Mali: la question du dialogue avec les jihadistes continue de se poser à Farabougou

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Au Mali, la situation est calme à Farabougou, village du centre du pays, dans la région de Ségou, où les forces spéciales maliennes sont entrées en fin de semaine dernière après plus de deux semaines de blocus jihadiste. Sur place, des notables locaux avaient entrepris une médiation avec les jihadistes qui encerclaient le village et qui sont toujours présents dans les alentours. Cette médiation a subi un coup d’arrêt avec l’arrivée des forces maliennes, mais les médiateurs poursuivent néanmoins leurs efforts.

Les contacts directs entre l’équipe de médiation et les combattants jihadistes sont suspendus depuis que les militaires maliens ont pris pied à Farabougou. Cependant, les élus locaux, chefs traditionnels et responsables communautaires et religieux de la zone restent mobilisés pour obtenir un règlement définitif et pacifique de la situation.

Pendant le week-end, des assemblées ont eu lieu entre ces acteurs, issus de diverses localités de la zone, qui ont arrêté de nouvelles propositions. En substance, selon plusieurs sources au sein de cette médiation, il s’agit d’acter la levée du blocus imposé par les jihadistes. En dépit de la présence des forces maliennes, les habitants de Farabougou n’osent toujours pas sortir du village.

Il s’agit également d’obtenir la restitution des têtes de bétail volées, en échange d’un engagement des chasseurs traditionnels dozos de Farabougou à ne pas prendre les armes.

Favoriser les discussions

Ces propositions doivent à présent être transmises aux jihadistes, ce qui s’avère compliqué en raison de la présence des forces maliennes dans la zone qui s’en méfient évidemment. Mais le vice-président de la Transition, le colonel Assimi Goita, qui s’est personnellement rendu en fin de semaine dernièr, à Farabougou où il a rencontré des chefs religieux et coutumiers, a expliqué vouloir favoriser les discussions, afin de trouver « une solution durable à cette crise » qualifiée d’ « intercommunautaire », l’armée malienne se chargeant de la « menace terroriste ».

Pendant le week-end, l’armée n’a fait état d’aucune action coup de poing. Les militaires continuent de protéger Farabougou avec, dorénavant, le « soutien logistique » de la Minusma, la Mission des Nations unies dans le pays, qui a contribué à du transport de troupes.

Source: https://www.rfi.fr/fr/afrique

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9 COMMENTAIRES

  1. Mali : ATTENTION, risque d’ENLISEMENT prolongé de l’armée (évitons qu’elle soit prise en otage par l’inaction et en la réduisant juste a l’humanitaire), IL PEUT Y AVOIR D’AUTRES TYPES de Farabougou ou d’OGOSSAGOU, Prévenir au lieu de guérir.

    Bonjour,
    L’attaque terroriste et la séquestration de Farabougou étaient prévisibles.
    En effet, l’impunité suite principalement aux deux attaques d’Ogossagou et suite aussi à d’autres attaques au centre est la CAUSE directe de l’attaque de Farabougou et de la séquestration associée.

    Le 16 février 2020, en tant que débatteur sur Africable, débat du dimanche, j’avais dit que si suite à l’attaque du 14 février 2020, deuxième attaque d’Ogossagou, les sanctions ne sont pas infligées aux auteurs, il y aura d’autres types d’Ogossagou. Le cas de Farabougou est induit par l’impunité suite, entres autres, aux attaques d’Ogossagou.

    Qui est responsable ?

    La milice Dan Nan Ambassagou était pointée du doigt par les enquêtes, en particulier celles de la Minusma, de HRW et du gouvernement mais n’a pas été sanctionnée malgré qu’elle soit frappée d’une dissolution prononcée par le gouvernement qui n’a jamais eu lieu.
    La milice partenaire du gouvernement de SBM/IBK n’a jamais été inquiétée. Le gouvernement Boubou Cissé a essayé de la contrecarrer sans résultat. Depuis le coup d’état, elle a essayé d’intimidation à intimidation de se faire parrainer par les FAMAs : elle a même stipulé et menacé qu’elle risque d’aller en dissidence comme la CMA. Comme le gouvernement ne réagit pas à Ça, qui pourrait être considéré comme des provocations, elle réveille, aidée, par des forces obscures, les vieux affrontements intercommunautaires, Peuls-Dogons (Dozos)/Bambaras comme allibi pour causer des affrontements dans certains villages ou communes OU pour occuper certains villages ou communes. C’est le cas des affrontements intercommunautaires à Farabougou où les Peulhs se sont faits aidés par les djihadistes d’Amadou Kouffa. D’où l’occupation de Farabougou par ces djihadistes pendant au moins 17 jours.

    En ayant agi pour libérer Farabougou, c’est comme si le gouvernement a opté pour aider les Peulhs or il avait refusé, implicitement, malgré les menaces à la dissidence, l’aide à la milice Dan Nan Ambassagou (qui est du côté des Dogons et Bambaras).

    Le problème est donc compliqué, il faut rendre possible les discussions pour mettre durablement à la crise inter-communautaire comme l’a souhaité SEM GOITA DONC, il faut obligatoirement convoquer une concertation intercommunautaire en invitant tous les acteurs pour une SOLUTION IMPARTIALE à équidistance de toutes les communautés, pronée la réconciliation nationale entre f r ères et sœurs des mêmes régions, du même pays. Cette concertation pourra être le prélude à la concertation nationale pour la réconciliation entre Maliens dont un volet doit être dédiée au dialogue avec les djihadistes.

    Agissons vite pour éviter la poursuite de la spirale de révoltes, de l’enlisement de l’armée, empêchée (par les contradictions car doit être impartiale) de faire du contre-terrorisme en la réduisant juste à l’humanitaire et pour que les forces obscures n’aient pas le temps de réagir.

    Évitons qu’il y ait encore d’autres types de Farabougou et d’Ogossagou, en particulier dans les régions de Ségou, Mopti et dans le Nord.

    Bien cordialement

    Dr Anasser Ag Rhissa, expert TIC, Gouvernance et Sécurité,
    TEL 78731461

    • Mali : ATTENTION, risque d’ENLISEMENT prolongé de l’armée (évitons qu’elle soit prise en otage par l’inaction et en la réduisant juste a l’humanitaire), IL PEUT Y AVOIR D’AUTRES TYPES de Farabougou ou d’OGOSSAGOU, Prévenir au lieu de guérir.

      Bonjour,
      L’attaque terroriste et la séquestration de Farabougou étaient prévisibles.
      En effet, l’impunité suite principalement aux deux attaques d’Ogossagou et suite aussi à d’autres attaques au centre est la CAUSE directe de l’attaque de Farabougou et de la séquestration associée.

      Le 16 février 2020, en tant que débatteur sur Africable, débat du dimanche, j’avais dit que si suite à l’attaque du 14 février 2020, deuxième attaque d’Ogossagou, les sanctions ne sont pas infligées aux auteurs, il y aura d’autres types d’Ogossagou. Le cas de Farabougou est induit par l’impunité suite, entres autres, aux attaques d’Ogossagou.

      Qui est responsable ?

      La milice Dan Nan Ambassagou était pointée du doigt par les enquêtes, en particulier celles de la Minusma, de HRW et du gouvernement mais n’a pas été sanctionnée malgré qu’elle soit frappée d’une dissolution prononcée par le gouvernement qui n’a jamais eu lieu.
      La milice partenaire du gouvernement de SBM/IBK n’a jamais été inquiétée. Le gouvernement Boubou Cissé a essayé de la contrecarrer sans résultat. Depuis le coup d’état, elle a essayé d’intimidation à intimidation de se faire parrainer par les FAMAs : elle a même stipulé et menacé qu’elle risque d’aller en dissidence comme la CMA. Comme le gouvernement ne réagit pas à Ça, qui pourrait être considéré comme des provocations, elle réveille, aidée, par des forces obscures, les vieux affrontements intercommunautaires, Peuls-Dogons (Dozos)/Bambaras comme allibi pour causer des affrontements dans certains villages ou communes OU pour occuper certains villages ou communes. C’est le cas des affrontements intercommunautaires à Farabougou où les Peulhs se sont faits aidés par les djihadistes d’Amadou Kouffa. D’où l’occupation de Farabougou par ces djihadistes pendant au moins 17 jours.

      En ayant agi pour libérer Farabougou, c’est comme si le gouvernement a opté pour aider les Peulhs or il avait refusé, implicitement, malgré les menaces à la dissidence, l’aide à la milice Dan Nan Ambassagou (qui est du côté des Dogons et Bambaras).

      Le problème est donc compliqué, il faut rendre possible les discussions pour mettre durablement FIN à la crise inter-communautaire comme l’avait souhaité SEM GOITA DONC, il faut obligatoirement convoquer une concertation intercommunautaire en invitant tous les acteurs pour une SOLUTION IMPARTIALE à équidistance de toutes les communautés, pronée la réconciliation nationale entre f r ères et sœurs des mêmes régions, du même pays. Cette concertation pourra être le prélude à la concertation nationale pour la réconciliation entre Maliens dont un volet doit être dédiée au dialogue avec les djihadistes.

      Agissons vite pour éviter la poursuite de la spirale de révoltes, de l’enlisement de l’armée, empêchée (par les contradictions car doit être impartiale) de faire du contre-terrorisme en la réduisant juste à l’humanitaire et pour que les forces obscures n’aient pas le temps de réagir.

      Évitons qu’il y ait encore d’autres types de Farabougou et d’Ogossagou, en particulier dans les régions de Ségou, Mopti et dans le Nord.

      Bien cordialement

      Dr Anasser Ag Rhissa, expert TIC, Gouvernance et Sécurité,
      TEL 78731461

  2. “Mali: la question du dialogue avec les jihadistes continue de se poser à Farabougou”

    Et voilà qu’une fois de plus, hélas, on ose écrire ou parler sans honte aucune de “DIALOGUE” avec ces malades mentaux assoiffés de sang, que LE RESTE DU MONDE s’emploie à combattre courageusement et…..sans répit !!!😢😢😢

    Chez nous au contraire, ALORS QUE NOUS SOMMES POURTANT LEURS TOUTES 1ERES VICTIMES QUOTIDIENNES DEPUIS 7 ANS (Famas, villageois innocents, simples usagers de la route, etc.) on parle de …… “dialoguer” avec eux!😢

    SI SE DÉGONFLER À CE POINT N’ÉTAIT PAS À MOURIR DE RIRE, CE SERAIT À PLEURER…😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢😢

  3. Nous ne savons pas concrètement les causes du blocus des djihadiste contre ce village. Les informations des autorités Maliennes et celle de la presse Malienne sur ce village sont toutes confuses, voire souvent contradictoires.
    Et la presse Malienne ne fait aucun effort pour aller chercher des informations authentiques à la source, c’est à dire auprès des habitants du village de Farabougou. Tantôt elle nous parle de djihadistes, tantôt de conflit inter communautaire associé aux attaques et menaces terroristes.
    Dans l’un ou l’autre cas, l’armée Malienne doit prendre ses responsabilités et protéger nos populations civiles. En aucune circonstance, un groupe d’individus armés ne doit pas se donner le droit d’attaquer un autre groupe d’individus armés ou non en toute impunité. Il y va de la survie de l’Etat de droit dans notre pays. Il faut que l’Etat s’assume!

  4. All armed groups that take up arms against Malian government are terrorists. If Mali do not make treaties with terrorists as Malian constitution obligate how did peace agreement signed in Algiers come to be legal? It is not legal. More to point concerning recent developments if those who took up arms that signed Algiers agreement are not terrorists then those taking up arms against Malian government as proclaimed jahadist terrorists are as righteous as terrorists that signed Algiers agreement.
    Both conditions defies Malian constitution plus what is legal plus what is valid being that Mali do no make treaties with terrorists. Thus in honesty Algiers agreement is void without one iota of merit plus Malian government should stop pursuing petty trickery of lying about intent to adhere to illegal Algiers treaty. That lie have done as we acknowledged it would do. That is to result to more criminals picking up arms using them against Malian government plus citizens in attempt to have their desires fulfilled by Malian government. Let us get on with managing criminal terrorists jahadists plus all other terrorists including those of Algiers agreement with intent of quickly eradicating terrorists from Mali plus Sahel as whole.
    Work smart Mali. There is little if any life in stupidity.
    Henry Author Price Jr aka Kankan

  5. ” … selon plusieurs sources au sein de cette médiation, il s’agit d’acter la levée du blocus imposé par les jihadistes. En dépit de la présence des forces maliennes, les habitants de Farabougou n’osent toujours pas sortir du village.

    Il s’agit également d’obtenir la restitution des têtes de bétail volées, en échange d’un engagement des chasseurs traditionnels dozos de Farabougou à ne pas prendre les armes…
    … Ces propositions doivent à présent être transmises aux jihadistes, ce qui s’avère compliqué en raison de la présence des forces maliennes dans la zone qui s’en méfient évidemment. Mais le vice-président de la Transition, le colonel Assimi Goita, qui s’est personnellement rendu en fin de semaine dernière, à Farabougou où il a rencontré des chefs religieux et coutumiers, a expliqué vouloir favoriser les discussions, afin de trouver « une solution durable à cette crise » qualifiée d’ « intercommunautaire », l’armée malienne se chargeant de la « menace terroriste »… ” … ///…

    :
    Si c’est une histoire de bétail volé…
    Qu’on leur rende tout simplement leur bétail.
    Si le bétail a déjà été vendu par les voleurs ou que le bétail est abattu. Eh bien qu’on dédommage les propriétaires.
    Qu’on retrouve ces voleurs de bétail et qu’ils répondent de leur acte devant la JUSTICE.

    Que les propriétaires de bétail volé, évitent de se faire justice eux mêmes.

    En voulant se faire justice eux-mêmes, ils risquent de faire des victimes innocentes dans la population qui n’ont rien à se reprocher et qui n’ont rien à voir avec les voleurs de bétail.

    Aussi, que les propriétaires de bétail volé, se présentent plutôt comme de victimes de vol, et non pas comme des djihadistes qui défendraient une cause religieuse.
    En se présentant comme des djihadistes, non seulement ils compliquent la situation, mais en plus ils courent un danger de mort à leur tour. Puisque les FAMa ont pour tache de combattre les djihadistes qui agressent l’ETAT Malien, tout comme les Forces étrangères et les ALLIES des FAMa.
    Concernant les Autorités Maliennes… Présenter cette situation comme un simple conflit intercommunautaire… C’est pas mieux comme posture…
    Nous sommes censés être UN seul PEUPLE, une NATION. C’est un conflit entre Maliens. Qu’il faut examiner les causes, situer les responsabilités des UNS et des AUTRES. Et enfin proposer une solution.
    Quand on nous dit que les FaMa sont entrés dans Farabougou et que des élément sont en position de défendre la Population. Surtout que, on a distribué des vivres à la Population qui manquait d’alimentation. Que les blessés sont pris en charges par les Services sanitaires. En entendant ça, les Maliens se sentent soulagés.
    Mais en réalité, d’après ce qu’on lit ici, le problème n’est toujours pas réglé. Farabougou est toujours cerné par des hommes armés hostiles. Et pas seulement Farabougou, mais aussi d’autres Villages environnant se trouvent sous la menace de ce qui est arrivé aux Habitants de Farabougou. On nous souffle du chaud et du froid. Et on nous donne par moment une ( fausse ) joie.

    Vivement le Mali pour nous tous.

  6. ” … selon plusieurs sources au sein de cette médiation, il s’agit d’acter la levée du blocus imposé par les jihadistes. En dépit de la présence des forces maliennes, les habitants de Farabougou n’osent toujours pas sortir du village.

    Il s’agit également d’obtenir la restitution des têtes de bétail volées, en échange d’un engagement des chasseurs traditionnels dozos de Farabougou à ne pas prendre les armes…
    … Ces propositions doivent à présent être transmises aux jihadistes, ce qui s’avère compliqué en raison de la présence des forces maliennes dans la zone qui s’en méfient évidemment. Mais le vice-président de la Transition, le colonel Assimi Goita, qui s’est personnellement rendu en fin de semaine dernière, à Farabougou où il a rencontré des chefs religieux et coutumiers, a expliqué vouloir favoriser les discussions, afin de trouver « une solution durable à cette crise » qualifiée d’ « intercommunautaire », l’armée malienne se chargeant de la « menace terroriste »… ” … ///…

    :
    Si c’est une histoire de bétail volé…
    Qu’on leur rende tout simplement leur bétail.
    Si le bétail a déjà été vendu par les voleurs ou que le bétail est abattu. Eh bien qu’on dédommage les propriétaires.
    Qu’on retrouve ces voleurs de bétail et qu’ils répondent de leur acte devant la JUSTICE.

    Que les propriétaires de bétail volé, évitent de se faire justice eux mêmes.

    En voulant se faire justice eux-mêmes, ils risquent de faire des victimes innocentes dans la population qui n’ont rien à se reprocher et qui n’ont rien à voir avec les voleurs de bétail.

    Aussi, que les propriétaires de bétail volé, se présentent plutôt comme de victimes de vol, et non pas comme des djihadistes qui défendraient une cause religieuse.
    En se présentant comme des djihadistes, non seulement ils compliquent la situation, mais en plus ils courent un danger de mort à leur tour. Puisque les FAMa ont pour tache de combattre les djihadistes qui agressent l’ETAT Malien, tout comme les Forces étrangères et les ALLIES des FAMa.
    Concernant les Autorités Maliennes… Présenter cette situation comme un simple conflit intercommunautaire… C’est pas mieux comme posture…
    Nous sommes censés être UN seul PEUPLE, une NATION. C’est un conflit entre Malien. Qu’il faut examiner les causes, situer les responsabilités des UNS et des AUTRES. Et enfin proposer une solution.
    Quand on nous dit que les FaMa sont entrés dans Farabougou et que des élément sont en position de défendre la Population. Surtout que, on a distribué des vivres à la Population qui manquait d’alimentation. Que les blessés sont pris en charges par les Services sanitaires. En entendant ça, les Maliens se sentent soulagés.
    Mais en réalité, d’après ce qu’on lit ici, le problème n’est toujours pas réglé. Farabougou est toujours cerné par des hommes armés hostiles. Et pas seulement Farabougou, aussi d’autres Villages environnant se trouvent sous la menace de ce qui arrivé aux Habitant de Farabougou. On nous souffle du chaud et du froid. Et on nous par moment une ( fausse ) joie.

    Vivement le Mali pour nous tous.

  7. Donc, je comprends deux choses mêmes si elles n’ont été dites clairement:
    1. Les peulhs ont volé du bétail des bambara (comme d’habitudes);
    2. Les bambara ont tué un peulh;
    3. Les peulhs ont fait appel à leurs frères djihadistes;
    4. Les bambara dozos (comme au pays dogon) ont tenté de s’opposer aux djihadistes;
    5. Comme ils sont peu nombreux et sous-équipés, ils ne font pas le poids devant les djihadistes;
    6. Les djihadistes, pour empêcher la répétition de ceux qui se passe au pays dogon, veulent dissuader les dozos bambara en imposant un blocus total sur le village (saufs les peulhs);
    7. Les Famas interviennent pour débloquer la situation.

    Action sur la gâchette: Vol de bétail par les peuls

    • Nous ne savons pas s’il y avait un seul coup de feu tire et combien de jihadistes ont ete arretes ou tues? La situation reste inconnue, obscure et nous ne comprenons rien dedans!

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