Fousseyni Samaké, spécialiste du droit public, détaille la restriction des libertés individuelles et collectives qui découle de l’institution de l’état d’urgence
Quelques heures après l’attentat contre l’hôtel Radisson Blu de Bamako vendredi dernier, un conseil des ministres extraordinaire s’est tenu à Koulouba à l’issue duquel l’État d’urgence a été proclamé sur toute l’étendue du territoire national pour une durée de 10 jours. Ce délai peut être prolongé en cas de besoin par l’Assemblée nationale.
Qu’est ce que l’État l’urgence ? Quelles sont les conditions de la proclamation de l’État d’urgence ? Quelles sont les conséquences de l’institution de l’État d’urgence ? Suivons les explications du directeur de l’École nationale d’administration (ENA), le professeur Fousseyni Samaké, spécialiste du droit public.
Il rappelle d’entrée de jeu que l’État d’urgence fait l’objet des articles 49 et 72 de la Constitution du 25 février 1992. La disposition était prévue par la Constitution du 2 juin 1974 en son article 51. C’est sur le fondement de cet article 51 que sont intervenus la loi N°87-49/AN-RM du 10 août 1987 relative à l’État de siège et à l’État d’urgence et son décret d’application N° 247/PG-RM du 28 septembre 1987. La loi du 10 août 1987 a abrogé l’ordonnance N°35/PC-G du 23 mars 1959 portant loi organique sur l’État d’urgence.
« Bien que prise sur la base de la Constitution de 1974, la loi du 10 août 1987 relative à l’État de siège et à l’État d’urgence reste bien applicable en vertu de l’article 119 de la Constitution de 1992 selon lequel : « la législation en vigueur demeure valable dans la mesure où elle n’est pas contraire à la présente Constitution et où elle n’est pas l’objet d’une abrogation expresse », explique le directeur de l’ENA qui reconnaît que la législation de notre pays en matière d’État d’urgence, sur bien des aspects, a besoin d’être révisée pour être adaptée à un contexte qui a considérablement évolué.
UN ETAT D’EXCEPTION. Par rapport aux conditions de proclamation de l’État d’urgence, Fousseyni Samaké explique que ni la Constitution ni la loi ne contient de définition de l’État d’urgence. « En fait, l’État d’urgence, comme l’État de siège, est un État d’exception ou État de crise dont la proclamation a pour effet de renforcer les pouvoirs de police des autorités administratives et de restreindre les libertés publiques en vue de faire face à un danger exceptionnel qui menace l’existence de la Nation. Il s’agit, en somme, de donner à l’État les moyens juridiques destinés à assurer sa sauvegarde, voire sa survie », dit-il.
Notre interlocuteur précise, par ailleurs, que la loi malienne détermine les circonstances pouvant conduire à la proclamation de l’État d’urgence. En effet, aux termes de la loi du 10 août 1987 relative à l’État de siège et à l’État d’urgence, « l’État d’urgence peut être déclaré sur une partie ou sur toute l’étendue du territoire de la République du Mali, soit en cas de péril imminent, résultant d’atteintes graves à l’ordre public, soit en cas de menées subversives compromettant la sécurité intérieure, soit en cas d’évènements présentant, par leur nature et leur gravité, un caractère de calamité publique ».
« Il faut et il suffit que l’une de ces trois conditions alternatives soit remplie pour que le gouvernement soit en droit d’instituer l’État d’urgence sur une partie ou sur tout le territoire », indique le professeur Samaké, ajoutant que la situation qui prévaut dans notre pays depuis 2012, marquée notamment par la présence des groupes terroristes armés, nationaux et étrangers, représente à la fois un péril imminent résultant d’atteintes graves à l’ordre public et des menées subversives compromettant la sécurité intérieure.
Pour le directeur de l’ENA, l’une des principales conséquences de l’institution de l’État d’urgence est la restriction des libertés pour vivre libre. « L’institution de l’État d’urgence vise à permettre la prise de mesures qui n’auraient pas été légalement possibles en temps normal pour pouvoir affronter et faire cesser un danger grave qui menace le pays dans sa sécurité ou même son existence. C’est pourquoi, l’État d’urgence produit deux effets essentiels. Le premier est d’accroître les pouvoirs de police au profit des autorités administratives civiles. Dans l’État de siège, régime voisin de l’État d’urgence, cette extension de pouvoirs a lieu au profit de l’autorité militaire. Le second, qui est le corollaire du premier, est d’apporter d’importantes restrictions à l’exercice des libertés publiques », explique-t-il.
INTERDICTION A TITRE GENERAL OU PARTICULIER. Fousseyni Samaké explique qu’à la lecture de la loi de 1987, on peut opérer une distinction entre les effets normaux et les effets aggravés. Les effets dits normaux sont les extensions de pouvoirs qui se réalisent de plein droit, sans autre précision du décret déclarant l’État d’urgence. Aussi, dès la proclamation de l’État d’urgence les autorités administratives compétentes peuvent prendre les mesures telles que la réglementation ou l’interdiction de la circulation des personnes, des véhicules ou des biens dans certains lieux et à certaines heures ; l’institution de zones de sécurité où le séjour des personnes est réglementé ou interdit ; l’interdiction du séjour dans tout ou partie d’une ou de plusieurs circonscriptions à toute personne cherchant à entraver l’action des pouvoirs publics ; l’interdiction à titre général ou particulier, de tous cortèges, défilés, rassemblements et manifestations sur la voie publique. Il peut aussi y avoir l’institution, aux abords des frontières terrestres ou autour des aéroports, de zones de sécurité ; l’assignation à résidence de toute personne dont l’activité s’avère dangereuse pour la sécurité et l’ordre public ; la fermeture provisoire de lieux publics tels que salles de spectacle, débits de boissons, lieux de réunion et de culte ; l’interdiction, à titre général ou particulier, de réunions publiques ou privées susceptibles de provoquer ou d’entretenir le désordre ; la possibilité de procéder à la recherche et à l’enlèvement des armes et munitions ainsi que des explosifs et tous engins meurtriers ou incendiaires ; des stations radiophoniques privées d’émission ou de réception autres que les postes récepteurs de radiodiffusion ou de télévision ; l’interdiction, à titre général ou particulier, de la circulation des aéronefs civils sur tout ou partie du territoire.
Pour le directeur de l’ENA, les effets aggravés de l’État d’urgence sont les pouvoirs expressément conférés aux autorités administratives par le décret proclamant l’État d’urgence. Ce qui signifie que sans cette attribution expresse, ces mesures ne peuvent être mises en œuvre par les autorités administratives. Le décret du 11 janvier 2013 (article 2) attribue ainsi aux autorités compétentes les pouvoirs d’ordonner en tous lieux des perquisitions de jour et de nuit ; de prononcer l’internement administratif des personnes dont l’activité présente un danger pour la sécurité publique ; de prendre toutes dispositions relatives au contrôle des correspondances postales, télégraphiques et téléphoniques ; et de muter ou suspendre tout fonctionnaire ou agent de l’État, des collectivités locales, des établissements publics dont l’activité s’avère dangereuse pour la sécurité publique.
UN CARACTERE TEMPORAIRE. Cependant, précise Fousseyni Samaké, la proclamation de l’État d’urgence n’entraine pas automatiquement l’entrée en vigueur des mesures énoncées. Pour qu’il en soit ainsi, il est nécessaire que les autorités nationales, régionales, locales ou communales prennent des actes (décret, arrêté, décision ou autre) en vue de préciser le contenu des mesures restrictives des libertés compte tenu des circonstances.
Il souligne aussi qu’en dehors des effets normaux et aggravés cités plus haut, la loi dispose que les membres de la police en uniforme et les personnels des forces armées chargés de mission de police et de maintien de l’ordre sont habilités, en l’absence de l’autorité judiciaire ou administrative, à faire usage de leurs armes dans certains cas : violences exercées contre eux, personnes en fuite, refus d’obtempérer de conducteurs de véhicules. La loi autorise également l’exécution d’office des mesures prescrites en application de l’État d’urgence, indépendamment de toute action pénale.
Pour le professeur Samaké, s’il est vrai que la proclamation de l’État d’urgence comporte une limitation dans l’exercice de certaines libertés individuelles et collectives, il s’agit cependant d’une mesure qui a normalement un caractère temporaire et qui trouve son bien-fondé dans sa finalité, à savoir : « suspendre les libertés pour mieux les défendre ». Il explique également que l’État d’urgence n’est pas synonyme de moment de non-droit. « La loi a posé des garde-fous. Elle prévoit une commission consultative de contrôle présidée par un magistrat contre les mesures d’assignation à résidence ou d’internement administratif. Les réquisitions de personnes, de service et de biens sont entourées de nombreuses garanties : indemnisations et réparation des dommages par exemple. En tout état de cause, le juge, gardien des libertés, demeure un recours contre les violations des règles édictées et des principes fondamentaux du droit », assure-t-il.
M. KEITA
Bien que l’état d’urgence ne vise que notre sécurité des personnes se plaisent à ne pas respecter cette mesure. Nous sommes en danger et nous ne devons pas donner des raisons à ceux qui veulent toujours crée débat inutile de le faire. 10 jours ce n’est pas 10 ans donc faisons violence sur nous pour aider les autorités à nous aider.
“Le bon sens est la chose du monde ma mieux partagée” René Descartes.
Et cet article assez rare au Maliba en contient une bonne dose. Je pense que mes concitoyens en prendront une bonne dose et sauront sur quel pieds s’arrêter.
L’état d’urgence c’est pour notre propre sécurité et nous devons la respecter.
Dans le cas où un danger public exceptionnel menace l’existence de la nation et est proclamé par un acte officiel ( comme l’attentat de vendredi dernier). Il est autorisé que l’état d’urgence soit instauré. N’était-ce pas le cas?
Alors ceux qui y voient d’autres interprétations arrêtent de nous distraire.
Ce n’est pas avec la joie au coeur que le président de la république en accord avec le conseil des ministres décident d’instaurer l’état d’urgence dans le pays.
La situation était critique et des mesures en vue de sécuriser la population s’imposant et évidemment c’est ce qui a été fait.
Merci au gouvernement et au président de la république.
Je pense que le a pesé le pour et le contre de cette décision avant de la prendre et l’a prise parce qu’elle était nécessaire.
Le gouvernement se souci du bien-être des populations c’est pourquoi je salue cette décision difficile courageuse.
Le président ne pouvait pas être dans la tête de ces terroristes pour savoir quel autre plan diabolique il entreprenait. Il fallait donc prendre des mesures et l’état d’urgence s’imposait à lui.
Des vendeurs de morts dans la nature: mieux vaut prévenir que guérir ou je dirais mieux vaut prendre des mesures que d’avoir la mort de personnes sur la conscience et être traité de négligeant.
Merci IBK
Je pense que cette décision du président IBK montre qu’il tient à la vie et à la sécurité de ces citoyens.
Raison pour laquelle je ne puis m’empêcher de saluer sa décision.
Nous vaincrons l’adversité.
« l’État d’urgence peut être déclaré sur une partie ou sur toute l’étendue du territoire de la République du Mali, soit en cas de péril imminent, résultant d’atteintes graves à l’ordre public, soit en cas de menées subversives compromettant la sécurité intérieure, soit en cas d’évènements présentant, par leur nature et leur gravité, un caractère de calamité publique ».
Donc ceux qui créent la polémique inutile doivent chercher d’autres justificatifs car la situation l’exigeait et c’est ce qui a été fait. Je félicite donc nos autorités pour cette mesure sage.
Voici au moins un article doté de sens. Il faut éclairer les populations et en particulier ceux qui font des interprétations contradictoires de cette mesure.
A situation exceptionnelle , mesure exceptionnelle. Trouvons donc dans ce article la base légale de la décision du gouvernement
Moi je pense que si les journaliste maliens prenaient la pleine mesure de leur rôle dans la société,ils se comporteraient plus comme des responsables et non comme des idiots à la soldes de certains opposants véreux.
Ils se plaisent tellement dans ce rôle que souvent ils se prennent pour des opposants de IBK.
Cela fait qu’aujourd’hui nos journalistes nous font honte dans toute la sous région.
Ce journaliste au moins s’est attelé à produire un bon article.
Contrairement à lui,beaucoup d’autres sont des pseudos journalistes qui ne cherchent qu’à diviser le peuple malien.Ceux là ont oublié que le véritable rôle du journaliste c’est accompagner le gouvernement dans ses bonnes actions,apaiser ou ou proposer quand c’est nécessaire.
Cet article est vraiment tombé à point nommé Il permettra aux uns et autres de comprendre les bien fondés de l’état d’urgence,son fonctionnement et les attitudes à adopter en de pareilles circonstances.Ce journaliste a vraiment fait du bon boulot et il est à féliciter.
Nos journalistes sont des apatrides. Ils n’ont pas la notion du patriotisme. Ils trémoussent pour la plus part leurs plumes pour distraire. Ils ne savent pas que le journaliste enseigne, il éduque, il oriente et il conseille aussi. J’ai entendu des gens dire dans la rue que l’Etat d’urgence signifiait que personne ne devraient aller au travail.
Cela fait rigolé plus d’un, mais les journalistes devraient avoir honte que ce que genre de chose arrive dans notre pays. C’est la honte.
Voici un article plein de bon sens. Je pense que plusieurs de nos journaleux devraient en faire autant. Ils devraient dire aux maliens le pourquoi de cette mesure et la portée de celle-ci dans des pareilles circonstances. Mais c’est des journalistes qui attaquent, qui font du surplace malheureusement.
Les journalistes maliens en réalité ignorent leur rôle dans la société. Ils sont des vulgaires spécialistes de la politique qu’ils ne maitrisent même pas. Il n’y a pas des journalistes patriotes dans ce pays ?
Les attaques du Radisson ont en réalité révélé le côté sombre de nos journalistes.
L’état d’urgence accorde des pouvoirs particuliers aux préfets dont le département est couvert par la déclaration d’urgence : interdiction de circulation des personnes et des véhicules ; institution de zones de sécurité à l’intérieur desquelles le séjour de certaines personnes peut être réglementé
Cela permet le contrôle des personnes et la sécurité dans le pays.
assignation à résidence de toute personne dont l’activité se révèle dangereuse pour la sécurité et l’ordre publics des circonscriptions territoriales où s’applique l’état d’urgence ; fermeture de salles de spectacle et de tous les lieux de réunion
Cela contribue au bien de la population contre les attaques terroristes.
l’état d’urgence favorise éventuellement l’interdiction de toute réunion de nature à provoquer le désordre ; remise des armes de guerre, de défense (revolvers, pistolets), de chasse. Des dispositions expresses du décret déclarant ou de la loi prorogeant l’état d’urgence
Les dispositions prises par l’état d’urgence peuvent de plus conférer au ministre de l’Intérieur ou aux préfets le pouvoir d’ordonner des perquisitions de jour et de nuit et les habiliter à prendre toutes mesures pour assurer le contrôle de la presse, de toutes publications et des émissions radiophoniques.
Le peuple a confiance à son président et nous sommes fier de notre armé
Je suis tout de même d’accord avec absalon car selon mes recherches ce régime destiné à donner à un gouvernement, lors d’une crise intérieure grave ou d’une tension extérieure jugée sérieuse, tous les moyens nécessaires au maintien de l’ordre, l’état d’urgence est une mesure destinée à affronter une situation exceptionnelle.
Ensuite il faut solliciter IBK pour la protection du peuple malien
😛 😛 😛 😛 😛
n effet voici un peu comment se résume l’état d’urgence de manière internationale.
Relation avec le droit international[modifier
L’article 4 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques de l’ONU de 1966 régule au niveau du droit international l’état d’urgence. Il dispose en particulier que :
4.1 Dans le cas où un danger public exceptionnel menace l’existence de la nation et est proclamé par un acte officiel, les États parties au présent Pacte peuvent prendre, dans la stricte mesure où la situation l’exige, des mesures dérogeant aux obligations prévues dans le présent Pacte, sous réserve que ces mesures ne soient pas incompatibles avec les autres obligations que leur impose le droit international et qu’elles n’entraînent pas une discrimination fondée uniquement sur la race, la couleur, le sexe, la langue, la religion ou l’origine sociale. (…) 4.3 Les États parties au présent Pacte qui usent du droit de dérogation doivent, par l’entremise du Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, signaler aussitôt aux autres États parties les dispositions auxquelles ils ont dérogé ainsi que les motifs qui ont provoqué cette dérogation. Une nouvelle communication sera faite par la même entremise, à la date à laquelle ils ont mis fin à ces dérogations.
Le Comité des droits de l’homme de l’ONU peut examiner les éléments constitutifs du danger public invoqué et éventuellement solliciter l’élaboration de rapports spéciaux. Il a élaboré en 1981 une déclaration relative à l’interprétation de cet article. L’Égypte, entre autres, a ainsi été à plusieurs reprises épinglée pour son état d’urgence continu depuis au moins 19811.
La proclamation de l’état d’urgence ne permet pas de déroger à certains droits fondamentaux et interdictions absolues, dont en particulier le « droit à la vie », l’interdiction de la torture et des traitements inhumains et dégradants, l’esclavage et la servitude et la « liberté de penser, de conscience et de religion ».
La Convention européenne des droits de l’homme contient des dispositions dérogatoires du même type, mais ont été appliquées d’une manière beaucoup plus rigoureuse,
« L’état d’urgence peut être déclaré sur tout ou partie du territoire métropolitain ou des départements d’outre-mer, soit en cas de péril imminent résultant d’atteintes graves à l’ordre public, soit en cas d’événements présentant, par leur nature et leur gravité, le caractère de calamité publique. »
L’état d’urgence est déclaré par décret en conseil des ministres et ne peut être prolongé au-delà de douze jours que par la loi.
La déclaration de l’état d’urgence donne pouvoir aux préfets de département :
d’interdire la circulation des personnes ou des véhicules dans les lieux et aux heures fixés par arrêté ;
d’instituer, par arrêté, des zones de protection ou de sécurité où le séjour des personnes est réglementé ;
d’interdire le séjour dans tout ou partie du département à toute personne cherchant à entraver, de quelque manière que ce soit, l’action des pouvoirs publics.
Le ministre de l’intérieur, pour l’ensemble du territoire, et le préfet, dans le département, peuvent :
ordonner la fermeture provisoire des salles de spectacles, débits de boissons et lieux de réunion de toute nature ;
interdire à titre général ou particulier les réunions de nature à provoquer ou à entretenir le désordre.
Le décret déclarant ou la loi prorogeant l’état d’urgence peuvent :
conférer aux autorités administratives le pouvoir d’ordonner des perquisitions à domicile de jour et de nuit ;
habiliter les mêmes autorités à prendre toutes mesures pour assurer le contrôle de la presse et des publications de toute nature ainsi que celui des émissions radiophoniques, des projections cinématographiques et des représentations théâtrales ;
donner le droit à la juridiction militaire, les tribunaux militaires, à se saisir des crimes qui relèvent normalement de la cour d’assises de ce département.
Tous ces pays qui ont été attaqué par le terrorisme utilisent l’état d’urgence pour la protection et la sécurité de leur population et c’est ce que IBK a fait.
Le mali est fier de son armé
VIVE IBK-VIVE LE MALI
Je suis fier de notre armée sans elle on n’en serais pas là aujourd’hui. Grace à elle, cette opération de l’attaque de l’hôtel Radisson Blu fut un succès. Bravo à vous !!!
Ces régions font partir du Mali et il s’applique toutes les zones sous le contrôle gouvernemental. D’ailleurs les zones qui où il y a des patrouilles mixtes sont tous sous cette mesure. les signataires des accords sont des responsables et la CMA a également condamné cette attaque donc ne veut pas porter préjudice à la paix
Cette décision doit être prise dans ce pays, il y va de la sécurité des maliens et du MALI tout entier. Ce régime a hérité de cette crise et il tente tant bien que mal pour sortir ce pays de cette ornière.
Cette attaque est condamnée par tous les pays du monde entier car, personne ne peut soutenir ouvertement le terrorisme.
Ces personnes qui se sont données à ces actes barbares sont des ennemis pour le développement du Mali, avec nos moyens que nous disposons nous leur poursuivrons jusqu’à leur dernier retranchement.
Face à une telle situation, il était opportun que le chef prenne des mesures pour le bien-être de la population
Le Mali a une armée républicaine et dévouée et qui ont reçu des équipements depuis l’avènement IBK. Nous souhaitons que se tendra sur toutes les autres forces afin de lutter efficacement contre ce fléau mondial.
Je salue nos forces de sécurité et de défense la promptitude et le courage avec lesquels ils ont amorcé cette situation.
Le peuple leur remercie pour ce travail de républicain et de patriote.
IL est le bienvenu même si d’autre pense que c’est copier coller cela permet de contrôler plus les mouvements des personnes dans nos frontières.
Il permet de contenir la situation en empêchant la population d’aller dans certaines zones jugées hostiles.
Un État d’urgence doit bel et bien être dévrété dans ce pays, il faut être assez con pour ne pas vouloir cela vu la tendance actuelle de notre pays !!!
Cela donne plus de pouvoir à nos administrateurs et forces de sécurité sur toute l’étendue du territoire pour mener à bien leur travail.
Ces gens seront traqués, arrêtés et jugés selon la loi de notre pays !!! Nous avons une totale confiance en nos autorités et en leur décision pour l’accomplissement de cette tâche !!!
Il faut contrôler les véhicules et les frontières dont tout ceci est possible par l’état d’urgence. Les forces de sécurité peuvent faire des perquisitions. Dans l’intérêt commun du peuple C’est vrai qu’il nous prive de certaines libertés mais d’ailleurs quelle liberté si nous ne vivons dans la psychose.
Si on ne décrete pas un État d’urgence dans cette situation qu’est qu’on va faire alors ? Ne soyons pas aussi naïfs que cela, faisons face à la réalité pour une fois dans ce pays !!!
Nous sommes à un moment où tous les fils du MALI doivent unir leurs forces pour aider nos autorités à lutter contre ces térroristes dans notre pays !!! Mes condoléances aux victimes et prompte retablissement aux bléssés de ce drame !!!
Cette décision doit être prise dans ce pays, il y va de la sécurité des maliens et du MALI tout entier, celui qui ne voit pas cela franchement je me demande commenr est-ce qu’il peut réfléchir !!!
Moi j’appelle tous les maliens au calme, à ne pas céder à la pannique car c’est ce qu’ils veulent !!! Je les appelle aussi à soutenir nos autorités dans la prise les mesures nécessaires pour l’éradiquation de ce fléau de notre pays avant que ça ne dégénère !!!
L’état d’urgence désigne un régime exceptionnel, mis en place par un gouvernement, en cas d’atteinte grave à l’ordre public, de troubles graves ou de calamités nationales. Il se traduit par un renforcement des pouvoirs de l’autorité administrative, notamment des pouvoirs de police, des restrictions de certaines libertés publiques ou individuelles pour des personnes considérées comme dangereuses : contrôle de la presse, limitation de circulation des personnes ou des véhicules, expulsions du territoire, interdiction de réunion, assignation à résidence, etc.
Cela permet à l’armée de bien faire son travail dans un temps donné
Les maliens doivent soutenir cette décision d’État d’urgence quelque soit leur sentiment, de plus c’est pour notre propre sécurité. Nous sommes de coeur avec les victimes, c’est un acte vraiment odieux, j’espère que le tout puissant va les acceuillir dans son paradis !!!
Il permet à la police d’avoir plus d’autorités dans l’exercice de sa mission qui est de sécuriser et de chercher toute piste pour retrouver d’éventuels suspects.
Tout bon citoyen malien doit savoir que la finalité de l’état d’urgence n’est autre que notre survie ou notre bien-être. Donc il est important que nous respectons cette situation qui ne saurait duré.
Cet État d’urgence est le bienvenu dans ce pays surtout après ce qui vient de ce passer aau Radisson, il ne serait pas judicieux de notre part de nous exposer encore plus !!!
Il n’y à absolument rien à dire sur cet État d’urgence, c’est assez logique qu’il y ait un État d’urgence surtout après ce qui vient de ce passer, et nos autorités l’ont décrété !!!
Cette décision doit être respectée et soutenu par tous les maliens, car il y va de notre sécurité à tous !!! Nous n’avons à nous plaindre de quoi que ce soit dans cette situation !!!
“Nike” je suis parfaitement d’accord avec toi, Le moment est un moment de sacrifice.
Nous sommes des maliens fiers…
La décision du président est une décision noble, j’invite mes frères et sœurs maliens à prendre acte de cette décision comme il se doit.
Cet Etat d’urgence est surtout dans l’intérêt des maliens.
Pourquoi se poser des questions sur son application ?
Évitons le danger au tend qu’on le peut.
Nous n’avons pas à confondre les choses, ceci n’est pas d’une discussion inutile.
Ce conseil des Ministres extraordinaire a pris la bonne décision, ce deuil national de trois jours à compter de ce lundi, puis d’un Etat d’urgence sur «l’étendue du territoire» pour une dizaine de jours sont d’une nécessité capital.
Nous devons le respecter et le prendre de manière réglementaire. L’autorité se souci de son peuple, nous sommes face à une situation délicate et nous devons prier pour que la stabilité puce Reigner au Mali.
Notre gouvernement n’est pas notre ennemi, respectons cet état d’urgence comme on nous demande de le faire.
Que Dieu vient en aide au MaliBa …
Le monde est fait face à un problème beaucoup plus qu’effrayant. Ces terroristes sortent de nulle part, mais ils causent trop de dégâts. Imaginez, chaque jour des centaines de vie sont arracher par leurs fautes. 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥 😥
Le Mali a été assez bousculé ces derniers temps, mais cela n’empêche l’armée malienne est assez aguerri pour faire face à ces bandits désormais. Soutenons-les, ayons confiance à nos autorités respectives et à notre armée. 👿 👿 👿 👿 👿
Le plus important est de comprendre que cet état d’urgence vas à la sécurisation des maliens.
Nous avons intérêt de respecter cet état d’urgence.
#Nous sommes tous Bamako, tous les cinq continents du Monde sont devenus ces derniers temps Mali. En tant que malien, j’en suis reconnaissant, et convie tous ces continents à s’unir pour bannir le terrorisme.
Nous avons tous assister à ce qui s’est passé dans l’hôtel et nous sommes au courant que les assaillants ont été tué, nous sommes conscient que ses assaillants ne sont pas seul.
C’est un acte idiot de mettre en doute cet Etat d’urgence que le président vient de décréter.
Mr. Le journaliste il faut dire aux maliens au tend que tu peux que cet Etat d’urgence nous devons le respecter, si tu les aimes comme les aimes ton président.
Nous savons tous de quoi ses terroristes sont capables.
Que bénis ce peuple innocent qui dit la paix par tous moyens…
Dans une lutte comme celle contre le terrorisme, le Mali n’est pas le seul pays concerné. Tous les pays occidentaux et africains sur les pieds d’œuvre d’éradiquer ce terrorisme à jamais.
Faso Den Gnouman 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
Je pense que tu as tout à raison sur toute la ligne, j’invite toute la population malienne pour leur propre sécurité à respecter au pied de la lettre l’état d’urgence. En plus, le respect de cet état d’urgence facilitera la quête des assaillants en fuites aux forces de l’ordre et de sécurité. 🙄 🙄 🙄
Vive le Mali sans terrorisme, ces bandits ont beau fait jamais ils ne pourront faire de notre chère patrie leur nid. Nos dirigeants, nos forces de sécurité œuvrent jour et nuit pour lutte contre le djihadisme.
Cet Etat d’urgence vas surtout dans l’intérêt des maliens.
Pourquoi se poser des questions sur son application ?
💡 💡 💡 Plus attentifs, plus réactifs, plus vigilants. Voilà ce que nous imposent d’être les événements du 20 novembre 😀 😀 😀 😀
Et le président de la république nous demande cela pour notre propre bien.
Que Dieu vient en aide au Mali.
Amen…
Donc pour la mise en œuvre de cette état d’urgence, lors du conseil extraordinaire des ministres le gouvernement s’est donc axé sur la constitution de notre pays, très sage de leurs parts. Vue la situation même si le gouvernement ne décrétait pas d’état d’urgence tout le monde devrait rester en état d’urgence personnelle.
Le président IBK l’a dit pendant son discours au peuple, il a demandé aux maliens d’être vigilant.
« Le Mali est un peuple hospitalier mais il faut savoir qui on accueille chez soi et dans quelles conditions. Tout le monde doit redoubler de vigilance », a exhorté le chef de l’État.
Oui Mr. le président nous devons redoubler de vigilance, Le Mali est exposée au terrorisme à cause de sa situation géographique, mais tant que nous sommes vigilant comme vous le dite, les maliens sortirons indemne de tous ses atrocités.
Nous accompagnons les mots de notre président, nous le respectons.
Nous sommes d’une nation qui gagne, nous croyons vaincre le terrorisme.
Vert, Jaune, Rouge le Mali est l’un et indivisible, quoi qu’il advienne le Mali restera débout. Nous nous bâterons pour cela, cet héritage légué par nos parents ne demeurera pas une coquille vide.
De vous à moi, nous savons tous que nul ne saura lutter contre ces terroristes définitivement. Cette attaque perpétrée en plein cœur de Bamako est un acte à condamner et à éviter dorénavant. Cette lutte est un combat de tous les jours.
Chers compatriotes nous nous ne laisserons pas abattre par des individus de mauvaise foi. Ces vaut rien qui attaque par surprise et qui tuent des innocents vont tous payés tôt ou tard leur crime.
Le régime d’IBK est un précise et responsable, il ne fait rien au hasard. L’état d’urgent avait belle et bien lieu d’être car à la base de la constitution malienne, la situation le soutenait. 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8)
Un Peuple-Un But-Une Foi
Vive un Mali uni et fort
Vive un Mali sans terrorisme
Vive le Monde sans terrorisme
“Il rappelle d’entrée de jeu que l’État d’urgence fait l’objet des articles 49 et 72 de la Constitution du 25 février 1992. La disposition était prévue par la Constitution du 2 juin 1974 en son article 51. C’est sur le fondement de cet article 51 que sont intervenus la loi N°87-49/AN-RM du 10 août 1987 relative à l’État de siège et à l’État d’urgence et son décret d’application N° 247/PG-RM du 28 septembre 1987. La loi du 10 août 1987 a abrogé l’ordonnance N°35/PC-G du 23 mars 1959 portant loi organique sur l’État d’urgence.” Merci Fousseyni Samaké, spécialiste du droit public, surtout pour la précision.
Je pense que la mise en place d’un état d’urgence est tout à fait normal et même très salutaire. Le pays est dans une phase ou la sécurité doit être de haut niveau car des assaillants sont toujours en cavale.
Ceux sont des lâches, des barbares des temps modernes, des islamistes radicales et diaboliques et des assassins. Ce sont des illettrés et intégristes vis-à-vis des recommandations du saint CORAN.
Je pense que l’état d’urgent mérite énormément d’être tenu et que les trois de deuil national surtoute le territoire national ont lieu d’être. La population est terrifié, les terroristes se fofilent entre nous. Le gouvernement se doit de protéger toute la population et se doit aussi de mettre tout en œuvre pour arrêter les assaillants en cavale.
Certes, depuis la signature de l’accord le 20 Juin, les attaques sont perpétrées dans de différents recoins du pays. Les ennemis de notre pays essaient d’intimidé le régime en place en faisant régner la terreur. C’est dans le seul but de apporté atteinte à la crédibilité de l’accord signé le 20 Juin. Vue la crédibilité et l’avantage de l’accord de paix des groupes armés tentent de faire échoué les processus de paix. J’incite IBK et son gouvernement à ne pas céder à la menace. Et aussi surtout la population, elle doit tenir d’un grand soutien derrière le régime en place et doit aussi être le complice de la des force de sécurité car la sécurité de nous et de notre bien est l’affaire de tous et sans exception. Comme l’a dit si bien le Président en place ” le Mali d’abord”. 💡 💡 💡 💡 💡 💡 💡
Je pense que toute la population malienne doit soutenir la décision gouvernementale et la respecter. Le Conseil des Ministres s’est réuni en session extraordinaire, le vendredi 20 novembre, c’est dans le cadre de la protection de la population et aussi pour rendre hommage aux victimes de ce drame.
Le Conseil des Ministres s’est réuni en session extraordinaire, c’est dans le cadre de trouver des solutions très rapide à la suite de cette sortie de crise existentielle. Le drame de produit à l’hôtel Radisson Blue mérite une mure réflexion. à la suite de ce conseille extraordinaire le gouvernement conviendra que vue la situation, qu’il sera nécessaire de mettre en place 3 jours de deuil national et 10 jours d’état d’urgence. Bravo au gouvernement malien.
L’islam est une religion de tolérance, d’amour, de pitié et de sagesse. L’islam condamne l’atteinte à son prochain jusqu’à ce que lui faire perdre sa vie c’est le pire. Qu’Allah le tout puissant nous sauve !!!
Attention ne semons pas l’amalgame aussi toutes personnes de teint clair ne sont pas des rebelles et ni des bandits. Mais en cas d’une situation de confusion il faut appeler le numéro vert ou les services de sécurité. Respectons les mesures prescrites par l’état d’urgence et le deuil national. Partageons ce moment avec les familles qui ont enregistrés des pertes dans cette tragédie.
Je prie vraiment tous les maliens que tu sois journaliste ou pas ce moment est très dur pour des diffamations et critiques politiques. Tous les maliens doivent être serins et former une volonté commune pour sauver notre pays. Évitons vraiment les polémiques, nous sommes en état d’urgence.
Merci à tous les pays qui partagent le même sentiment que notre pays actuellement. Le problème du terrorisme est un problème mondial cela concerne tout le monde.
chers frères et sœurs.
Le malheur qui vient de frapper notre pays prions pour les victimes et leurs familles.
j’ai été déçu de notre gouvernent dans tous les plans ,le Mali a été donné à des irresponsables sans conviction qui ne pensent qu a eux même.
depuis deux ans on a pas d armée , comment sans une armée un gouvernent peut contrôler intégrate territoire ? Si IKB n est pas fou ,c est peut être les maliens ont perdu leurs dignités.
Les ministres voleurs sont libres, les maires voleurs , la famille royale Keita gère le Mali .
ce qui ont financé la campagne de IBK c est eux qui volent aujourd’hui le Mali n aurait pas dû prendre son indépendance , c est une honte d avoir un gouvernement intitule comme le nôtre.
Chaque malien doit se sentir touché profondément comme si c’est nous même qui avons perdu la vie ou un parent de nous. En ce moment c’est l’union nationale qui peut nous servir beaucoup de chose. Mettons nos intérêts personnels à côté et mettons le Mali avant tout et au-dessus de tout.
Je suis Mali, je suis Bamako et je suis RADISSON BLU, personne ne va nous détourner de notre chemin. Ces gens ne sont pas des musulmans et nous devons tous soutenir monsieur le président de la république, parce que c’est le Mali tout entier qui a été frappé comme cela et c’est notre culture qui a été bafouée comme cela. Respectons ces quelques jours symboliques.
Toutes mes condoléances aux familles qui ont enregistré des dommages dans cette prise d’otage. Les victimes seront toujours gravées dans nos mémoires.
L’heure n’est pas aux réunions politiques, ni aux critiques stériles, tous les maliens doivent former un bloc pour montrer au monde entier le degré et le modèle de la démocratie malienne comme les français l’ont fait tout récemment.
Sacrifions ce moment de deuil en mémoire des victimes, partageons ces moments durs avec leurs familles. Tous les maliens doivent se conformer aux mesures d’un deuil national ou à l’état d’urgence. Les rassemblements politiques ne sont pas les biens venus en ce moments, nous voulons l’unité nationale, c’est-à-dire tous les maliens face un ennemi commun.
Présenter ses condoléances seulement ne suffit pas, il y’a un état d’urgence qui a été décrété et u deuil national, donc nous ne devons en aucun violer ces principes. Toutes familles politiques de la politique malienne doivent mettre à côté ses convictions politiques et s’ajoutent au gouvernement pour sauver notre pays du pire. C’est cela la démocratie, le Mali c’est nous et c’est à nous de lui donne tout. Toutes mes condoléances aux victimes !!!
Le conseil des ministres a décrété le deuil national et l’état d’urgence sur toute l’étendue du territoire national. Toutes mes condoléances aux familles des victimes de cette attaque. 😛 😛 😛 😀 😀 😀
Le conseil des ministres lors de a session extraordinaire suite à la prise d’otages du vendredi 20 novembre 2015 a décrété un deuil national avec un état d’urgence. L’heure est, certes, grave mais la population doit garder son sang-froid face à cette situation. 😛 😛 💡 💡 💡
Je partage effectivement les douleurs des parents des victimes. Tous, respectons l’état d’urgence pour aider les forces de sécurité dans leur fonction. 😀 😀 😛 😛 😛
Que la terre soit légère aux victimes. Je souffre carrément de cette attaque. Comme on a l’habitude de le dire, on ne peut rien contre la volonté de Dieu. Même si je sais que le tout puissant ne peut pas vouloir de ses créatures jusqu’à ce point. Mais rien ne passe inaperçu de l’omniscient, l’omnipotent et l’omniprésent. 😛 😛 😀 😀 😀
Que la terre soit légère aux personnes tuées dans cette prise d’otages de l’Hôtel Radisson Blude Bamako. 😛 😀 😀 😀
Toutes mes condoléances aux familles des victimes. Le Mali ne méritait pas cette attaque terroriste. J’invite toute la communauté internationale à unir leur effort pour combattre le terrorisme. Je salue le gouvernement pour la situation d’état d’urgence qu’il a décrété. ➡ ➡ 😛 😛 😛
Le Mali tout entier est en deuil après cette prise d’otages et son bilan de victimes : une vingtaine de morts des blessés et seulement deux assaillants abattus. 💡 💡 💡
J’invite tous les citoyens maliens au calme. On ne doit pas céder aux paniques déjà les forces de sécurité maîtrisent paniques. D’ailleurs je demande à tous de fournir des informations aux agents de l’Etat en cas de soupçons de toute sorte. 😛 😛 😀 😀
Les autorités maliennes sont les seules à pouvoir décréter l’état d’urgence sur le sol malien. ne soyez pas bêtes, monsieur le journaliste. Certaines questions ne doivent pas être posées. Néanmoins laissons nos controverses de côtés et prions tous pour les âmes des personnes tombées dans cette attaques reposent en paix. 😛 😛 😀 😀
Je suis pour une coalition entre toutes les forces de la Communauté Internationale pour mettre fin à l’hégémonie des terroristes. Après la France ils frappés fort au dans la capitale malienne avec comme bilan une vingtaine de morts et de blessés. 😀 😀 😛 😛
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