Désordre dans le milieu scolaire: armes blanches et à feu au lieu des cahiers et stylos, étudiants éternels vivant dans les campus, grèves interminables des enseignants, notes sexuellement transmissibles. Après, on s’étonne que les enfants soient en manque d’éducation. Qui les a éduqués, si les éducateurs eux-mêmes sont de l’espèce des cancres ?
Désordre dans la sphère religieuse : imams qui ne savent même pas lire deux lignes du Coran, et dont beaucoup sont des délinquants ou des recalés de la vie. Construction anarchique des mosquées. Propagande de l’intolérance et de la violence. On se souhaite bon Jumah. Les prières du vendredi se transforment en meetings politiques, si bien que les mosquées ne sont plus des maisons de Dieu, mais celles de l’expression de toutes les sottises maliennes.
Désordre sur la scène politique. La bouche partout, mais les ventres devant d’abord. Presque chaque homme politique veut avoir à ses côtés son petit griot pour le prix du thé ou son petit journaliste pour le prix de condiments, qui prennent sa défense en cas de critique, qu’elle soit fondée ou non. L’essentiel est de faire savoir à tous qu’il n’est pas à attaquer. Des hommes politiques, comme des bébés, qui ne savent pas se défendre eux-mêmes. Ils ont mis la médiocrité et la flagornerie dans tout. Des partis politiques, (au nombre de 200, imaginons !) constitués d’un seul homme ou de quelques amis, sans aucune base électorale, rien que le récépissé en poche. Après, on se fait une piètre liste de personnalités influentes du pays ou de cavaliers sans chevaux, en se décernant des «médailles de Nègre » ou des diplômes dignes d’être utilisés comme papier hygiénique. Influence en quoi et sur quoi, alors que tout est mauvais ? La bêtise, c’est aussi de prendre son ombre pour son frère jumeau !
Désordre dans les finances publiques : Ça vole sans scrupules. Et plus ça vole, plus ça devient chevalier du désordre national ! Les millions et milliards disparaissent, les bandits en col blanc trinquent sans être inquiétés. 5- Désordre dans la justice: procureurs mafieux qui couvrent les crimes, inspecteurs malhonnêtes, policiers qui se vendent à 500 ou mille francs. Même les moutons du pays sont plus chers!
Désordre dans la culture. On ne chante plus, on se « clashe ». Ça fait la propagande des drogues et de l’alcool, de la chicha devenue symbole de l’aisance et du je-m’en-foutisme. Azala, Azala de toutes les merdes possibles ! Chaque milieu est une république à part, avec ses lois et ses caprices, tous terriblement gonflés sur une fausse fierté, comme des ballons que l’ennemi crève sans aucun effort à notre insu, pendant que nous sommes à bord de notre « bateau ivre ». Le Mali, en fait, pour eux tous, n’est que des paires de chaussures qu’ils portent pour marcher sur la tête des Maliens qui prêtent volontiers leurs crânes à toutes les manipulations. La démence, c’est de vouloir que le baobab donne des pommes. Des républiques de cancres qui ne peuvent que descendre dans les rocs des fosses des Mariannes !
Sékou Kyassou Diallo
C’est bien ça le Maliba qu’on a aujourd’hui. Et! Le plus grand probleme qui s’ajoute a notre incapacité absolue a s’auto gérer: notre taux de natalité époustouflant! On a même pas besoins des statistiques pour le voir a l’œil nu. Normalement, dans un pays du serieux où les choses sont rigoureusement organisées, notre taux de natalité actuel serait un avantage économique inestimable…(productivité, ressource humaine etc..). Mais hélas la dissonance est qu’il s’agit d’un pays hautement mal géré (corruption administrative, injustice sociale, analphabétisme, culture de mediocrite et d’arrangements sociaux …basée sur le mensonge, griot-isme, fierté et auto glorification mal placées) face a un taux de natalité élevé = PROBLÈMES. L’une de preuves de cette dissonance bio-sociale est notre taux de mortalité infantile qui parmi les 10 les plus élevés au monde….c’est a dire plus on a des enfants plus ils meurent.., de même pour le nombre des enfants mal nutris (10%), de même pour le taux mortalité maternelle (parmi les 14 premiers au monde), de même pour le nombre des enfants abandonnés a la rue dans mendicité (exploités des maitres criminels dits coraniques et d’autres adultes criminels dits parents). Il surfit juste de faire une promenade dans les bas quartiers urbains pour se rendre compte que les chèvres s’occuperaient mieux de leurs enfants que certains maliens. A chaque carrefour ce sont des groupes de petits enfants qui divaguent entre tas de poubelles et les eaux usées…. souvent les parents ne savent même pas ou se trouvent ces enfants.
C’est bien ça le Maliba qu’on a aujourd’hui. Et! Le plus grand probleme qui s’ajoute a notre incapacité absolue a d’auto gérer: notre taux de natalité époustouflant! On a pas même de statistiques pour le voir. Normalement dans un pays du serieux où les choses sont rigoureusement organisée, notre taux de natalité actuel serait un avantage économique inestimable…(productivité, ressource humaine etc..). Mais hélas la dissonance est qu’il s’agit d’un pays hautement mal géré (corruption administrative, injustice sociale, analphabétisme, culture de mediocrite et d’arrangements sociaux ….basée sur le mensonge, griot-isme, fierté et auto glorification mal placées) face a un taux de natalité élevé = PROBLÈMES. L’une de preuves de cette dissonance bio-sociale est notre taux de mortalité infantile qui parmi les 10 les plus élevés au monde….c’est a dire plus on a des enfants plus ils meurent.., de même pour le nombre des enfants mal nutris (10%), de même pour le taux mortalité maternelle (parmi les 14 premier au monde), de même pour le nombre des enfants abandonnés a la rue dans mendicité (exploités des maitres criminels dits coraniques et d’autres adultes criminels dits parents). Il surfit juste de faire une promenade dans les bas quartiers urbains pour se rendre compte que les chèvres s’occuperaient mieux de leurs enfants que certains maliens. A chaque carrefour ce sont des groupes de petits enfants qui divaguent entre tas de poubelles et les eaux usées…. souvent les parents ne savent même pas ou se trouvent ces enfants.
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