Après sa brillante intervention au Mali pour stopper l’avancée des djihadistes terroristes vers Bamako à Konna, l’Armée française se déploie au nord du pays. Elle s’emploie avec nos forces à libérer Tombouctou, Gao. Enfin pour Kidal, la France nous montre son vrai visage, son soutien au MNLA. Où est donc la société civile malienne pour magnifier notre indépendance?
Il est grand temps que le peuple malien manifeste son désaccord avec la France concernant la gestion de Kidal. Puisqu’il est inadmissible que les militaires maliens soient orphelins sur une quelconque partie de leur territoire. Comme c’est le cas actuellement à Kidal avec la présence de seulement moins 300 soldats maliens contre plus de 2500 MNLA et français. Les derniers cités (MNLA et français) faisant la loi comme si Kidal n’est pas une partie du territoire du Mali. Malgré tout cela, nos autorités acceptent et continuent à négocier afin de pouvoir mettre en exergue les clauses de l’accord de Ouagadougou.
LA FRANCE RELACHE
Après l’élection d’IBK et le langage de la fermeté de celui-ci, la France commence à relâcher. D’abord, ce sont des manifestations anti Mali ayant abouti à vandaliser des vitres des voitures de nos ministres. Ensuite, l’explosion d’une grenade aux abords de la banque malienne de solidarité (BMS) et enfin l’attentat perpétré contre le camp de Tombouctou. N’eut été la coïncidence du passage des charretiers, le bilan allait être très lourd. Tout ceci démontre qu’à la date d’aujourd’hui la France ne joue plus franc jeu avec notre pays. Sinon, il est impossible que des individus mal intentionnés puissent se permettre de faire ce genre de montage à l’insu des forces françaises. Cependant, cet attentat est un avertissement sans frais pour nos troupes à rester vigilant et de ne pas compter sur une quelconque autre force en présence. Elles doivent se démêler, comme ce fut toujours, avec leurs moyens de bord. “Aides toi le ciel t’aidera”.
OU EST LA SOCIETE CIVILE?
Notre société civile reste amorphe face à la situation que nous vivons. Il est grand qu’elle s’organise à magnifier notre indépendance en disant non aux 2 poids 2 mesures que la France nous impose. C’est la seule alternative pour mettre fin à la suprématie du MNLA et ses alliés. Puisqu’au rythme où vont les choses, nous ne sommes pas à l’abri d’un retour à la grande insécurité. D’autant plus que les récentes nominations de chef d’AQMI doivent être étudiées avec beaucoup de tact.
Quoi qu’il en soit, le Mali reste et restera INDIVISIBLE même s’il faut notre sang.
Boubacar DABO
Les capacités militaires de notre pays ont été mises à nue avec l’occupation regrettable des 2/3 de notre territoire par ces bandits armés. Et n’eût été le secours apporté par l’ex-colonisateur le 10 janvier 2013, que le Premier Président avait remercié à l’orée de l’Indépendance du Mali, les Maliens seraient aujourd’hui les esclaves de ceux-ci. Le MNLA est toujours donc dans cette logique que notre armée n’est pas à hauteur de leur tenir front, en occultant que c’est grâce à cette intervention française, sur demande du pouvoir de Bamako, et dans le cadre des résolutions de l’ONU, qu’il a sorti la tête de l’eau, devant les autres mouvements qui n’allaient plus du dos de la cuillère s’agissant du leur; que seul il ne tue pas une mouche, sauf par lâcheté, comme opèrent actuellement quelques-uns de ses cafres. Donc si la France à une certaine noblesse pour le respect de sa parole selon laquelle elle est à côté du Mali, elle doit à présent se déterminer à aller jusqu’au bout de son action qui a été saluée par tout le monde.
Rien est clair dans cette histoire mais c’est la faiblesse de nos autorités politiques qui est compromettant que tout. Cette faiblesse se manifeste par quoi la tenue du même langage que l’opinion internationale surtout la France c’est à dire ” Dialoguer avec les groupes armés qui sont réellement maliens”. Pour la sortie de cette crise le bout du tunnel ce n’est pas pour demain car le gouvernement malien ne parvient pas à poser l’équation MNLA+Ançar satan+ AQMI+MUJAO= 1. Si on ne parvient pas à poser une équation il faudra s’attendre qu’elle ne sera jamais résolvable.
Sans aucun doute, nous sommes tous prêt à verser notre sang pour notre grand MALI.
Trop c’est trop, nous sommes tous derrière notre armée qui veut en finir avec.
nous peuple malien nous devons manifester a bamako et partout au Mali pour montrer que le cas de kidal doit etre regler par ña guerre trop ces trop.
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