La Vie du District : Circuler dans Bamako est un casse-tête urbain

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Anneau_sotramaCirculer à Bamako reste très dure, surtout aux heures de grandes vagues d’usagers. Par exemple, le matin, il est difficile de se trouver un passage. On peut faire une heure d’embouteillage pour joindre son lieu de travail. On constate une longue chaine d’engins, le long des routes. Cette situation entraine un véritable malentendu entre les usagers. Chacun se cherche et se permet de violer le code de la route.

Les policiers qui règlent la circulation ne sont pas respectés. Ils sont considérés comme des agents qui ne pensent qu’à remplir les poches aux lieux de faire valoir la loi.

Cette situation est due à l’insuffisance des routes, mais surtout à l’état défectueux de ses routes, qui en hivernage bondent d’eau en cas de grandes vagues de pluie. Cette eau qui se fait difficilement un passage crée un désagrément de plusieurs heures.

Aussi les maires des différentes communes ne font pas assez afin d’améliorer les conditions de vie de leurs populations. Même si une étude du Mirau estime que le Mali a besoins de 50 milliards de francs Cfa pour l’entretien des routes, et que seulement 29 milliards sont alloués à ce travail.

Oumar Alpha, stagiaire

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4 COMMENTAIRES

  1. Bon article Mr le journaliste les transports en communs sont un casse tête à bko les carrefours sont devenus des coins de rackette de certains agents véreux étendu commune 6 la gare de sogoniko est devenue un marche et les cars se retrouvent a la tour de l afrique et bloquent la circulation au vue et a la barbe des agents de polices .
    Jette un coup d œil aussi sur la distribution du pain sur les motos et de la viande a bko c’est un problème de santé publique

  2. Jeune homme merci pour cet article, tu touche à l’un des grands problème du mali, chose que les journalistes doivent considérer et laisser le monde politique et tous les tralaalala.

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