Les potentialités agricoles (agriculture et élevage) et minières dans le Liptako-Gourma sont à l’origine du conflit intra et extra communautaire actuel qui déchire la région dans les trois pays : Mali, Burkina Faso et le Niger. Comme pour dire que l’Afrique est encore victime de ses immenses richesses agricoles et minières.
Après la signature de l’accord de paix entre le Mali et les rebelles du MNLA et ses alliés extrémistes du HCUA, les régions de Mopti, Douentza, Bandiagara et de Ségou dans le Centre du pays ; de Sikasso et Koutiala dans le sud-est, se sont embrassées. Progressivement, l’insécurité s’est réinstallée dans les parties septentrionales des régions de Gao et de Ménaka. La métastase a fini par gangrener toutes les régions du Liptko-Gourma, qui couvre les trois pays du Sahel : le Mali, le Burkina-Faso et le Niger. La spécificité des groupes armés qui opèrent dans ces zones se sont spécialisés dans le vol de bétail et la destruction systématique des récoltes obligeant les occupants (les populations locales) à l’exil forcé, comme si quelqu’un tire bénéfice de la destruction du secteur d’élevage dans nos trois pays. Le même scénario est descriptible au Nigéria, au Tchad et au Cameroun. Dans toutes ces zones fortement touchées par l’insécurité, les bandes armées ne s’attaquent qu’aux bétails. Ce fut le cas aussi en Madagascar au début des années 2010. A cette époque aussi, le pays de Andry Rajoelina a été fortement secoué par des vols de bétails.
Le Zébu malgache est une variété de chair très prisé dans les assiettes. Le kilogramme en son temps coûtait aux consommateurs malgaches 3 euros, environ 1 965 Fcfa. A l’international, le prix triplait. Ce qui alimenta un négoce illicite très lucratif faisant des centaines de morts sur son passage. Aussi bien dans le Liptko-Gourma que sur les Plateaux malgaches, les bovins constituent l’une des principales sources de revenus de la population. Dans la Revue internationale de botanique appliquée et d’agriculture tropicale, 26e année, bulletin n°286 bis, septembre, il a été établi par le ministère des Colonies de la France coloniale que l’élevage constitue une des richesses du Madagascar et il est intéressant, qu’au sortir de la guerre, d’établir le bilan des ressources actuelles en bétail de la Grande Île, de situer l’importance de son cheptel et de tenter d’en déterminer l’avenir. Selon la revue, sur une population de 4 227 000 habitants, le Madagascar possède environ 6 millions de bovins, 420 000 porcins, 300 000 moutons et chèvres. En 1921, la Grande Île comptait au total 7 800 000 têtes.
En analysant le spectacle qui s’offre à notre compréhension, on peut déduire que le phénomène est loin d’être un simple hasard. C’est pour cette raison que l’étude confiée au bureau d’études Jokkoo par le Réseau Action Climat, Oxfam France et Greenpeace lève le voile sur les vraies raisons des conflits communautaires dans nos pays. Et, ces 3 ONG sont dans leur droit de mieux comprendre dans les évolutions récentes des exportations françaises de productions issues de l’élevage laitier, de volailles de chair et de porcs. L’objectif de cet exercice de compréhension était d’analyser les évolutions des exportations françaises de ces trois groupes de produits, en particulier vers les pays en développement en Afrique et en Asie. Ce travail cherche à appréhender les impacts de l’évolution des échanges sur les méthodes de production et de transformation et leur impact potentiel sur le bien-être animal et sur l’environnement.
Les exportations françaises en Afrique
Il ressort de cette étude que les filières françaises de lait, porc et volaille de chair exportent respectivement à hauteur de 42% ; 39% et 25% de leur production. La part de ces exportations destinées aux pays en développement est en augmentation et concerne essentiellement des produits très bas de gamme comme « le poulet export », les morceaux du porc ou de lait en poudre.
L’exportation de ces produits d’élevage est dominée par quelques groupes agroalimentaires comme Lactalis, Bigard ou la Cooperl, qui enferment une grande partie de ces filières dans une course folle à la concurrence internationale, les entrainant dans une compétitivité des prix tirant vers le bas tous les coûts de production, avec des conséquences en chaîne. Nos pays subissent de plein fouet cette stratégie. Les produits déversés à bas coût sur nos marchés les déstructurent. Mais, ce qui ne se dit assez fort, c’est qu’elle nuise à notre quête de souveraineté alimentaire par la destruction totale de notre outil de production.
L’étude révèle qu’en 2020, la France s’est classé 6e exportateur mondial de produits agroalimentaires en assurant 4,6% des exportations agricoles et agroalimentaires mondiales (en valeur). Les exports agricoles et agroalimentaires représentaient 61,8 milliards d’euros en 2020, soit environ 15% des exports totaux de biens français. Concernant les produits agricoles, la France est au 9e rang des exportateurs de produits agricoles bruts, derrière les États-Unis, le Brésil, les Pays-Bas, la Chine, l’Espagne, le Canada, l’Inde et le Mexique.
Par ailleurs, la France est au 4e rang mondial des exportateurs de produits alimentaires transformés (en valeur), derrière les États-Unis, l’Allemagne et les Pays-Bas. À l’échelle européenne, elle conserve une position de leader en matière de production agricole, mais sa production stagne depuis la fin des années 90. Dans un contexte où la demande alimentaire mondiale augmente, la France a par conséquent perdu des parts sur le marché mondial et fait partie des pays qui en ont perdu le plus depuis 2003. La France a ainsi vu ses parts de marché au niveau mondial passer de presque 8% en 2000 (elle était alors le deuxième exportateur mondial) à 4,7% en 2014. En matière de balance commerciale, la France est historiquement excédentaire (de 6,1 milliards d’euros en 2020, en baisse de 20% par rapport à 2019). Néanmoins, il convient de rappeler que « sans le vin et les spiritueux, la France aurait un déficit commercial agricole de plus de 6 milliards d’euros ». Hormis les vins et les spiritueux, quatre autres filières tirent leur épingle du jeu en maintenant d’importants excédents commerciaux : les céréales, notamment le blé et l’orge (+ 4 Md€), les produits laitiers (+ 3,8 Md€), l’exportation de bovins, ovins ou de volailles vivants (+1,6 Md€) et les sucres (+ 0,6 Md€).
Les exportations françaises de productions animales s’élèvent à 15,1 milliards d’euros en 2017, contre 10,9 milliards d’euros en moyenne sur la période 2000-09. Au niveau géographique, deux tiers de cette croissance sont dus à la hausse des exportations en dehors de l’Union Européenne (vers les « pays tiers »). Concernant les produits exportés, 60 % de cette croissance des exportations est imputable aux produits laitiers6. La France est le 10e exportateur mondial de viande et produits carnés, affichant un solde commercial négatif de – 1,4 milliard d’euros. Au niveau européen, la France produit 23 % des bovins (1er place), 9% des porcs (4e place), 12 % des ovins (3e place) et 12 % des caprins (4e place) de l’UE. Elle est par ailleurs le 3e producteur de poulets et de dindes en Europe (Eurostat). Globalement, les cheptels européens de bovins, d’ovins et de caprins connaissent une baisse depuis 2010, tandis que ceux de porcs et de volailles sont en hausse.
La consommation en recul en Europe
Dans un contexte marqué par la stabilité de la consommation européenne (UE 28) de produits carnés, l’excédent commercial français en matière de produits d’élevage est également relativement constant (4,3 milliards d’euros en 2021). Cette situation cache une évolution importante de la nature des échanges avec le reste du monde : d’une part, le solde commercial français connaît une forte dégradation avec les États membres de l’UE (– 2,49 milliards d’euros entre 2000-09 et 2017), alors qu’il s’améliore avec les pays tiers (+ 2,79 milliards d’euros entre 2000-09 et 2017). Les cinq pays tiers avec lesquels la France a le plus amélioré son solde commercial entre 2000-2009 et 2016 sont les suivants : la Chine (+ 922 millions d’euros), l’Algérie (+ 169 millions d’euros), les États-Unis (+ 124 millions d’euros), l’Arabie Saoudite (+ 109 millions d’euros) et l’Indonésie (+ 88 millions d’euros).
Parmi les productions animales, deux tendances sont à noter face à cette évolution. D’une part, le lait et les produits laitiers (7,2 milliards d’euros d’exports en 2020) ont un solde de leur balance commerciale positif (3,5 milliards d’euros), et la France est le 4ème exportateur mondial (le 1er étant la Nouvelle-Zélande). Les principaux clients de produits laitiers français en Europe sont l’Allemagne, la Belgique et l’Italie. Parmi les pays tiers, les trois premiers importateurs sont la Chine, les États-Unis et le Royaume-Uni. D’autre part, les viandes et les produits carnés (4,2 milliards d’euros d’exports en 2020) ont un solde de leur balance commerciale négatif (-1,2 Mds €). Dans ce domaine, la France est le 11e exportateur mondial (le premier étant les États-Unis). Les principaux clients européens de la France sont l’Italie, la Belgique et l’Allemagne. Parmi les pays tiers, les deux premiers importateurs sont la Chine et le Royaume-Uni. Selon Agreste, face à cette dégradation du solde commercial, le taux d’approvisionnement français en viandes (part des utilisations intérieures couvertes par la production nationale) est passé de 146% en 2000 à 95% en 2017, alors que la production nationale demeurait relativement stable sur cette période, traduisant une augmentation des importations, notamment en provenance des pays de l’UE.
Les exportations françaises de produits laitiers, de viandes de volailles et de porcs
Afin de caractériser plus spécifiquement les exportations de produits animaux français vers les pays tiers, et plus particulièrement vers les pays en développement, trois groupes de produits ont été étudiés dans le rapport. Il s’agit : les produits laitiers, qui constituent la catégorie de produits d’élevage français la plus exportée vers le reste du monde ; les viandes et abats de porc, dont les exports vers les pays en développement connaissent une forte croissance en volume, avec une importante concentration de la demande vers la Chine ; les viandes de volaille, qui connaissent une dynamique inverse à celle de la viande de porc : une forte baisse des exportations, après qu’elles aient été longtemps concentrées vers des économies en développement (dans un contexte d’augmentation continue de la demande française et européenne).
Les exportations de produits laitiers
Selon l’étude, à l’échelle mondiale, les échanges de produits laitiers concernent essentiellement des produits standardisés et transformés à grande échelle par des entreprises multinationales. La part des produits laitiers qui fait l’objet d’échanges internationaux varie fortement d’une catégorie à l’autre. De façon générale, les échanges portent essentiellement sur certains fromages et différentes catégories de poudres de lait (lait infantile, lait écrémé, lait entier, lactosérum…). Les pays en développement ont tendance à acheter des produits laitiers moins coûteux (les poudres de lait en particulier) que les pays développés (plus souvent acheteurs de fromages). Leur contribution au commerce international est par conséquent plus importante en volume qu’en valeur.
L’analyse démontre que le secteur de la transformation laitière en France a la particularité d’être atomisé, avec 1 200 « unités légales » (INSEE, ESANE), employant 56 000 salariés, parmi lesquelles de très nombreuses PME (Petite et moyenne entreprise) mais aussi quatre groupes de taille mondiale dans le « top 20 mondial » en 2021 (Lactalis (1er), Danone (4e), Savencia (14e) et Sodiaal (17e). Au cours des vingt dernières années, le secteur de la transformation s’est fortement restructuré. Le nombre d’entreprises de transformation a fortement baissé au gré́ des processus de fusions et d’acquisitions, autour des leaders privés ou coopératifs dont le rôle, déjà prépondérant, s’accroit en matière de production de lait sur le territoire et de développement des exportations.18 La France exporte environ 42% de sa production laitière.
En 2019, la balance commerciale des produits laitiers français est excédentaire de 3,3 milliards d’euros et 84% de cet excédent est réalisé grâce aux exportations vers les pays tiers. Les exportations françaises de produits laitiers ayant progressé moins rapidement que les exportations mondiales, la part de la France dans le commerce international de produits laitiers a diminué de façon continue entre 2010 et 2018, passant de 10,5 % à 8,7 %. Néanmoins, elle est le 1er exportateur européen de lactosérum (21,4 % des volumes européens exportés) et de poudre de lait écrémé (19 %) vers les pays tiers en 2020, le second exportateur de poudres infantiles (21,4 %), le 3ème exportateur de beurre (15,5 %) et le 4ème exportateur de fromages (13,2 %). Si les pays tiers représentent le principal débouché des poudres infantiles (70 % des volumes) et des poudres de lait écrémé françaises (62 %, l’autre tiers étant destiné à l’industrie agroalimentaire), le marché européen absorbe, quant à lui, 88 % des volumes de lait liquide, 83 % des fromages et 95 % des yaourts et laits fermentés. Cette dichotomie des exports traduit une évolution structurelle de la consommation européenne de produits laitiers frais, qui décline et se modifie au profit d’une consommation accrue de matières grasses. Cette tendance se vérifie en France, où la consommation est de 24,8 milliards de litres équivalent lait pour le composant matière grasse, contre 17,9 milliards de litres équivalent lait pour le composant protéique.
90% des exportations françaises de produits laitiers sont destinées à 30 pays. La France exporte principalement vers l’Union européenne (60%), et les expéditions vers les pays tiers sont plus modestes (Chine, 8%, des États-Unis, 4%, ou de l’Algérie, 3%), mais leur importance augmente. Cette croissance des exports vers les pays tiers s’explique en particulier par une importance croissante des produits secs (essentiellement les poudres de lait) dans les exports français : ils comptaient pour un tiers des exportations en valeur en 1988, derrière les fromages (37,9%), contre près de la moitié en 2018 (49,7%). Parmi les premiers clients des poudres de lait françaises, la plupart sont des pays en développement : la Chine, qui est son 4e débouché en valeur en 2018, et l’Asie du Sud-Est au sens large (les exportations de produits laitiers ont été multipliées par neuf en trente ans), mais également l’Algérie, son 1er client pour la poudre de lait écrémé et la poudre grasse.
Enjeux et impacts des exportations françaises de produits d’élevage vers les pays en développement
Les exportations de produits d’élevage français vers les pays en développement (PED) ont connu une hausse au cours des années 2010 en valeur et, plus significativement, en volume. Ainsi, entre 2010 et 2021, la part des exportations françaises en volume de produits animaux vers les pays en développement est passée de 16% à 21%36. Cette croissance s’explique en grande partie par la croissance des ventes de produits laitiers, qui dominent les échanges et représentent plus de la moitié des exportations de produits animaux vers les pays en développement. Concernant les exportations de viandes, les tendances sont variables selon les filières. Depuis dix ans, la viande de porc connaît une forte croissance de ses échanges avec l’Asie, alors que, les exportations de viande de volaille vers les PED connaissent, depuis 2011, une forte tendance à la baisse, et ce malgré une demande en forte augmentation au niveau mondial.
Ces évolutions de la structure des exports français de produits d’élevage ont plusieurs effets potentiels. Primo, une production accrue de produits animaux à faible coût sur le sol français, puisque les marchés des pays en développement sont davantage orientés vers des produits accessibles en matière de prix. Cette orientation des filières, vers des produits qui doivent nécessairement être compétitifs sur le marché mondial, a un effet direct sur la recherche de productivité, qui dépend elle-même d’une recherche de rentabilité des systèmes d’élevage et des unités de transformation agro-industrielle ainsi que de l’optimisation des systèmes de commercialisation.
Secundo, l’augmentation de la concurrence de produits français vis-à-vis de la production de filières de pays en développement, où les productions animales recouvrent une importance particulière en matière de moyens de subsistance. En effet, l’élevage fait partie des systèmes de production de 1,7 milliard de petits exploitants agricoles dans les pays en développement et joue, par conséquent, un rôle économique important dans les pays en développement.
En conclusion, l’étude démontre que l’impact des exports français sur les filières d’élevage des PED est une problématique historiquement connue déjà des organisations de solidarité internationale. Beaucoup d’entre elles dénoncent les conséquences sociales de la déstructuration des filières par des produits alimentaires importés dans un contexte où, à l’échelle mondiale, 79% des personnes les plus pauvres vivent en milieu rural et pratiquent généralement une activité agricole39. Dans ce débat historique, les denrées produites « en bout de chaine » industrielle posent problème de manière récurrente. Ces denrées sont des co-produits difficilement commercialisables sur le marché européen (lait écrémé, bas morceaux de poulets, viandes désossées …) et sont exportées, après la vente des productions les plus demandées (matière grasse laitière, blanc de poulet, jambons …), vers des « marchés de dégagement ».
Au regard des informations délivrées par cette étude commandée par les 3 humanitaires, ne peut-on affirmé sans le risque de se tromper que les guerres tribales, qu’on allume et entretienne à dessin dans nos pays s’apparentent plus à des instruments de régulation du marché mondial et non de simples conflits communautaires ? Mais, le temps nous dira certainement plus. Nous y reviendrons.
M. A. Diakité
Titre de l’article totalement DÉBILE (et uniquement destiné à “accrocher” nos millions de semi lettrés ANTI OCCIDENT à l’esprit limité ) !
Contenu de l’article à la fois CONFUS, INTERMINABLE, ENNUYEUX, et de plus…EXTRÊMEMENT MAL ECRIT !
Conclusion de l’article au moins aussi DÉBILE que son son titre, et digne d’un pseudo “intellectuel ” de niveau DEF !
Suggestion à M.A DIAKITE :
Avant de prétendre publier quoi que ce soit, POURQUOI NE PAS COMMENCER D’ABORD PAR SUIVRE QUELQUES COURS ÉLÉMENTAIRES DE…JOURNALISME?
Et oui: C’est un MÉTIER et ça s’apprend😎
Le plongeon sécuritaire et la flambée de la vie chère, le Mali rattrapé par les mensonges de la transition militaire
Le mal-être clinquant d’Adama Diarra, Ben le cerveau sur les ondes de la radio Peace FM à Bamako n’est pas anecdotique, c’est le crépuscule d’un des propagandistes les plus en vue des militaires de kati dans le mouvement yerewolo debout sur les remparts visiblement en froid avec les colonels climatisés suite aux dérives budgétaires de Koulouba et du CNT au moment même où les autres maliens tirent le diable par la queue pour joindre les deux bouts en matière de consommation et de sécurité.
Aussitôt sorti sur Peace FM pour faire son show médiatique, les colonels climatisés de la sécurité d’état ont tout de suite lâché des audios de Ben le cerveau pour le décrédibiliser et le Kaoudjimiser à souhait à la veille d’une sortie des Yèrèninkin couchés, Oh pardon, des Yerowolo Debout ce samedi 12 novembre 2022 à Bamako.
Mahi Ouatarra l’imam propagandiste des colonels climatisés a profité d’une sortie insultante et délirante d’un quidam contre l’islam et son prophète PSL, pour se payer gratuitement et sans scrupule les chrétiens et les animistes du Mali dans son Koulouba du vendredi 5 novembre 2022 risque d’enflammer ou d’attiser bêtement la haine religieuse au Mali, pourtant pays laïc, en plus de la menace djihadiste qui s’entend dans le pays à un rythme exponentiel.
Les magistrats qui ont commis le forfait de légaliser un double coups d’état au Mali en validant Assimi Goita comme président de la transition par la cour constitutionnelle et la cour suprême du Mali dans un pays où pourtant la constitution qualifie le coup d’état de « crime imprescriptible contre le peuple malien » sont tombés dans leurs propres piège quand un projet constitutionnel des colonels climatisés menace carrément leur profession de magistrats à tout égard et leur indépendance de la justice qu’ils ont pourtant transformé en une usine cynique de production de mandats de dépôts sans jugement et sans discernement qui envoient à tout vent, les gens qui dérangent les colonels climatisés en prison pour plusieurs années sans procès et jusqu’à mort s’en suit.
Quand l’imam Wahabite de Badalabougou, Mahmoud Dicko, avait parlé « d’arrogance des autorités transitoires » et de prise « en otage du peuple malien » par cette transition militaire ce sont pourtant les maliens mêmes qui ont démenti et condamné les propos de l’iman et l’ont contraint au silence forcé comme Choguel le deuxième dindon de farce des colonels climatisés après Issa Kaou Djim fut contraint au repos forcé.
Les videomen de la transition militaire ont insulté et vilipendé Madame Rose vie chère parcequ’elle a osé levé le voile sur le quotidien des prix exorbitants des denrées alimentaires à bamako.
Pourtant Ben le cerveau dans la tourmente reconnaît aujourd’hui cette vie chère au moment où Assimi Goïta et le CNT s’arrogent le droit des rallonges budgétaires de 5 à 10 milliards voire plus chacun.
400 millions pour acheter du thé à Koulouba ou 300 millions pour des vestes pour un président de transition sourd et muet qui ne sort de Koulouba et kati que rarement et toujours au milieu d’une flopée d’hommes en armes grassement payés et entretenus gratuitement par l’argent public des maliens à ne rien faire que porter des masques et des armes et déambuler comme des Miss ORTM entre Kati et Koulouba.
Au même moment les djihadistes avancent de manière inquiétante dans les régions nord, centre et sud autant dire partout dans le pays et les videomen qui « inventaient des avions Mic» des dires mêmes des généraux de la DIRPA cellule de communication de l’armée malienne visiblement mal à l’aise devant toute la propagande mensongère sur les conditions sécuritaires du pays par les sous mains des colonels climatisés de kati et bamako.
Dans ce contexte de vagabondage budgétaire des colonels climatisés et farragamoïsés de bamako et kati, les maliens éprouvés par les réalités d’insécurité et de mal vivre de la vie quotidienne commencent à entrevoir et à reconnaître la dure réalité du pays dans lequel les apprentis sorciers de cette transition militaire l’ont mis sans vergogne et de manière totalement irresponsable.
Les populations de Gao éprouvées par l’insécurité explosive ont donné le ton et menacent de désobéissance civile en cas de passivité prolongée des colonels climatisés face à la dégradation inquiétante de leurs conditions sécuritaires.
La liberté d’expression, d’opinion est piétinée dans le pays et même par la HAC haute autorité de la communication qui ferme un média privé (Joliba TV) pour un seul éditorial qui ose critiquer le premier ministre par intérim le colonel ultra climatisé et Ferragamoisé Abdoulaye Maïga, inconscient et irresponsable qui s’est donné en spectacle à l’ONU à New York pour venir après fanfaronner à bamako dans un « Youri Yari » ridicule en mode Kôrè Doukakôrô et qui est pourtant incapable de baisser les prix du riz, du sucre, de l’huile, du carburant ou autres biens de consommation courante pour les maliens à défaut de sécuriser leurs biens, leurs champs et leur intégrité physique des atrocités du terrorisme international chez nous.
La corruption atteint les sommets dans ce pays exsangue de l’aveu même du Professeur Clément Dembelé celui la même qui soutenait les colonels climatisés à leur premières heures à la tête du pays et quand ils tricotaient les textes officiels du Mali pour y bricoler un acte fondamental et une charte débridée de la transition.
Adama Diarra, Ben le cerveau et son mouvement yerewolo, Issa Kaou Djim, les juges de la cour constitutionnelle et de la cour suprême du Mali, l’Imam Dicko, Dr Choguel Maïga, Pr Clement Dembele et N’Bah Daou ils ont tous en commun la fâcheuse réalité d’avoir aidé en un moment les colonels climatisés à s’assoir sur la constitution du Mali et maintenant qu’ils ont aidé ces jeunes colonels climatisés inconscients à mettre notre pays dans le trou ils ont été les premiers à tomber dans ce trou et reste à savoir si les autres maliens vont continuer à s’assoir allègrement pour regarder ce trou s’aggrandir au risque de s’y retrouver tous la dedans.
Voilà mes amis le résultat de la gouvernance par les idiots pour un pays et ça ira de mal en pis car la bêtise est le seul phénomène qui se nourrit de ses effets négatifs.
Wa Salam
CESSONS DE SUIVRE AVEUGLEMENT NOS ENEMIS QUI PASSENT POUR MAIS.
… ENEMIS QUI PASSENT POUR “AMIS”…. DES FAUX CULS …
Although it is long drawn out account of relevant facts it give great insight to effect of violent Negroid African cattle thieves. In nutshell tribal wars plus cattle theft that have been so widespread in Mali, Burkina Faso plus Niger is chaos we consistently refer to promoted plus enabled by NATO nations for sake of plundering Mali plus other Negroid African led nations.
We may draft plans to build adequate, modern plus sustainable food production industry but law plus order need be imposed plus maintained to do so. This is another cause I recommend that violent criminals be treated as terrorists. They coordinate their criminal actions with terrorists therefore in fact are terrorists. We will have to resolve this condition by steps plus stages plan coordinated with military activity against terrorists. Thereof with modern equipment plus methods we may experience growth plus maintenance of growth we expect with our food production. After general development plan is made military should be approached concerning security, our plan plus what we should be doing versus when military may safely deliver that security.
Let us get to work on fulfilling needs of foregoing condition to where it become well organized plus running operation.
Henry Author Price Jr aka Kankan
Ce journaleux ne voit plus loin que le bout de son nez!!! Les financements de ces barbaries viennent des firmes d’exploitations minières et pétrolières, qui ont une connaissance des localisations de nos ressources minières que même nos services de géologie ignorent. Ils rendent des zones invivables pendant le temps qui leur faut, pour empêcher tout autre propecteur de s’y rendre encore moins exploiter. En cela ils en font une réserve pour un moment propice à une exploitation rentable.
On copie un article d’un journal français puis on rajoute à la fin deux phrases pour dire qu’au vu de cet article….
A quel moment ce document parle du Liptako Gourma ?
Pourquoi vous vous foutez des gens ?
Si le Liptako Gourma brule demain, qu’est ce que cela va enlever à la production ou à l’exportation des produits agricoles ou alimentaire des pays développés ?
Vous n’avez rien à faire ou quoi ?
Vous n’avez pas honte de donner un titre comme ça . Les industries agro alimentaires financent le terrorisme. Dans quel but ?
Vous croyez que ces industries ont de l’argent à jetés par la fenêtre ? Dans quel but ils vont donner de l’argent à des imbéciles illuminés. Et a quel moment cet article parle de cela ?
***** !! Si vous n’avez rien a dire il faut juste se taire. *****
La principale : Financement du terrorisme dans le Liptako-Gourma Les multinationales agroalimentaires et de la pétrochimie européennes et américaines mises à l’indexe
LE TITRE EST DèLIRANT ET a coup sur JUSTE UN ACTE INTOXICATION INFORMATION
a force de perdre sur le terain le dègout vient de la base les chef sont des ignare et avide de pouvoir
les type qui comente sur ce site son payè indirectement par des ètranger il font bla bla bla
ce sont des agent de lètranger a fusillè au mieux pour eu (pour moi a acrochè derrière ma djakarta car cest nous qui payon notre esense une honte dans larmè)
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