Débusqués jusque dans leurs derniers retranchements à Gao et à Tombouctou, les terroristes (Mnla, Aqmi, Mujao et Ansar Dine) n’entendent pas baisser les bras. Gao étant leur plus grand bastion, ils y procèdent désormais par des actions de guérilla avec dépôt de mines et d’attentats-suicides depuis la fin de la semaine. Ainsi, c’est l’alerte totale à Gao créant le doute dans l’esprit de la population.
Après un mois de frappes et de combats sur le terrain, les terroristes, assommés dans les régions occupées du nord, se déploient autrement. C’est pourquoi depuis la fin de la semaine, de sources concordantes, ils tentent des manœuvres dilatoires. Ils procèdent de ce fait à des attentats-suicides, aux dépôts de mines sur les voies d’accès à Gao. Souvent, confinés dans des bourgades, ils lancent des obus. Malgré ces actions sporadiques, les forces maliennes, africaines et françaises avancent allègrement pour l’atteinte de leurs objectifs.
Dans cette tentative de résistance, 4 civils et 2 soldats maliens auraient été tués avec la blessure légère d’un militaire malien suite à un kamikaze à l’entrée de Gao. Aussi, deux jeunes touaregs avec des ceintures d’explosifs ont été appréhendés par les forces en présence.
En effet, pour assurer les populations, les forces armées procèdent à des patrouilles régulières en ville et aux alentours. Tandis que d’autres continuent à la récupération des villes et villages de la région. Pour plus de sécurité et de garantie, selon Dominique Thomas, de l’Institut d’études de l’islam et des sociétés du monde musulman “Après avoir libéré les villes, il faut les tenir. Ça veut dire check-points, ça veut dire contrôles, ça veut dire aussi risque de kamikaze ou d’attentat suicide”. Car, les combattants islamistes “devraient basculer vers une tactique plus classique de guérilla, de harcèlement, d’attaques ponctuelles, avec des enlèvements, des attentats”, jugeait récemment Alain Antil de l’Institut français des relations internationales (Ifri).
Pour qui sait que les mines et autres stratégies du genre comme des engins explosifs pourraient à terme causer des pertes substantielles aux troupes africaines et françaises, et bien sûr dans la population, il est opportun d’y pallier au plus vite. Puisqu’ils permettent en tout cas de ralentir les approvisionnements des armées régulières.
Quoi qu’il en soit, il faut retenir que la guerre contre le terrorisme au Mali aborde sa phase cruciale. Cette phase qui demande beaucoup de vigilance et surtout de collaboration des populations civiles afin d’aider au mieux les forces armées et de sécurité dans leur combat de récupération du territoire et d’anéantissement du terrorisme. Surtout qu’au moment où nous mettions sous presse, il nous est revenu d’apprendre qu’il y avait encore des échanges de tirs entre des islamistes terroristes camouflés dans certaines concessions du centre ville de Gao. Ce qui veut dire qu’il y demeure toujours quelques poches de résistance ou que quelques-uns sont parvenus à brûler la vigilance des soldats pour pénétrer la ville.
Boubacar DABO
nous continuerons par toute les methodes kamikaze, mines ,guerre direct que vous craignés; jusqu’à ce que nous libérons l’azawad des main des nègres et esclaves des français. vive l’azawad à bas le mali. à bas les negres à bas les français. VIVE L’AZAWAD
Votre “Ag zawad” n’existe que dans votre imagination,sachez que c’est apres avoir tues tous les maliens que votre republique fictive vera le jour.Les gestes de ces derniers jours ne sont que celui du desespoir.Dans toutes les facons c’est vous qui etes (narco-jihadistes) les premiers perdants car vous allez mal finir dans ce monde ici bas et les vierges qu’on vous promettent ne font jamais se montrer car vous etes loin d’etre musulmans.Pour finir abdslam tu n’es qu’un p’tit raciste qui reflechis par ses fesses et ses deux couilles!Malheur a toi!
1. Félicitations au Gouvernement pour avoir lancé enfin les mandats d’arrêt nationaux et internationaux contre le MNLA/ MIA/ ANESARDINE / MUJAO. Reste maintenant le suivi de l’application des mandats. Il reste tout aussi à arrêter nos voyous militaires insouciants, inconscients de Bamako qui se croient pires que dans la jungle. Même dans la jungle, les animaux font front commun contre un danger commun. A moins que les bérets verts de Bamako ne soient du même bord que les terroristes, ce qui ne serait guère surprenant vu la similitude de leurs actes (les uns terrorisant au nord, les autres au sud). Si vous voulez reprocher quelque chose aux bérets rouges en ville, vous leur envoyez des gendarmes au lieu d’aller tirer sur eux et leurs familles, les étrangers nous ayant sauvés d’une colonisation certaine étant au front. Après les multiples interventions de l’ensemble des sages de Bamako, Mr Django perd son temps à discuter avec ces voyous. Un âne, un incorrigible, un obsédé sexuel ne connaissent que le bâton ou la castration. Il ne s’agit ni plus ni moins que de les mettre aux arrêts ou de les radier pour qu’ils aillent officiellement grossir le rang des MUJAO/ANESARDINE, leur vraie place en réalité. Et, il faudrait assez rapidement constituer des unités mixtes et envoyer le maximum de combattants issus du Nord au Sud, et vice versa, pour que les soldats du Sud s’aguerrissent dans le combat au Nord. D’ailleurs, pratiquement tous les militaires du Mali devraient être positionnés sur la ligne de front de Kayes à Kidal : il n’y a aucune raison de garder des militaires à Bamako ou à Sikasso. ET TOUTE LA GESTION DE L’ARMEE NE DEVRAIT PLUS ETRE UN SECRET DEFENSE POUR L’ASSEMBLEE NATIONALE, LE VERIFICATEUR GENERAL ET LES DIFFERENTES STRUCTURES DE CONTROLE, LES MINISTERES DES FINANCES, DU BUDGET OU DE LA JUSTICE… CE SUPPOSE SECRET DEFENSE EST A LA SOURCE DE TOUS LES RECRUTEMENTS NEPOTIQUES, DETOURNEMENTS ET MALVERSATIONS EN TOUT GENRE DANS L’ARMEE MALIENNE.
2. Mettre en place et pérenniser un système de renseignement de l’armée /gendarmerie /police en milieu nomade surtout où se déplacent la majorité des terroristes (en ne confondant pas renseignement et délation) : retour de l’administration, rencontres régulières lors des foires hebdomadaires, convocations des chefs de fraction par l’administration dans les 3 chefs lieux de Région du Nord en vue de la désignation de leurs représentants à un dialogue national sous haute sécurité, tournées aériennes et terrestres de troupes solidement armées en milieu nomade pour rassurer les nomades livrés aux représailles des terroristes.
3. Systématiser et pérenniser le système de brigades d’autodéfense encadrées par l’armée dans le maximum de villages et de villes de la ligne de front, etc. Ces brigadiers bénévoles, discrets, encadrés par l’armée, efficaces dans le renseignement, faisant un cercle autour de la ville la nuit avec leur chef de groupe, viennent en complément de l’armée qui les a utilisés avec succès par le passé.
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