MALI : Histoire secrète d’une guerre surprise (1ère partie)
Ce lundi 14 janvier 2013, dans le salon vert qui jouxte le bureau du chef de l’Etat, le débat est intense. François Hollande a réuni le deuxième conseil de défense depuis le déclenchement de l’intervention au Mali, trois jours plus tôt. Les principaux protagonistes de la plus importante action militaire menée par la France depuis un demi-siècle sont présents: Jean-Yves Le Drian, Laurent Fabius, le Général Puga, conseiller militaire du président, l’amiral Guillaud, chef d’état-major des armées, et les patrons des services secrets. Tous sont d’accord sur un point : malgré la mort d’un officier français, le début de l’opération Serval est un succès. Les frappes des Mirages 2000 et des hélicoptères ont stoppé la descente des djihadistes vers le sud. Mais, sur la suite de l’intervention, les opinions divergent.
A la table du conseil, deux logiques s’affrontent. “L’amiral Guillaud souhaitait concentrer tous les efforts vers un seul but : frapper Aqmi le plus fort et le plus loin possible, dit un important responsable français. Le président, lui, voulait aussi des victoires symboliques, la prise de villes, pour rassurer l’opinion publique.” Il y a un autre différend. “L’état-major imaginait une guerre façon Otan, dit un officiel de haut rang. C’est-à-dire lancer l’offensive vers le nord une fois seulement toute la logistique parvenue sur le terrain.” Obsédé par le risque d’enlisement, François Hollande veut, lui, rogner sur les délais au maximum, mener une “guerre à la française”.
Le 14 janvier, l’amiral Guillaud prévient que l’acheminement du matériel et des 4 000 hommes au Mali va prendre deux semaines. Il ajoute qu’il prévoit de libérer une seule ville, Gao, la plus facile à prendre. “Non, il en faut deux, dit François Hollande, Gao et Tombouctou.” L’amiral répond que cela ne pourra se faire que fin février. “Fin janvier”, ordonne le Président de la République, qui refuse toute pause. Un pari risqué – qui sera gagné grâce à plusieurs facteurs.
Les amis à la rescousse
L’aide des alliés est indispensable. “Avec ses moyens propres, assure un officier, l’armée française ne serait pas parvenue à tenir les délais fixés par le Président.” Elle manque cruellement d’avions de transport et de moyens de renseignement. Le drone Harfang n’est pas encore opérationnel. Pour suivre les déplacements en temps réel des 2 000 djihadistes, les militaires n’ont que des ULM et de vieux appareils Atlantic. Les Britanniques viennent immédiatement à leur rescousse. Dès le lendemain des premières frappes, ils mettent un avion de renseignement dans le ciel malien.
Les Etats-Unis sont moins rapides. Un mois avant, Jean-Yves Le Drian a bien obtenu, en secret, un accord de principe pour le déploiement de drones américains, en cas d’intervention. “Mais certains drones dépendaient de la CIA, d’autres du Pentagone et le superavion de surveillance, Global Hawk, d’un commandement en Italie”, raconte un haut responsable. Il faut coordonner le tout. Si bien que, pendant une semaine, les militaires français n’ont pas d’images de l’ennemi vingt-quatre heures sur vingt-quatre. “Pour les avions-cargos, on a loué des Antonov 124 à des sociétés privées russes et ukrainiennes, dit une source à la Défense, mais il n’y en avait pas assez.” Les Belges et les Allemands en fournissent quelques-uns, mais pas suffisamment. Après trois semaines de tergiversation, la Maison-Blanche accepte de mettre des C-17 à la disposition de Paris. “Les alliés nous ont fait gagner trois semaines dans le déploiement des forces et deux semaines dans les frappes”, estime-t-on au ministère de la Défense.
Les erreurs des djihadistes
L’intervention est d’autant plus rapide que les djihadistes font de mauvais choix tactiques. “Nous avions prévu que la prise de Tombouctou durerait cinq jours”, confie-t-on à la Défense. “Mais ils ont fui et, en un jour, tout était fini. S’ils avaient décidé d’organiser la résistance à Gao et Tombouctou, il nous aurait manqué deux compagnies”, précise un officier. Les djihadistes n’ont pas non plus l’idée de poser des bidons vides sur la route.”Nous aurions dû envoyer une équipe de déminage pour s’assurer qu’il ne s’agissait pas d’engins explosifs. A chaque fois, cela nous aurait retardés de plusieurs heures.” “Pendant quelques jours”, ajoute un autre responsable, “nous tenions le pays avec seulement trois compagnies d’infanterie. S’ils nous avaient harcelés, nous aurions beaucoup souffert. Mais, à part une brève embardée vers l’ouest, les djihadistes choisissent de filer vers leur citadelle de l’Amettetaï, au nord. Ils ont cru que nous ne les attaquerions pas là-bas”, conclut-il.
Tuer Sanogo ?
Alors qu’ils commencent à tenir le pays, une question taraude les Français. N’ont-ils pas là l’occasion de régler l’épineux problème Sanogo ? Le capitaine de l’armée malienne, auteur du coup d’Etat de mars 2012, gène bigrement Paris. Il risque de vouloir reprendre le pouvoir et de mettre à mal toute la stratégie de l’Elysée. Que faire de lui ? “Le tuer ? Certaines capitales africaines nous l’ont demandé, et nous nous sommes interrogés, reconnaît un responsable français. Mais on ne l’a pas fait de peur d’aggraver la situation politique.” On préfère le neutraliser. On lui donne un titre ronflant, Président du Comité de Suivi de la Réforme de l’Armée. Des Africains lui proposent un exil doré. En vain. Sanogo reste.
Les encombrants journalistes
Très vite, la France doit gérer un autre problème : l’information. Les journalistes reprochent à l’armée de les empêcher d’aller dans les zones de combat. Paris rejette la faute sur l’armée malienne, “qui a peur des enlèvements”. Non sans raison : “On a intercepté des communications qui indiquaient que, lors de leur raid du 9 février à Gao, les djihadistes voulaient prendre des journalistes en otage”, révèle un officiel français.
Ce n’est pas toute la vérité. Furieux d’avoir à agir aussi vite, les militaires refusent de s’encombrer de la presse. Avec le pouvoir politique, c’est donnant-donnant : on fonce, mais sans journalistes. De toute façon, quoi montrer ? Menée surtout par les forces spéciales, la guerre se résume à des accrochages violents entre des petits groupes, alors le ministre gonfle l’importance des opérations. “Quand Le Drian annonçait une offensive, ça se résumait à trois véhicules blindés”, dit un militaire.
Sus au Quai-d’Orsay
Début février, une autre guéguerre fait rage à Paris. Depuis la chute de Gao et de Tombouctou, le ministère de la Défense n’en démord pas : les diplomates sont trop mous, ils ne feraient rien pour régler le dossier de la réconciliation entre le pouvoir central malien et le mouvement indépendantiste du Nord. Du coup, les militaires redoutent de se retrouver coincés longtemps au Mali, à cause d’un abcès de fixation, à Kidal, troisième ville du Nord, tenue par les séparatistes touaregs du MNLA. “Fin janvier, la France pouvait exiger du pouvoir à Bamako qu’il négocie avec ces rebelles, assure-t-on à la Défense. A ce moment-là, le Président Traoré aurait signé n’importe quoi.” Pourquoi avoir laissé passer cette opportunité ? “Vous vouliez que l’on fasse comme Foccart?”, demande, agacé, un haut diplomate, en référence au “Monsieur Afrique” de De Gaulle.
La querelle entre la Défense et les Affaires étrangères se solde le 21 mars par la désignation d’un bouc émissaire : l’ambassadeur de France à Bamako, Christian Rouyer, qui est débarqué. “Il ne convenait pas pour un tel poste en Afrique, juge un officiel, il aurait été parfait comme ambassadeur en Finlande.” La victoire des militaires est complète puisque ce sont eux qui soufflent le nom de son successeur, Gilles Huberson, un ancien de Saint-Cyr qui a déjà pris langue avec le MNLA.
Le MNLA, un allié gênant
Les diplomates ont du mal à digérer les reproches des militaires : si Kidal pose problème, disent-ils, c’est parce que le MNLA est protégé par la DGSE. “Les services secrets ont besoin de ces Touaregs parce qu’ils ont des liens avec les preneurs d’otages”, lâche un responsable français. Pour la chasse aux djihadistes aussi, ils sont utiles, du moins le croit-on. A ce sujet, Jean-Yves Le Drian reconnaît que les Français “se coordonnent” avec le groupe touareg dans la guerre contre Aqmi. En vérité, “entre le MNLA et la France, il y a un deal historique : parce que c’était une force laïque qui a pour ennemis les terroristes islamistes, la DGSE les aide depuis dix ans”, admet un haut responsable français, confirmant ce que “le Nouvel Observateur” avait révélé il y a un an.
A Bamako, la mise sous protection française du MNLA agace. On reproche aux “libérateurs” de s’être alliés à ces rebelles considérés comme responsables de la crise. Une attitude jugée d’autant plus incohérente que, selon un officiel malien, “le MNLA a vendu à la France plus de beurre qu’il n’avait de lait”. De fait, au Quai-d’Orsay, on reconnaît qu’ils ont été moins utiles qu’on ne l’avait espéré”, notamment pour préparer l’assaut dans l’Amettetaï.
700 djihadistes tués
C’est là, tout au nord du Mali, dans une vallée de 10 kilomètres sur 20, que débutent, en mars, les affrontements les plus violents. L’Amettetaï est la citadelle des djihadistes. “Depuis trois ans, nous avions repéré qu’ils s’y étaient sédentarisés”, dit un responsable. Il y a là 400 personnes, des jardins potagers et un important stock d’armes prises à l’armée malienne en 2012 et “un peu en Libye”. “Ils avaient mis en place des canons, des lance-roquettes, mais ils ne savaient pas s’en servir”, explique un officier.
L’Amettetaï a été leur péché d’orgueil. Ils ont affirmé que ce serait la mère de toutes les batailles et ils ont perdu. Selon le ministère de la Défense, 130 djihadistes ont été tués durant ces combats-là. Aqmi y a subi une très lourde défaite militaire et psychologique. “Il a perdu la face vis-à-vis des leaders d’Al-Qaida. Et pour les jeunes tentés par le djihad, le Sahel est désormais beaucoup moins attractif que la Syrie”, affirme la même source. Mais la menace n’est pas totalement écartée pour autant. Depuis le début de l’opération Serval, 600 à 700 djihadistes sont morts. Il en reste donc plus de 1 000 dans la nature. Où ? “Une moitié s’est fondue dans la population et a renoncé (provisoirement ?) au combat ; l’autre s’est dispersée plus au nord ou dans les pays limitrophes”, assure une source au ministère de la Défense.
Nos amis tchadiens
Dans ce combat inachevé, les alliés tchadiens ont été “très utiles”, reconnaît-on à la Défense. C’est de N’Djamena que décollent les Mirages 2000 qui frappent les djihadistes dès le 11 janvier. Et 2 000 soldats tchadiens, seules troupes de la région aguerries au désert, sont employés au nettoyage de l’Adrar des Ifoghas, le bastion d’Aqmi. Ils vont payer le prix fort : au total, 38 morts contre 6 côté français. Ont-ils servi de chair à canon ? Nul ne l’admettra, bien sûr. A Paris, on voit dans ce nombre élevé de tués le résultat d’une “erreur tactique”. “Les Tchadiens ont voulu prendre imprudemment un piton et des tireurs les ont alignés.” A N’Djamena, on invoque “une culture de combat basée sur le risque et sur l’homme”. Quoi qu’il en soit, le Président tchadien saura tirer les dividendes de son alliance avec Paris. Alors qu’il accueillera en héros les 700 premiers soldats de retour au pays, il arrêtera des opposants sans que l’Elysée ne proteste bien fort.
Guéguerre à l’ONU
La France ne s’embarrasse pas de détails. Elle est pressée de partir et veut passer au plus vite le témoin à une force de l’ONU. Les Américains acceptent à une condition : que la France conserve sur place des troupes antiterroristes. “Pas plus de 300 hommes”, dit Paris, qui veut que cette force dite “parallèle” soit commandée par un Français et que celui-ci ne prenne pas ses ordres à l’ONU. A New York, les fonctionnaires tiquent. Ils veulent plus de soldats français et un commandement onusien.
Un compromis est trouvé le 25 avril. Une résolution du Conseil de Sécurité crée une force de maintien de la paix de 12 600 hommes, la MINUSMA, et une force d’appui d’environ 1 000 soldats français. Sous commandement national, ces derniers interviendront “à la demande du Secrétaire Général des Nations unies”, mais “notre feu vert ne sera pas automatique”, précise-t-on à Paris. Comprenne qui pourra. Autre imbroglio toujours en suspens : le choix du commandant de la MINUSMA. Le Président tchadien réclame le poste pour son fils adoptif, qui vient de rentrer du Mali. A Paris, “on souhaite que ce soit un Africain… compétent”.
Des élections au forceps
La France devrait bientôt tourner la page de la guerre – du moins le croit-elle. La force onusienne doit se déployer le 1er juillet. Le but : sécuriser l’élection présidentielle prévue pour le 28 juillet. Bien qu’elle s’en défende, la France a imposé ce calendrier très serré. Hollande se dit “intraitable” sur le sujet. Quitte à ne pas entendre tous ceux qui jugent ce scrutin prématuré (qui va se dérouler en plein ramadan !). Le Secrétaire Général de l’ONU a émis de sérieux doutes quant à sa faisabilité et sa légitimité. “Il n’a pas une meilleure connaissance du Mali que nous”, répond un diplomate français.”Seul un gouvernement légitime pourra mener la réconciliation”, argumente un autre. “Et puis les Etats-Unis subordonnent la reprise de leur aide au Mali au retour d’un pouvoir démocratique à Bamako. Mais le sera-t-il ? Des négociations entre rebelles et pouvoir central ont enfin commencé. Le Président par intérim, Dioncounda Traoré, a promis à Paris qu’il ne reconquerrait pas Kidal [le sanctuaire des rebelles touaregs] par les armes”. Mais il a récemment changé de ton :”L’armée doit être à Kidal avant le premier tour”, a-t-il dit, laissant ainsi planer le spectre d’une nouvelle guerre civile. Le pire des scénarios pour la France.
Qui a tué Abou Zeid ?
Comment ce commandant d’Aqmi au Sahel est-il mort ? Le 1ermars, le président tchadien annonce que son armée a tué Abou Zeid lors de violents combats près d’In Sensa dans le nord du Mali. “En réalité, il a succombé à un bombardement de l’un de nos Mirages dans la zone tenue par les Tchadiens”, assure un officiel à Paris. Abou Zeid était-il visé ? “Non, ce n’était pas une opération homo [homicide]. Mais nous pensions qu’il était dans les parages puisque nous avions repéré son téléphone.” Au début, les Français ne sont pas sûrs que le corps déchiqueté soit bien le sien, “même si la photo de son visage pouvait le laisser penser”. “Nous avons envoyé des hommes sur place prendre sur le cadavre de quoi faire une analyse ADN. Le 20 mars, nous avons acquis la certitude qu’il s’agissait bien de lui.” Mais les militaires laissent à François Hollande le soin d’annoncer lui-même la nouvelle, trois jours plus tard.
Des détournements d’avion déjoués ?
Dans les lieux tenus par Aqmi, les militaires français ont découvert un grand nombre de documents, des centaines de pages écrites en arabe détaillant l’activité des groupes. “Comme les talibans, ils étaient très procéduriers, assure un responsable français. Sur des cahiers, ils tenaient une comptabilité détaillée des entrées et des sorties d’argent et de matériel.” Les Français ont trouvé un manuel pour gérer une ville, un autre sur l’organisation d’une administration. A Gao et à Tombouctou, ils ont également découvert des ateliers de fabrication d’engins explosifs improvisés, les fameux IED. Plus inquiétant, “à Gao, révèle un officiel français, on a trouvé les traces de repérage de vols entre l’Afrique et la France, et entre l’Afrique et l’Espagne”. En vue de détournements d’avion ? “On peut le craindre.”
Sarah Halifa-Legrand et
Vincent Jauvert (“Le Nouvel Observateur” du 6 juin.)
Notre commentaire
Les enseignements de cet article, c’est que le MNLA est le protégé des services secrets français (DGSE) depuis 10ans. Et le nouvel ambassadeur de France au Mali Gilles Huberson a été proposé par l’armée française et nommé pour sa proximité avec le MNLA. Mais les services français ont tout faux car le MNLA n’est pas l’organisation laïque et républicaine qu’ils décrivent. A l’épreuve des faits, entre 2012 et 2013, tout le monde a pu mesurer leur duplicité et leurs accointances avec les terroristes d’Ançardine et autres Aqmi… Ensemble, ils ont commis des crimes contre l’humanité, des crimes de guerre à Ageul’hoc, à Tessailt, à Kidal, etc. Et à ce jour, les pseudo-combattants du Mnla présents à Kidal sont des jihadistes recyclés d’Ançardine et d’Aqmi. On comprend maintenant pourquoi l’armée française a assisté impassible à l’épuration ethnique opérée par le Mnla courant juin 2013. Hollande a intérêt à ouvrir les yeux si non il va perdre les bénéfices politiques de l’opération Serval qui est en passe de ressembler à l’opération turquoise de triste réputation au Rwanda.
Mamadou DABO
Dabo, égale à lui-même !
et vive les journaleux maliens…il faudrait les enrôler dans l’armée malienne, au moins aura-t-on réuni une bonne partie des abrutis en un seul corps. On pourra construire un pays avec les autres !
Il n’ya pas de probleme ethnique, ou de probleme touareg au Mali. Il n’y a que quelque crimminels, trafiquants, racistes qui ne veullent pas vivre avec les autres Maliens. Le mondes est vaste. Ils peuvent allent ailleurs. L’algerie la Mauritanie sont toutes “blanches”. Meme la Lybie, leur “seconde” patrie les acceuilleront surement
COCO , tu envois 50 pygmées les fesses à l’air et un arc à la main , ils te foutent en déroute l’armée malienne les pygmées ont des couilles et les montrent 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
les masques vont tomber tot ou tard,le mnla est une pure invention des enemis du mali
😆 😆 😆 😆 C’est meme un tireur d’élite Français qui a balancé avec son lance pierre le caillou qui a gaté l’avion d’AIR COCAINE ! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
C’est comme çà que les Français ont réussi à destabiliser l’économie Malienne !
Parce que les Français , c’est comme les chauves souris et le MNLA !
çà dort le jours , çà vole la nuit !
…….et AIR COCAINE ……..en plus des Français , des chauves souris ,et du MNLA …….c’était de trop sur zone !
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
fougk est un mecreant je ne sais pas pour quoi vous perdez votre temps avec ce vieux com qui n,est autre qu,un ancien deserteur de l,armee francaise .. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 fougk je deteste vas au diable a kidal ou a aguelhoq…. tu le le demon en personne les maliens sont fatigues de toi.. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 salopris vas te foutre aux pays basques ou en corse…. 😆
………. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 …………..
TIENI ! PAS AU PAYS BASQUE !
( On a mis du temps à nettoyer les Landes des voisins amateurs de pétards qui venaient s’y réfugier ) …..
…..PEUT ALLER AU PAYS BASQUE SEULEMENT AVEC NOTRE AMI TOTOTOUCOURT !
…….EN VACANCES ! COMME ILS ONT DEJA FAIT !
MAIS C EST TOUT ! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Conseilles lui PLUTOT la CORSE ! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
http://www.dailymotion.com/video/x8ams7_francafrique-l-envers-de-la-dette-1_news
Peut-être vous connaissez déjà, s’il vous plait si vous avez un peu de temps, jetez un coup d’œil. Quelle cruauté ces hyènes ! Quand le coupable est juge, quoi faire ? Les dirigeants si vous signez ca, vous allez signer votre arrêt de mort !
Ces gens mettent le feu et font les pompiers, même un gamin de 5 ans peut comprendre. On dirait un pays remplis d’idiot.
Tout le monde veut aller au paradis mais personne veut mourir pour y aller, la liberté ne se négocie pas, cela s’arrache !
Alors BLANCHE MERDE T’ES QU’UNE MERDE C’EST FACILE DE VENIR SE LA JOUER ICI !
LE MALI N’A JAMAIS DEMANDE A LA FRANCE D’INTERVENIR, C’EST UNE GROS MENSONGE ! C’EST UNE LANGUAGE PYROMANE !
@ jingrid ……… jamais le Mali n’a appelé la France au secours ?????? t’es trop con (ou conne) 😉
Attention, balanche neige, qui sait?! 🙄 jingrid peut avoir meme si ce n’est pa evedent…. faire faire appeler n’est pas appeler.
ps………ce sont les barbus qui voulaient vous couper les couilles ,pas le MNLA !!!!!!!!! Les horreurs du MNLA à Agel Hoc , en effet c’est pas qu’ils ont fait de mieux ,mais d’un autre coté quand depuis 1960 à chaque rebellion touarègue , l’aviation malienne allait bombarder les villages touaregs tuant les femmes et les enfants c’était pas très propre non plus 😳 😳 vous cherchez toujours la paille dans l’œil du voisin ,mais refusez de voir la poutre dans votre œil à vous 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯 😯
Quand on veut accuser les autres de certaines choses ,il faut avoir soi meme les mains propres !
Bien sûr que la mali n’a jamais appelé la france au secours, c’est BOcounda qui l’a fait…
D’un côté les hommes politiques maliens ont détruisent le pays, de l’autre les intégristes touaregs se sont alliés aux combattants touaregs de khadafi et aux islamistes libyens, tunisiens, algériens… et au milieu la france a profiter du chaos pour imposer SA solution comme toujours… (comme en Côte d’Ivoire, au Congo…)
C’est le Rwanda qui a eu raison de se séparer de la France!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Les pays africains de la zones francofolle sont des dangandéns!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Cet article veut tout dire et la lecture sur le terrain donne raison aux journalistes. Un vrai travail de professionnels comme ne savent pas le faire nos journalistes.
Un sacré article , Un vrai Professionnel
Non deux : Sarah Halifa-Legrand et Vincent Jauvert (« Le Nouvel Observateur » du 6 juin.) 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉 😉
C’est une excellente oeuvre que la France à accomplie en venant au secours de notre pays. C’est pourquoi tous les hommages doivent être rendus à notre anciennne puissance coloniale. A l’iddée de libérer toute la zone d’un coup y comprise la région de Kidal, je dirai que c’était ce qui convenait.
Mais les renseignements obtenus du côté français donnaient pour eux une image selon laquelle, ils pouvaient se faire aider par le soit-disant MLNA. Ce qu’ils ne savaient pas, c’est que cela revenait à dire au voleur de trouver l’objet que lui-même a volé. Dans ce cas, les français ont cherché sans jamais trouver trace. Ont-ils fini par le comprendre? Il faut vérifier que ce qui suit dans ma note est bel et bien vrai, car c’est ce que le MLNA a adopté pour se couvir au Mali.
AQMI= Ce les mêmes tamascheks du MLNA;
MUJUAO= Ce les mêmes tamascheks du MLNA;
ANSARDINE = Ce les mêmes tamascheks du MLNA;
Dihadistes = Ce les mêmes tamascheks du MLNA;
Terroristes = Ce les mêmes tamascheks du MLNA
La verite va finir par sortir. Jai toujours dis que seul les service secrets francais connaissent exactement ce que la France fait avec le MNLA, un groupe de traitres, criminels terroristes reunis. Paris n’a jamais cru a une relation propre avec l’Afrique…ça doit toujours se baser sur une intrigue quelque part..cest toujours cette mentalite de colonisateur qui a du mal a s’adapter a la nouvelle donne du monde. Je pense que la France risque de perdre cette opportunite d’or que Serval vient de la donner …de donner la confiance a la nouvelle generation africaine … car en alienant tout un peuple (qui l’avait applaudie) au profit de 500 bandits criminels basés sur des mensonges, elle aura fait un choix catastrophique. La confiance et le respect seront tres difficiles a etablir dans nos relations. Aucun malien n’acceptera cette insulte de la part de la France sous pretexte d’avoir liberé leur pays (qu’elle a d’ailleurs fait en partie pour son propre interet securitaire et economique). Aller jusqu’a bloquer l’armee malienne a Anefis pour proteger les criminels du MNLA montre a suffisance le degre de son mepris vis a vis du peuple malien qu’elle pretend sauver. Liberer le Mali ne veut pas dire que le Mali appartient a la France. J’avais tort de commencer a admirer la France au debut de Serval… quelle deception.
Oui frere Vision2012, elle a signe un pacte avec le diable depuis sous Chirac et elle risque de perdre la face et assumera les consequences de ses actes.
A la lumière de cet article, je crois que la libération de Kidal est au dessus de l’armée, et doit être l’affaire de tous les maliens. Une grande mobilisation pour entourer Kidal et l’assiéger. Si l’armée s’avance seule, il y aura riposte du MNLA appuyé par son parrain la France. Si des femmes et enfants sont devant et qu’ils osent tirer, la communauté internationale appréciera. Honte à la France. Je sais cependant qu’il y a des hommes de valeur en France. Ils devront donner de la voix et se démarquer de cette honte qui puera longtemps sur la France
C’est une excellente oeuvre que la France à accomplie en venant au secours de notre pays. C’est pourquoi tous les hommages doivent être rendus à notre anciennne puissance coloniale. A l’iddée de libérer toute la zone d’un coup y comprise la région de Kidal, je dirai que c’était ce qui convenait. Mais les renseignements obtenus ^du côtés français laissaient donnaient pour eux une image solon laquelle, ils pouvaient se faire aider pour le soitdisant MLNA. iLe MNLA, un allié gênant
Les diplomates ont du mal à digérer les reproches des militaires : si Kidal pose problème,
Chèrs Maliens vous étonnez le monde entier par votre ingratitude et votre inconstance à l’endroit du libérateur Paris. Votre orgueil mal sain de civisme hypocrite dépasse tout le monde, j’aurais bien voulu vous voir crier lorsque les Djihadistes étaient à la porte du Sud mais Hélas tout le monde boucle la boucle jusqu’à la fin des opérations SERVAL et aujourd’hui Piyayé partout Hey la France est vraiment le connaisseur parfait de ce dossier Nord Mali mieux que les maliens car sur 100maliens on trauvera moins de 10% qui connaissent le Problème?. Je confirme que Thiam est le meilleur Journaliste du Mali car il ne fait pas le partisant comme d’autres voilà un des problèmes de ce pays.Comment on peut accepter sur un Plateau d’ORTM quelqu’un qui parle de Peau rouge pour qualifier son compatriote touareg ou arabe comme le representant des jeunes le samédi c’est dommage car la reconciliation depend de tout ces comportements racistes!!Il faut banir le journalisme partisant pour avancer
@Bamanadin, tu n’es qu’un con de touareg qui parle ainsi depuis ton asile du Benin. Toute la population au moins sait que ton MNLA a l’heure actuelle n’est que le recyclage ou/et jumelage entre les terroristes et cette uptopie. Si tu connaissait l’historique de ce conflit, tu devras faire la part quant au cote’ qui etale son racisme, comme tu es hypocrite tu preferes diriger ta haine sur le Mali.
en 2003 Chirac était président et était comme cul et chemise avec ATT ……………..en y réfléchissant bien ,il ne devait quand meme pas trop avoir confiance en lui !!! C’est l’époque aussi ou Abou Zeid avait les clés pour entrer au Mali et s’y installer avec ses copains barbus !! 😳 😳 😳
Voilà comment les choses se recoupent , les services secrets français ont couvert le MNLA laic pour surveiller les islamistes 💡 💡
ET QU’ONT-ILS RECU EN RETOUR? L’ATTAQUE DE L’ETAT MALIEN PAR LE MNLA ALLIE AUX DJIHADISTES. 6000 FRANCAIS AU MALI ONT FAILLI ËTRE PRIS EN OTAGES, AU LIEU DE 6. SANS PARLER DES MENACES PORTEES AUX INTERETS FRANCAIS DANS LES MINES, LES INDUSTRIES, LES ASSURANCES, LES BANQUES AU MALI ET DANS LES ETATS VOISINS…
Salut blanche neige, tu as bien pense en faisant un petit recul en arriere. La France a signe un pacte avec le diable en s’ associant avec le mlna pour avoir un oeil sur aqmi et d’obtenir des renseignents pour pouvoir liberer ses otages actuellement detenus. Elle a peut oublie que ce mlna est pire qu’un cameleon. Maintenant le mlna et la France sont tous les 2 pris au piege makiavelique fomente par eux. Comme les 2 journalistes l’ont mentionnes le cas Mali risque d’aboutir a ce qui s’ est passe au Rwanda si Hollande ne change pas vite son fusil d’epaule et de perdre la face et toutes credibilites devant les instances Internationales. Si elle France veut reellement la fin de cette crise, tout serait fini il y a longtemps. Mais l’AFRIQUE est un terrain de joue pour eux. La so lution est entre Nos mains a nous memes par le changement par tous les moyens necessaires et disponibles pour Nous.
On voit pourquoi les Francais font tout pour ne pas enerver ces gens du MNLA. La raison est qu’ ils ont travaille ensemble et en cas de rupture le MNLA va devoiler ces contacts ce que la France ne voudrait en aucun cas.
C’est drôle, les arguments tirés par les cheveux par Mr THIAM dans ce débat du dimanche sur AFRICABLE. Il trouve normal que l’Etat malien traite d’égal à égal avec le MNLA/HCUA dans le document de préaccord, sans la signatures des autres groupes plus ou moins armés du Gando Koy, Ganda Izo, MAA, sous prétexte que Mr ALKOIRI a été chassé par le MNLA en Avril 2012, l’armée malienne en ces temps là étant inexistants. Alors que c’est lui-même qui répète que le MNLA n’a jamais été une force sans les djihadistes au départ, et sans la France maintenant, en oubliant que Dakouo et Gamou constituent une réelle force maintenant, le bataillon Waraba de Koulikoro s’étant révélé moins qu’une souris. Et c’est lui THIAM qui a toujours soutenu que le MNLA constitue le problème, pas la solution. S’il s’imagine maintenant que les bandits du MNLA encouragés par la France, arrêteront de prendre en otage la ville de Kidal, peut-être même les élections au Mali, sans l’usage de la force, c’est méconnaître la nature profonde de maître chanteur du MNLA, c’est ignorer les 20 dernières années de négociation inutile décriée par l’ensemble des acteurs. AVALER UNE SOURIS ET ETRE INCAPABLE DE CROQUER SA QUEUE !!!! Mais la France ne perd rien pour attendre : sous la pression des leaders maliens, elle s’est publiquement démarquée des bandits armés. Dans les faits, elle pousse un farfelu de Blaise à continuer de soutenir des thèses insensées de plusieurs armées dans un pays. Alors que lui-même Blaise n’a eu de solution à ses militaires récalcitrants que par la radiation ! Alors que l’Algérie a écrasé comme une mouche les assaillants d’Inamenas. Il en est de même au Niger, au Nigéria. Mais tout ceci reste le reflet de la faiblesse de l’Etat malien. Ce que les pacifistes craignent ne peut être éludé : les MNLA/HCUA ne désarmeront jamais sous l’effet de la caresse. LA SOLUTION DE LIBERATION DE KIDAL NE VIENDRA TOUJOURS QUE D’UNE REACTION VIGOUREUSE DE LA SOCIETE CIVILE MALIENNE COMPRISE AU SENS LARGE DU TERME, POUR S’IMPOSER A LA COLONISATION DE KIDAL PAR LE MNLA/FRANCE: ASSEMBLEE NATIONALE, HAUT CONSEIL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES, COREN, COREK, PARTIS POLITIQUES, ONG ET ASSOCIATIONS DIVERSES DE DEFENSE DES DROITS DE L’HOMME, ETC.
T’as tout dit, noalinertie. Thiam est souvent tellement superficiel qu’on ne peut pas comprendre. Personne ne pourra arguer en faveur du MNLA sans vivre en contradiction.
“Mais tout ceci reste le reflet de la faiblesse de l’Etat malien.” Cest vrai, mais aujourd’hui cette faiblesse ne se situe plus au niveau de l’armee malienne mais chez Dioncounda qui a commis diverse erreurs diplomatiques depuis l’intervention Serval….il n’avait aucune vision ni initiative pour prevenir cette mafia franco- MNLA de coloniser Kidal…il est allé dès le debut sur RFI pour dire que ces bandits criminels sont les “seuls qualifiés” pour je ne sais quelle negociation avec le Mali…donnant ainsi une legitimite. En plus recemment au lieu de laisser l’etat d’urgence expirer pour en faire un outil de pression sur Paris grace a qui le MNLA doit meme sa vie, plus encore sa presence a Kidal, il le prolonge sous commande pour mieux enfermer le peuple malien qui voulait en decoudre avec l’ accord de Ouaga. Pour te dire que la faiblesse ne se situe qu’au niveau des autorites de la Transition qui finiront sans aucun doute par liverer le Mali sous la pression, car tout accord signé avec ces apatride est une defaite pour le Mali quelqu’en soit sa beaute.
Voila un exemple libérer pour KIDAL.
– Filez droit sur Paris…
Pas besoin de gros moyens militaires.
Une attaque doit être surprise…
DROITS DE L’HOMME ….EPURATION …. MASSACRES ….
Cliquez sur les titres d’articles pour lire l’article.
Pas de commentaire… No Comment ….
– Epuration, Massacres et Crimes après la Libération ..
– Chasse aux Notables
– Tribunaux d’exception
L’Histoire du Pays des Droits de l’Homme, après la seconde guerre mondiale.
Pas de commentaire …. No Comment …
Les Maliens n’ont pas de leçons à recevoir sur les droits de l’Homme !
ha bon ?
Tu dois être le seul bipède à le penser. 😉
Aujourd’hui, plus qu’hier, la vérité que la France soutient le MNLA est de plus en plus clair.
Le sort du Mali est dans les mains des Maliennes et Maliens.
Le peuple, dans son intégralité, doit se soulever et soutenir son armée.
Des collectes de fonds pour subvenir aux besoins (armements, nourriture pour nos soldats) et surtout un soutien indéfectible à l’armée malienne).
La France a-t-elle pardonnée ses “traites” et “collabo” de la seconde guerre ? :
– Maurice Papon (jugée et condamné en 1998 (plus de 40 ans après),
– la Tonte des Femmes, et l’Epuration à la Libération…
-300 personnes comparaîtront devant la cour de justice militaire de Limoges, du 24 août 1944, date de
sa première audience, jusqu’au 14 septembre. Soixante-quatorze seront condamnées à mort et toutes exécutées.
–
A vous de juger … et de prendre la bonne décision pour libérer le Mali.
@ yadupour: Merci pour ce rappel !
Je vois a travers cet article que la guerre nous a ete imposee par la france qui se consideree par pas mal de maliens comme sauveur.Un fait est la si la france est intervenue au Mali,c’etait juste pour frener l’avancee de AQMI et MUJAO,si c’etait le MNLA qui occupait le debat,hollande n’allait jamais approuver le deplpoiement des forces francaises.Je pense que Dieu aime vraiment notre pays,nous devons remercier le seigneur en restant unis.La france n’a pas dit son dernier mot,elle fera tout pour donner un statut particulier a kidal,afin d’asseoir son hegemonie a travers le MNLA dans cette zone.Kidal a ete toujours dans le debat,de Feu Modibo keita,en passant par GMT,AOF,ATT,et Prof Dionkiss,chaque gouvernement francais a essaier d’avoir le controle militaire de kidal.
On nous demande de signer un accord avec le MNLA,mais sur quelle base nous allons signer ce fameux accord?Est-ce que les crimes d’AGUELHOC resteront impunis?MNLA qui a joue la troika dans cette crise s’en sortira coe ca?
thanks God that as a Big discovery of an importent leakage!
Il est du devoir des Maliens de défendre leur territoire contre des ennemis d’où qu’ils viennent.Le temps n’est plus à la parole mais aux actes.Les négociations de ouagane sont que des leures et il ne faut pas y accorder aucune importance.La France veut des élections d’accord, mais seulement après le départ des terroristes de Kidal.Cette question ne doit pas être négociable.La Farnce doit faire le choix entre la poursuite de la guerre et les élections aux dates annoncées.Ne soyons pas dupes, tant que le cas de Kidal n’est pas réglé, alors à dieu les élections à moins qu’on torpille notre loi fondamentale et les responsables en assumeront les conséquences demain.
PAS D’INTEGRATION DES ELEMENTS TRAITRES DU MNLA ET LA POURSUITE JUDICIAIRE CONTRE CES CRIMINELS QUI ONT EGORGES DES MILITAIRES MALIENS A ANGELHOC QUE LE PEUPLE MALIEN N’A PAS OUBLIE.
Le MNLA,c’est la France point barre sinon comment comprendre leur apparition miraculeuse à Kidal alors qu’ils ont été chassés de tout le nord par les djihadistes du MUJAO et de l’ANSARDINE. Les Maliens pensent que la France est intervenue au Mali pour sauver leur pays mais non ils se trompent car elle est intervenue dans le seul but de protéger ses intérêts dans la région en l’occurrence le site d’extraction de l’uranium au Niger. L’histoire nous dira un jour les vraies raisons de cette intervention.
Une chose est claire: sans l’armée à Kidal, pas d’élection ou bien seuls les candidats avides de pouvoir et leurs proches iront voter. DGSE ou pas , tous les maliens ont compris depuis belle lurette, que le MNLA est soutenu par la France. 😈
BONJOUR MES AMIS ,Comme les femmes ont décidé de marcher sur KIDAL nous les hommes essayons de les accompagner dans cette oeuvr,EN QUOI FAISANT?
1- recrutement de quelques hommes pour les encadrer
2-ressource humaines ,logistique eau repas denrées de première nécessité pour une durée à déterminer…..
3- Le nerf de la Guerre ….collecte de fond gérer par Fatoumata Cire
4- le transport …au moins que les transporteur mettent à la disposition des cars et LES PÉTROLIERS du carburant
5-TENIR LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE UNE RÉUNION DE COORDINATION ..D INFORMATION… DE SENSIBILISATION DE LA POPULATION. DES OBJECTIFS DES FEMMES
STOP
LIBÉRONS LE NORD LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE LA FRANCE QUAND À ELLE DOIT FAIRE SON CHOIX ET NE PAS FAIRE DE TAMPON ………
NOS ENCOURAGEMENTS À NOS MÈRES TANTES SŒURS FILLES COUSINES POUR CETTE INITIATIVE
POUR UN MALI UN ET INDIVISIBLE
NB: Nous demandons une certaine clarification aux français pour cette attitude antidémocratique et ségrégationniste
Donc seul les femmes ont des couilles au Mali… et les hommes doivent les encadrer ??? Mais elles n’ont pas besoin des hommes elles pour savoir ce qu’elles veulent faire.
Pas de prime à l’impunité le MNLA est et restera l’ennemi numéro un des maliens.
Tous les Maliens doivent defendre le Mali jusqu’à la mort.
Les Maliens derrière leur armée.
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