La France a posé lundi comme “priorité absolue” le maintien de la tenue d’élections en février 2022 après le deuxième “coup d’Etat” au Mali, en ligne avec la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), sans plus brandir la menace de sanctions.
“La France partage la priorité absolue accordée par la Cédéao à l’organisation de l’élection présidentielle au 27 février 2022 dans les conditions strictes énoncées par les chefs d’Etat et de gouvernement dans le communiqué du 30 mai”, a déclaré le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian dans un communiqué.
Les 15 pays membres de la Cédéao ont décidé dimanche de suspendre le Mali de leur organisation, après un deuxième coup d’Etat sous la houlette du colonel Assimi Goïta en neuf mois.Ils ont réclamé la nomination “immédiate” d’un “nouveau” Premier ministre issu de la société civile. Ils n’ont pas demandé en revanche le rétablissement des ex-président Bah Nbaw et Premier ministre Moctar Ouane dans leurs fonctions. Ils ont réaffirmé aussi la nécessité que la transition ouverte après le premier coup d’Etat d’août 2020 soit limitée à 18 mois, avec des élections générales comme prévu en février 2022.
La France “appuie la mise en place par la Cédéao d’un mécanisme de suivi du respect de la période de transition”, a relevé le ministre français des Affaires étrangères.”Le respect de ces paramètres, vérifié par la Cédéao, est la condition du maintien de l’engagement des partenaires du Mali et de l’accompagnement de la transition”, a-t-il ajouté.
Paris avait menacé le 25 mai de prendre des “sanctions ciblées” contre les militaires impliqués dans ce “coup d’Etat dans le coup d’Etat” si la transition ne reprenait pas immédiatement son “cours normal”.Le président Emmanuel Macron a aussi affirmé dimanche que la France retirerait ses troupes du Mali s’il n’y avait “plus de légitimité démocratique ni de transition” dans ce pays et si Bamako allait “dans le sens” d’un islamisme radical.
C’est bien au peuple malien de decider si des elections sont opportunes en 2022. Dans tous les cas la priorite n’est pas une sordide democratie mais la securite
Qui seront des candidats et des électeurs en 2022, ils sont des Maliens non ? Paris la CEDEAO pourrez vous nous laisser en paix !!! Si Paris et CEDEAO quittent le Mali cette une bonne chose pour moi, La Mauritanie a quitté la cedeao depuis 40 ans elle n’est pas morte, alors foutons la paix .
Arrêtons de nous leurrer toujours ce sont les autres qui sont considérés comme les sources de nos malheurs. Nous sommes au dessous de toutes reproches. Maintenant mettons nous au travail. La France c’est l’ ancienne puissance coloniale…..
Hasimi présidant 2022 Macron 2022. Sa. Sera marine le Pen pas. Vous tous. Le noir voteront marine
Hasimi presidaent
LA FRANCE A PERDU LA FACE ET TENTE DE RECOLLER LES MORCEAUX. LA HONTE. TOUTES CES AGITATIONS, C’ÉTAIT DU BLUFF. LA FRANCE NE SE RETIRERA JAMAIS DE NOS PAYS TANT QUE NOUS L’Y AURIONS PAS FORCE. OU IRONT-ILS ET QUE FERONT-ILS SANS LE FILON AFRICAIN? MACRON A ÉTÉ TOTALEMENT DÉSAVOUÉ PAR LA CEDEAO QU’IL CROYAIT ÊTRE SON INSTRUMENT, MAIS LES AFRICAINS, A TOUS LES NIVEAUX, SONT DE PLUS EN PLUS RÉTIFS. LA FRANCE NE FAIT PLUS PEUR A PERSONNE. ELLE EST ISOLÉE SUR LA SCÈNE INTERNATIONALE PAR RAPPORT AU DOSSIER SAHÉLIEN ET TOUT CE QU’ELLE CACHAIT SOIGNEUSEMENT AUTREFOIS EST ÉTALÉ AU GRAND PAR LES MÉDIAS SOCIAUX. LENTEMENT, MAIS SUREMENT, NOUS SOMMES EN TRAIN DE “GRIGNOTER” NOTRE LIBERTÉ QUI N’EST PLUS TRÈS LOINTAINE MAINTENANT. DE GRÉ OU DE FORCE LES FORCES D’OCCUPATION FRANÇAISES DEBARRASSERONT LE PLANCHER.
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