Pas de calendrier, de nombreuses conditions avant de se lancer dans une offensive : l’autorisation de l’ONU de déployer une force africaine au Mali “est une résolution, disons, prudente”, euphémise le politologue Michel Galy. Un mois après le délai (le 26 novembre) accordé aux pays africains pour proposer un plan d’intervention militaire dans le nord du Mali, la résolution 2085 du Conseil de sécurité de l’ONU, adoptée jeudi 20 décembre, s’apparente à consentement du bout des lèvres.
L’Union africaine (UA) et la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) réclamaient avec insistance l’envoi de cette force de 3 300 soldats. Ils ont finalement obtenu l’accord de l’ONU, sans toutefois obtenir un blanc-seing.
De nombreuses conditions préalables
L’ONU a édicté une succession de conditions avant une possible offensive. D’abord, sans donner de calendrier avant l’intervention, elle n’accorde qu’un mandat d’un an à la force africaine, la Misma (Mission internationale de soutien au Mali). Elle réclame aussi le retour de l’ordre constitutionnel dans le pays, ainsi que des élections présidentielles et législatives “d’ici avril 2013”. Et elle demande que Bamako entame des négociations dans un “cadre crédible” avec les groupes rebelles qui auront rompu tout contact avec les groupes terroristes tels que Aqmi, Al-Qaïda au Maghreb islamique.
Enfin, la Misma aura pour mission, dans un premier temps, de rebâtir l’armée malienne. Si le Conseil de sécurité de l’ONU est “satisfait” de la préparation des troupes, et en cas d’échec des négociations avec certains groupes rebelles du nord du Mali, il autorisera une offensive. Moralité : une hypothétique intervention ne peut intervenir avant septembre 2013 et la négociation politique demeure privilégiée.
Le plan franco-africain : “c’est de la m…”
Pour le directeur Afrique de l’Ouest du think tank International crisis group (ICG), Gilles Yabi, cette prudence de l’ONU n’est pas une surprise. “Depuis un certain temps, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, mettait l’accent sur le processus politique. Il avait émis des réserves sur une action militaire, estimant qu’il restait des éléments à clarifier”, rappelle-t-il. Depuis Niamey au Niger, l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Romano Prodi, a déclaré jeudi à RFI que “la négociation ne sera crédible que s’il y a la force”. En clair : la présence d’une force au Mali est une menace qui doit conduire les rebelles à négocier.
Dans un langage bien peu diplomatique, l’ambassadrice américaine aux Nations unies, Susan Rice, aurait, elle, carrément tonné que le plan d’intervention africain impulsé par la France, “c’est de la merde”, selon une fuite sur un blog de Foreign Policy. “Pour Susan Rice, le plan n’est pas au point car il n’y a pas de force militaire occidentale pour l’encadrer, et les contingents de la Cédéao ne sont pas adaptés à ce genre de guerre du désert, d’où l’appel aux troupes tchadiennes” possédant l’expérience de ce milieu extrême, explique Michel Galy, qui enseigne la géopolitique à l’Institut des relations internationales (Ileri), à Paris.
L’ONG Human rights watch a d’ailleurs pointé, jeudi, les risques accrus de représailles dans le nord du pays en cas de déploiement de la force internationale. Citant un “aîné” de l’ethnie songhaï, l’ONG avance l’existence de listes préparées par des milices. Selon cet homme, “les milices comme les résidents locaux ont fait des listes de ceux qui devront payer [une fois que le gouvernement et la force internationale auront repris le contrôle]… Qu’il s’agisse de rebelles, d’islamistes, de trafiquants de drogue ou de ceux qui ont profité personnellement de la souffrance des résidents, ils sont dessus”.
Une instabilité chronique à Bamako
Autre sujet d’agacement américain, l’instabilité régnant à Bamako, la capitale. Le capitaine Amadou Haya Sanogo, putschiste à l’origine de la grave crise politique à Bamako, a poussé à la démission,, le 11 décembre 2012, le Premier ministre, Cheikh Modibo Diarra, jugé proche de Washington. Dans la foulée de l’adoption de la résolution de l’ONU, Barack Obama a d’ailleurs annoncé que les Etats-Unis retiraient au Mali son statut de partenaire commercial privilégié. Une manière de s’en prendre au portefeuille.
La France tempère ses ardeurs
Par ailleurs, “la position de la France a évolué sensiblement dans les derniers mois”, remarque Gilles Yabi. Hier prompte à prôner une intervention militaire, elle se fait de plus en plus discrète tandis que la liste de ses otages s’allonge. Très attendu sur ce dossier, le président François Hollande a voulu gommer toute divergence avec Alger. Il s’est contenté de se dire “en convergence” avec son homologue Abdelaziz Bouteflika, lors de son déplacement en Algérie, mercredi. Dans une réponse très tempérée, il a soutenu : “Lui et moi, nous pensons qu’il convient de faire du dialogue politique, de faire tout pour qu’une négociation puisse permettre au Mali de recouvrer son intégrité territoriale.”
L’Algérie, puissance régionale qui partage 1 400 km de frontières avec le Mali, reste réticente à une intervention qui pourrait repousser les terroristes d’Aqmi en territoire algérien. D’autant que pour des “raisons historiques”, Alger ne verrait pas d’un bon œil“une intervention militaire soutenue par la France à ses frontières”, souligne Michel Galy.
Gaël Cogné / francetvinfo.fr/
MAMAMIA , quand on va sortir de cette merde , vraiment ya na mar d’angoise,
Tout ce monde fait fausse route. les forces avec lesquelles, ils veulenet que le Mali dialogue n’ont aucune prise sur le Nord: Ansar Dine D’Yad Agahli nn’est qu’une representation d’Aqmi. Quant au MNLA, il est constitue de mendiants que l’on voit en au Burkina, en Algerie et souvent en France, avec leur guelle puant la vermine sur un pays dont ils ont recu tout.
Le porte parole du MNLA Ag Assarid doit repondre si il a eu un quelconque soutien de ATT, quand il le visitait dans Au Palais.
TOUS LES MALIENS SONT BELLE ET BIENS DACOR POUR L’AIDE DE LA COMMUNAUTÉE INTERNATIONNAL MÈME LE CAPITAINE SANOGO QUI ETAIT OPOSER À BELLE ET BIEN COMFIRMER SON ACORD POUR L’INTERVENTION MILITAIRE DE LA COMMUNAUTÉE INTERNATIONNAL CET SONT LES AMERICAINS QUI NE VOI PAS LE MALI DIRRIGÉ COMME ILS VEULENT C’EST POUR CELA QUE L’INTERVENTION EST FRAINER, DE TOUTE LES FAÇONS LE MALI NE VA PAS FAIRE LES ELECTIONS AVANT LA LIBERATION DES HOTAGES ET RÉGIONS DU NORD ET EN MÈME TEMPS IL N’YAURA PAS DE NÉGOCIATION AVEC C’EST BANDITS TRAITRES ET HUNIMAINS COMPOSÉS DE TOUTES NATIONALITÉES, CAR ILS NE RÉPRESANTE AUCUNE COMMUNAUTÉ NI AUCUNE VILLE DU MALI.
LE MALI N’A J’AMAIS PERDU L’ESPOIR CAR NOUS SOMME UNE NATION DE L’HITOIRE ET DE COURAGE. VIVE LA RÉPUBLIQUE DU MALI, VIVE L’ARMÉE MALIENNE, LES MILICES ET TOUS LES AMIS DU MALI.
je n’ai toujours pas vu de reaction officielle malienne à cette resolution de l’ONU. Ni du FDR, ni du gouvernement du Mali……
Nous disons si selon la formule sacrée du Président Abraham Lincoln « la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » Nous disons à Dioncounda au Django malien au gouvernement et aux députés de penser 1fois honnêtement au Mali qui les a tant donné et laisser de côté leurs comportements de la démocratie bananière des tropiques dont ils sont si friands et encouragés en cela par leur soit disant amis les « Autres » et de voter dès cette semaine 1loi interdisant les élections présidentielles et législatives tant que le pays n’est pas unifié
Nous disons des élections excluant les 2/3 du pays ne sont point démocratiquess et elles seraient en fait 1partition malicieuse satanique du pays en 2 car les 2/3 ou des individus issus des 2/3 peuvent ne pas reconnaitre le président élu contester sa légitimité et déclarer leur autonomie et c’est leur droit car ils ont été exclus sans leur avis(car le droit de vote est sacré en démocratie et aucune autorité n’a le droit et ne peut oter ce droit à des citoyens honnêtes lambda quelqu’en soit la raison)
Nous disons que le constat qui se dégage de la décision de l’ONU est qu’elle a divisé la poire en deux
Nous disons que l’ONU a contenté les 2parties avec cependant 1léger penchant pour les commanditaires maîtres (ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie du Mali et membres aussi de l’ONU) de ces « ramassis de voyous » enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents du Mali » » que sont les criminels narcotrafiquants voleurs violeurs tueurs handicapeurs à vie Suppôts de Satan Satan fait humains adeptes et fidèles de Dajal ou l’Antéchrist d’Ansar Eddine et les bandit sans foi ni loi de rebelles touaregs voleurs violeurs tueurs sur des bases raciales tribale de MNLA en demandant à l’exécutif malien de s’asseoir à la même table que ces criminels et voyous chose qu’elle n’a jamais demandé depuis sa création aux « Autres » qui ont poursuivi et mis hors états de nuire les criminels et voyous qui se sont attaqués chaque fois à eux même fussent ils leurs compatriotes
Nous disons que les contours d’1intervention sous mandat de l’ONU restent flous
Nous disons que si selon la formule sacrée du Président Abraham Lincoln « la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » Nous disons que la sécurité le bien être du citoyen lambda malien doivent primer et si la démocratie signifie l’égalité de tous les citoyens et citoyennes Nous demandons alors à Dioncounda au Django malien au gouvernement de lancer immédiatement des mandats d’arrêts internationaux à l’encontre des responsables d’Acqmi Mujao d’Ansar Eddine MNLA pour crimes contre l’unité la paix crimes de guerre et crimes contre l’humanité
Nous leur disons pour 1fois dans leur vie de penser honnêtement Mali et abandonner les comportements de la république bananière des tropiques où le citoyen lambda n’est moins qu’un rien où on s’en fiche de la sécurité du bien être du pauvre citoyen lambda et où l’impunité est 1droit pour des criminels au nom d’1 soit disant dialogue ou réconciliation
LES MALIENS DOIVENT GARDER ESPOIR ET ACCEPTER L’AIDE DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE (CEDEAO/UA/ONU).
LA COHÉSION DES FORCES DE DÉFENSE ET SÉCURITÉ DU MALI ET LEUR VOLONTÉ D’AGIR COMME UN SEUL HOMME SONT, AUJOURD’HUI, LES SEULS DÉFIS QU’ELLES DOIVENT RELEVER POUR LIBÉRER EFFICACEMENT LE NORD MALI.
Bonjour,
Merci à tous ceux qui contribuent à chercher une solution durable de sortie de la crise au Mali.
LES MALIENS NE DOIVENT PAS PERDRE ESPOIR.
CROIRE EN NOS PRINCIPES (Refus du terrorisme, non impunité, respect des droits de l’homme, coexistence pacifique) ET EN NOS VALEURS (unité, cohésion, identités locale et nationale, patriotisme, conviction, foi, dignité, honneur, …) EST IMPORTANT ET PERMET DE SURMONTER TOUTE SORTE DE DIFFICULTÉ.
Les forces de défense et sécurité du Mali doivent agir comme un seul homme pour libérer le nord Mali.
Leur cohésion et la volonté d’agir comme un seul homme sont aujourd’hui les SEULS DÉFIS que les forces de défense et sécurité doivent relever pour libérer efficacement le Nord.
Pour ce faire, leur motivation en promouvant leurs métiers, leur renforcement de capacités et leur dynamisation SONT INDISPENSABLES.
Gardons espoir, acceptons l’aide des autres (CEDEAO/UA/ONU), ayons confiance en nos valeurs et principes, ayant confiance à notre armée, soutenons la, motivons la, donnons lui des moyens, unissons nous autour d’elle, et elle lavera avec honneur l’affront de l’occupation du Nord Mali.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail : Webanassane@yahoo.com
bien fait l’onu…
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