et à favoriser le retour volontaire des personnes déplacées et des réfugiés du fait du conflit armé avec l’appui des partenaires du Mali.

    Article 13

    Les parties s’engagent à assurer la libre circulation des personnes et des biens et le respect des libertés fondamentales.

    III. Des mesures de mise en œuvre, d’accompagnement et de confiance

    Article 14

    Les parties s’abstiennent de tout acte et de tout propos qui serait de nature à compromettre le processus de paix. Elles prendront toutes les mesures nécessaires pour renforcer la confiance et la cohésion nationale.

    Article 15

    Les parties conviennent de mettre en place un Comité de Suivi et d’Evaluation présidé par le Représentant spécial du Secrétaire Général de l’ONU. Ce comité sera composé du représentant du Médiateur, du représentant du Médiateur associé de la CEDEAO, des représentants de la Commission de la CEDEAO, de l’UA, de l’ONU, de l’UE, de l’OCI, de la France, des Etats Unis, de la Suisse, de l’Algérie, de la Mauritanie et du Niger.

    Le Comité se réunira une fois par mois sur convocation de son président. Il peut se réunir chaque fois que de besoin à la demande de l’une ou l’autre des parties.

    Article 16

    Le Comité de Suivi et d’Evaluation a pour missions de :
    – veiller à la mise en œuvre des arrangements sécuritaires ;
    – évaluer l’application de l’Accord ;
    – aider à la mobilisation des moyens financiers et à la recherche de l’assistance technique nécessaires aux actions de mise en œuvre de l’Accord ;
    – appuyer la mise en œuvre de l’Accord dans les délais convenus.

    Article 17

    Dans un souci d’apaisement et de confiance, le gouvernement du Mali prendra toutes les dispositions nécessaires pour suspendre les poursuites engagées par la justice malienne du fait du conflit armé contre les membres des groupes armés signataires du présent accord.

    Les parties conviennent que cette suspension ne s’applique pas aux crimes de guerre, aux crimes contre l’humanité, aux crimes de génocide, aux crimes de violence sexuelle et aux violations graves du droit international des droits de l’Homme et du droit international humanitaire.

    Les parties conviennent de la mise en place d’une commission d’enquête internationale sur les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité, les crimes de génocide, les crimes de violence sexuelle et les autres violations graves du droit international des droits de l’Homme et du droit international humanitaire sur tout le territoire du Mali.

    Les parties s’engagent à libérer les personnes détenues du fait du conflit armé dès l’entrée en vigueur du cessez-le-feu.

    Article 18

    Les parties s’engagent à rejeter toute forme d’extrémisme et de terrorisme, à n’apporter aucun soutien matériel ou moral aux groupes terroristes et criminels. Elles s’engagent en outre à contribuer avec les forces internationales à la lutte contre le terrorisme et la criminalité.

    Article 19

    Les Parties s’engagent à sensibiliser les populations sur les dispositions du présent accord.

    A cet effet, le Gouvernement du Mali et les groupes armés du nord du Mali faciliteront l’organisation d’un forum des communautés du nord du Mali.

    CHAPITRE III : DU PROCESSUS POST ELECTORAL

    I- Du cadre de dialogue

    Article 20

    A l’issue des élections présidentielles et 60 jours après sa mise en place, le nouveau Gouvernement, en collaboration avec la Commission dialogue et réconciliation entamera, avec l’accompagnement de la communauté internationale, des pourparlers de paix avec toutes les communautés du nord, les signataires ainsi que les groupes armés ayant adhéré au présent accord en vue d’aboutir à l’établissement d’une paix globale et définitive.

    Ce dialogue inclusif portera entre autres sur les questions suivantes :
    – l’organisation administrative et institutionnelle du Mali, en particulier les régions du Nord du Mali désignés par certains sous le terme Azawad ;
    – la stratégie de développement intégré des collectivités territoriales du Mali ;
    – la gestion des ressources et richesses nationales ;
    – la réorganisation des forces de défense et de sécurité ainsi que le programme de désarmement, de démobilisation et de réinsertion socioéconomique (DDR) des groupes armés du Nord Mali ;
    – l’amélioration de la gouvernance administrative, économique et politique ;
    – le retour des réfugiés et des personnes déplacées et leur réinsertion ;
    – la promotion et la protection des droits de l’Homme au Mali ;
    – la justice et la réconciliation.

    II- Des Dispositions diverses et finales

    Article 21

    Dans la mise en œuvre du présent accord, les parties s’engagent à collaborer étroitement avec la MISMA/MINUSMA.

    Article 22

    En cas de difficulté de mise en œuvre ou d’interprétation des dispositions du présent Accord, les parties s’engagent à trouver une solution par la concertation. A défaut d’un accord par la concertation, elles s’en remettront à la conciliation du Chef de la MISMA/MINUSMA et du Médiateur de la CEDEAO.

    Article 23

    Le présent accord est ouvert à l’adhésion d’autres groupes armés maliens non signataires qui s’engagent à respecter toutes ses dispositions sans condition.

    Article 24

    Les dispositions du présent Accord restent en vigueur jusqu’à la signature d’un accord global définitif de sortie de crise.

    Le présent Accord, qui marque la volonté affirmée des Parties de réunifier le Mali, de rétablir et de maintenir la paix et la sécurité sur l’ensemble du territoire national, entre en vigueur à compter de sa date de signature.

    Fait à Ouagadougou le…………….juin 2013

    Pour le Gouvernement d’Union Nationale
    de la République du Mali

    Pour le Mouvement Pour le Haut Conseil
    National pour la Libération pour l’unité de l’Azawad
    de l’Azawad

    Le Médiateur Le Médiateur associé

    Blaise COMPAORE GOODLUCK Ebele Jonathan
    Président du Burkina Faso Président de la République
    Fédérale du Nigeria
    Témoins

    Représentant de l’UA Représentant de l’ONU

    • Entre nous dite moi en lisant bien ce document qui peut douter de l’impartialité du médiateur ? Le problème est que les maliens n’aiment pas les burkinabè et cela se ressent à travers les vomissures sur le président d’un pays voisin. Chers compatriotes ne vous en prenez pas aux autres , nos militaires refuses de se battre n’eut été l’intervention des french et des autre je n’ose imaginer la suite. Ne soyons pa myope BLAISE n’est contre nous mais plutot notre orgeuil qui est notre propre énnemis.

      Cordialement

  4. LA DIASPORA MALIENNE DE FRANCE VEILLE AU GRAIN/ UNE GRANDE MANIF EST PROGRAMMEE SAMEDI 15 JUIN 2013: Maliennes , Maliens et Amis(es), mobilisons-nous pour la sauvegarde de L’UNITÉ , la SOUVERAINETÉ et la DIGNITÉ du MALI, à Paris, ce samedi 15 juin, RV à 13h30
    “GRANDE MARCHE POUR LA DIGNITÉ DU MALI ” organisée par les associations APSM , CMFPAIX , CORENON , DYNAMIQ des FOYERS et MDDM .
    Départ Ambassade du Mali 89 rue du Cherche Midi 75006 PARIS Métro St Placide ligne 4/ Arrivée Ministère des Affaires Etrangères 37 QUAI D’ORSAY.

  5. Ils ont eu ce qu’ils voulaient les bandits et narcotrafiquants 😀 😀 😀 😀 Ils partagent la même table que ns d’égal à égal 😯 😯 😯 Ils traitent avec ns comme si c’è 2 états qui se faisaient la guerre 🙁 🙁 🙁 🙁 Cerise sur gateau la communauté dite inetrnationnale est prise en témoin 🙁 🙁 🙁 🙁 après la prime à la casse accordée aux gangstaires de Kati, voici la prime au viol, assasinat et narco trafic

    • Frère Cliclac…

      Le plus drôle …est que ces b—atards armés etaient assis plein le cul dans la merde qu’ils ont chié eux même … MAIS HÉLAS … ON LES A AIDÉ À SE LEVER … POUR NOUS ASSOIR DANS LA MERDE …. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

      Moussa Ag,…une nation entière se fait niquer par quelques vagabonds… mais ce n’est pas nouveau … au moins DJONKISS n’a pas souligné leur “qualité” devant les micros …et récompenser avec des millions … PAUVRE MALI… FIDÈLE À TON DESTIN DE MALÉDICTION

      • Slt Moussa Ag,heureux de te retrouver: La nation est plus que jalais en danger et on doit encore redoubler de vigilence chacun à son nivo ❗ ❗ ❗ La diff de cette crise avec les otres est que tout le monde s’y interesse. Alors j’ai proposé au mediateur d’imprimer l’accord sur un papier à la taille de la population malienne ou de la superficie du Mali 😀 😀 😀 Nous allons tous signer sans exception 😀 😀 😀 et on laissera aucun vaurien signer du n’importe quoi 🙁 🙁

  6. Accords de Ouagadougou (texte integral)
    CHAPITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

    Article 1
    Les parties signataires du présent Accord décident d’engager le processus de dialogue pour la sortie de crise au Mali en deux phases :
    1- avant les élections présidentielles ;
    2- après les élections présidentielles et la mise en place du Gouvernement.

    Article 2
    Les parties acceptent l’organisation des élections libres et transparentes sur toute l’étendue du territoire.

    A cet effet, elles s’engagent à créer les conditions requises pour permettre l’organisation et la tenue des élections présidentielles en juillet 2013 dans les régions du nord et particulièrement dans la région de Kidal.

    Article 3
    Après l’élection du Président de la République et la mise en place du Gouvernement, les parties conviennent d’entamer un dialogue inclusif pour trouver une solution définitive à la crise.

    CHAPITRE II : CREATION DE CONDITIONS FAVORABLES A LA TENUE DES ELECTIONS PRESIDENTIELLES
    I. De la cessation des hostilités

    Article 4
    Afin de créer les conditions sécuritaires propices notamment à l’organisation et à la tenue d’élections libres et transparentes sur toute l’étendue du territoire national, les parties s’engagent à arrêter définitivement toute forme d’hostilité et à observer un cessez-le-feu.

    Article 5
    Le cessez-le-feu entrera en vigueur à compter de la date de signature du présent accord.

    • Article 6
      Les parties conviennent de mettre en place dès le lendemain de la signature du présent accord, une Commission Technique Mixte de Sécurité, présidée par le commandant de la MISMA/MINUSMA. Cette commission qui sera l’organe de prise de décision technique liée au cessez-le-feu, est chargée de :
      – observer le cessez-le-feu ;
      – élaborer, dans les 10 jours suivant la signature du présent Accord les modalités du cessez-le-feu incluant les arrangements sécuritaires, le cantonnement et le désarmement des groupes armés du nord du Mali ainsi que le redéploiement effectif des forces de défense et de sécurité du Mali ;
      – enquêter sur les violations du cessez-le-feu à travers les équipes mixtes de vérification et d’observation créées à cet effet ;
      – entreprendre le processus de vérification et de contrôle des arrangements sécuritaires.

      La Commission Technique Mixte de Sécurité sera basée au Mali.

      Article 7
      La Commission Technique Mixte de Sécurité est composée de :
      – 04 représentants des

      • forces de défense et de sécurité du Mali ;
        – 04 représentants des groupes armés signataires ;
        – 02 représentants de la MISMA/MINUSMA,
        – 01 représentant de l’Opération Serval,
        – 01 représentant du Médiateur,
        – 01 représentant du Médiateur associé de la CEDEAO,
        – 01 représentant du Médiateur Associé de la CEDEAO.

        La Commission Technique Mixte de Sécurité est placée sous la supervision du Comité de suivi et d’évaluation, établie dans l’article 15 du présent Accord.

        Article 8
        La Commission Technique Mixte de Sécurité disposera d’un Secrétariat d’appui technique composé d’officiers supérieurs de la MISMA/MINUSMA. Le secrétariat technique sera basé à Gao. Il se réunira en tout lieu sur convocation de son commandant ou son représentant.

        La Commission Technique Mixte de Sécurité sera assistée par des équipes mixtes de vérification et d’observation sur le terrain composées de militaires de la MISMA/MINUSMA, et d’un représentant de chaque Partie. Ces équipes mixtes sont chargées de la vérific

        • vérification des violations du cessez-le-feu et des éventuels incidents liés à l’observation du cessez-le-feu. Elles en font rapport à la Commission Technique Mixte de Sécurité.

          Les équipes mixtes d’observation et de vérification sont autorisées à mener leur mission en toutes circonstances, y compris en cas de non-participation d’un ou plusieurs représentant. Les Parties s’engagent à assurer la sécurité, et à respecter la liberté de mouvement de ces équipes.

          Les contentieux identifiés par les équipes mixtes seront traités à l’interne et le cas échéant, référés au Commandant de la Force MISMA/MINUSMA, ou son représentant pour décision finale. Celui-ci pourra, si la question est de nature politique, la référer à la Commission Technique Mixte de Sécurité.

          Article 9
          Dans l’attente de l’élaboration des modalités du cessez-le-feu, les parties s’accordent notamment sur les mesures suivantes :
          – l’arrêt de toutes les opérations militaires, les attaques terrestres et aériennes, les activités

          • les activités de renseignement et de recrutement ;
            – l’arrêt de toute tentative d’occuper de nouvelles positions sur le terrain ;
            – le déploiement de la MISMA à Anéfis et dans la région de Kidal ;
            – la protection des populations civiles ;
            – l’arrêt de tous les actes de violence, des arrestations arbitraires, des actes de torture et de harcèlement, de la détention et des exécutions sommaires des civiles, de l’utilisation des enfants soldats, de la violence sexuelle, de l’armement des civiles, de la détention des prisonniers du fait du conflit, ainsi que de la formation et l’utilisation de terroristes ;
            – le déploiement progressif des observateurs des droits de l’Homme.

            Article 10
            En application du cessez-le-feu, les parties s’engagent à mettre en œuvre les mesures suivantes :
            – le cantonnement des groupes armés sous la supervision et le contrôle de la MISMA/MINUSMA dans des endroits définis conjointement avec la MISMA/MINUSMA. Le désarmement se déroulera après la signature de l’accord

  7. Meme si le Mali signe cet accord sous sa forme originale….on n’a pas fini avec les prises d’armes dans ce pays…de coup d’etat … a rebellions….

    LE SEUL REMEDE A CES 2 MAUX… COUPS D’ETAT ET REBELLIONS…EST UNE ARMEE FORTE ET REPUBLICAINE…AVEC DES DIRIGEANT RESPONSABLES ET INTEGRES…

    NOUS N’AVONS NI L’UN …NI L’AUTRE…

    Nous pouvons pleurnicher sur cet accord de merde que le fou de Djonkouda s’est aventure a considerer…au lieu de dire JE SUIS SEULEMENT PRESIDENT DE LA TRANSITION…LE PRESIDENT ELU VA NEGOCIER APRES LES ELECTIONS…

    Mais le pire est que nous n’allons pas dans la bonne direction avec la vraie solution au probleme…

    LES WARABAS … QUI DEVAIENT ETRE LE DEBUT D’UNE VRAIE ARMEE..SONT DEVENUS DES WARABLENS DANS LA NATURE…

    LE PEUPLE OPPORTUNISTE…IRRESPONSABLE…CONTINUE A APPLAUDIR DES CONNARDS…IRRESPONSABLES…AUX APPROCHES DES ELECTIONS…

    Moussa Ag,…on est dans la merde

    • Ils pensent qu’en rappétissant les vieilles coutumes du passé (Alger-Ouaga.) on peut ramener la paix au Mali alors que ceux qui sigent cet accord – MNLA and Associated, les grands gagnants de ce lauréat- seront les premiers à le violer. 😳

      • Bien sure qu’ils seront les premiers a le violer…

        La seule raison pour laquelle ils sont a la table de negociation…est qu’ils se sont retrouves assis en plein le cul…dans la grosse merde qu’ils ont eux memes chier…

        Et voila…que le Mali…n’ont seulement leur permet de se relever de la merde…mais aussi de le pousser en plein dans la merde …

        Imagine un peu…le MNLA ayant toujours le dessus…NEGOCIATIONS…??? ILS ALLAIENT EGORGER TOUS LES SOLDATS MALIENS SUR LESQUELS ILS POUVAIENT METTRE LA MAIN…

        CA DOIT ETRE UNE MALEDICTION….CA NE PEUT ETRE QU’UNE MALEDICTION….

        Moussa Ag,….PAUVRE MALI…FIDELE A TON DESTIN DE MALEDICTION….

  8. Nous avons fait de notre priorite ultime…LA PRESENCE DE L’ARMEE A KIDAL AVANT LES ELECTIONS…on nous a donne ce qu’on voulait le plus…ET ON NE SEMBLE PAS CONTENT…

    BANDE D’ORGEUILLEUX…DONT LA PASSION FAIT SOUVENT PERDRE LA RAISON…CETTE FOIS CI CA VA NOUS COUTER CHER….

    LE MALI S’EST TENDU UN PIEGE…EN INSISTANT A VOIR L’ARMEE MALIENNE A KIDAL…AVANT LES ELECTIONS….MAINTENANT IL FAUT TOMBER DEDANS…

    Tout ca…pour une armee inexistente…quelques braves soldats…savec des indignes.. arrivistes…opportunistes …et cambrioleurs au sommet….et des WARABAS…devenus WARABLENS dans la nature…parcequ’ils n’ont aucun respect pour cette hierarchie d’arriviste..

    La meilleure option pour le Mali et DJONKOUDA…qui a deja semer une grosse merde pour le future avec sa recompense d’un putschiste est de dire… VU L’IMPORTANCE DES ENJEUX…NOUS PREFERONS QUE CE SOIT LE PRESIDENT ELU QUI EN DISCUTE…

    ORGANISER LES ELECTIONS…

    Moussa Ag,..

  9. C’est simple comme la partie malienne ne veut pas de rebelles armés sur le territoire national, M.Bassolé vous pouvez embarquer ces combattants armés du MNLA chez vous au Burkina!En tout cas si la partie malienne cède et abandonne toute poursuite judiciare contre les assassins ainsi que leur désarmement, c’est sans l’accord du peuple malien et gare aux conséquences demain ou après demain!Il ne peut pas y avoir 2 armées dans un même pays de même qu’une justice à 2 vitesses: tous les justiciables seront jugés de la même façon, par la même justice et cela qu’on soit du MNLA, du CNID ou de l’AMDH…. 😉

    • Je te jure cherche ä lire l´accord (maliactu), c´est tout simplement une insulte pour la nation malienne. On l´impression que c´est deux pays qui parle..

    • Les militaires maliens ont également commis des exactions et des exécutions sommaires. Si le MNLA doit être poursuivi dans ce sens, les militaires maliens devront aussi répondre de leurs actes. On parle de paix la partie malienne ne pense qu’a un règlement de comptes. Honnêtement qu’est ce qu’il y’a d’aussi mauvais dans le protocole d’accord pour que la partie malienne refuse de signer? Je crois que c’est juste que tout ça est piloter par le Burkina…. Et ça, c’est très décevant quoique ce ne soit pas une surprise. Vous savez le Burkina a envoyer 500 hommes pour se faire tuer pour vous. L’opération a été baptisée “badenya” vous savez moi que moi ce que ça veut dire. Mais tout ça n’a pas attendri vos coeurs envers un pays frère qui vous considère comme tel. Mais Dieu est GRAND et le Burkina reste égal a lui même. SANS HAINE…….

  10. Je vous avais dit de faire confiance a nos autorites, car ils sont conscent de l enjeu de ces negociations.Une negociation qui n arrange l ensemble des Maliens je sais qu ils ne vont Jamais signer.Les autorites malienne veulent trouver une solution veritable a cette sutuation.Plus de tolerance aux destabilisateurs, car l histoire nous regarde.

  11. Chercher ä lire l´accord qu´on voulait soummettre ä la signaturem, que biensur les voyous se sont precipités pour le signer.. Vous aller mourir de chagrin et de honte ä partir de l´article 7 du dit accord.. Cést tout asimplement une insulte ä la nation malienne cet accord en l´etat actuel des choses.. C´est quand meme incroyable qu´on traite ces gens au meme pied d´egalité que le Mali!!!

  12. Nous disons et rappelons que dans les vraies démocraties on ne dialoguent jamais avec les ennemis les collabos même fussent-ils des compatriotes qui ont tué violé handicapé des citoyens lambda

    Nous disons ils sont traqués partout ils sont et mis hors d’état de nuire et le Mali qui se veut 1état de la vraie démocratie ne saurait donc se déroger à ce principe sacro-saint

    Nous disons et rappelons que toute personne groupes de personnes organisations qui proposent de dialoguer avec des criminels sont les vrais et pires ennemis de la démocratie vraie au Mali en Afrique et sont les vrais responsables de la démocratie bananière des tropiques de l’impunité reine dont sont si friands leurs laquais de lettrés mutants politiques africains sociétés civiles Hommes en armes usurpateurs sans vergogne du titre d’intellectuels

    Nous disons que Dioncounda le Django Malien Tiéblé et le gouvernement par intérim du Mali nous rappelle celui du Maréchal Pétain de Darlan et le gouvernement de Vichy

    Nous disons les 2 gouvernements ont pensé bien faire en s’asseyant sur la même table que les ennemis pour 1soit disant négociation

    Nous disons tel le gouvernement de Vichy le moment venu fut condamné à la peine capitale le 15 Août 1945 pour avoir dialogué avec l’ennemi nazi communiée à la peine à vie par le nouveau gouvernement patriote du Général Charles de Gaulle le gouvernement par intérim du Mali sera condamné probablement le 15 Août 2013 à la peine capitale probablement communiée à la peine à vie pour collaboration avec les ennemis de MNLA Ansar Eddine et consorts par le futur gouvernement des maliens et maliennes fiers honnêtes aimant leur Mali

    Nous disons telle l’armée française qui fut défaite sur le terrain vaincue écrasée humiliée dispersée en débandade par l’ennemi nazi et ses collabos l’armée malienne a subi le même sort face aux faux Djihadistes faux islamistes Suppôts de Satan Satan fait humains fidèles et adeptes de Dajal ou Antéchrist de criminels narcotrafiquants proxénètes voleurs violeurs tueurs handicapeurs à vie d’Aqmi Boko Haram Mujao consorts conduits accompagnés par les enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents de bandits sans foi ni loi voleurs tueurs violeurs handicapeurs à vie sur des bases raciale tribale de collabos mafiosi apatrides de MNLA Ansar Eddine et consorts

    Nous disons telle l’armée française avec ses français et françaises fiers honnêtes aimant leur France qui s’organisa s’équipa se fortifia pour ensuite participer à la libération totale de la France de l’ennemi nazi et de ses collabos qu’ils mirent hors d’état de nuire sans aucun état d’âme et cela malgré les fortes pressions exercées sur elle par ses alliés d’alors notamment la Grande Bretagne de Churchill qui entravaient sa progression de libération totale de la France l’armée malienne avec ses maliens et maliennes fiers honnêtes aimant leur Mali doit également libérer totalement le Mali des ennemis et de leurs collabos et les mettre hors d’état de nuire sans aucun état d’âme et cela également malgré les fortes pressions exercées sur elle par ses alliés notamment la France de François Hollande qui entravent sa progression de libération totale du Mali

    Nous disons tels les américains et américaines honnêtes fiers aimant leur Amérique unis derrières Georges Washington mirent fin à la « Grande Bretagne-Amérique » pour 1Amérique républicaine et démocratique en déclenchant le 15 Juin 1775 les hostilités contre la Grande Bretagne meilleure armée d’Europe à l’époque aidée par les collabos américains et les mercenaires allemands qu’ils vainquirent et mirent hors d’état de nuire les collabos américains dont les rescapés détalèrent tels des lapins jusqu’au Nouveau Brunswick au Canada les maliens et maliennes fiers honnêtes aimant leur Mali unis doivent en ce mois de juin aussi mettre fin à la « France-Mali » pour 1Mali républicaine et démocratique en attaquant Kidal et mettre hors d’état de nuire les ennemis du Mali avec leurs collabos et les survivants devront détaler tels des lapins pour les pays sous régionaux d’Europe d’Arabie qui leur donnent le gîte le couverts les soins médicaux et où ils y resteront pour toujours et à jamais

    • Ma sœur KOUMBA …

      Tu vas devoir me définir ce que tu appèles « CRIMINELS »…parceque moi j’ai toujours pensé que ça a quelque chose à avoir avec la loi …apparenment …c’est subjectif et à tout à avoir avec ta perception ou ma perception …

      Sinon comment comprendre les propos suivants venant d’une qui chantait une musique monotone en support d’une racaille de putschistes criminels …

      « Nous disons et rappelons que toute personne groupes de personnes organisations qui proposent de dialoguer avec des criminels sont les vrais et pires ennemis de la démocratie vraie au Mali… »

      Ma chère … es tu …ou plustot…sommes nous des vrais et pires ennemis de la démocratie vraie au MALI….???

      Ou vas tu …ou plustot …allons nous me dire qu’un coup d’état n’est pas un crime …torturer et tuer des détenus n’est pas un crime …ou cambrioler et voler …n’est pas un crime … ????

      Ma sœur …un peu d’objectivité …t’aidera …ou plustot …nous aidera beaucoup….

      Moussa Ag,…supporter la merde et se plaindre de la merde…

      • Moussa Ag…,Vous connaissez suffisamment Koumba Sacko alias Gospel Singer, elle n’est pas plus évoluée qu un protozoaire. A blanchir la tête d’un âne , on perd son savon.
        Laissez la tombée and go ahaed

        • 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

          Moussa Ag,…qui n’oserai donner raison a son frere Devil m…parceque notre soeur Koumba…parle a notre nom…ou se nounoie par grand respect pour elle meme

    • Nous disons aussi : “Comme des damnés de la terre …”.
      A qui profitent tous ces petits accords sans lendemain??? 😛

  13. Bamako has to sign peace with tuareg because terrorists threat is not over yet. It’s an opportunety for both, Bambara and tuareg bring back peace, and stability in mali. Otherwise, they will loose their chance. For example,(ONU)and the United Nation will give up on helping them on negociation.

    • Houlala!!! Where do you came from my Friend?? We don´t have problems with our Touareg population, just we have some gangs from Libye who caused these disasters to the peaceful population of Mali..Let be clear!!!

    • Gina, you are babling again. According to you “the terrorist threat is not over yet”. I agree with you on that note, given that the NMLA has recycled terrorists in its midst. That makes it harder for the Malian gov’t to trust these people. Got it!!!!!

  14. Oui oui même dans un mois ça nous arrange… Dites à vos diplomates que “””””””””””””””””Seule la force impose une vérité, et la force n’a rien d’intellectuel, elle contraint avec ses armes, par la torture, par le chantage, par la peur, par le calcul des intérêts, elle oblige les esprits à s’entendre provisoirement sur une doctrine”””””””””””””” Qu’ils gardent leur paperasse chez eux… 👿 👿 👿 👿

Comments are closed.