OUAGADOUGOU, Voici les principaux points d’achoppement dans les négociations menées depuis le 8 juin à Ouagadougou par le pouvoir malien et les rebelles touareg contrôlant Kidal, dans le nord du Mali, qui n’ont toujours pas débouché sur un accord:
RETOUR DE L’ARMEE, SORT DES REBELLES
L’enjeu des discussions, qui se tiennent sous l’égide de la médiation burkinabè, est de permettre le retour de l’armée malienne dans la zone de Kidal en vue de la présidentielle du 28 juillet. S’y sont installés fin janvier les rebelles touareg à la faveur de l’intervention militaire française contre les groupes jihadistes qui occupaient le nord du Mali depuis 2012.
Ces derniers jours, Bamako a réclamé que les soldats maliens reviennent au plus vite à Kidal et procèdent aussitôt au désarmement des combattants touareg.
Mais la délégation conjointe touareg du Mouvement national de libération de Azawad (MNLA) et du Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) s’oppose à un désarmement dans ces conditions. Et les médiateurs font valoir qu’un désarmement est une oeuvre de longue haleine, qui doit s’inscrire dans un processus DDR (désarmement, démobilisation, réinsertion).
La solution retenue dans le dernier projet d’accord, sur lequel les autorités maliennes proposent des amendements, prévoyait donc dans un premier temps un cantonnement des combattants touareg sur des sites de regroupement identifiés. Un désarmement ne serait défini et mis en oeuvre que plus tard.
Un point fait au moins l’unanimité: les soldats maliens seront appuyés à Kidal par la future mission onusienne (Minusma), qui absorbera la force africaine déjà présente dans le pays (Misma).
MANDATS D’ARRET
Des responsables du MNLA et du HCUA, dont certains participent aux discussions en cours dans la capitale du Burkina Faso, sont visés par des mandats d’arrêt de la justice malienne.
Bamako a refusé la semaine dernière de suspendre ces poursuites judiciaires, au nom de l’indépendance de la justice. Mais la médiation a appelé le pouvoir malien à faire des gestes “de nature à créer la confiance” et “décrisper l’atmosphère”.
AUTRES GROUPES ARMES
La délégation de Bamako, conduite par l’ancien ministre Tiébilé Dramé, a aussi demandé à plusieurs reprises que d’autres mouvements armés non-touareg soient impliqués dans les discussions, comme le Mouvement arabe de l’Azawad (MAA) et les milices d’autodéfense Ganda Koy et Ganda Iso (loyalistes).
Ces groupes n’ayant pas d’ancrage à Kidal, les négociateurs ont refusé de les inviter à la table des discussions. Selon la médiation, ils trouveront leur place dans le “dialogue inclusif” qu’engageront les nouvelles autorités légitimes installées après la présidentielle en vue d’un règlement global de la crise dans le nord du Mali.
roh-tmo/sba
IL N’y plus de site ils ont tous détruit l’armee garde partout.
1 Pas le nom de Azawad le mali est un et indivisible.
2 les bandits rebelles seront totalement désarmees, tous les maliens st égaux les rebelles n’ont travaillé à la sueur de leur front,ils st 1er en trahision ils n’ont rien a dire il ne faut pas les écouter.tous les maliens se presentent au concour.
3 Pr qu’on annule les madats d’arret : ils faut que les rebelles paye les euros que le mali doit payer.
Mais Blaise il na qu’a transferé les rebelles chez lui à OUAGA ET LEUR DONNER LA NATIONNALITE DE ouaga.
MR DIONGOUDA NE TRAHI PAS LA NATION LE MALI VOUS SOUTIENT.
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Pas d’impunité et la justice doit suivre son cours et les rebelles doivent désarmer sans condition.Dioncounda, il faut tenir malgré la mise à contribution des chefs d’Etats voisins.Aucun d’eux, à notre place, n’accepteraient une telle condition.Il est temps de marcher sur Kidal.
La justice est obligatoire sa n’a rien avoir avec le gouvernement et partout dans le monde la justice est indépendante surtout que pour redresser notre pays on prend l’exemple sur les grands pays développés et j’apprécie leurs justices donc le mali a intérêt a imiter ces pays qui sont sur la bonne voie. .avec tout ce qui s’est passé dans le nord du mali voyons la réalité sans justice est ce normal? Les gens ont été trop trop violés de leurs droits surtout les femmes et vraiment respectons ces femmes qui ont eux très mal.
Aucune nation serieuse n’accepterait un groupe armé sur son territoire, il faut demander à Blaise compaore de les acceuillire au Burkina avec les armes, le cas échéan la France peut les transportes dans les C17 avec armes et bagages , la carte de refugiés à la main, il ya la place entre Bastia et Ajaccio pour Bilal afin il echapperons à la justice.
Merci la France, merci le Burkina pour votre collaboration.
dioungounda il faut pas trahir le mali vous avez le peuple derrière vous
dioungounda il faut trahir le mali vous avez le peuple derrière vous
Le desarmement du MNLA n’est pas negociable! Il doit desarmer immediatement. Des arrangements peuvent etre faits pour ne pas permettre aux Forces Arme’es maliennes de s’approcher des sites. La protection desdits sites peut etre confie’e aux forces francaises et/ou onusiennes!
LA JUSTICE DOIT CONTINUER SON TRAVAIL PAR RESPECT POUR NOS MERES ET NOS SOEURS QUI ONT ETE’ VIOLE’ES, NOS 400 000 COMPATRIOTES QUI SONT DEVENUS DES REFUGIE’S, LA JUSTICE INSULTE’E, PIETINE’E ET BAFOUE’E PAR L’APPLICATION DE LA CHARIA (LEUR CHARIA) DANS UN PAYS QUI SE VANTE DE SA LAICITE’! LES MALIENNES ET LES MALIENS QUI ONT COMMIS CES ATROCITE’S CONTRE LEURS PROPRE PAYS ET LEURS PROPRES COMPATRIOTES EN S’ASSOCIANT AVEC DES ETRANGERS CRIMINELS ET TERRORISTES, DOIVENT REPONDRE DE LEURS CRIMES! Ceux qui seront reconnus coupables peuvent beneficier d’une grace presidentielle si telle est la volonte’ du president!
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