« On ne me bouscule pas. On ne me trimbale pas. » C’est ainsi que le président de la République Ibrahim Boubacar Keita a réagi à la déclaration des groupes armés (MNLA, HCUA et MAA), annonçant la suspension de leur participation à l’Accord préliminaire de Ouagadougou.
Le chef de l’Etat s’exprimait après son intervention à la tribune de l’ONU. « Ceux qui n’ont pas de sang sur les mains, ceux qui ne sont pas des djihadistes avérés, verront leur sort allégé. Nous l’avons dit et nous le ferons. Tout cela doit se faire dans le cadre de la confiance. Sans la confiance, rien ne peut être réalisé », a développé le président Keita qui a rappelé aussi que son gouvernement n’est en place que depuis 2 semaines.
En plus de la réaction du chef de l’Etat, le gouvernement a publié le 27 septembre dernier un communiqué qui apporte des précisions au sujet des accusations de non-respect par l’Etat des engagements pris dans l’Accord de Ouagadougou.
Ces précisions sont les suivantes :
Après sa mise en place, le 08 septembre 2013, sous la haute Autorité du Président Ibrahim Boubacar Keita, le Gouvernement a accompli les tâches suivantes :
Premièrement : L’Adoption de Mesures de confiance, à travers la libération des personnes détenues. A ce jour, 32 personnes ont été libérées. D’autres dossiers sont en cours de traitement, notamment, celui des députés qui sont sous le coup d’un mandat d’arrêt international.
Deuxièmement : L’Organisation des Forums de sensibilisation :
En application de l’article 20 de l’Accord préliminaire à l’élection présidentielle et aux pourparlers inclusifs de paix signé à Ouagadougou le 18 juin 2013, le gouvernement a organisé, les 15 et 16 septembre 2013, des forums de sensibilisation dans les trois régions du Nord en se rendant successivement à Tombouctou, Kidal et Gao.
D’autres missions conduites par les gouverneurs et les préfets ont effectué la même démarche dans le même objectif.
Troisièmement : Le 17 septembre 2013, le Président de la République a rencontré les groupes armés (MNLA, HCUA, MAA et FPR).
Lors de cette rencontre, le Président de la République a fixé le cadre des futures négociations, tout en rappelant le principe suivant : »Tout peut être discuté sauf l’intégrité territoriale et l’unité nationale ».
Le lendemain 18 septembre 2013, le Gouvernement a participé à la réunion du Comité de suivi de l’Accord de Ouagadougou, à l’issue de laquelle il a officiellement remis à la MINUSMA et à la Croix Rouge 12 personnes qui ont fait l’objet de mesures de libération.
Quatrièmement : Les États généraux de la décentralisation sont convoqués du 21 au 23 octobre 2013.
Déjà, les groupes de travail sont à pied d’œuvre pour préparer cette grande réunion qui permettra de faire le bilan de l’expérience malienne en matière de décentralisation mais surtout de déterminer les mécanismes institutionnels permettant de donner plus de pouvoirs aux collectivités décentralisées.
Cinquièmement : sur le cantonnement, le gouvernement a informé la MINUSMA et les autres partenaires extérieurs qu’il était disposé à prendre en charge une partie du financement de l’opération de cantonnement dès qu’un accord interviendrait sur les critères.
Sixièmement : Un Programme d’urgence pour la relance du développement dans les régions du Nord a été finalisé le 26 septembre 2013.
En outre, le Plan de développement accéléré des régions du Nord est en cours de préparation.
Septièmement : Le gouvernement prépare activement les Assises nationales du Nord. Elles se tiendront avant l’expiration des 60 jours prévus pour le démarrage des discussions avec les groupes armés, conformément aux engagements contenus dans l’Accord de Ouagadougou.
B. TOURE
“L’emotion est negre la raison est helene” disait senghor. Je me demande ce que peut faire un president d’ont le people doit faire recours a son ancie colonisateur ou a un pays pauvre et tres endete comme le Tchad pour se proteger contre ceux qu’ils appellant des “bandits”. Qu’est ce qu’il peut faire IBK autre qu’executer les ordres de son sauveur le colon Holland?
« On ne me bouscule pas. On ne me trimbale pas. »
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
ÇA C’EST DU VRAI IBRAHIM SOUNDIATA KEITA …UN DICTATEUR DANS SES PROPOS ET RIEN DE CONCRET….!!!! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
PLUS DE GUEULE QUE D’ACTION …IL FAIT NOTRE FIERTÉ … TOUT COMME NOTRE BRAVE GÉNÉRAL DEGUEULE … !!!! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
VAS Y IBK … VAS Y … NOUS SOMMES DERRIÈRE TOI…!!!! 😆 😆 😆 😆
TU AS DIT … TU VAS FAIRE …!!!
ON NE SAIT QUOI … MAIS ON ES DERRIÈRE TOI…!!!! 😆 😆 😆 😆 😆 😆
EY YA FÖH … EY BAH KEH …!!!
AN TAH DON MOU KODOH …NGA ANW BEH SAH EY NOFEH …!!! 😆 😆 😆 😆
Moussa Ag,… SASSILLON TEH BIN … NEY EY YAH BIN EY BEH SAH … 😆 😆 😆 😆
N’OUBLIES PAS DE TEMPS À AUTRE D’ÉCOUTER KOUNADIA DE OUMOU SANGARE ET AUSSI SANOUNEGENI …
MNLA et autre vraiment vous ne connaissez pas du tout IBK, mais tres bientot il va vous regler vos comptes…
maliens consolidez vous autour de votre presidents et des fils dignes de votre pays…n’ ayez peur de rien… Le Mali = un pays fort et indivisible
les malienne on na na mare d entendre des discoure pour rien on veux des acte 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳 😳
Exact Alkerou! Exact!!! 😉 😉 😉
Alkerou il ya quoi meme, pourquoi t’es en colere encore? 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Apres les tentatives de la dislocation de l’Etat Malien,il est dit que les Etats Generaux de la decentralisation vont faire le bilan de l’experience Malienne et et determiner les mecanismes institutionnels de donner plus de pouvoir aux collectivites decentralisees.Le probleme est mal pose.L’objectif après cette crise doit viser a renforcer la cohesion nationale.Si plus de decentralisation va afflaiblir l’Etat Malien,developper le regionalisme local,provoquer plus de detournement ou de gaspillage a cause par exemple par manqué de cadres competents au plan local,par l’insuffisance ou l’absence de ressources locales,il faut au contraire ralentir le rythme de la decentralisation.La decentralisation doit conduire a plus de developpement local,plus de partage du revenu national et en fait a un taux plus eleve de croissance de l’economie nationale et non le contraire.Les ressources mobilisables localement,les cadres locaux competents,les decideurs locaux integres sont les conditions du succe
Tu as vraiment raison…
Monsieur le Président vous avez peur de qui? ou de quoi? S’il n’y a pas de dil entre vous alors vous devez être plutôt ferme au lieu demander pardon doucement je vais le faire. S’il vous plais respectez le peuple malien. Cette décision de certains groupes armés devait vous donner le courage que c’est désormais vous qui êtes aux commandes. Quand vous faites comme si vos copains étaient entrain de vous pousser dans le dos et comme vous n’êtes sûr de réussir, vous dites: Héy……..doucement j’ai pas peur………je peux………..je vais me voilà entrain.
ON NE ME BOUSCULE PAS, ON NE ME PROMENE PAS!!!! Ca, c’est parler!!!!
Seulement quand ces propos fiers “d’homme à poigne” émanent d’un homme qui vient de ramper honteusement devant ses amis putschistes, et qui vient d’accueillir gentiment dans les salons de koulouba les groupes armés du nord 3 jour après que trois de ses ministres se soient fait publiquement caillasser, C’EST A MOURIR DE RIRE!
La “fermeté” se montre dans les ACTES, Monsieur le Président! Pour l’instant, ta fermeté à toi n’apparaît jamais que dans tes MOTS!… Ca peut marcher quinze jours, trois semaines au plus, mais on commence tous à “demander à voir”!
Tu seras bousculé et trimbalé puisque ton armée n’est pas prête c’est le bon moment d’obtenir de toi ce qu’on veut.
Kinsley
“Tu seras bousculé et trimbalé puisque ton armée n’est pas prête”
Faux mon frère! Depuis le renouveau d’ibk, notre armée est FIN PRETE au contraire!…
Je rappelle que désormais, notre armée est placée sous la haute responsabilité du Général 4 étoiles Sanogo, et que notre armée compte désormais de valeureux généraux comme sinko-nullard, Samaké-grassouillet, etc…
C’était CA, le fameux “renouveau” IBK! Maintenant, notre armée jusqu’ici malade et à reconstruire est EN DE BONNES MAINS!
Gloire au Kankelentigi! 👿 👿 👿 👿 👿
… ecoutez et reflechissez… vous devez inviter les temoins de la colonisations, ceux la qui n’ ont pas encore ete rendus fous par la religion musulmane des 53 annees …
http://www.maliweb.net/news/video/2013/09/27/article,172259.html
Nous disons et rappelons que tout le monde entier sait avec 1brin d’honnêteté même les tarés idiots de naissance et ceux qui refusent de connaitre la vérité d’1situation pour des raisons primaires égoïstes (familiales claniques raciales financières politiques religieuses etc) que seuls les captifs ou prisonniers d’1razzia sont bousculés trimbalés par leurs maitres
Nous disons et rappelons que tout le monde entier sait avec 1brin d’honnêteté même les tarés idiots de naissance et ceux qui refusent de connaitre la vérité d’1situation pour des raisons primaires égoïstes que les serviteurs les esclaves les « boys » exécutent les ordres de leurs maitres ou chefs
Nous disons et rappelons que tout le monde entier sait avec 1brin d’honnêteté même les tarés idiots de naissance et ceux qui refusent de connaitre la vérité d’1situation pour des raisons primaires égoïstes que le lettré mutant politique nouveau président du Mali 1des responsables de la déliquescence du Mali et choix de la « France-Afrique » est là pour exécuter rapidement et sans faute en complicité avec le « bon nègre exécutant ministre de l’intérieur France-Mali » dans les 60 jours à venir les soit disant accords de Soudanisation Balkanisation du Mali avec l’apologie de l’impunité et du racisme de Ouaga
Nous disons et rappelons que tout le monde entier sait avec 1brin d’honnêteté même les tarés idiots de naissance et ceux qui refusent de connaitre la vérité d’1situation pour des raisons primaires égoïstes qu’ils vont s’exécuter et les pauvres citoyens violés tués handicapés à vie sont le dernier de leur souci
Nous disons et rappelons que les anciens qui avaient 1sens aigu de l’observation disaient que les « politiguimôgô » ou lettrés mutants politiques africains ont cette fâcheuse habitude de prendre les citoyens lambda « d’imbéciles heureux buvant l’eau par leurs narines ou de nez percé ou noussogomôgô »
Le gouvernement doit mettre en place un système médiatique, qui fera le lien entre:
– Le départ des bandits chefs du MNLA et les attentats à Kidal et Tombouctou d’abord;
– Le racisme et les mouvements touareg, arabes, narcotrafiquants;
– Le chantage et le fait que le Burkina reste leur pays d’accueil.
– Les condamnations stériles de nos dirigeants sont inutiles et font le jeux de ces bandits
Mes respects
IBK bat le tambour d’un Mali glorieux avec les tibias des morts venus d’ailleurs.
Un ambassadeur de Guinée équatoriale en France aimait à me répéter que Dieu avait bien fait les choses : il a donné la montre aux « Blancs » et le temps aux « Noirs ». Les VIP rassemblés à Bamako ayant finalement déjeuné à l’heure du goûter, i>TELE a donc dû meubler tout au long d’une cérémonie qui tirait en longueur. Du même coup, la conférence de presse prévue pour clore la journée a été largement décalée dans le temps. On avait annoncé la présence de quatre présidents pour répondre aux questions : IBK, bien sûr, et François Hollande, mais aussi Idriss Déby Itno et Alassane D. Ouattara. Et le bandeau d’annonce d’i>TELE n’a cessé de proclamer la présence de ce quatuor tout au long de sa retransmission de la conférence de presse.
Apparemment ADO, président de la Cédéao, n’était pas de l’opération. Dommage : l’image aurait été forte de la présence du chef de l’Etat français auprès du « socialiste » malien, du « libéral » ivoirien et de « l’autoritaire » tchadien. Trois chefs d’Etat africains qui doivent leur accession ou leur maintien au pouvoir à l’armée française. Une armée française engagée à leurs côtés sous des présidents différents, de droite (Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy) comme de gauche (Hollande).
Symbolique ! Non pas d’une « Françafrique », concept auquel je n’ai jamais adhéré, mais d’une Afrique qui, trop souvent, revendique haut et fort son indépendance et sa souveraineté, sans jamais se donner les moyens d’assurer l’une et l’autre. Le long discours de IBK, au stade du 26-Mars, s’est inscrit dans ce cadre d’affirmation-négation. Un Mali historique, glorieux, mondialisé avant la mondialisation (et, bien sûr, la colonisation), une puissance internationale dont l’impact se faisait ressentir jusqu’en Asie…
Et puis cette longue litanie égrenant les amitiés dont peut se flatter, aujourd’hui, le « Mali nouveau ». Il est vrai que pas loin d’une trentaine de chefs d’Etat et de gouvernement a fait le déplacement jusqu’à la fournaise du stade du 26-Mars. Hollande, incontournable ; Déby Itno inévitable ; ADO, Blaise Compaoré, son « infatigable frère » (seul chef d’Etat accompagné de son épouse), Thomas Boni Yayi, les acteurs-vedettes de la résolution de la « crise malo-malienne » au titre de la Cédéao et de l’Union africaine ; mais aussi un inattendu Mohammed VI, « invité d’honneur » au titre de l’Afrique musulmane et de l’islam et aujourd’hui dans le collimateur d’AQMI ; Obiang Nguema Mbasogo, présenté par IBK comme « le doyen des chefs d’Etat africains » et le promoteur, « au plan social, d’un modèle nouveau qui est en train de voir le jour » (ce qui ne manquera pas de surprendre les Equato-guinéens qui n’appartiennent pas à la sphère du pouvoir, les nombreux Africains qui « font tourner la machine » dans un contexte qui n’est pas sans évoquer les pires heures de la colonisation espagnole et les ONG qui ne cessent de dénoncer une corruption érigée en mode de production). Le très « républicain » IBK, figure de proue africaine de l’Internationale socialiste, n’avait pas, en ce jour de gloire, l’ambition de faire le tri parmi ses amis. Il est vrai qu’il n’était pas plus dans la nuance concernant ses « modèles ».
Rappelant qu’il avait été comparé à Charles de Gaulle, François Mitterrand, Edgar Faure (président du Conseil sous la IVème République dont il a été une des figures emblématiques), IBK déclarera sans sourciller que « mieux que De Gaulle, mieux que Mitterrand, mieux que Faure, je suis moi-même ». On mettra cela, bien sûr, sur l’emballement qu’a pu provoquer cet étonnant jamboree de chefs d’Etat. IBK n’en revient pas d’être admis, enfin, au club des présidents de la République ! Il est vrai que, jamais, la cérémonie d’investiture d’un chef d’Etat africain n’avait mobilisé autant de personnalités et d’équipes de télévisions étrangères. L’espace de quelques heures, Bamako est devenu la « capitale de l’Afrique » : il faudra bien du temps avant qu’un événement national africain rassemble autant de beau monde continental… !
Ce jeudi 19 septembre 2013 n’a pas été une journée de fête populaire : rien d’autre que la consécration d’un homme. La cérémonie du stade du 26-Mars a débuté – très tardivement – par un court documentaire à la gloire d’IBK. Puis Hollande, Ouattara, Déby et Mohammed VI sont venus dire leur satisfaction d’être là en lieu et place des « djihadistes » qui ambitionnaient, dit-on depuis le 11 janvier 2013, de s’installer à Bamako. Oubliée la « guerre » déclenchée par le MNLA ; oublié le coup d’Etat foireux du capitaine Sanogo ; oubliée la débandade politique d’un Mali coupé en deux ; oubliées les tribulations d’une « transition » au cours de laquelle les « bérets verts » ont entrepris d’éradiquer les « bérets rouges » tout en matraquant le pouvoir civil ; oubliée la trouille de Bamako face à l’offensive des « djihadistes ».
Le 11 janvier 2013 et l’opération « Serval » ont redonné la « pêche » à la classe politique malienne qui, cependant, a été bien incapable d’unir la nation autour d’un projet de reconquête du territoire. Il a fallu l’engagement massif des troupes françaises, le savoir-faire guerrier des Tchadiens, le soutien de la « communauté internationale » et « l’infatigable » travail de médiation des Burkinabè pour que, enfin, quelque peu contre le cours des événements maliens, un président de la République soit élu. Ce que les chefs d’Etat sont donc venus célébrer le 19 septembre 2013, ce n’est donc rien d’autre qu’une… élection présidentielle qui s’est bien déroulée. C’est dire que cet événement banal et national est devenu, en Afrique, un événement exceptionnel et international : on avait déjà vécu cela lors de la prestation de serment de Ouattara, à Yamoussoukro en 2011.
Autant dire que IBK bat le tambour d’un Mali glorieux avec les tibias des morts venus d’ailleurs. Idriss Déby, acclamé plus qu’aucun autre par la foule présente au stade du 26-Mars, lors de la conférence de presse, n’a pas manqué de faire remarquer que lorsque les troupes tchadiennes sont arrivées sur le terrain malien, elles n’ont « trouvé que la France seule ». Façon de dire que les Maliens ne se sont pas bousculés pour aller défendre leur territoire et que les troupes africaines promises par la Cédéao n’ont pas été beaucoup plus motivées.
La meilleure preuve en est – et Déby Itno*, là encore, a relevé le fait – que le contingent tchadien qui devait être relevé en août ne l’était toujours pas alors « qu’il n’y a pas que le Tchad qui devait être là » (c’est pourquoi, explique-t-il, plus d’une centaine de soldats tchadiens ont pris la poudre d’escampette dans le Nord-Mali ; pour rejoindre des groupes « rebelles » qui, eux, tiennent leurs promesses ?). IBK, lors de cette conférence de presse, a dit que le Mali était « en attente d’un chef ». Le « chef » est arrivé. Promettant « plus jamais ça ». L’Histoire nous dira si Kankélétigui (« L’homme qui n’a qu’une parole ») mérite son blaze !
*Promu par le fait d’armes de ses soldats « parrain de l’Afrique francophone », le président Idriss Déby Itno n’est plus dans la retenue. Lors de son intervention au stade du 26-Mars, il a donné ces conseils à son « protégé » : « Vous devez faire face à des exigences de transparence, d’unité, de justice et de réconciliation. Vous n’avez pas droit à l’erreur, d’où la nécessité d’associer toutes les forces vives du pays à l’œuvre titanesque de réconciliation qui vous attend ». Les « opposants » tchadiens à Déby Itno, ceux qui croupissent en prison, ceux qui ont choisi la route de l’exil, ceux qui sont réfugiés dans les pays voisins ont dû se poser la question de savoir où le chef de l’Etat tchadien a été chercher ces mots de « transparence, unité, justice, réconciliation » qui, d’ordinaire, ne font pas partie de son vocabulaire.
malicounda
Splendide! Un post comme on en voit jamais sur ce forum!… Analyse et description sans concessions de la première à la dernière ligne!
RESPECT!…
Par contre mon frère, quand tu écris:”Le « chef » est arrivé. Promettant « plus jamais ça ». L’Histoire nous dira si Kankélétigui (« L’homme qui n’a qu’une parole ») mérite son blaze!”…
L’HISTOIRE, je ne sais pas… Mais entre la composition de son gouvernement, les cirages de rangers à la junte, la glorification scandaleuse de GMT, mais les FAITS ACTUELS semblent largement démontrer que son blaze n’est jamais qu’un blaze, et rien d’autre!
qu’elle réponse nous n’avons rien entendue encore. nous avons 32 Ministres chacun doit jouer sont rôle le peuple attend une réponse sur la sécurité de la population au nord elle se dégrade de jour en jour
« On ne me bouscule pas. On ne me trimbale pas. » Parole de maitre.
Meme notre createur le puissant Soubhan Allah en creant le monde l’a fait etape par etape.
Maliens Maliennes ,Rien ne Sert de Courir,Il Faut Partir a Point.
DANS “LE MALI D’ABORD” ,les choses se feront etape par etape inchallah.
TU VIENS DE T’ELEVER AU RANG D’USTENSILE-SERVILE. Tu es un CANCRO-MECREANT-FAUX-MUSULMAN. MEME A 13 ANS, ON APPROUVE PAS SON IDOLE DE LA SORTE.
RESSAISIS-TOI.
FELICITATION POUR TA NOMINATION AU (GRADE) D’USTENSILE-CANCRO-SERVIL.
Bien dis mon president inshalla dieu va t aider je detestes des gens negatives qui souhaite tjrs le mal .tu viens juste d commencer .un Keita n a jamais EU peur .bonne chance
“Le président Keita depuis New York : « On ne me bouscule pas. On ne me trimbale pas »”
PROUVE-LE RAPIDEMENT POUR VOUS-MEME ET POUR LE MALI
Encore une fois, des DECLARATIONS!… Depuis la fin de la campagne, nous en sommes là!
Déclarations sur déclarations… Des mots, des formules, des avertissements, bref, DES MOTS!
Moi, dans sa formule-phare qui lui vaut tant d’applaudissements “Tout peut être discuté sauf l’intégrité territoriale et l’unité nationale”, j’aimerais quand même en savoir plus sur ce “TOUT” qui peut selon lui être discuté!
Il est beaucoup trop tôt pour parler de “fermeté” tant qu’on ne sait pas ce que cache ce “tout”!
Admettons, IBK est democrate et conçoit la liberté d’expression. Voila ce qu’il faut entendre par “Tout peut être discuté” mais seulement “discuté” et rien d’autre.
Mon ami NPF, je te sais, OH COMBIEN !!! moins naif que mes explication à l’attention de CAPI et ONATE qui au fond développent la meme logique dans tous LES CAS.
Mon œil. Tu seras bousculé et renversė. Tu as cherche tu as trouve.
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