Ce que je ne comprend pas c’est qu’avec cette désolation ces vampirs de politicens ne pense qu’ à preserver leur place acquise de façon surnoise. Perte totale de confiance. Le Mali est faux.
Deal France – MNLA
Suite….
France : Alors, votre projet avec les Obama ? Ca se passe comment ?
MNLA : Ca se passe très bien.
France : Comment ça se passe très bien ?
MNLA : Et bè, dès qu’on a prononcé le nom de Al-zawahri, on dirait qu’ils ont amené beaucoup d’étoiles qui clignotent la nuit à Gao, à Tombouctou et à Kidal au dessus de nos têtes et qui augmentent beaucoup notre visibilité dans l’obscurité.
France : C’est plutôt des satellites d’observation que vous voyez. Bon, d’où vous êtes venu l’idée d’appeler un espace localisé uniquement au Mali, « Azawad » ? Ce nom à résonance espagnole
MNLA : C’est Ef Gadhafi, le Guide qui nous l’a soufflé à l’oreille avant de succomber sous vos bombes.
France : Ha, si on savait. Ce n’est certainement pas lui qui vous dira qu’il y a un moyen plus civilisé et raisonnable d’avoir une autonomie voire une indépendance dans un pays démocratique, en tout cas, qui prétend l’être.
MNLA : Hé, il ne faut pas s’attaquer à notre dignité et à notre culture. Pour nous avoir son indipendance, c’est bondir sur nos montures, galoper au vent, l’épée étincelante et tranchante brandie au bout du bras, le boubou en poupe, égorger, tuer, violer, tabasser, trancher, fracasser, ravager tout sur notre passage. Déclencher une violente tempête, cyclone, ouragan vorace et ensanglante. Répandre un tsunami de désolation. Soulever un terrifiant, affreux, monstrueux brouhaha de gémissement de douleur de nos ennemies qu’on ne connaît d’ailleurs même pas, qu’ils soient touareg, songhoï, pheul, colonisateurs, impérialistes ou même français. Après l’apocalypse d’horreurs, on déclare notre indépendance
France : Ho, ho, ho, il ne faut pas mélanger les ennemies. C’est tout de même trop barbare ce comportement.
MNLA : Hè oui, il nous faut cette prédisposition psychologique pour qu’on puisse faire quelque chose avec notre indipendane. Sinon, si on nous la donne sans bain de sang, on va passer tout notre temps à se tourner les pouces sans savoir qu’est ce qu’on doit faire avec tout ce tas de sable dans le désert. C’est notre dignité, notre culture.
France : Bon Dieu, il va falloir vous éduquer. Fini vos embuscades. Dans un pays démocratique civilisé, on dialogue, on négocie, on fait campagne aux élections, on vote pour ceux qui proposent des idées dans le sens de vos intérêts, on sensibilise, on explique, on avance des arguments, on essaie de convaincre, on fait des pétitions. On prépare le terrain quoi… Après quand la mayonnaise commence à prendre, on propose un référendum. En gros, quelque chose comme ça, mais pas de tuerie et ni de violes. Bon sang.
MNLA : Yagara Yalla, Vous devenez insupportable à la fin. Si vous continuez à insulter notre dignité et notre culture, les exfiltration et vos otages avec AQMI, on ne fait plus rien.
France : Du calme, on se calme. Nous rectifions. Vous êtes les braves hommes bleus du désert, les torses bombés, les nez dans le vent, les turbans en haillon qui déambulent dans le vaste désert à dos de chameau. Que vous êtes culturellement attrayant, que vous êtes touristiquement somptueux à découvrir avec vos danses de sabres, si vos ramages se rapportent à vos plumages…
Ce que je ne comprend pas c’est qu’avec cette désolation ces vampirs de politicens ne pense qu’ à preserver leur place acquise de façon surnoise. Perte totale de confiance. Le Mali est faux.
Deal France – MNLA
Suite….
France : Alors, votre projet avec les Obama ? Ca se passe comment ?
MNLA : Ca se passe très bien.
France : Comment ça se passe très bien ?
MNLA : Et bè, dès qu’on a prononcé le nom de Al-zawahri, on dirait qu’ils ont amené beaucoup d’étoiles qui clignotent la nuit à Gao, à Tombouctou et à Kidal au dessus de nos têtes et qui augmentent beaucoup notre visibilité dans l’obscurité.
France : C’est plutôt des satellites d’observation que vous voyez. Bon, d’où vous êtes venu l’idée d’appeler un espace localisé uniquement au Mali, « Azawad » ? Ce nom à résonance espagnole
MNLA : C’est Ef Gadhafi, le Guide qui nous l’a soufflé à l’oreille avant de succomber sous vos bombes.
France : Ha, si on savait. Ce n’est certainement pas lui qui vous dira qu’il y a un moyen plus civilisé et raisonnable d’avoir une autonomie voire une indépendance dans un pays démocratique, en tout cas, qui prétend l’être.
MNLA : Hé, il ne faut pas s’attaquer à notre dignité et à notre culture. Pour nous avoir son indipendance, c’est bondir sur nos montures, galoper au vent, l’épée étincelante et tranchante brandie au bout du bras, le boubou en poupe, égorger, tuer, violer, tabasser, trancher, fracasser, ravager tout sur notre passage. Déclencher une violente tempête, cyclone, ouragan vorace et ensanglante. Répandre un tsunami de désolation. Soulever un terrifiant, affreux, monstrueux brouhaha de gémissement de douleur de nos ennemies qu’on ne connaît d’ailleurs même pas, qu’ils soient touareg, songhoï, pheul, colonisateurs, impérialistes ou même français. Après l’apocalypse d’horreurs, on déclare notre indépendance
France : Ho, ho, ho, il ne faut pas mélanger les ennemies. C’est tout de même trop barbare ce comportement.
MNLA : Hè oui, il nous faut cette prédisposition psychologique pour qu’on puisse faire quelque chose avec notre indipendane. Sinon, si on nous la donne sans bain de sang, on va passer tout notre temps à se tourner les pouces sans savoir qu’est ce qu’on doit faire avec tout ce tas de sable dans le désert. C’est notre dignité, notre culture.
France : Bon Dieu, il va falloir vous éduquer. Fini vos embuscades. Dans un pays démocratique civilisé, on dialogue, on négocie, on fait campagne aux élections, on vote pour ceux qui proposent des idées dans le sens de vos intérêts, on sensibilise, on explique, on avance des arguments, on essaie de convaincre, on fait des pétitions. On prépare le terrain quoi… Après quand la mayonnaise commence à prendre, on propose un référendum. En gros, quelque chose comme ça, mais pas de tuerie et ni de violes. Bon sang.
MNLA : Yagara Yalla, Vous devenez insupportable à la fin. Si vous continuez à insulter notre dignité et notre culture, les exfiltration et vos otages avec AQMI, on ne fait plus rien.
France : Du calme, on se calme. Nous rectifions. Vous êtes les braves hommes bleus du désert, les torses bombés, les nez dans le vent, les turbans en haillon qui déambulent dans le vaste désert à dos de chameau. Que vous êtes culturellement attrayant, que vous êtes touristiquement somptueux à découvrir avec vos danses de sabres, si vos ramages se rapportent à vos plumages…
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