Lutte contre l’insécurité routière : Les confessions religieuses s’engagent

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Une part importante du PIB de notre pays est dépensée chaque année dans la gestion des accidents de la circulation routière, toute chose qui n’est pas admissible dans un  pays pauvre comme le nôtre. En vue de mieux prévenir et de réduire  les accidents de la circulation routière, les confessions religieuses, à travers la Coordination Nationale en Sécurité Routière (CNA), en collaboration avec l’Agence Nationale de Sécurité Routière (Anaser) a lancé une campagne de sensibilisation  sur les accidents de la route. C’était le dimanche 18 janvier 2014 dans les locaux de la radio Dembé. L’évènement a en registré la présence de la directrice générale de l’Anaser, Mme Sylla Assan Sylla, ainsi que celle de nombreux responsables des confessions religieuses de notre pays.

 

 

Les statistiques sont alarmantes, 60% des victimes d’accidents de la circulation routière dans notre pays sont des jeunes à cause du non respect des règles élémentaires de la circulation routière. En conséquence, environ 60 milliards de nos francs sont utilisés chaque année pour la gestion des accidents de la route.

 

 

Les accidents de la circulation routière sont dus à trois facteurs essentiels : le facteur lié à l’homme, le facteur lié à la route, et le facteur lié aux véhicules. Mais les études menées dans notre pays ont démontré que l’homme, particulièrement les jeunes, sont à l’origine des accidents sur la route. Cette campagne contre l’insécurité routière vise à sensibiliser la population en vue d’un changement de comportements sur les routes.

 

 

La lutte contre l’insécurité routière ne va jamais sans la conscientisation, sans l’information et la sensibilisation, a affirmé la directrice générale de l’l’Anaser. Selon Mme Sylla, l’un des canons les plus appropriés par rapport à la conscientisation, c’est à travers la religion. “Quand on a la foi , on sait que la préservation de la vie humaine est un devoir religieux”.

 

 

L’année 2014 sera celle de l’application des lois sur la circulation routière. SI la sensibilisation ne suffit pas, place sera donnée à la répression, les règles du code de la route seront mises en application, a affirmé Mme la directrice de l’Anaser. Trop de personnes ont perdu la vie sur nos routes.

La présente campagne de sensibilisation contre les accidents de la circulation routière entre dans le cadre de l’appel du président de la République Ibrahim Boubacar Kéita, de l’implication de tout le monde pour qu’il n’y ait plus de mort sur nos routes.

 

Négus TRAORÉ

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2 COMMENTAIRES

  1. JE SUIS PARFAITEMENT D’ACCORD AVEC LE PORT DU CASQUE MAIS CELA NE VA RESOUDRE LE PROBLME DES ACCIDENTS.
    LE PROPLEME RESIDE DANS LA FABRICATION DE CES MOTOS DJAKARTA IL FAUT EXIGER DES PERSONNES QUI IMPORTENT CES ENGINS DANS NOTRE PAYS DES NORMES DE FABRICATION AU NIVEAU DE LA VITESSE AU LIEU DE QUATRES TEMPS IL FAUT DIMINUER LA VITESSE A TROIS TEMPS AVEC UNE VITESSE MAXIMALE DE 70 KM/HEURE.
    LE CADRE DE CES MOTOS EST CONTITUE DE DEUX PETITS TUYAUX DONT LA QUALITE LAISSE A DESIRER.
    LA SEULE SOLUTION POUR DIMINUER LES ACCIDENTS SURTOUT LES PERTES EN VIE HUMAINES CONSISTE A INSTAURER UNE NORME DANS LA FABRICATION ET L’IMPORTATION DE CES MOTOS.
    C’EST LE ROLE D’UN ETAT FORT ET DES DIRIGEANTS FORTS AFIN DE PROTEGER LA POPULATION CONTRE SES DANGERS.
    MAIS CERTAINS COMMERCANTS VEREUX AVEC LA COMPLICITE DES RESPONSABLES CORROMPUS DES SERVICES DE LA DNCC DES IMPOTS OU DES DOUANES VONT LAISSER CES ENGINS DE MORT ENTRER SUR NOTRE TERRITOIRE ET ENDEUILLER DES FAMILLES MALIENNES

  2. POURQUOI IMPLIQUER LES CONFESSIONS RELIGIEUSES DANS LA GESTION D’UN PROBLEME DE SOCIETE. POUR LE CAS MALIEN C’EST NIVEAU D’EDUCATION QUI EST EN CAUSE.
    L’INSECURITE ROUTIERE ET INCIVISME SONT LIES ET ONT POUR CAUSE LA DEPERDITION SCOLAIRE.
    TANT QU’ON AURA PAS RESOLU LA CRISE DE L’ECOLE MALIENNE CE PAYS NE VA PAS SE DEVELOPPER CAR LA RESSOURCE HUMAINE N’EST PAS DE QUALITE.
    LE BURKINA FASO ET LE BENIN SONT DES EXEMPLES PROCHES DE NOUS QU4ON PEUT CITER EN MATIERE DE MOTOS.
    LA JEUNESSE DE CES DEUX PAYS SONT MIEUX CULTIVES QUE LA NOTRE.
    LE TAUX D’ACCIDENT EST PLUS ELEVE CHEZ NOUS.
    DE MANIERE PLUS PRATIQUE JE DEMANDE AUX AUTORITES DE METTRE DES NORMES DE FABRICATION POUR L’IMPORTATION DES MOTOS CHINOIS. AU LIEU DE 4 TEMPS IL FAUT EN FAIRE 3 TEMPS POUR DIMINUER LA VITESSE POUR TOUS LES DJAKARTA QUI SERONT IMPORTES VERS NOTRE PAYS.JE SAIS QUE LES RESULTATS VONT SURPRENDRE ET LE TAUX D’ACCIDENT VA CHUTER DANS LES SIX MOIS APRES SA MISE EN VALEUR.

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