Au lieu d’être cantonnés et désarmés, ces groupes et leurs alliés terroristes continuent de défier l’Etat (attaques contre les forces de défense et de sécurité, harcèlement des populations restées fidèles à la Républiques, profération des messages de haines, etc…).
Le nouveau Président de la République Ibrahim Boubacar Keïta en personne a fini par reconnaitre que la situation à Kidal est inadmissible et intolérable !
Alors, que faire ?
Que disent les partenaires et amis du Mali face à ces violations répétées des accords de Ougadougou et des différentes résolutions des Nations Unies sur le sujet ?
Comment peut-on laisser un groupuscule d’individus défier une nation toute entière ?
Face à ces constats et interrogations, le Collectif des Maliens de la Diaspora interpelle la Communauté internationale et invite le gouvernement du Mali à lier l’acte à la parole, c’est-à-dire : désarmer sans délai ces groupes et assoir l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du territoire national, afin que les auteurs de crimes et exactions rendent compte devant la justice !
Le Collectif des Maliens de la Diaspora n’aura de cesse de répéter que laisser subsister un seul groupe armé c’est, à coup sûr, enraciner le terrorisme, les prises d’otages et la criminalité dans cette zone.
Aussi, au lieu que le gouvernement s‘enferme dans un « tête à tête » sans issue avec ces irrédentistes, le Collectif des Maliens de la Diaspora recommande aux autorités maliennes de rester plutôt davantage à l’écoute de l’immense majorité de nos compatriotes (songhaïs, touaregs, peuhls, arabes, …) attachées à la République et n’aspirant qu’à vivre dans la paix et la sécurité. C’est avec ceux-là, pour qui la décentralisation a un sens, que doit être discuté l’avenir de nos régions au nord de notre pays.
Enfin, le Collectif des Maliens de la Diaspora appelle les autorités maliennes à traduire dans les faits la lutte contre l’impunité et pour le respect de l’indépendance de la justice. La justice ne saurait être sacrifiée sous aucun prétexte, surtout pas pour la conclusion d’une hypothétique paix avec des individus qui ne respectent jamais leur parole et qui changent de revendication tous les jours.
Pour un MALI nouveau, un et indivisible !
Genève, Le 30 octobre 2013
Pour le Collectif
COLLECTIF DES MALIENS DE LA DIASPORA
malidiaspora@gmail.com
www.malidiasporavoice.com
IL N’YA PAS DE GROUPE ARMé A KIDAL,LE SEUL C’EST LA FORCE SERVEL(composé de français et touarègs)ET LEURS MISSION N’est LA SECURITé,MAIS UN MAXIMUM DE DESORDRE ET DE DIVISION….
IBK
Mon gouvernement a choisi l’option stratégique de la paix et du dialogue. Notre peuple rejette les fracas des armes, il veut une solution durable et définitive de la crise qui secoue le Nord du pays. Nous rechercherons inlassablement la paix. »
LES RÉALITÉS DU TERRAIN. Puisque le Mali a opté pour le dialogue, le président de la République a réitéré son invite aux pourparlers. Mais il y a un préalable à respecter absolument. « J’invite une fois de plus les groupes armés à déposer les armes sans délai et à venir s’asseoir à la table de la négociation aux côtés de leurs frères et sœurs. Il n’y a pas de problème sans solution lorsque les hommes sont de bonne volonté. La porte du dialogue demeure ouverte », a rappelé le chef de l’Etat.
On tourne en rond !!!!
Soit le MNLA dépose les armes de lui-même et accepte la réconciliation !!! Et le problème est provisoirement résolut !!!
Sinon :
Ce n’est pas la MINUSMA qui leur fera déposer les armes ce n’est pas sont rôle !!
Ce n’est pas non plus SERVAL qui leur fera déposer les armes, il est en appui de la MINUSMA sous mandat de l’ONU !!!
Reste l’armée Malienne pour les désarmer et l’on retombe dans l’engrenage de la guerre donc loin du souhait de réconciliation voulu par le gouvernement.
On n’a pas fini de tourner en rond !!!!!
Qui va faire cette guerre contre le MNLA ???
Les Maliens accusent la France de ne pas vouloir détruire le MNLA comme il l’a fait pour AQMI et le MUJAO. L’armée Française n’est pas une armée de mercenaires venue au Mali pour faire le sale travail que le Mali ne veut pas faire depuis cinquante ans.
Merci les maliens de l’extérieur vous êtes plus actif que ceux de l’intérieur, la société civile et les partis politiques doivent jouer leurs rôles.
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