insécurité au nord : La psychose d’une partition du pays

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La lutte contre les djihadistes, terroristes et narco- trafiquants dans les régions nord du pays est un effort imposé au peuple malien. Elle a atteint sa vitesse de croisière à partir du 11 janvier 2013 avec l’intervention spontanée et si salutaire de la France aux côtés des soldats maliens.
Ansar DineDe cette intervention à nos jours, beaucoup d’eau a coulé sous le Pont des martyrs ! Après les étapes de Konnan, Tombouctou et Gao, les troupes maliennes ont toujours du mal à franchir les portes de Kidal, cette ville considérée comme un bastion important des terroristes. Jusqu’ici, les interrogations fusent de tous les côtés au sujet de l’inaccessibilité de Kidal aux troupes maliennes. Cela fait beaucoup de temps que des suspicions persistent autour de cette problématique, au point que l’on a eu du mal à comprendre la position de la France. Y a –t-il deal entre la France et le Mnla ? Difficile d’y répondre pur l’instant. Quoique ces derniers temps, la France, tout comme les autorités et le peuple malien, rejettent toute idée de négociation avec le Mnla ainsi que de partition du pays.
Malgré tout, au sein de l’opinion publique nationale, le doute persiste toujours. Il y aurait une odeur de trahison et de complot international sur le dos du Mali et des Maliens. En effet, ces derniers temps, on parle beaucoup de partition du pays. Des personnalités du pays ayant des expériences incontestées ne doutent pas de la division future du Mali. Ceux- ci estime que le fait que les troupes maliennes ont encore du mal à franchir les frontières de Kidal, est évocateur d’un complot qui serait en train de se tramer. Peu de Maliens sont  préparés à cela, étant donné que les autorités successives de la transition ont toujours insisté sur l’impérieuse nécessité de la préservation de l’intégrité du territoire.
Tant que les troupes maliennes resteront en dehors de Kidal, la menace de la division du territoire demeurera. Certains n’hésitent même pas à croire que si les troupes maliennes insistaient à pénétrer  dans la ville de Kidal, elles pourraient avoir à croiser le feu avec l’armée française. En tout cas, la situation est confuse et les inquiétudes ne cessent de croître malgré les soutiens combien inestimables de la communauté internationale.
Le Mali ainsi que les pays voisins ne seront jamais en paix tant qu’on donnera l’opportunité de la création d’un micro Etat constitué de gens sans foi ni loi ne connaissant que le langage des armes et la diversion. Les efforts de lutte contre le terrorisme seront-ils vains par ce pacte avec le « diable » (MNLA) ?.
Tiémoko Traoré

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7 COMMENTAIRES

  1. kidal est la capital du azawad et votre armée de tueurs de civils ne peuvent pas rentré labas parcequ’ils ne sortiront pas vivant ,les arabes ne rigole pas hein,le maliba est deja coupé en 2,vu que le mnla vient de nommer son gouvernement ,je suis tres contente pour les touaregs qu’ils aient leur independance,vive le azawad

    • le miel ne se dit pas dou. Toi aussi tu peux parler. Tu as vraiment la bouche. Le Mali ne sera pas divisé. Tu peux nous informer quoi sur les frci de ton pays. Il faut pas me faire parler sinon si tu ne sais pas où tu viens g vais te dire d’où tu viens. Vive ton Q WAY.

  2. C’est un prétexte fallacieux. Personne n’empêche l’armée d’aller à Kidal. Il faut juste des couilles pour ce faire. Les bérets rouges en ont, donnez leur les moyens nécessaires. Mais des soldats à l’image de Sanogo c’est juste la gueule et rien de plus.

  3. Dire merci a la France convient mieux.Au lieu d’accuser la France il serait plus indicateur de voire les profils des cadres politiques Maliens.Sont a la base de tout ce qui échappe a l’entendement suite au laxisme qui sert de traitement a tous les maux Maliens .

  4. Quand on est un pietre journaliste, il faut eviter d’aborder des sujets aussi sensibles que celui de Kidal.

  5. Si jamais l’armée malienne s’aventure à rentre à kidal sans l’aval des français; les soldats français aideront les terroristes du MNLA contre notre armée comme ils l’ont fait avec les arabes.

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