Depuis dix mois, à la faveur de la rébellion armée du MNLA, des jihadistes et autres narcotrafiquants se sont installés dans le nord de notre pays. Plutôt que de venir en aide au Mali qui a toujours répondu présent à l’appel des autres pays en difficulté, la communauté internationale s’est livrée à des hésitations, en partie à cause de l’attitude de certains acteurs de la vie publique au Mali
Face à la menace d’un chaos généralisé pour toute la sous région, le Président par intérim, le Pr Dioncounda TRAORE a sonné le tocsin, suscitant la mobilisation générale des Maliens et des amis du Mali aux côtés de notre armée. Dans la foulée, l’état d’urgence a été proclamé. Cette situation nouvelle a permis de faire face au seul défi qui vaille en ce moment : la libération des zones sous occupation. Après quatre semaines de combats, le bilan est mitigé, car le terrorisme a été certes chassé mais pas vaincu, pour paraphraser les propos de François Hollande, le président français. Les villes occupées ont été reprises les unes après les autres et la menace qui pesait sur Bamako a été repoussée : Gao, Tombouctou, Kidal, Tessalit, Ménaka, Konna, Diabali entre autres ne sont plus aux mains des jihadistes. Profitant de cette nouvelle situation, le MNLA revient à nouveau au devant de la scène, annonçant avoir pris le contrôle de Kidal puis de Ménaka et suscitant un autre débat face à son « refus » de voir l’armée malienne se déployer sur les zones qu’il occupe. L’armée malienne peut-elle s’accommoder d’une force militaire hostile sur le territoire malien ? Elle ne devrait pas. Les autorités politiques le permettront-elles ? Rien n’est moins sûr. Et pour cause ! Les combats en cours à Gao ces derniers jours n’augurent rien de bon. Elles traduisent la guerre d’usure dans laquelle les jihadistes veulent embarquer les forces armées du Mali et celles des pays alliés. Face à cette situation de guerre imposée au Mali, les responsables du MNLA doivent se convaincre d’une chose : seul l’Etat dispose du monopole de la violence. En conséquence, ils doivent aller dans une logique de paix en déposant leurs armes, préalable à toute négociation. Le président par intérim ayant manifesté sa préférence pour la paix ; le président français ayant encouragé les autorités maliennes à aller vers une solution négociée ; le bon sens voulant que tous les conflits se terminent autour d’une table, les conditions sont réunies pour que les Maliens se retrouvent pour gérer ce conflit. A défaut, le MNLA subira la guerre entreprise contre les jihadistes !
Issoufi Dicko
Behh io ho appena lasciato un commento sul mio Blog con link a questo post… anche per ringranziare pubblicamente i visitatori del blog… grazie ragazzi!
Le langage de la haine ne mène nul part, il appelle la haine. durant les années 60 Bahanga a vu des soldats maliens tuer son père. Il a grandi avec la haine des soldats maliens, il en a tué plusieurs (ça ne lui pas rendu son père). Le cycle infernal reste ouvert. toutes les décennies il y aura une rébellion pour venger les autres et ainsi de suite, de vengeance en vengeance le Mali s’est trouvé en Etat failli. Pourtant c’est simple, tous ceux qui ont pris les armes contre le Mali doivent les déposer et traduits devant la justice. Ce qui n’ont pas déposé les armes doivent être combattus par les armes un point c’est tout. Quant au MNLA, son appellation contient une notion indépendantiste, il doit donc être dissout et ses membres traduits devant la justice, qui elle seule décidera, un point c’est. tout le reste c’est du vent. vive le Mali
On ne peu negocier avec des gens ,que si ces gens sont a negocier,a mon avis y’a pas de negociation possible,ils vont recidiver après et sa sera encord la merde, vous ne savé rien de ces gens là :Moi j’ai une solution a proposer ,elle est peu t’etre dure mais la meilleur. Quand deux coq sont en conflit ,entre nous ,pour que sa cesse on fait comment ? Selon les sages on attrape un ,on egorge ,on la soupe et ya plus bagard .Si vous me comprené ,procedé rappidement a l’arrestation pure et simple des haut dignitaire du MNLA et leurs accolites et y’aura plus conflit et surtout la france a les moyens si elle veux,sinon comment continué d’eberger des gens qui on favorisé des enlèvements de vos compatriotes et avec tout ça vous voulez continué a negocier ,mais je vous comprend ,comme ce n’est pas HOLLANDE qui a ete enlevé c’est pas grave,mettez-vous dans la peau des personne enlevé ,vous allez comprendre .JE ne comprend pas ce comportement français.Le MNLA est la veritable source du mal ,je di
une rebéllion, ça s’écrase, tout ceux qui négocie le paie après!!!
Pas de négociations tant que le mnla détient des armes. 😈
MNLA=AQMI=MIA=MUJAO=ANSARDINE tous des groupes terroristes à combattre avec la même rigueur
CES BANDITS ARMÉS … NE SONT PAS DIFFÉRENTS DES BANDITS ARMÉS …,
MÊME PÈRE…MÊME MÈRE …. FAKELEN … BAKELEN !!!!
Moussa Ag, … qui est sûre que toute cette racaille est la même … LE VERSO DU DRAPEAU DJIHADISTE N’EST AUTRE QUE CELUI DU MNLA … MAIS ILS VONT TOYS PÉRIR DANS NOTRE PAYS ….
Comments are closed.