Macron adoube une force des pays du Sahel contre le terrorisme

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IBK et Macron

VIDÉO – Le chef de l’Etat participe ce dimanche au Mali à un sommet des cinq pays (G5) du Sahel qui ont décidé de se doter d’une force militaire conjointe de 5000 hommes pour lutter contre les groupes terroristes. Un projet sur lequel Paris compte, pour qu’à terme les Africains assurent eux-mêmes leur sécurité, mais qui se heurte d’emblée à de sérieuses difficultés.

À la veille de son discours devant le Congrès à Versailles, Emmanuel Macron passera dimanche quelques heures à Bamako, au Mali. Le chef de l’État, qui s’était déjà rendu à Gao auprès des militaires français de l’opération «Barkhane», le 19 mai dernier, participera cette fois aux travaux du sommet qui réunira dans la capitale ses homologues du G5 Sahel. Un déplacement destiné à marquer officiellement le soutien de la France à la force militaire conjointe que ces cinq pays (Burkina-Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad) ont décidé de mettre sur pied pour lutter plus efficacement contre le terrorisme.

Ce «club» du G5 Sahel, auquel la France n’appartient pas formellement mais qu’elle accompagne au plus près, rassemble le Burkinabé Roch Marc Christian Kaboré, le Malien Ibrahim Boubacar Keita, le Mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, le Nigérien Mahamadou Issoufou et le Tchadien Idriss Deby Itno.

La décision de ces pays de se doter d’une force militaire conjointe a été prise en février dernier mais l’idée remonte en 2015. Elle émane des chefs d’état-major des pays sahéliens qui étaient encore réunis à Bamako, samedi à la veille du sommet, pour peaufiner leur projet. Cette force, prévue pour compter 5000 hommes issus des cinq partenaires, doit théoriquement être opérationnelle à l’automne. Son quartier-général sera à Bamako et elle sera commandée par le général malien Didier Dacko.

Nouvelle étape

Le sommet du 2 juillet «marquera une nouvelle étape avec le lancement effectif de cette force conjointe, qui pourra poursuivre les terroristes de l’autre côté des frontières», indiquait-on cette semaine à l’Élysée. Dans une région sahélienne vaste comme l’Europe, livrée à tous les trafics (drogue, armes, trafics humains…) et où les groupes terroristes se jouent de frontières éminemment poreuses, le droit de poursuite apparaît comme une nécessité majeure. Ce principe doit être pris en compte par cette force conjointe du G5 Sahel. Emmanuel Macron devrait préciser dimanche les modalités exactes de ce soutien qui consistera surtout en équipements, mais pas en troupes supplémentaires pour Barkhane, selon l’Élysée.

Depuis deux ans, des opérations militaires transfrontalières, entre deux, voire trois pays de la région, sont montées en nombre croissant avec le soutien «Barkhane» qui compte 4 000 hommes. L’opération française, qui a succédé à «Serval» en août 2014, joue un rôle moteur pour faire agir ensemble, -sur leurs frontières communes-, des pays qui n’avaient guère l’habitude de coopérer. «L’idée est de rendre ces opérations permanentes», indique un militaire proche du dossier, en confirmant que la France sera fortement impliquée dans la mise en œuvre de la force conjointe.

Soutien a minima de l’ONU

Les attaques djihadistes, qui se déroulaient surtout dans le nord du Mali, se sont multipliées ces derniers mois plus au sud, dans la boucle élargie du fleuve Niger. C’est le cas notamment dans la région appelée le Liptako-Gourma, aux confins du Mali, du Niger et du Burkina-Faso. Une évolution qui a contraint l’opération «Barkhane» à se réorganiser, notamment en déplaçant son centre de gravité vers la région centrale du Mali et à intensifier sa coopération avec le G5 Sahel.

Les difficultés apparaissent toutefois nombreuses. La force conjointe a reçu un soutien a minima du de l’ONU, le 21 juin, mais pas de mandat formel. Au Conseil de sécurité, les États-Unis ont été à la manœuvre pour bloquer la résolution présentée par la France et pour imposer une ligne de grande prudence, notamment d’un point de vue financier. La résolution se «félicite» de la perspective d’une telle force mais souligne que «c’est aux États du G5 Sahel de lui donner les ressources dont elle a besoin». Pour Donald Trump, dont le Sahel est très loin d’être la priorité, il n’est pas question de payer.

La force conjointe nécessitera environ 400 millions d’euros. L’Union européenne n’en a promis que 50 millions. Les pays de la région, qui figurent parmi les plus pauvres du monde, traînent les pieds. «Le Tchad ne peut pas avoir 1400 hommes au Mali -dans la mission des Nations-Unis (MINUSMA)- et en même temps des soldats dans le G5», déclarait récemment le président tchadien Idriss Déby dans une interview à des médias français. «Même si les financements arrivaient, il y a un choix à faire», ajoutait-il. Côté français, on espère que certains pays européens déjà impliqués au Sahel, en premier lieu l’Allemagne mais aussi les Pays-Bas et la Belgique, apporteront leur soutien.

Emmanuel Macron pourra préciser sa «vision»

A Paris, on n’évoque en rien la perspective d’un retrait. La France accompagnera la future force régionale «dans la durée» jusqu’à ce que «la situation soit pacifiée», indiquait récemment le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, dans une interview au Monde. Toutefois, l’enjeu d’une telle force conjointe africaine -un concept maintes fois évoqué- vise, à terme, à passer aux Africains le flambeau de leur propre sécurité que Paris tient jusqu’à présent à bout de bras.

La visite éclair d’Emmanuel Macron lui permettra peut-être de préciser sa «vision» de l’Afrique et de sa politique vis-à-vis du continent, peu discernable jusqu’à présent. Hormis la réaffirmation du soutien militaire de la France, les propositions du président de la République pour remédier à la déshérence économique du Nord Mali et pour relancer l’application de l’accord d’Alger sont très attendues.

L’absence de développement, la mauvaise gouvernance, la corruption sont parmi les causes profondes d’une crise dont la solution «ne sera pas militaire», soulignent les experts. Autant de sujets qu’Emmanuel Macron pourrait évoquer sans détour avec ses homologues, notamment lors de son entretien en tête à tête avec le Malien «IBK».

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1 commentaire

  1. Nous disons et rappelons la vérité fait mal aux malhonnêtes et les met hors d’eux mais apaise et rend heureux les honnêtes

    1)Nous disons et rappelons tout le monde sait avec un brin d’honnêteté mêmes les tarés idiots de naissance et ceux qui refusent de connaitre la vérité d’une chose pour des raisons primaires primitives égoïstes que

    *nous sommes DANS UNE COMPÉTITION MONDIALE ÉCONOMICO POLITICO MILITARO RELIGIEUSE OÚ TOUS LES COUPS SONT PERMIS SANS AUCUN ÉTAT D’ÂME POUR FAIRE MAL DÉTRUIRE ASSERVIR SOUMETTRE DÉPOSSÉDER L’AUTRE ET OÚ IL N’Y A PAS DE PLACE POUR LES BÊTES LES COMPLEXÉS LES COUARDS LES CUPIDES LES FAIBLES LES FAINÉANTS LES FARFELUS LES IDIOTS LES INSOUCIANTS LES LAXISTES LES MÉDIOCRES LES MENDIANTS LES NAÏFS LES PARESSEUX LES PEREUX LES PLEURNICHARDS LES RÊVEURS LES SENTIMENTAUX LES SYBARITES LES TARÉS

    *BIZARREMENT CURIEUSEMENT ÉTONNAMMENT ÉTRANGEMENT LES ATTAQUES DES VOYOUS DE FAMEUX TERRORISTES FAUX DJIHADISTES FAUX ISLAMISTES MAINTENANT EXTRÉMISTES VIOLENTS ONT COMMENCÉ LEURS ATTAQUES CONTRE LE BURKINAFASSO AVEC LA CHUTE DU LETTRÉ MUTANT HOMME EN ARMES BLAISE COMPAORÉ QUI ÉTAIT LEUR HÖTE LEUR HÉBERGEUR ET IL ÉTAIT AUSSI L’HÉBERGEUR L’HÖTE DE L’ARMÉE DES SOI- DISANT AMIS ENNEMI LES AUTRES ANCIENS COLONISATEURS DU BURKINAFASSO

    *BIZARREMENT CURIEUSEMENT ÉTONNAMMENT ÉTRANGEMENT LES ATTAQUES DES VOYOUS DE FAMEUX TERRORISTES FAUX DJIHADISTES FAUX ISLAMISTES MAINTENANT EXTRÉMISTES VIOLENTS CONTRE LA ZONE PÉTROLIFÈRE ET URANIFÈRE AU TCHAD N’A COMMENCÉ QUE LORSQUE UN GRAND NOMBRE DE SOLDATS ET OFFICIERS TCHADIENS ONT ÉTÉ AFFRIANDÉS ALLÉCHÉS APPÂTÉS PAR DE SOI-DISANT MISSIONS DES SOI-DISANT AMIS ENNEMIS LES AUTRES ORGANISATIONS DU TCHAD EN DEHORS DE LEUR PAYS LE TCHAD

    *BIZARREMENT CURIEUSEMENT ÉTONNAMMENT ÉTRANGEMENT LES ATTAQUES DES VOYOUS DE FAMEUX TERRORISTES FAUX DJIHADISTES FAUX ISLAMISTES MAINTENANT EXTRÉMISTES VIOLENTS CONTRE LA ZONE PÉTROLIFÈRE ET URANIFÈRE AU NIGER N’A COMMENCÉ QUE LORSQUE LE NIGER VOULAIT METTRE EN QUESTION REVOIR LES ACCORDS PASSÉS AVEC UNE GRANDE COMPAGNIE URANIFÈRE

    *BIZARREMENT CURIEUSEMENT ÉTONNAMMENT ÉTRANGEMENT LES ATTAQUES DES VOYOUS DE FAMEUX TERRORISTES FAUX DJIHADISTES FAUX ISLAMISTES MAINTENANT EXTRÉMISTES VIOLENTS CONTRE LE FAMEUX NORD DU MALI RICHE EN MINERAIS HYDRO-BOTANIQUE LE PROCHE ET MOYEN ORIENT A PORTÉS DE MISSILES N’A COMMENCÉ QUE LORSQUE AU NOM DE SOI-DISANT ACCORD BIDON ET DE FOUTAISE LA SURVEILLANCE DE LA ZONE FUT CONFIÉE AUX SOLDATS ET OFFICIERS REBELLES MNLA ET CONSORTS CHEVAL DE TROIE DANS L’ARMÉE MALIENNE

    2)Nous disons et rappelons aux burkinabés et burkinabées aux maliens et maliennes aux nigériens et nigériennes aux tchadiens et tchadiennes fiers honnêtes ayant un amour profond pour leurs pays

    *COMMENT PEUT-ON METTRE EN PLACE UNE FORCE MILITAIRE COMMUNE DITE G5 SAHEL SANS EN AVOIR LES MOYENS FINANCIERS ON APPEL CELA METTRE LA CHARRUE AVANT LES BOEUFS

    il faut êtres DES SOUMIS DES ESCLAVES DES SANS DENTS DES SANS PUDEURS DES SANS VERGOGNES de lettrés mutants politiques de présidents de chefs de partis de députés de maires Hommes en armes sociétés civiles religieux ENFANTS INGRATS ÉGOISTES CUPIDES BOUFFEURS IMPÉNITENTS DES DENIERS PUBLICS ET DONS QUI ATENDENT TOUT DE LEURS SOIT DISANT AMIS ENNEMIS LES AUTRES D’ARABIE D’ASIE D’EUROPE DES AMÉRIQUES ET ORGANISATIONS MÊME POUR CONSTRUIRE DES CHIOTTES DANS LEURS VILLAGES

    *COMENT PEUT-ON ÊTRE UNE FORCE MILITAIRE AUTONOME INDÉPENDANTE SOUVERAINE TELS L’OTAN LE PACTE DE VARSOVIE QUI S’AUTOFINANCENT Si ce sont les soit disants amis ennemis les Autres d’Arabie d’Asie d’Europe des Amériques et Organisations dont certains sont les maitres et commanditaires de ces Voyous de Fameux Terroristes Faux Djihadistes Faux Islamistes maintenant Extrémistes Violents QUI DOIVENT FINANCER LA MISE EN PLACE DE CETTE FORCE MILITAIRE DITE G5 SAHEL

    il faut êtres DES SOUMIS DES ESCLAVES DES SANS DENTS DES SANS PUDEURS DES SANS VERGOGNES de lettrés mutants politiques de présidents de chefs de partis de députés de maires Hommes en armes sociétés civiles religieux ENFANTS INGRATS ÉGOISTES CUPIDES BOUFFEURS IMPÉNITENTS DES DENIERS PUBLICS ET DONS QUI ATENDENT TOUT DE LEURS SOIT DISANT AMIS ENNEMIS LES AUTRES D’ARABIE D’ASIE D’EUROPES DES AMÉRIQUES MÊME POUR SE FAIRE ARRACHER UNE DENT

    3)Nous disons et rappelons aux burkinabés et burkinabées maliens et maliennes aux nigériens et nigériennes tchadiens et tchadiennes fiers honnêtes ayant un amour profond pour leur Burkina Mali Niger Tchad

    *qu’il suffit de confier le front des combats contre ces Voyous de Fameux Terroristes Faux Djihadistes Faux Islamistes maintenant Extrémistes Violents aux soldats et officiers venus dans leurs armées par vocation prototypes des burkinabés maliens des nigériens tchadiens antiques fiers honnêtes courageux intrépides sans peur préférant la mort à la honte non parentaux non familiaux non claniques politiques incorporés juste pour « bouffer leur part de Gâteau-Pays Succulent Savoureux qui donne de l’embonpoint » et ni rebelles « cheval de Troie »

    *Et si leurs gouvernements respectifs accepetent une fois dans leur vie de les doter d’armes avions hélicos dromes de combats modernes adaptés achetés avec le budget alloué aux forces de défense (ils doivent faire un sacrifice énorme pour ne pas bouffer ce budget comme ils en ont l’habitude tout en sachant qu’ils tomberont malades d’avoir fait cela) qui assumeront avec succès leur mission régalienne en usant de la guerre classique si les ennemis en usent et la guerre asymétrique si les ennemis en usent car ils ont 1amour profond pour leurs pays pour mettre hors d’état de nuire sans aucun état d’âmes ces Voyous qui ne sont point «des foudres de guerre » comme veulent le faire croire leurs maitres et commanditaires car certains «détalent comme des lapins quand on met le feu à leurs fesses » car ils ne veulent pas mourir et les autres veulent vite mourir « en se faisant exploser » pour l’Enfer leur Habitat Naturel qui est leur paradis

    *AINSI LE BURKINA LE MALI LE NIGER ET LE TCHAD RETROUVERONT LA PAIX LA TRANQUILLITÉ LA SÉCURITÉ L’UNITÉ NÉCESSAIRES AU VRAI DEVELOPPEMENT AU GRAND DAM DE LEURS SOI- DISANT AMIS ENNEMIS LES AUTRES ET ORGANISATIONS
     
    4)Nous disons et rappelons et insistons IL NE FAUT JAMAIS AU GRAND JAMAIS COMPTER SUR LES AUTRES OU UN TIERS POUR ASSURER LA SÉCURITÉ LA DÉFENSE DE SON PAYS AU RISQUE DE VOIRE SON PAYS SOMBRER DANS UN CHAOS INDESCRIPTIBLE TELS EN AFGHANISTAN L’IRAK ET OU VOIRE SON PAYS DIVISÉ EN DEUX ENTITÉS DISTINCTES TELS EN YOUGOSLAVIE AVEC SA BALKANISATION LE SOUDAN AVEC SA SOUDANISATION

    *si LES SOIT DISANT AMIS ENNEMIS LES AUTRES ANCIENS COLONISATEURS ET AUTRES ORGANISATIONS AVEC LEURS SOLDATS SOUS MANDATS DE RENOUVELLEMENT EN RENOUVELLEMENT DE MANDATS VOULAIENT L’UNITÉ DU MALI ILS L’AURAIENT DÉBARRASSER DEPUIS FORT LONGTEMPS DES VOYOUS DE FAMEUX TERRORISTES FAUX DJIHADISTES FAUX ISLAMISTES MAINTENANT EXTRÉMISTES VIOLENTS BASÉS DANS UN ENDROIT BIEN CIRCONSCRIT AU PAYS KIDAL ET QUI NE SONT POINT DES FOUDRES DE GUERRE COMME ILS LE SAVENT SI BIEN ET EN OUTRE ILS ONT LES MOYENS MATÉRIELS MILITAIRES MAIS CES VOYOUS SONT Á LEURS BONS SOINS AU PAYS KIDAL Á PARTIR DUQUEL ILS PARTENT POUR ATTAQUER LE MALI ET S’Y REPLIENT RAPIDEMENT ET SEULS SONT ÉLIMINÉS CEUX DEVENUS INCONTROLÉS AU COURS DE SOI-DISANT OPÉRATIONS SOI-DISANT ANTI TERRORISTES

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