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Mali. Des raids aériens français après l’attaque qui a fait plus de 30 morts dans les rangs maliens

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Une trentaine de soldats maliens ont péri, lundi 15 mars, lors d’une embuscade djihadiste dans l’est du pays. Mardi, les forces françaises ont frappé dans ce même secteur.

Lundi, au Mali, une force de réaction rapide de l’opération française Barkhane est intervenue sur le site de la sanglante embuscade qui a fait 33 morts dans les rangs des forces armées maliennes. Mais les hélicoptères français n’ont alors engagé aucune cible ennemie.

En revanche, mardi, deux frappes aériennes françaises ont eu lieu dans ce même secteur, à une vingtaine de kilomètres de Tessit où a eu lieu l’embuscade contre le convoi malien, dans l’est du pays. La première frappe aérienne a été suivie, trois heures plus tard, d’une seconde frappe puis d’un raid lancé par deux hélicoptères Tigre. Le bilan communiqué par l’EMA français fait état d’un groupe armé terroriste détruit. Des motos ont aussi été détruites.

Un secteur plutôt considéré comme le champ d’action de l’EI

Ces frappes françaises font suite à l’attaque de lundi, menée en milieu de journée contre la relève du poste de Tessit, au sud-ouest d’Ansongo. La relève est tombée dans une embuscade tendue par une centaine d’hommes à bord de pick-up et sur des motos. Le secteur d’Ansongo est considéré plutôt comme le champ d’action de l’État islamique.

Un premier bilan malien faisait état de 11 morts mais l’état-major a ensuite diffusé les noms des 33 tués (dont deux officiers) et de 14 blessés. Les assaillants auraient perdu une vingtaine d’hommes.

D’autres sources maliennes faisaient état, mercredi après-midi, de 40 morts dans les rangs des forces gouvernementales.

SOURCE: https://www.ouest-france.fr/

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8 COMMENTAIRES

  1. Au Mali, il ne semble pas y avoir de coalition contre le terroriste, la plupart de ceux qui le disent sont des faux-culs.

    Barkhane ne combat pas les vrais commanditaires des attaques terroristes. La France affaiblit plutôt les ennemis des vrais commanditaires terroristes contre notre pays. Lorsque les vrais commanditaires attaquent ou se déplacent, il n’y aura jamais de réaction de Barkhane.

    Et la Minusma n’en parlons pas. On a tous fait le deuil de l’espoir qu’avait suscité l’arrivée de cette mission internationale.

    Et le G5 sahel est mort né. Pendant plus de 5 ans, le G5 sahel n’a pu être équipé en matériels conséquents. L’ONU a refusé de lui accorder son soutien militaire.

    Et la chaine de commandement des FaMas est gérée avec une légèreté hors-norme. Ils préfèrent tendre la sébile pour réclamer les aides extérieures sans prendre la mesure de leur propre responsabilité.

    Cette zone doit être sous contrôle total de l’armée malienne. Cette zone est l’épicentre de toutes les activités criminelles ( trafics d’armes, drogues, entraînement des djihadistes, vols, braquages…).
    Aucune présence de groupes armés ne doit être tolérée.

    Il faut agir maintenant.

    • Personne ne quittera le NORD car nous sommes chez nous et on y restera jusqu’à la mort.

      Il faut avoir un peu de respect envers ceux (soldats et populations) qui se battent nuit et jour pour défendre notre pays au risque de leur vie en laissant femme, enfant, amis et parents derrière eux.

      L’ennemi ne gagnera pas. La mort sera notre rédemption.

      Sous-Lieutenant Moussa S. D.
      Au revoir.

  2. Il serait grand temps d’éjecter ces français, depuis le temps qu’ils occupent la région, ils n’ont de cesse dégradé la situation tout comme ils ont dégradé la situation en Syrie et dans beaucoup d’autres endroits ailleurs!

    C’est cette PRÉSENCE de cette FRANCE qui ENGENDRE cette violence et ce désordre, la position de Paris est tellement à proximité de ces racailles!

  3. LE MALI NE SE PASSERA PAS DE LA GUERRE CIVILE A LA RWANDAISE!
    TANT QUE LES FRANCAIS SONT AU MALI, L ETAT MALIEN RESTERA FAIBLE FACE AUX FILS DE CHIENNES ARABO-MUSULMANES, LES DJIHADISTES!

  4. Agissons vite et synchronisons les deux actions, la négociation (sous le leadership de l’ONU et du Mali) et l’aspect militaire (sous le leadership des FAMAs avec l’aide de nos partenaires).

    EXPLIQUEs TOI, COMMENT L ETAT MALIEN NEGOCIERAIT AVEC LES DJIHADISTES A TRAVERS L ONU, C EST RECONNAITRE DIPLOMATIQUEMENT CES CHIENS FILS DE CHIENNES?

    Cette fois-ci, c’est la limite pour agir : je rappelle, pour éviter une déstabilisation prolongée de la transition et du Mali, le plus tôt sera le mieux.

    QUOI?….

  5. Vous n’avez rien vu encore. Continuer à croire au prétendu soutien de la France. L’enfer pour les soldats maliens planifié par cette traite France appuyée par les américains et tous les pays fascistes de l’,UE.

  6. Cette fois-ci, c’est la limite pour agir : je rappelle, pour éviter une déstabilisation prolongée de la transition et du Mali, le plus tôt sera le mieux.

    Mon appel (plusieurs fois de suite) à la gouvernance de la transition et aux partenaires pour éviter la déstabilisation prolongée de la transition et du Mali par des djihadistes et non par coup d’État.

    Bonjour,

    La situation à Farabougou, dans tout le cercle de Niono (région de Ségou), dans le pays Dogon et progressivement dans la région de Mopti, n’est plus tenable du point de vue sécuritaire malgré le fait que la deuxième priorité de la Minusma soit la protection des personnes et de leurs biens au centre et l’appui du Mali pour la mise en œuvre du Plan de Sécurisation, PSIR, Intégré des Régions du Centre.

    Le nord et le sud du Mali ne sont pas en reste.

    Au Mali, en plus de l’hécatombe induite, les besoins humanitaires se sont multipliés.

    Le média, Le soir de Bamako, a raison, incontestablement, un plan de déstabilisation de la transition et du Mali est en train d’être mis en œuvre.

    Par qui ? Pourquoi ?

    Les djihadistes, aidés par des forces invisibles, exécutent ce plan de déstabilisation.

    Que faire ?

    Sachant que le statuquo n’est plus tenable, deux solutions sont maintenant envisageables :

    (1) les FAMAs et la Coalition des forces partenaires du Mali s’organisent pour agir en liaison avec l’ICMM (Initiative de commandement Militaire au Mali) sous le leadership de la Minusma sans oublier les populations locales (qu’il faut impliquer et protéger) ou bien

    (2) une négociation globale sous l’égide de l’ONU s’ouvre urgemment en demandant une trêve et un retrait des djihadistes pour cette négociation.

    La première solution, les FAMAs et la coalition des forces partenaires sous l’égide des FAMAs et de la Minusma (ICMM) se battront contre les djihadistes tout en protégeant les populations. Les civils et les communautés constituent une force à part entière qui collabore avec les autres forces.

    J’avais fait au Mali, au G5 Sahel et à la coalition pour le Sahel une proposition de stratégie inclusive et collective de lutte contre le terrorisme qui va dans ce sens,

    La deuxième solution, la négociation, aura lieu sous l’égide de l’ONU et du haut
    représentant du chef de l’état Malien pour la mise en œuvre de l’accord de paix aidé par les forces vives Maliennes (societé civile, religieux, ….) mais pas les FAMAs (les FAMAs sont mal placées pour négocier, le cas de Farabougou l’a démontré).

    Finalement, nous avons deux entités, une qui négocie (en liaison avec l’ONU, l’institution du haut représentant du chef de l’état pour la mise en œuvre de l’accord de paix aidée par le ministère de la réconciliation nationale, le CNCA, les forces vives) et une entité qui fait la guerre (les FAMAs aidées par les partenaires).

    Bien sûr, qu’il y a communication et synchronisation entre ces entités.

    On doit profiter de la trêve d’un mois découlant du cessez-le-feu négocié par le Haut conseil islamique, entre les dozos et les djihadistes, pour contacter l’ONU afin qu’elle pilote en liaison avec le Mali, les négociations avec les djihadistes en associant le haut conseil islamique et Mahmoud Dicko.

    Si l’ONU ne pilote pas la négociation avec les djihadistes en liaison avec le Mali, la situation va s’envenimer (pour aboutir au pire) entre l’armée Malienne (les djihadistes lui ont donné un ultimatum d’un mois pour quitter Farabougou) et les djihadistes.

    Agissons vite et synchronisons les deux actions, la négociation (sous le leadership de l’ONU et du Mali) et l’aspect militaire (sous le leadership des FAMAs avec l’aide de nos partenaires).

    Cette fois-ci, c’est la limite pour agir : je rappelle, pour éviter une déstabilisation prolongée de la transition et du Mali, le plus tôt sera le mieux.

    Dr Anasser Ag Rhissa
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    TEL au Mali : 78731461

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