Les espoirs de la signature imminente d’un accord de paix globale entre le gouvernement du Mali et les groupes armés sont en train de s’éloigner peu à peu. Pourtant, la communauté internationale à travers la MINUSMA déploie des efforts considérables pour la reprise du dialogue, mais cette volonté se heurte à la mauvaise des groupes armés qui soufflent le chaud et le froid. Ainsi, depuis la visite effectuée par une délégation du conseil de sécurité dans notre pays au début du mois dernier, les différentes parties s’étaient engagées de renouer le dialogue. Ce qui avait rendu possible la tenue de deux ateliers informels et inclusifs les 13 et 14 février dernier portant sur les leçons apprises des accords passés et sur le cantonnement. Ces rencontres avaient notamment permis de regrouper le gouvernement et les groupes armés. Par contre, l’engouement suscité par cette mobilisation s’est vite estompé au second round des discussions, laissant la place au désespoir. En effet, les groupes armés tels que le MNLA n’a pas pris part à ces rencontres. Dans un communiqué récemment rendu public, ce mouvement armé accuse le gouvernement de non-respect de ses engagements et la MINUSMA d’inaction. Raison pour laquelle elle pose des conditions pour participer à de nouvelles discussions avec le gouvernement malien.
C’est ainsi qu’il a appelé à la fin des réunions dites informelles, la tenue des discussions sur un terrain neutre (en dehor du territoire malien) et la désignation d’un médiateur. Cependant, beaucoup pensent que cette réaction du MNLA vise à masquer les difficultés auxquelles il est confronté. Rappelons que ce mouvement est secoué par des vagues de départs dont le dernier en date et non des moindres, est celui de Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, ex-chargé des affaires extérieures du mouvement et également négociateur en chef dans les discussions de Ouaga. Ce dernier a récemment annoncé la création d’un nouveau groupe armé pour fin mars et revendique plus de 60% de l’effectif du MNLA. On lui reprochait notamment sa volonté de dialoguer avec le gouvernement malien. Par ailleurs, il y a aussi le MAA et les mouvements d’auto-défense regroupés au sein de la coordination des mouvements et forces patriotiques de résistance (CMFPR). Ceux-ci font face à des querelles de leadership.
Quant au HCUA, il n’a aucune crédibilité en ce sens qu’il est essentiellement composé de rescapés d’Aqmi, d’Ansar-Dine et du Mujao. Après avoir commis les plus graves atrocités que le pays ait jamais connues, ceux-ci chercheraient surtout à revenir par la grande porte. Autant d’obstacles qui font que la signature d’un accord de paix globale qui doit être signée entre le gouvernement et les groupes armés n’est pas pour demain, car chaque partie se renvoie la balle. C’est donc un dialogue de sourds qui s’amorce entre les protagonistes et on ne sait jusqu’à quand cette situation va demeurer.
Massiré DIOP
APRES LA PRISE D’ANEFIS PAR LES FORCES ARMEES MALIENNES.
POURQUOI ET POURQUOI LES FORCES FRANCAISES SE SONT INTERPOSEES FACE A L’ASSAUT IMMINENT CONTRE LES CRIMINELS A KIDAL.
CHER KOUAYATE TU VRAIMENT HORS DE L’ACTUALITE. 💡
LA FRANCE SE FAIT UNE VRAI FAUSSE IDEE DE CES BANDITS ARMES.
SI LA FRANCE PENSE QUE CES CRIMINELS SONT DES PARTENAIRES DE DIALOGUE ELLE SE TROMPE.
CE SONT DES GENS A MATTEEEEEEEEEEEEEEER. 💡
Tant que ce maudit MNLA existera avec la bénédiction de la communauté internationale il y aura pas de paix au MALI. Car un bandit ne comprend que le langage des armes
IL FAUT DIRE QUE TU N’AS PAS D’ARMEE SINON CES BANDITS DU MNLA MERIENT D’ETRE BOTTER LEURS FESSES
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