ANALYSE – La France, l’Onu et les pays du Sahel continuent de s’accrocher aux accords d’Alger, faute d’une autre issue acceptable par tous.
Dans la difficile guerre au Mali, il n’y a qu’une seule chose qui fasse consensus: la solution n’est pas militaire, mais politique. Reste à savoir quelle politique appliquer.
La France, l’Onu et plusieurs pays sahéliens ont insisté pour promouvoir un processus classique, intégrant tous les acteurs, à l’exception des islamistes radicaux affiliés à al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI). Un accord de paix en ce sens a été signé à Alger, médiateur habituel des crises maliennes, au printemps 2015. Mais depuis, rien ou bien peu n’a avancé, si ce n’est le conflit. À l’époque concentrée au nord du Mali, la guerre a depuis largement gagné le centre du pays, puis le Burkina Faso. La France, l’Onu et les pays du Sahel continuent néanmoins de s’accrocher à ce texte, faute d’une autre issue acceptable par tous.
Ils mettent en avant le fait que l’accord d’Alger a été ratifié par le gouvernement malien et par plusieurs groupes rebelles. Le texte prévoit plusieurs étapes. D’un point de vue militaire, il.…………lire la suite sur https://www.lefigaro.fr/
“La France, l’Onu et les pays du Sahel continuent néanmoins de s’accrocher à ce texte, faute d’une autre issue acceptable par tous.”
voilà une solution, forcer le désarmement de tous les groupes armés !!!!!!
ça, bien sûr, les franSSais ne vont jamais parler de ça, encore moins le faire, puisque c’est qui soutiennent les extrémistes …
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