Le « Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans », principale alliance jihadiste du Sahel, liée à Al-Qaïda, a revendiqué mercredi une série d’attaques au Mali, attribuées par l’ONU à des « êtres sans foi ni loi ».
Dix personnes, dont neuf civils, ont péri lundi dans deux attaques dans le nord et le centre du Mali, où le Premier ministre Abdoulaye Idrissa Maïga a dû reporter une visite après l’explosion d’une mine au passage d’un véhicule d’escorte.
Dans des communiqués sur les réseaux sociaux, repris par l’agence privée mauritanienne Al-Akhbar et le centre américain de surveillance des sites jihadistes SITE, le « Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans » revendique une série d’attaques dans le centre du pays.
Il cite notamment celle contre le convoi du Premier ministre et l’embuscade visant des camions de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) sous escorte militaire malienne, dans laquelle le groupe dit avoir perdu un combattant, mais ne mentionne pas l’attaque à l’engin explosif qui a tué cinq civils passagers d’un bus près d’Ansongo (nord-est).
La Minusma a de son côté condamné ces trois attaques, affirmant dans un communiqué que le bilan de l’embuscade contre son convoi s’élevait à quatre transporteurs civils tués, ainsi que deux assaillants et un garde national malien.
Le chef de la Minusma, Mahamat Saleh Annadif, cité dans le texte, fustige les auteurs de l’attaque comme des « ennemis de la paix », « des fanatiques drogués », des « êtres sans foi ni loi ».
« Ces lâches se confondent avec les populations paisibles, se fondent discrètement dans la masse avant d’accomplir leur forfait », a jugé le représentant de l’ONU, qui a appelé les Maliens à « une prise de conscience collective ».
« Les populations doivent dénoncer leurs bourreaux et les débusquer avec l’aide et le soutien des forces nationales et internationales », a-t-il ajouté.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda. Ces groupes en ont été en grande partie chassés par une intervention militaire française.
Mais des zones entières du pays échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères, régulièrement visées par des attaques, malgré la signature en mai-juin 2015 d’un accord de paix, censé isoler définitivement les jihadistes, dont l’application accumule les retards.
comrades denouncing without In Kind punitive actions is worthless plus insult to people of Mali. Very much sincere, Henry Author (people of books) Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan aka Gue. translationbuddy.com
comrades as we all know AZAWAD terrorists/jahadists carried out another evil plus inhumane as if it is able to do it at will even against poorly led military of Mali. Where is ECOWAS military assistance? It had to be a stupid plus incompetent leader that traded ECOWAS military assistance for France military assistance or was it? very much sincere, Henry Author (people of books) Price Jr. aka Obediah Buntu IL-Khan aka Kankan aka Gue. translationbuddy.com
C’est bien d’inciter les populations à la dénonciation des djihadistes dissimulés parmi elles. Mais à quelle condition? Il ne faut pas pousser les gens à prendre des risques sans mettre les moyens pour les sécuriser. Le plus incitatif est de mettre des têtes à prix. Pour chaque dénonciation de djihadiste ou leurs complices, une somme conséquente doit être proposée afin d’encourager les populations à cet exercice délicat et dangereux. D’autre part, il faut éviter que les gens ne tombent pas dans la délation à outrance. Certains en profiteraient certainement pour régler des comptes personnels. Les informations fournies doivent être précises et nettes pour éviter toute bavure inutile. Aussi, l’anonymat doit être garanti à chaque citoyen qui dénonce un djihadiste, c’est une oeuvre courageuse pour le retour de la paix. La Minusma décourage les gens à cause de son inaction sur le terrain. Elle se comporte exactement comme une simple spectatrice de la situation qui se déroule dans le pays. Jamais aucune action d’envergure de la Minusma n’a été signalée depuis le début de son implication dans la crise au Mali. Elle est pourtant une cible privilégiée des djihadistes, mais, ces pédés ne se défendent même pas. Dans cette guerre, ce sont les drones qui font la différence. Ils sont capables de détecter, de suivre à la trace l’ennemi, de jour comme de nuit et par tous temps, d’écouter toutes les conversations téléphoniques de l’ennemi. C’est toujours suite aux informations fournies par les drones, que les hélicoptères interviennent avec beaucoup plus d’efficacité. Dans le cas du Mali, il faut absolument des drones tueurs. Ce sont ces drones armés, équipés de missiles légers pouvant frapper avec une précision inouïe, c’est à dire au mètre près. Ces engins ne coûtent pas aussi chers que les hélicos, mais on ne comprend pas l’attente prolongée du minable gouvernement pour leur acquisition. Il ne va tout de même pas attendre, que la majorité des Maliens meurent pour équiper les forces de défense en drones. Leur nécessité s’impose maintenant, pas demain ni après demain. Au lieu de cela, l’incapable et incompétent gouvernement va chercher des hélicos d’occasion et des avions d’un autre âge qui, depuis leur arrivée, sont cloués sur le tarmac de l’aéroport, comme s’ils étaient venus pour être célébrés par les souteneurs du régime. Ce n’est pas en invitant les laudateurs à venir battre le tamtam à l’aéroport, que ces engins seront efficaces, leur utilité est ailleurs sur le théâtre des opérations. Tout est sujet à faire la fête dans ce pays. Les priorités sont perfidement ignorées par ce pouvoir de minables, d’incompétents et de corrompus, voilà ce qu’ils savent faire, la bombance et toujours la jouissance pendant que les Maliens meurent par dizaine chaque jour.
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