L’arrivé des groupes islamistes et radicalisation de la cause touarègue
En 2007, le démantèlement du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), algérien, mène à la création d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI). Ce dernier profite de l’absence de souveraineté malienne dans le Nord pour s’y installer. Il établit des liens avec les tribus touarègues locales, au Sud-Est de l’Azawad, notamment avec l’ex-leader rebelle Iyad Ag Ghali. Le concept de djihad est certes étranger aux touaregs, mais leur marginalisation passant également par l’intolérance religieuse, beaucoup de jeunes sont tentés de revendiquer cette composante identitaire stigmatisée. Et plus encore, c’est l’intransigeance des djihadistes face à l’État malien qui séduit, comparée a des groupes rebelles décrédibilisés par leurs échecs successifs. Ansar Dine ne demande plus seulement des droits pour les touaregs au Mali, mais l’instauration d’un califat sur l’ensemble du Mali et l’instauration de la charia. L’islamisme radical au Mali ne vient pas de nulle part, c’est la dernière étape de la radicalisation de la cause touarègue face à l’aggravation des six éléments cités précédemment et les promesses non tenues.
Le trafic saharien : l’argent sale des djihadistes, levier majeur de recrutement
Le mode de subsistance traditionnel touareg, en voie d’extinction, réapparait progressivement avec l’augmentation du trafic, notamment de drogue, de clandestins ou de cigarettes. Les touaregs deviennent, comme les bédouins au Sinaï, des interlocuteurs indispensables pour les trafiquants, voire trafiquants eux même. Les djihadistes anticipent très bien la manne potentielle de ce trafic: ils louent leurs services aux trafiquants avant d’en devenir eux même et d’y ajouter la prise d’otages. Le commerce devient rapidement florissant. Empêtré dans une instabilité politique grandissante et n’ayant jamais été capable d’imposer sa souveraineté dans le Nord, l’État malien laisse faire. Dans un contexte de grave crise économique, cet argent est une arme de recrutement massif. Capable d’offrir 1500 euros de revenus mensuels, AQMI n’a qu’à se servir pour recruter en masse parmi la population, certes non salafiste, mais jeune et démunie. Cet argent permet aussi une corruption massive, fragilisant des autorités maliennes déjà fébriles.
La dernière rébellion : chronique d’une escalade
En 2009, de retour d’une mission à Tombouctou, un agroéconomiste me confie que les
djihadistes sont implantés dans la région mais suscitent une certaine méfiance de la part des touaregs, surtout certains leaders dont la violence heurte leurs valeurs. Mais il souligne surtout combien il est urgent d’agir pour les touaregs si l’on veut éviter que les frustrations accumulées par ce peuple ne fassent le lit de l’implantation massive d’AQMI. Vivant notamment de l’élevage pastoral, ils n’ont accès à aucun vétérinaire, alors que la vingtaine d’éléphants qui vivent plus au Sud en ont deux à leur disposition! Quelques projets de développement réellement adaptés aux conditions locales, une vraie action de l’État malien pour l’ouverture politique envers les touaregs et la réconciliation, c’est ce qu’il aurait fallu pour couper l’herbe sous le pied aux djihadistes. Aujourd’hui, le coût de l’opération Serval, estimé à plus de 100 millions d’euros au 26 février, sans compter le coût de l’indispensable soutien logistique de nos alliés, est déjà sans commune mesure avec l’investissement qui aurait permis de prévenir l’engagement des touaregs aux côté d’AQMI.
Le Mouvement National pour la Libération de l’Azawad (MNLA) est créé le 16 octobre 2011. Poursuivant la logique de radicalisation touarègue, le mouvement demande l’auto-détermination pure, simple et sans condition de l’Azawad. Laïc et favorable à la liberté religieuse, le MNLA ne voit pas d’un très bon oeil l’implantation des djihadistes au Mali, ce qui entraine une scission tribale et régionale avec les touaregs de l’Adrar, alliés d’AQMI. A la chute de Kadhafi, un nombre conséquent d’ex-rebelles exilés rentrent au Mali avec des armes et des connaissances militaires. Les armes légères, les mitrailleuses 12,7 montées sur pick-up et les RPG boostent les capacités militaires du MNLA et des djihadistes. Le MNLA, principalement, lance de vastes opérations contre les FAM dans le Nord. À Bamako, en mars 2012, le capitaine Sanogo utilise ce prétexte pour accuser le président de ne pas fournir à l’armée le soutien dont elle a besoin et mène un énième coup d’État militaire. C’est un coup de grâce : occupés à se battre entre eux, les militaires maliens sont incapables de soutenir leurs forces dans le Nord qui doivent reculer partout le mois suivant. C’est à ce moment qu’apparait le nouveau mouvement Ancar Dine, de Ag Ghaly, symbole de cette radicalisation, par l’islamisme, de la cause touarègue. Indépendantiste et touareg, Il s’allie à AQMI au Mouvement pour l’Unicité du djihad en Afrique de l’Ouest (Mujao). Toutes les composantes du conflit sont alors posées.
Le 1er avril 2012, le MNLA déclare l’indépendance et se proclame maître de l’Azawad. Mais, affaibli par les combats, le MNLA perd rapidement du terrain face aux groupes djihadistes, perdant Gao en juin 2012. Face à sa défaite et à l’éminence d’une intervention internationale, le MNLA se dit prêt à négocier, mais Bamako fait la sourde oreille. Le capitaine Sanogo et les militaires, véritable maître de Bamako, méprisent les touaregs et tentent de diffuser l’amalgame MNLA/touaregs/terroristes. Toutefois cette menace d’un accord du MNLA, bientôt rejoint par Ancar Dine, avec le gouvernement malien, inquiète les islamistes. Forts de leur victoire contre le MNLA, rassurés par les signes qui montrent une communauté internationale frileuse, les djihadistes passent à l’offensive sur la ligne de front. La France engage alors l’opération Serval.
L’importance d’un règlement à long terme de la question touarègue
Force est de reconnaître que cette opération était une nécessité. La prise de Bamako, probable, par les djihadistes aurait scellé une nouvelle base djihadiste en Afrique de l’Ouest, bénéficiant d’un sanctuaire bien difficile à reprendre, aux portes de l’Europe. Pour autant, il est important de considérer la façon dont elle apparait aux yeux des populations touarègues. C’est une opération en soutien au retour de l’armée malienne au Nord Mali, la même qui a massacré les touaregs et commis des crimes de guerre pendant 50 ans dans la région, la même qui leur a fait des fausses promesses pendant des décennies et favorisé leur marginalisation dans la société malienne. Des accusations circulent déjà sur le fait que l’armée malienne reprendrait ces vieilles habitudes. Ceci risque d’avoir de graves conséquences à long terme.
Même dans l’hypothèse d’une élimination des groupes djihadistes et indépendantistes, rappelons-nous que leur émergence est le résultat de la crise touarègue. On peut détruire les groupes, mais si l’on ne s’attaque pas aux causes de leur apparition, c’est un coup d’épée dans l’eau. Car dans quelques mois ou années, une nouvelle rébellion verra le jour, certainement encore plus radicale et plus islamiste que les précédentes. Le règlement de la question touarègue et l’endiguement de la pauvreté sont les conditions sine qua non de l’expulsion définitive des groupes djihadistes du Nord-Mali. Or, le gouvernement malien a clairement dit qu’il ne négocierait pas, s’estimant en position de force. Il reprendra le contrôle du Nord-Mali avec la bénédiction de la France, de l’ONU et de la Cédéao, mais rien ne changera. Et, comme ailleurs, comme pour les rébellions précédentes, le conflit reprendra de plus belle.
Nous avons échoué à prévenir l’émergence de la situation actuelle : sans stratégie de stabilisation, nous échouerons également à y mettre fin.
Le MNLA offre son aide pour la traque des djihadistes, assistance hautement stratégique, qui ouvre la porte à l’indispensable dialogue politique. Au lieu de la saisir, la France ne cache pas son embarras, respectant une ligne basée sur l’idée que nous venons défendre l’intégrité malienne et que nous repartirons le plus vite possible une fois la mission onusienne déployée.
Au vu de l’Histoire du Nord Mali, il est d’abord indispensable de s’assurer que l’armée malienne (et ses alliés) ne commette pas de violations massives des droits des populations touarègues, violations qui n’auraient pour conséquences que l’émergence de nouvelles rancœurs, terreaux d’une rébellion future encore plus radicale. Mais plus encore, la France et la communauté internationale se doivent d’enclencher l’indispensable dialogue politique au Nord-Mali. Cela passera également, inévitablement, par le MNLA et ses leaders, dont le gouvernement malien ne veut pas entendre parler, sans grande protestation de la France. Cela passera également par des actes plutôt que de vaines promesses, avec des réponses adaptées aux causes profondes qui nourrissent les différentes rébellions depuis l’indépendance : une reconnaissance effective de l’identité touarègue; la mise en place d’un processus de réconciliation nationale et de justice, l’intégration pleine et entière des mouvements touarègues dans l’espace politique local et national malien, une mise en place effective de la décentralisation et de la démocratie locale, mais surtout un effort important de développement économique de la région. Car c’est ce sous-développement qui est la source première des trafics en tout genre qui irriguent le djihadisme nord malien. Enfin, l’État malien, s’il parvient à sortir de ses divisions, devra mener l’indispensable réforme de son armée et rétablir son autorité dans le Nord, et ce, dans le respect de l’État de droit, l’intégrité et l’efficacité. Ceci nécessitera, de la part de la communauté internationale, un important effort financier, politique et technique, qu’elle ne semble, pour le moment, pas du tout prête à fournir. Aujourd’hui, la paix est à ce prix, et il reste bien inférieur à celui d’une nouvelle guerre, demain.
huffingtonpost.fr/
L’auteur de cet article semble complètement ignorer la situation sociopolitique du mali, sinon comment rapporter de telles incongruités ? Par ailleurs, il minimise (sciemment ) les relations incestueuses entre le MNLA et les groupes islamistes, pourtant rapportées dans le vade-mecum de droukel. En fin, la pauvreté ou une supposée marginalisation ne saurait nullement justifier la mise en péril d’un État, d’ailleurs toutes les régions du Mali souffrent des mêmes maux que les régions du nord. Pour autant je ne sache qu’il ait eu une quelconque velléité séparatiste de celles-ci. Pour finir, l’argument de la marginalisation n’est pas recevable dans le cas Mali, pays qui pratique la discrimination positive à l’égard de la seule ethnie touarègue.
En définitive, l’auteur de cet article étale son ignorance de la crise malienne ou pire, ferait preuve d’une malhonnêteté intellectuelle. L’une ou l’autre des hypothèses n’est guère à son honneur.
Nous disons que dans tous les pays à travers le monde et depuis que l’humain est sur cette terre il y a eu il y a et il y aura des individus qui n’ont pas voulu qui ne veulent pas et qui ne voudront jamais travailler à la sueur de leur front
Nous disons ils s’organisent alors soit en bandes de « malfrats armés » pour attaquer et s’accaparer des biens les honnêtes personnes travaillant à la sueur de leur front soit en bandes de « mafiosi » avec 1territoire et s’adonnent au trafic de la drogue au proxénétisme au racket des commerces et industries sur leur territoire
Nous disons dans les vraies démocraties de justice et d’égalité ils sont traqués et mis hors état de nuire sans aucun état d’âme car ils constituent de vrais dangers
Nous disons il est temps que cesse les mauvaises habitudes héritées de la démocratie bananière des tropiques du pouvoir clanique héritage de l’impunité reine des égoïsmes primaires du laxisme de l’indiscipline du manque de rigueur de la cupidité des lettrés mutants politiques ou « enfants ingrats égoïstes cupides voleurs bouffeurs des deniers publics de l’ex mouvance
Nous disons donc que le Mali étant 1pays de ce monde il ne peut pas échapper à cet état de fait il y a donc des maliens regroupés en bandes de « malfrats » et des maliens regroupés en bandes « mafiosi » tel le MNLA
Nous disons que le soit disant problème touareg est 1histoire fabriquée depuis fort longtemps par 1petit groupe de touaregs issus des mêmes familles C’est en fait la « mafia touareg »
Nous disons ce sont des gens qui n’ont jamais qui ne veulent pas et qui ne voudront point travailler à la sueur de leur font
Nous disons ils veulent 1territoire pour s’adonner aux trafics de la drogue des armes aux proxénétismes et vivre des ristournes des bases militaires pour les missiles de moyenne et longue portée de l’exploitation du gaz du pétrole de l’uranium de la zone revendiquée qu’ils auraient cédé à certains pays
Nous disons que ces pays avec lesquels cette mafia touareg sont en deal feront tout pour avoir gain de cause
Nous disons que tous ces pays savent que ces criminels ne constituent qu’1 groupe minoritaire des touaregs maliens travailleurs et qu’il n’y a ni discrimination ni stigmatisation de touaregs et arabes au Mali
Nous disons que tout le monde sait avec 1brin d’honnêteté que les touaregs n’ont point été ne sont point et ne seront pas les 1ers occupants de la zone revendiquée en sommes ils ne sont pas les autochtones
Nous disons mais en bons «mafiosi» ces MNLA veulent par force avoir ce «territoire»
Nous disons ils doivent être mis hors d’état de nuire sans aucun état d’âme si le Mali se veut être 1vrai état démocratique de justice et d’égalité
Nous disons également et insistons que le développement des différentes régions du Mali est en général le fait des maliens et maliennes honnêtes fiers aimants leur Mali toutes ethnies confondues et vivants au Mali qui travaillent dur à la sueur de leur front et le fait de l’argent envoyé par les maliens et maliennes honnêtes fiers aimants leur Mali toutes ethnies confondues vivants hors du Mali qui travaillent dur à la sueur de leur front
Nous disons ce développement en général n’est point le fait des lettrés mutants politiques ou « enfants ingrats égoïstes cupides voleurs bouffeurs des deniers publics du Mali » des différents exécutifs et législatifs préoccupés à « bouffer » aidés en cela par leurs familles et affidés
Bonjour,
Comment négocier ou dialoguer en ayant des armes au dessus de la tête ? LE MNLA DOIT REVENIR A LA RAISON.
Comme je l’ai toujours dit, chaque Malien ou groupe privé de Maliens ne doit être autorisé à négocier ou à dialoguer, dans le cadre de la commission de dialogue et réconciliation, qu’en acceptant l’engagement responsable.
Cet engagement responsable est composé de principes (refus du terrorisme, non impunité, coexistence pacifique et refus des amalgames) et conditions (dépôt des armes, promotion de la démocratie, intégrité du Mali et laïcité) à respecter impérativement au risque d’un enlisement.
TOUT EN METTANT EN AVANT LA JUSTICE ET LA NON IMPUNITÉ, LE DÉPÔT DES ARMES EST UNE DES CONDITIONS INDISPENSABLES A SATISFAIRE PAR TOUS LES GROUPES PRIVÉS ARMÉS CONSTITUÉS DE MALIENS POUR PARTICIPER A UN DIALOGUE FRANC AFIN DE GARANTIR UNE PAIX DURABLE AU MALI.
Bien cordialement
Dr ANASSER AG RHISSA
EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
E-mail: Webanassane@yahoo.com
a quand ses peusdo intellectuelle aurons pitié de nous maliens noir plus de 90 % de se pays et un des peuples le plus tolérant plus acceuillant d;afrique vous etes la a mentir sur sur nous a tous faire pour nous détruire a nous pousser a être méchant un malien na jamais montrer a qui que se sois que tu est etranger au mali . jamais a plus forte raison enver dautres maliens surtout les touaregues poser vos mains sur les coeurs et vous poser vous mêmes la question c,est plutôt les touaregues qui doivent changer et admettre pour ceux qui non pas encore compris que le monde a changé que certainnes mode de vie na plus de place dans le monde continuer vous et un certain pierre bollet vous aurez gagnez ce que vous chercher de mal pour le mali comme sa votre conscience serra tranquille
Cet article n’est pas l’oeuvre d’un intellectuel, mais celle d’un étudiant en journalisme à science Po Paris. Je fus son chargé de TD à paris 1, à l’époque déjà il avait, certes, de réelles qualités rédactionnelles, mais ses prises de position manquaient d’objectivités. Ces lacunes, qu’il traine toujours d’ailleurs, l’ont empêché de poursuivre ses études de droit.
Vous avez dit pauvreté?
Qui fournit alors ces pauvres Touaregs en armes de toutes sortes?
La pauvreté par définition ne permet à personne de s’équiper d’armes aussi sophistiquées et chères. Ou alors ils ont de bons parrains très généreux. Ces mêmes parrains qui imposent aujourd’hui les conditions du dialogue inter-malien, de la mascarade électorale et par conséquence la confiscation de l’indépendance et de l’unité territoriale du Mali.
Les jeux sont faits. La classe politique pourrie aux affaires à Bamako le sait; mais elle continue d’entretenir l’illusion d’un Etat souverain au niveau des Maliens. Cet Etat failli du fait justement de sa propre gestion politique marquée par deux décennies d’irresponsabilité et de démission néocoloniale. Il est donc inutile de rêver, au train où vont les choses. Mais des lots de consolation existent : écouter Voice Of América qui s’installe à Bamako, contempler les vols des drones US qui après la chasse aux terroristes, s’en prendront à l’avenir aux patriotes africains ; et enfin à saluer l’installation indéfinie à domicile des touristes armés de l’ONU garante d’un Mali bien partitionné. Voilà à quoi a abouti la démission de la bourgeoisie malienne vis-à-vis de ses propres institutions de classes.
Dieu, qu’est ce que l’homme noir a fait aux européens pour qu’il soit ainsi persécuter comme les juifs avant la deuxième guerre mondiale ? Qu’a t-il pour mériter un tel mépris ?
L’histoire est en marche. Bénit soit le jour où le tour du noir va sonner. Des petits opportunistes, je veux dire des reatrdés scolaires pour insuffisance de travail, qui veulent forcer la main à l’histoire. Dans quel pays sommes-nous finalement ? Mais, le plus grave, c’est que ces arrivistes trouvent des échos auprès des sommités de l’intelligencia européens et américains. Hélas ! Que Dieu sauve l’humanité de l’égo des décervelés et des pseudo-intellectuels. Amen. Moussa Ag Assarid, Moussa Ag Ataher ont étudiés avec des Maliens à l’Université de Bamako. Les camarades de classe savent combien, ils coûtent en terme de capacité intellectuelle. Que ces jeunes prétendent gérer un prétendu territoire qui n’existe dans leur imagination, c’est le monde à l’enver. C’est pour des mentors tapis dans l’ombre.
Qui est ce bátard inconnu qui ose écrire des articles de ce genre:MNLA, Touareg, Identité toureg, qu´est ce q cela veut dire? Bref, la base de discussion ds cet article est déjá fausse: il n´ya pas á discuter d´identité touareg, au Mali ns sommes +sieurs groupuscules ethniq, chacune avec son identité: bamabara, sénoufo, dogon, malinké, bobo…chacun á sa particularité…dc cessez avec vos conneries d´identité toureg!
Qd les touristes vont á Tombouctou, ils ne regardent pas une danse de la sortie des masques dogons, ou un tjiwara de ségou,ni du balafon de sikasso…
Je voulais dire au renegat qui a ponduit cet article que Hegel et tous les racistes de son rang sont morts depuis des sicèles, avec eux les idées antiprogressistes. Le Mali a tout donné à ces petits opportunistes, notamment l’éducation et la santé. Les enseignants et les agents de santé se promonaient de fraction à fraction et de campement à campement pour administre des soins et dispenser des cours aux enfants nomades. Mais, on peut reveiller de sommeil, le dormeur qui ne veut pas se reveiller. Qui a détruit les écoles, les centres de santé, ce n’est pas eux-mêmes. Le mnla, quant il est arrivé dans les villes de Gao et Tombouctou, il ne s’est pas attaquer aux symboles du développement : école, centre de santé et hopitaux, les bureaux de l’Administration d’Etat. Ces genres de renegat ont-ils le droit de parler de développement. Ou de quel développement parlent-ils ? De grâce, nous souffrons suffisamment pour que vous en ajouter. Ne gachez pas le plaisir de François Hollande…
il ya certes exageration des faits dans cet article mais comporte de même une part de vérité. Le vrai problème c’est l’absence de l’Etat malien, son manque de vision et de responsabilité face à sa mission regalienne.
Partout au Mali l’Etat encourage et même acteur du laisser-aller.
certaines etnies et d’autres minorités souffrent de cette absence de l’Etat. Seulement et je dirai malheureusement certains groupes touaregs ont decidé de reclamer ce qu’on leur doit d’une manière non orthodoxe. d’autres ethnies si elles étaient aussi remarquables auraient un comportement proche de certains groupes touaregs.
Les touaregs (ou certains groupes touaregs) puisque constituant une identité remarquable sont plus visibles par l’observateur étranger; en verité le peuple malien souffre de ses dirigeants et politichiens.
Alors il appartient au gouvernement actuel d’appaiser les esprits et instaurer la confiance entre peuple et la classe dirigente.
Cela passe necessairement par un dialogue sincère.
Cela passe necessairement par un dialogue sincère sans se compromettre; sans traitement discriminatoire sur base ethnique comme dans le passé, l’obligation du rendre compte du gouvernement mais aussi des agences.
LE PEUPLE MALIENS TOUAREGS COMPRIS EST MARGINALISE PAR L’ETAT LA CLASSE DIRIGEANTE C’EST CA LA VERITABLE CAUSE DE LA CRISE ACTUELLE;
“certains groupes touaregs ont decidé de reclamer ce qu’on leur doit d’une manière non orthodoxe” On leur doit rien! Ces “certains touaregs” qui prennent les armes sont issus d’une lignee d’ideologue racistes touaregues nostalgique d’un passé mythique des peuples touaregs. Ils sont aussi habitués au parasitisme (payant pas d’impots, razzia, esclavagisme etc…) qu’aucun etat republicain digne de ce nom n’accepterait…et voila toutes les causes reelles de leurs rebellions eternelles…. cest a prendre ou laisser..sinon tout le reste cest des fausses excuses.
C’est tout simplement lâche d’écrire des contres vérités et de ne pas signer. Vous voulez déchirer notre pays avec vos mensonges, je puis vous garantir, que vous allez échouer dans votre entreprise criminelle. Le Mali est et restera blanc et noir; noir et blanc et riche de toutes ses composantes. Les petites opportunistes que vous entretenez à dessins finirons par comprendre que leur avenir est le grand ensemble que la patrie “Malienne” leur offre et garantie leur existence en tant que mirité.
Par ailleurs, je puis vous assurerz à vous et à vos petits obligés, que le Mali ne sera surpris comme ce fut le cas. Aucun traitre n’intégrera encore notre armée pour nous espionner. ATT leur offert le Mali sur un plateau en diamant, cette erreur ne se reproduira plus jamais. Sinon vous le savez bien que dans aucun pays du monde la minorité ne peut jamais gouverner la majorité, fut-il blanc. Fini le mythe des hommes aux yeux bleus entretenu par une minorité d’intellectuels décervelés européens. 😆
En parcourant cet article, j’ai été abasourdi de voir les contrevérités et mensonges grossiers qu’il comporte. De ce fait, je ne poussais donc m’empêcher d’intervenir vue ma rage contre cette tendance (éditoriale) à détourner la vérité et la vraie réalité sur la situation au Mali et particulièrement celle reliée au mnla.
Cet article de presse prend totalement position en faveur d’un groupuscule qu’est le mnla au détriment de tout un peuple qu’un celui du Mali. En prenant comme exemple typique de mauvaise fois dans cet article, on remarque, entre autre dans cette : “Le MNLA, principalement, lance de vastes opérations contre les FAM dans le Nord”. Vous remarquerez qu’on a délibérément masqué la vérité en employant le terme FAM sans le définir. Or FAM veut dire Forces Armées Maliennes et tout le monde ne sachant pas cela, ça peut donner lieu à différentes interprétions possibles (pourquoi pas un autre groupuscule illégal!).
…..Suite….
On cherche par tous les moyens possibles à replacer le groupuscule mnla dans le jeu politique du Mali, quid à travestir l’histoire ou la genèse du conflit actuel. C’est vraiment pernicieux et malicieux, mais cela témoigne de la puissance de feu du lobby pro-Touareg en occident, et particulièrement en Europe. Le Mali fait alors face à une guerre sur deux fronts : 1) sur le terrain (guerre ordinaire connue du grand public, mais cachant toutefois beaucoup de facettes ; 2) de l’information et son corollaire de la communication (dont l’exemple notoire est cet article de presse). Dans cette guerre que le Mali mène, il y a un échec patent sur le 2ème volet qui est autant, voire plus importante que le premier (car il agit indéniablement sur le 1er ).
….suite…
De ce fait, il serait idoine que les autorités maliennes, les communautés et collectivités maliennes, les Maliennes et Maliens individuellement aussi fassent cette guerre de l’information et de la communication pour faire resurgir la Vraie Vérité et l’Histoire Réelle sur le contexte conflictuel actuel. Sans cet aspect, l’image, la renaissance du Mali sera vaine. Nous sommes aujourd’hui dans l’univers numérique qui constitue le vecteur (ou support) de cette guerre, donc il est essentiel de se conformer et d’être en phase avec cette époque. En parlant aussi de guerre numérique ou de l’information et de la communication, il faut aussi tenir compte du lobbying qui constitue en soit un puissant outil de pression dans l’ombre.
Je suppose et je suis presque convaincu qu’il y a déjà eu des posts (publications) allant dans ce sens, mais en lisant cet article aujourd’hui, je me suis senti obligé de réagir car l’idée pernicieuse qui est en arrière plan est trop patente et nuit, comme nombre d’autres articles de presse à l’image du Mali et aux Maliens. N’oublions pas de le rappeler, le Mali est un pays multiethnique (uni dans sa diversité ethnique), reconnu pour son hospitalité et l’harmonie sociale comparativement à beaucoup d’autres contrés ou régions. Mais avec cette guerre informative qui est menée contre le Mali, on a tendance à nuire et sciemment omettre ces valeurs de la culture et de la société malienne dans son ensemble (les Touaregs y compris). Ma conclusion qu’il urge de se réveiller car il est toujours temps de faire jaillir la Justice et la Vérité sur ce conflit et particulièrement auprès des auditeurs étrangers et particulièrement occidentaux.Un Peule,Un But,Une Foi,pour un Mali Un et Indivisible.
Oui la pauvrete bien entendu…mais elle est partout au Mali. Mais n’oublions pas le feantisme et parasitisme. Finallement,la question qui vaille ce que tout le monde se soummette a la loi au Mali..touareg ou bamabara…personne ne chiera plus sur le reste avec un statut particulier!
Qu’est ce qui vous dire que les Toureg sont pauvres? Le Targui est plus riche de toute les ethnie au Mali.
le dialogue doit se faire avec les communautés et non avec des groupes terroristes narcotique comme mnlaaqmiançardinemiamaa et ces communautés vivant au nord son connu et qu’il faut que l’armée fasse sont travail de sécurisation et mettre tous les suspects aux mains de la justice
qu’on arrête de croire qu’ils sont là pour seulement éliminer les touaregs
les touaregs ont quitté le Mali depuis janvier 2012 ; tous ceux qui sont là sont des combattants d’aqmimnlaançardinemujao qui n’ont pas pu déguerpir car les moyens de déplacement ont été détruit par l’aviation française
La misma avec l’AM doivent continuer a voir toutes les cachettes de ses terroristes partout où ils se cachent car ils sont là même dans la zone de Bambaramaoudé dans le cercle de Diré où ils se comporte comme bergers.Donc dites au soldats attention le berger innocent peut être un agents de renseignements pour un éventuel attentat.
Je n’ai pas lu ce long article… Je n’ai pas le temps. Je devine ce qu’il contient… 😀
Mon intime conviction se résume en ces points :
1. Il est vraiment temps que le peuple malien fasse entendre sa voix. Et fermer le bec à tous les prétendus spécialistes qui sont des génocidaires…
2. Les touaregs ne sont pas les seuls ethnies de ces territoires. Ils ont les mêmes modes de vie que les peulhs. Ils sont minoritaires et vivent avec les bellhas, les songhois, les maures, les arabes, les peulhs, les bozos… etc.
3/ Il y a plus de touaregs en algérie, au niger, en libye… Les peulhs aussi se déplacent dans toute la bande sahélienne, jusqu’en somalie.
4. Tous les déserts subtropicaux sont habités par des populations pauvres : le sahara, le désert d’arabie, de gobi, de kalahari, de namibie, d’oklahoma… sont tous habités par des pauvres.
5. Le sahara malien ne peut pas être le berceau de peuples bèrebérisants.
Alors… les mensonges… ça suffit. 😀 😀 😀 😀
Laisse-les parler!
Mais a la longue, on finira par radicaliser ce peuple malien d’habitude pacifique qui n’a rien contre les touaregs, mais a force d’etre accule de toutes parts pour touaregophobie, finira par ouvrir une veritable chasse aux touaregs en territoire malien.
Tous ces pseudo-specialistes ne parlent jamais de ce que pense la majorite des touaregs par rapport a ces renegats egoistes; on ne parle jamais du fait que l’etat a fait l’impossible pour le nord, pas pour les touaregs seuls mais a cette partie du pays. Au nom de la paix et de l’harmonie, on a tout fait pour que les velleites de cette partie du pays cessent. Mais rien a faire, c’est recurrent.
Meme si on donnait cette partie du pays aux touaregs, les autres communautes les y evinceront. Alors peuple touareg, indignez-vous de ce que certaines pourritures font a votre nom, sinon ca va mal finir cette histoire.
Absolument vrai…
cher touareg, vous avez raison
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