Les ateliers qui ont réuni à Bamako le gouvernement malien et les groupes armés du nord du Mali, sous l’égide de l’ONU, se sont achevés le 14 février. Les discussions portaient sur le cantonnement des groupes armés. Au cours de la journée, une large frange du Mouvement arabe de l’Azawad a claqué la porte des discussions : en cause, la présence de personnalités se présentant également sous l’étiquette MAA, mais qui sont accusées de servir les intérêts de l’Etat malien.
« Si le problème n’est pas réglé dans quelques jours, affirme leur porte-parole Mohamed el Maouloud Ramadane, nous nous retirerons de l’accord de Ouagadougou et le cessez-le-feu ne nous engagera plus ». « Ils ont raison, affirme Ambery Ag Rhissa, représentant des rebelles touaregs du MNLA. Certains représentants du MAA ne sont pas des rebelles, affirme-t-il, mais des officiels de l’Etat malien. Nous soutenons la démarche des protestataires, mais nous pensons qu’une issue sera trouvée ».
Le MNLA se dit donc solidaire, mais refuse la politique de la chaise vide. Tout comme le MNLA, le Haut conseil de l’Azawad veut croire dans l’avancée du dialogue. Ce qui n’empêche pas le colonel Hassane Almeidy de rappeler sa position : l’Etat malien doit respecter l’accord d’Ouagadougou, signé en juin dernier. Pas question de déposer les armes avant de négocier :
« Il n’est pas question d’abandonner les armes avant l’accord final. C’est très clair, c’est prévu dans les accords. Jusqu’à preuve du contraire, nous sommes régis par un accord. Les engagements sont les engagements. Nous l’avons tous signé. Nous sommes aujourd’hui dans l’obligation de le faire appliquer ».
Abderramane Maïga est l’un des vice-présidents de la CMFPR. Un groupement de milices d’auto-défense proches de l’Etat malien. D’où une large confiance dans la satisfaction de ses revendications sur le cantonnement des combattants.
Il déclare : « Les sites ne sont pas formellement identifiés. Donc il va falloir aujourd’hui que nous fassions des propositions de sites de cantonnement. Et à partir de là, nous allons nous battre pour voir qu’est-ce qu’il faut comme mesures de cantonnement, qu’est-ce qu’il faut comme ressources pour que ce cantonnement soit effectif parce que nous souhaiterions être cantonnés auprès de nos différentes populations pour le cantonnement de nos hommes ».
Les discussions doivent encore se poursuivre pendant le week-end, de manière plus officieuse.
Sur le terrain
Le Mujao, Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest, a revendiqué le tir des roquettes le 14 février en direction de l’aéroport de Gao. « Les attaques vont continuer contre les ennemis de l’Islam», déclare le mouvement dans un appel téléphonique à l’AFP. Ces nouveaux tirs de roquettes arrivent au moment où s’installe un nouveau gouverneur.
Pour la première fois depuis au moins 20 ans, la région de Gao sera dirigée par un civil Oumar Baba Sidibé. Il était jusque là directeur de cabinet du gouverneur de Ségou. Ce changement de gouverneur était une revendication des populations de Gao comme l’explique le journaliste de radio Anya à Gao, Kader Touré.
Tous ces enturbannes on pour profession “REBELLE”.C’est tout simplement honteux!That is the best they can do in this world!Shame,Shame, shame.
😆 LES POSTES QUI CHOQUENT http://www.youtube.com/watch?v=kWjje0MFHO4 😆
ALT, étant aux USA et en parlant comme vous faites, vous paraissez ignorer totalement les réalités Maliennes…..
IBK perd son temps en négociant avec ces bandits. Ils signeront un accord le lundi ,le mardi les mêmes personnes vont prendre un nouveau nom pour continuer à revendiquer. Le problème du nord n’a pas de solution. Il faut seulement se doter d’une armée capable de protéger les personnes et leur biens.
Mr le President assez de nogociation avec ces enfants maudits du desert
Mr le President ces nogociations avec ces enfant maudits du desert ont commence bien avant que vous soyez a l’ecole ( mes respects)
Mr le president ces enfants maudits du desert ont eu suffisament le temps de reflichir afin de venir a la raison sinon cette negociation a debuter par le pere fodateur
Mr le President il est d’agir et finir cette fois avec cette histoire
ALT, étant aux USA et en parlant que vous le faites, vous paraissez ignorer totalement les réalités Maliennes…..
(Ce qui n’empêche pas le colonel Hassane Almeidy de rappeler sa position : l’Etat malien doit respecter l’accord d’Ouagadougou, signé en juin dernier. Pas question de déposer les armes avant de négocier)
Mr le President le Mali est-t-il un pays souverain ou pas?
Mr le President avez le pouvoir supreme ou pas?
Mr le President votre chef du gouvernement a-t-il le pouvoir executif dans sa main ou non?
Mr le President MNLA est-t-il un movement legale ou pas? si oui sous quelle form ? MNLA a-t-il le droit d’oter la vie au citoyen malien innocent et commettre mes massacres sans etre pousuvi par la justice si elle est reellement existante est competante?
Mr le President tient une arme en main est sur une position offensive
Mr le President on ne declare jamais la guerre contre sa patrie
Alors Mr le President qui sont les MNLALIST?
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