En proie à une rébellion farouche depuis le 17 janvier 2012, le septentrion malien aujourd’hui occupé de façon anarchique et abusive par des bandits armés appelés rebelles semble devenir le nouvel Eldorado des terroristes et des narcotrafiquants. Preuve, depuis un certains temps, cette partie de notre pays fait face à l’arrivée massive d’étrangers (toutes nationalités confondues, notamment des pakistanais, des afghans et autres fidèles d’Aqmi, de Boko Haram, de MUJAO, d’Ançardine), bref par des hommes qui ne nourrissent que par des ambitions destructrices.
Fort de la présence de toutes ces grandes branches du terrorisme dans la partie nord de notre pays, nul ne doute d’une chose : la reconquête du nord Mali par les forces armées semble bien difficile. A cela, il faudra ajouter la situation qui prévaut politiquement dans le pays ; où on ne sait plus qui des trois « Lions de la Forêt» a le contrôle du pouvoir exécutif.
D’un côté, la Junte (CNRDRE) qui semble détenir les vraies reines du pouvoir central, et de l’autre côté deux géants aux pouvoirs exécutifs limités.
Autant d’interrogations, nous font dire aujourd’hui que la reconquête du nord malien n’est pas pour demain. A telle enseigne que d’aucuns pensent déjà à une cause perdue. Toute chose qui ouvre la porte aux rebelles du MNLA et à leurs alliés de vaquer sans être inquiétés à leurs affaires, tout en empêchant les paisibles populations des trois régions occupées de vivre en toute liberté. Et si l’on laissait de côté certaines querelles, qui en fait ne nous amènent nulle part pour face à la gestion de la crise au nord de notre pays, cela ne serait-il pas une bonne raison pour nous de sceller définitivement une cohésion qui semble nous faire défaut depuis de longs mois déjà.
Un adage bien sage dit ceci : « On peut avoir la volonté, la force, l’intelligence, le courage et même la décision de mener un combat ; mais à défaut de moyens adéquats pour faire face à ce combat, on peut ne pas refuser l’apport même minime d’un proche ou d’un voisin ». Au vu de la situation actuelle qui prévaut dans la partie septentrionale de notre pays, nul ne doute que seuls, nous pourrons bouter hors de nos frontières, ces désormais grands du terrorisme islamique.
Personne ne peut faire face à elle toute seule pour combattre le terrorisme. Pour preuve, les Etats-Unis super grande puissance de la planète terre ont souvent fait recours à plus petits qu’eux pour combattre le terrorisme ; en témoigne la présence des soldats français en Afghanistan aux côtés de GI américains pour mener la guerre contre le terrorisme. Au Mali, il est clair, qu’avec une armée qui semble avoir des moyens limités, en plus d’un besoin de formation qui semble être de mise de la même armée, doit tourner la tête vers d’autres pour déloger ces bandits armés, ces terroristes et cette rébellion hors de nos frontières.
En dépit du danger qui secoue le nord de notre pays, on a l’impression, que nos dirigeants ont tendance à s’occuper du politique que de chercher à trouver des voies et moyens pour reconquérir la partie septentrionale du pas qui est désormais sous le contrôle d’une rébellion qui semble avoir du soutien même invisible d’autres pays voisins ou de puissances étrangères, notamment occidentales.
En attendant, de trouver une solution définitive à la situation confuse qui règne au nord Mali ; la place est ouvertement donnée aux terroristes d’Ançardine, d’Aqmi, de Boko Haram, de MUJAO, pour faire circuler librement la drogue à leur guise dans le nouvel Eldorado du monde des narcotrafiquants. Et le plus grand perdant dans tout cela, est bel et bien le Mali.
Par Zhao Ahmed A. Bamba
Le Mali restera un et indivisible, que les ennemis le veuillent ou pas. Chaque pays a ses moments de crise, tout cela va passer. Il n’y aura ni fédération, encore moins une république de je ne sais quel azawad. Si occupation il y a du nord, c’est bien celui des salafistes qui est de fait aujourd’hui. Après tout, ces salafistes sont des musulmans comme la majorité des maliens, donc ont peut bien discuter avec eux étant donné d’ailleurs qu’ils ne demandent pas une partition du pays. Oui, les salafistes sont la bête noir des européens, notre amis de labas nous conseil de nous allier avec le mnla ! Nous allier avec ceux qui veulent la partition du pays, combre avec eux pour leur compte contre ceux qui ne cherchent pas la division du pays. Pour les interêts de qui ? Le mnla va devoir regler ses differents avec AQMI, et avec l’armée nationale.
Mon cher ami «Sarkosy», désolé de le dire, mais vous vous trompez complètement dans sa pensée. Le grand ennemi du Mali est une vision obscurantiste de l’islam, prêché par AQMI au nom d’autres intérêts, plus prosaïque, comme la contrebande d’armes et de drogue et l’oppression des personnes, en particulier les femmes. L’Islam est libérateur, pas oppressante. Muhammad a combattu contre l’obscurantisme et prêché une religion où les droits de l’homme et la femme ont été garantis. Salafistes n’ont rien à enseigner ou à donner aux gens du Mali. En ce qui concerne le fédéralisme, il peut aussi être libérateur pour les gens. Et le Mali a tout à gagner d’un système fédéra. Le Brésil est une fédération, mais aussi l’Allemagne, les États-Unis et au Canada, etc., Etc. Mali pourrait donner une leçon au monde: en Afrique aussi la fleur de la démocratie peut s’épanouir.
man le MALI est divisé il faut arreter de nous amerdé avec ces louange de un et indivisible le pays est divisé depuis janvier on tourne en rond a bamako a faire des reunion qui n’aboutisse pas et vous aite la parler encore d’un et indivisible les parol ne suffise plus il faut passé a des actes concraits 👿 👿 👿
l’ancien Mali etait trop grand à gerer pour vos gouvernants .Maintenant que le Nord est devenu l’Azawad , c’est trés bien pour vous ,un Mali plus petit sera plus facile à gerer et d’autre part on ne pourra plus vous accuser de recevoir des terroristes et des avions d’Air Cocaine
Nous devons comprendre la situation dans le nord du Mali d’une manière rationnelle: Azawad n’appartient pas aux politiciens à Bamako, mais leurs populations, que ce soit touareg, arabe ou autre. La solution au Mali est bien sûr accepter cette réalité appelée «Azawad» et aller vers une fédération, qui donnera une autonomie considérable au nord du Mali, tout en maintenant l’intégrité territoriale. Cette solution, en regardant le rapport réel des forces dans le nord, pourrait être acceptée par le MNLA (mouvement touareg et anti-islamiste) et le FNLA (arabe et anti-islamiste). En union avec l’armée malienne et les forces de la CEDEAO pourrait lutter contre AQMI et Ansar Dine. Mais Bamako a dû accepter la nouvelle réalité appelé Azawad, en vertu d’une nouvelle réalité politique et institutionnelle désignée comme la Fédération du Mali. Sinon Mali perdra le Territoire du Nord, livrés à des terroristes d’Al-Qaida … une véritable épée de Damoclès pointé le col de Bamako. Mali ne doit pas abandonner les populations du Nord, en particulier les Touareg, qui ont été si mal traités par l’histoire. La rébellion touareg a commencé parce que Bamako ne reconnaît pas les droits des Touaregs et la spécificité du nord
TOI TU ES FOU IL N’Y AURA AUCUNE SOIT DISANTE FEDERATION AU Mali un et un Mali seul. QUE TU LE VEUT OU PAS LE TEMPS NOUS DONNERA RAISON WAIT AND SEE.
Vs êtes ami euro vraiment du Mali!!! Vs n’êts pas par hasard MNLA en detresse sur maliweb!!!! Même en citant la population du nord du Mali, vs n’avez pas mentionné la mojorité (Sonrhai). Vs avez tt simplement dit Touareg, Arabe et autre dc soit vs êtes raciste ou vs flertez avec le MNLA qui pour ns n’existe que dans les studios de l’AFP. Vos suggestions, gardez les pour vs même ici on trouvera tjrs une solution, notre solution.
Le Mali est un et indivisible. Le Mali est certes envahi par bandes armées étrangères, nous allons les bouter tous hors du territoire national. Même le mnla va se joindre à nous maliens pour les combattre, c’est une question de temps,pour la simple raison que le MNLA lui-même se cherche, ses combants ont été supplantés par ces bandes, la preuve Kidal leur fief est entrain de se vider de sa population. Ils en ont eux même marre de la présence de ces islamistes.
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