Le Mali dans cette épreuve (la profonde crise qui l’affecte depuis 2012) semble bénéficier d’un grand élan de solidarité de la part de la société internationale. Des acteurs qu’ils soient multilatéraux ou bilatéraux sont impliqués dans la gestion de cette crise bien qu’avec des mandats et des stratégies disparates.
Cette multitude d’acteurs et de stratégies suscite bien des interrogations notamment celles relatives à leur efficacité quand l’on sait que la situation du pays était bien meilleure en 2012 qu’aujourd’hui. Pourtant, dans ce dispositif de réponse à la crise, figurent les Nations Unies, la plus grande et la plus importante organisation à vocation universelle et dans une moindre mesure, la 5ème armée du monde en termes de puissance. C’est pourquoi, d’aucuns disent que nous avons le monde avec nous.
Mais peut-on avoir le monde avec soi et vivre le chemin de croix ?
Les tentatives de réponses pratiques que nous donnerons à cette question nous permettront d’évaluer sommairement l’ensemble du dispositif en situant les incohérences. Mais avant, nous tenons à dire au lecteur qu’il ne trouvera pas sous cette plume, la panacée. Notre objectif est de contribuer aux débats, susciter des réflexions en donnant les clés de l’analyse c’est-à-dire la quête de cause et de sens.
Les acteurs, leurs mandats et stratégies
Nous distinguons entre acteurs nationaux, sous-régionaux, régionaux et internationaux. De toute évidence, le principal acteur national demeure l’Etat qui est dans son rôle classique de protection de ses citoyens. De janvier 2012 à nos jours, beaucoup d’efforts (bien que difficilement perceptibles) furent consentis par l’Etat malien dans le sens de juguler la crise. De la loi d’orientation et de programmation militaire à la grande réforme du Secteur de la sécurité en passant par des initiatives d’apaisement prises en faveur des groupes armés.
Ainsi, en lisant dans les stratégies de l’Etat, nous comprenons que la dimension sécuritaire au sens classique du terme (militaro-militaire) semble être beaucoup plus en exergue. Autrement dit, le gros des moyens a été drainé vers la réponse militaire. Du coup, un aspect extrêmement important dans le traitement de la crise n’a pas reçu l’attention nécessaire, il s’agit des mécanismes traditionnels de règlement des conflits.
En effet, il faut dire que le gouvernement du Mali n’a jamais pu affirmer son leadership dans la gestion de cette crise, presque tous les schémas expérimentés lui ont été imposés (car étant très affaibli pour négocier quoique ce soit à son seul avantage). C’est ce qui explique en partie le fait que ces mécanismes n’aient jamais eu de places confortables dans la stratégie du gouvernement. Pourtant, l’approche traditionnelle avait été initiée à travers notamment la commission de bons offices qu’a présidée l’Imam Mahmoud Dicko. Cette commission, à peine créée, fut aussitôt dissoute afin de s’aligner sur la politique française de contre-terrorisme.
Le génie malien devait pourtant se manifester.
En effet, selon la doctrine française en matière de lutte contre le terrorisme, le dialogue avec les éléments que la souveraineté française définit comme terroristes, est à bannir. En termes clairs, pas de négociations avec les terroristes.
Cette position du gouvernement français est, elle-même, un décalque de la doctrine américaine de contre-terrorisme dont l’efficacité reste d’ailleurs à démontrer (l’ouverture des négociations avec les talibans après 16 ans d’engagement militaire en est l’illustration). Rappelons que cette doctrine américaine a connu son point d’orgue à travers la stratégie de Sécurité nationale adoptée sous le président Georges W BUSH au lendemain des douloureux attentats du 11 septembre 2001, donc dans un climat très passionnel.
C’est vous dire la grande influence extérieure sur les stratégies du gouvernement malien qui devraient plutôt intégrer les réalités sociopolitiques du Mali qui ne sont pas forcément les mêmes en Afghanistan ou en Syrie ainsi que les intérêts stratégiques en jeu.
Outre l’Etat, nous avons d’autres acteurs nationaux qu’il conviendrait d’appeler forces sociales ou forces intermédiaires (organisations de la société civile et partis politiques). Si les premières semblent à présent décidées à peser sur le processus, les secondes sont plutôt dépassées par les évènements. Les partis politiques ont grand-peine à jouer le rôle qui leur est normalement dévolu (celui de contre-pouvoir). En effet, cela est une des conséquences du système politique post parti unique. Il consacre la dépendance des partis politiques à l’appareil d’Etat (leur santé dépend du nombre de postes ministériels qu’occupent leurs cadres) tuant ainsi l’esprit militant qui devrait amener chaque membre d’un parti politique à contribuer financièrement et intellectuellement au portage de l’Action politique du parti.
Il faut dire que les partis n’ont donc de stratégie que pour leurs propres positionnements sur l’échiquier politique, ils ne peuvent donc servir valablement le Mali dans ces temps ni par la force des débats, ni par la mobilisation.
Que dire donc des trois dernières catégories d’acteurs (sous-régionaux, régionaux et internationaux) ?
D’abord l’Union africaine, la première organisation régionale donne à penser qu’elle tient plutôt un rôle d’observateur ou tout au plus de facilitateur. Elle ne pèse pas suffisamment dans l’architecture, sa présence n’est d’ailleurs connue que de l’élite à travers son Haut représentant. La CEDEAO semble épouser la même posture depuis que les négociations ont quitté Ouaga pour Alger.
Quant au G5 Sahel, il n’est pas aisé de savoir s’il est une initiative régionale, sous-régionale ou internationale tant l’influence de la France sur lui demeure importante (c’est d’ailleurs ce qui explique principalement la méfiance algérienne vis-à-vis du G5 Sahel, l’Algérie qui ne transige point sur les questions de souveraineté).
Il faut donc dire que le G5 Sahel se résume à un effet d’annonce, les moyens escomptés n’ont toujours pas suivi parce que les potentiels gros bailleurs restent sceptiques quant à son utilité et ce, en dépit de l’important plaidoyer du gouvernement français.
Le scepticisme des potentiels bailleurs, parlons-en.
Parmi ces potentiels bailleurs, nous citons en premier lieu les Etats-Unis d’Amérique. Le ‘’refus’’ du gouvernement américain de financer le G5 Sahel s’explique entre autres par la nouvelle ligne qui caractérise la politique extérieure des Etats-Unis. En effet, depuis l’arrivée du président TRUMP au pouvoir avec son ‘’america fisrt’’, le pays semble considérablement diminuer ses prises de responsabilité dans le jeu international, certains observateurs parlent même d’isolationnisme.
Aussi, les Américains pensent que la France, qui est le chantre du G5 Sahel à l’international, est dans son pré carré, qu’elle aurait d’autres agendas purement stratégiques et qu’elle voudrait donc tout simplement se servir de cet outil pour mettre en œuvre ces supposés agendas.
Mais les Etats-Unis ne paraissent pas être les seuls à avoir des méfiances face au leadership français dans le dossier du G5 Sahel, il y’a aussi les alliés de l’Union européenne. Même s’ils sont beaucoup plus subtils, il faut dire qu’ils pensent également la même chose. C’est pourquoi, demeurent-ils timorés sur la question (le financement du G5 Sahel).
Outre les Etats-Unis et l’Union européenne, les principaux intéressés (les pays du CHAMP) eux aussi ne semblent pas prêts à assurer le financement de la task-force et ce, pour des raisons de conjoncture économique mais aussi de priorisation de leurs politiques de développement en leur sein. Vous l’aurez donc compris, le G5 Sahel n’est que pour le moment un gros machin truc.
Parlons à présent des deux derniers maillons du dispositif (Barkhane et Minusma)
D’abord Barkhane, c’est la ‘’grosse bête’’, le plus important et le plus influent maillon du dispositif. Placée sous souveraineté exclusive du gouvernement français à travers son ministère de la Défense, l’Opération a mandat de ‘’lutter contre le terrorisme au Sahel’’. Dans les faits, elle jouit d’une autonomie presque totale pour ne pas dire une indépendance vis-à-vis du gouvernement malien. Ces moyens d’anticipation et d’action sont colossaux, il s’agit d’une opération portée par la 5ème plus puissante armée au monde.
En dépit de tout ceci, le résultat engrangé reste mitigé, le citoyen ordinaire parle de paradoxe français au Mali ou de paradoxe tout court. Il dit ne pas comprendre la dégradation continue de la situation sécuritaire du Mali, alors que le pays abrite une opération militaire qui absorbe plus de 50% du budget annuel de l’ensemble des opérations militaires extérieures (OPEX) françaises, soit un montant estimé à 600 M€ par an.
Enfin, la Minusma. L’on pourrait dire qu’elle est l’expression de la volonté du monde organisé pour la stabilisation du Mali parce qu’elle émane des Nations Unies. Sa composante militaire semble plutôt dans une posture passive, d’interposition. Elle n’est pas une force de combat mais de protection des civils et éventuellement d’interposition entre belligérants. La Minusma oppose le plus souvent les limites de son mandat ainsi que le manque de moyens conséquents à ceux qui la trouvent passive et inefficace.
Outre la composante militaire, la Mission dispose d’autres composantes notamment celles qui s’occupent du développement social de base. À ce niveau, elle réalise des infrastructures, appuie des initiatives locales, facilite la résilience des populations vulnérables, renforce les capacités de gouvernance de l’Etat, etc. Malgré ses efforts, tout comme Barkhane, elle ne semble pas avoir l’opinion avec elle.
Récapitulons
Nous avons un pays qui s’appelle Mali, il vit une crise que l’on pourrait résumer ainsi : la Crise de l’Etat. Puisque cette crise le dépasse, d’autres acteurs sont venus à son chevet afin de l’aider à se rétablir. Mais il se trouve que chaque acteur a un mandat et des stratégies différents. Résultat des courses : plusieurs acteurs, plusieurs mandats, plusieurs stratégies pour un même problème. Et puisque malgré tout le problème reste entier, alors, soit le diagnostic n’est pas le même pour tout le monde (ce qui pose la question de la convergence), ou le dispositif doit être revu au moins dans certains aspects (coordination, diversité dans l’action, pilotage, redevabilité, etc.)
Déductions
Au regard de ce qui précède, nous pouvons déduire que le Dispositif global de réponse à la crise malienne, qui existe depuis 7 ans, ne semble pas répondre aux besoins réels de l’Etat malien. Ainsi donc, le gouvernement du Mali doit être plus courageux et plus ambitieux en osant prendre le leadership et en initiant donc, à partir d’une démarche inclusive (impliquant l’ensemble des acteurs), la révision dudit dispositif.
Concrètement, il pourrait cette fois mobiliser l’ensemble des ressources humaines (chercheurs, sociologues, anthropologues, politiques, fonctionnaires, leaders d’opinions, traditionalistes, etc.) afin d’élaborer un Plan stratégique national de sortie de crise qui sera validé par le gouvernement et soumis aux acteurs extérieurs en leur disant voilà ce dont nous voulons véritablement et voici ce que ça coûte tout en soulignant ce que l’Etat peut faire et ce qu’il attend des autres.
Parallèlement à ça, il y’a nécessité de reconsidérer ces partenariats classiques et d’aller vers des alliances stratégiques surtout au niveau bilatéral. Tout compte fait, notons que l’on est mieux servi que par soi-même. Même pas par la plus belle des hôtesses en première classe.
Mamadou Lamine SIBY/Analyste et homme politique
Source : Le Wagadu
Le titre :…Gouvernement, UA, BARKHANE, MINUSMA, G5 SAHEL, UE et compagnie : Et si l’on évaluait tout ça ?
L’évaluation de tout ça se résume en grande partie en une charge contre un pays et sa présence au Mali
Dire qu’en 2012 la situation était meilleure résume en quelques le jugement global..
Pourtant il me semble que les habitants de Tombouctou étaient très heureux quand ils ont été libérés ..
Ils racontaient la charia, les patrouilles punitives qui circulaient, plus de musique ,la lapidation etc…bref plus de liberté pour personne sauf pour les chefs..
L’idée qui revient le plus souvent c’est qu’un pays ne peut pas aider un autre pays gratuitement…C’est louche et cela sent la combine…
Reprenons l’histoire…La France a administré 18 pays en Afrique et les Africains ont participé à la guerre..Cela laisse des traces, et des liens..
La France a un siège à l’ONU ..cela lui confère une certaine responsabilité ..
Dans les pays autrefois administrés on parle le français et la France défend sa langue..(Francophonie et centres culturels qui pour beaucoup sont des havres de paix et de savoir).
Quand on voit le nombre de sportifs Africains qui opèrent en France ( ref équipe de france de foot homme)
Maintenant la France a aussi l’idée que son rayonnement passe par des interventions hors du commun
Mais même si en s’engageant au Mali elle savait que ce serait long, elle était sans doute loin de se douter que ce serait aussi difficile
EH EH EH !
QUE VIVE SANGARE ,
QUE VIVE WHITE SHIT ,
ET QUE VIVENT TOUS LES COUILLONS !
EH EH EH ! ( …………..) ! ! !
A PART CELA ….MON GRAND BONJOUR A BLANCHE NEIGE ….A MONKOPIN …ET AUX AUTRES !
SALUT A TOUS !…
NFP
Après le départ des jihadistes, les habitants qui étaient sous leurs dominations ont tous exprimé leurs nostalgies quant l’administration malienne s’est réinstallée.
On constate le même phénomène en Irak.
Donc ce n’est pas parce que la zone était occupée par les jihadistes que ce n’était pas mieux.
Les jihadistes administraient à la satisfaction de la population.
ELLE N’ÉTAIT PAS HARCELÉE TOUT LE TEMPS,TUÉE COMME DES BÊTES SAUVAGES COMME ON LE CONSTATE MAINTENANT.
En ce sens 2012 était bel et bien mieux que maintenant.
Et puis à supposer que les jihadistes se sont installés à Bamako, est on sur que les populations seraient moins sécurisées que maintenant ?
Quand les deux tiers de notre territoire étaient entre les mains des jihadistes, les habitants de ces localités rendaient visite à leurs parents sans être inquiété des bandits armés.
Maintenant c’est pratiquement impossible de voyager dans ces localités.
En 2012,la LOI ISLAMIQUE était appliquée à la satisfaction de la population car elle a permis de stabiliser la société.
Aujourd’hui, la population voit ses biens, ses moutons et ses boeux emportés presque quotidiennement, pas seulement dans les trois régions du Nord, mais au centre jusqu’à koulicoro.
En terme de la sécurisation de la population, 2012 était ,de loin, mieux que 2019.
Si on pense que la France est intervenue pour empêcher que les populations soient fouettées, amputées qu’elle commence d’abord à intervenir en ARABIE SAOUDITE où se passe, depuis toujours, ce qui se passait au Nord du Mali en 2012.
LA FRANCE EST INTERVENUE POUR AIDER L’ÉTAT DU MALI À SÉCURISER SA POPULATION AU LIEU QUE ÇA SOIT LES JIHADISTES QUI VONT FINIR PAR SE RETOURNER CONTRE LES OCCIDENTAUX COMME BEN LADEN L’A FAIT EN AFGHANISTAN.
L’essentiel n’est pas de chasser les jihadistes, mais de sécuriser la population.
La France est elle incapable d’aider l’armée malienne à sécuriser la population comme le faisait les jihadistes pendant leurs occupations ?
Si elle est incapable d’aider n’est-il pas mieux qu’elle laisse la place à d’autres partenaires ?
C’est parce que la France est incapable de laisser la place à d’autres partenaires qu’on constate qu’elle n’est pas là pour le Mali ,mais pour ses intérêts.
C’est parce que la France se nourrit de l’insécurité que 2012 est mieux que 2019 car la sécurité comme l’ont instauré indéniablement les jihadistes signifie le départ de L’ARMÉE FRANÇAISE alors qu’elle ne veut pas partir.
Pour rétablir permanemment l’insécurité, la France s’est emparée du levier du pouvoir à Bamako.
Elle donne des instructions à IBK destinées à empêcher l’ARMEE MALIENNE de se restructurer, de se doter des instruments aussi bien structurels que matériels, d’écarter les officiers supérieurs les plus brillants et patriotes…
C’est ainsi qu’on est informé que l’accord de défense signé en catimini empêche l’ARMEE MALIENNE de se déplacer librement.
On est sensé aider l’ARMEE malienne de sécuriser la population, mais on fait tout pour l’empêcher de faire son travail.
Quand on se plaint de l’inefficacité de ceux qui sont venus nous aider, on nous répond HYPOCRITEMENT que la sécurité du territoire est de la responsabilité de l’ARMEE MALIENNE alors qu’elle est ficelée par un accord de défense.
Qu’on le veuille ou non 2012 vaut mieux que maintenant.
En 2012,les jihadistes n’auraient jamais accepté les disparitions des villages.
Quand on demande actuellement à la population des villes du Nord de choisir entre la présence des jihadistes et celle des forces internationales,elle va incontestablement accepter l’arrivée des jihadistes.
C’est pourquoi, on exige la négociation avec ces gens là.
Sont-ils plus terroristes que les forces internationales qui assistent à l’élimination massive de la population sans intervenir aux motifs que ça ne fait pas partie de leurs mandats.?
OSER LUTTER, C’EST OSER VAINCRE !
La lutte continue.
ILS SOUFFLENT CHAUD ET FROID CES FILS A ABRAHAM ! RIEN N A CHANGE DEPUIS DES MILLENAIRES, INFILTRATION ET DESTRUCTION PAR PROXY!
EST CE QUE LES TERRORISTES SONT PAUVRES ? OU BIEN VOULEZ VOUS DIRE QUE CE SONT LES PAUVRES QUI SONT TERRORISES?
LE DJIHADISME EST LA CROISADE DES ARABES! TOUT COMME LA CROISADE JUIVE QUI A MISE L EUROPE SOUS LEURS LOIS, LES COUSINS ARABES VEULENT S ACCAPARER LE SUD DU SAHARA!
LA MEDITERRANEE N EST QU UN LAC INTERIEUR A LABRAHAMISTAN DES IDIOTISEURS ABRAHAMIQUES
une grande nouvelle : un bateau pneumatique mal gonflé et surchargé (+ de 80 immigrants dont un certain nombre de maliens a chaviré faisant 80 noyés !) Tout çà pour ne pas s’engager dans l’armée malienne pour combattre les djihadistes ………et ces cons ne savaient pas nager .
salut COCO et NPF ,de la part de blanche neige . Eh oui je ne suis pas encore mort ,désolé pour ceux qui ne souhaitaient que çà !! Je viens moins sur maliweb pour éviter de m’énerver avec les conneries des journaleux locaux ,et surtout les commentaires de ceux qui n’ont jamais foutu les pieds à l’école !! Au fait ,le temps passe ,ma fille a 11 ans et rentre en 6éme en septembre !! Ma retraite est plus heureuse comme çà et je ne me sens pas vieillir .
le journaleux pose la question :” et si l’on évaluait tout çà ? ” La réponse va de soi ,çà nous arrangerait beaucoup nous les français parce que nous ferions de sérieuses économies en hommes et en argent .
à l’abruti dénommé WSR qui ose imaginer qu’avant d’élaluer les armées “d’occupation ” autrement dit la notre il faudrait d’abord évaluer l’armée malienne .Ca pourrait etre vrai si elle existait mais malheureusement elle n’est que dans la tete de certains connards .
Lundi mon ex femme malienne va passer devant le juge des affaires familiales parce que tout simplement
je refuse qu’elle aille avec la gosse à Bamako à la Toussaint . Il y a deux ans elle s’est foutue de moi ,me disant que la gamine ne bougerait pas de chez son frère quand elle irait en ville ,j’ai voulu lui faire confiance et cette conne a emmené la gosse à Ségou ,traversé le Niger en pirogue alors que ni l’une ni l’autre ne savait nager ,elle qu’elles ont fait 7 ou 8 km en moto en pleine brousse pour aller au village !!
Je l’ai su par hasard 2 mois plus tard quand ma fille m’a montré des photos sur le téléphone de sa mère . Je l’aurais tuée .Je prefère voir ma fille ici en vie plutot que d’aller réceptionner un cercueuil 10 jours plus tard .
….et ….EN PÉDALANT TRES FORT …ON ARRIVE A PREVOIR DES ATTENTATAS ..
CA DOIT ETRE …OU CORRESPONDRE A DES BRUITS BIZARRES …( ? ) …FORTS …( ? )
ALLEZ SAVOIR …
ET …SI UN JOUR ON DÉCOUVRAIT QUE NOTRE “AMI” WSR …WHITE SHIT ..ETAIT L AGENT DE …? ? ? µ
PARCE QUE LE PAUVRE …IL PÉDALE FORT !
VRAIMENT ….ET IL N A PAS BESOIN DE VELO …IL SE L INVENTE !
RINZ ….ANALYSE EXACTE …
BON …DISONS QUE MONKOPIN EST EN FORME …NON ? …
! ! ! ! ! ! ! WOUF ! ! ! ! ! ! !
AH ….SALUT MONKOPIN !
Monsieur SIBY,
Personnellement, je partage plusieurs points de vos remarques. Comme “dans tous les pays on (forces étrangères) est intervenu militairement durant ces dernières décennies, sois disant lutter contre le terrorisme, la situation des populations est beaucoup plus grave qu’avant”. (cf Michel Colon). ceci est une vérité connue de tout le monde. on intervient pas pour soulager les populations, mais plutôt pour des intérêts stratégiques (pillages de ressources, base militaire, conservation des valeurs et forces, etc.). Tout le monde sait que la France (Barkhane) ne peut pas éjecter, gratuitement 600 million d’euros annuellement pour protéger le beau visage des Maliens ou Sahéliens, elle le fait, car elle y trouve son compte. L’aide proprement dite n’existe tout simplement pas. On aide pour en tirer profit en contre partie. Pourquoi les forces persistent à rester au Mali malgré les récentes protestations contre leur présence au Mali? Pourquoi les Médias français (FRI, France 24, etc.) n’évoquent pas ces problèmes comme ils le font avec les autres?
Pourquoi la France a interdit l’entrée dans Kidal aux Forces Armées Maliennes? Qui a préalablement signé des accrods avec les séparatistes? Qui les a soutenus, armés? Qui a orchestré le tout premier attentat (celui de la terasse) à Bamako? Pourquoi les soi-disant terroristes n’apparaissent que dans les pays à ressources et/ou leur pays voisins? Tout le monde a la réponse à ces questions.
Il est temps que ces forces sortent du Mali et que l’on prenne notre destin à mains.
Ils ont entrepris les même scénarios en Afghanistan, Irak, Syrie, Lybie, Yougoslavie, Bosnie, etc. et partout c’est le chaos endémique après leur passage. Il y a toujurs des intérêts immoraux et des prétextes partout pour intervenir.
Bonjour NFP..toujours très captivantes tes interventions
En ce qui concerne Mamadou Lamine SIBY
C’est plutôt bien écrit et le plan est intéressant:
L’auteur dit qu’il cherche à contribuer au débat, et susciter des réflexions..Sage précaution
On voit mal comment l’état malien pourrait prendre le leadership…L’Armée malienne et Barkhane n’ont pas le même poids …
Si seulement l’armée malienne pouvait par sa présence rassurer les habitants et dissuader les combats ethniques du centre ce serait un très grand pas..
L’auteur ne parle pas du climat détestable contre des forces venues en urgence sortir du bourbier un pays imprévoyant ..
Lorsque des Européens viennent visiter la France ils sont surpris par notre présence importante Nous les Noirs, et même si l’arrivée de l’extrémisme est forte…je me sens en sécurité..Aucun journal ne pourrait laisser passer des écrits haineux contre Nous car ils seraient poursuivis en justice ..
Je pense toujours que les dérives que l’on lit ici sont le reflet de la jeunesse d’une jeune République..
$TUPIDITAFRIKHAIN€$ ?
DIKTATAFRICAIN$ ?
“quand l’on sait que la situation du pays était bien meilleure en 2012 qu’aujourd’hui”😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁😁
Décidément, et au risque de me répéter, Maliweb n’hesite pas à publier N’IMPORTE QUEL TORCHON rédigé par N’IMPORTE QUEL CRETIN, y compris quand les propos sont d’une IMBÉCILITÉ À COUPER LE SOUFFLE !🙄🙄🙄
Ici par exemple, avec ce Siby qui s’auto-proclame lui-même “analyste et homme politique”😆 on a visiblement affaire à un véritable CON D’ELITE, presque un CAS DE LABORATOIRE !😁😁😁😁😁😁😁
Siby, comme ton unique neurone😆 semble gravement fatigué, on te rappelle que la “SITUATION BIEN MEILLEURE” de 2012 était la suivante:
– DEUX TIERS DE NOTRE TERRITOIRE O.C.C.U.P.E (!!!…) PAR L’ENNEMI… (DEUX TIERS, rien que ça !!!…)
– NOS MAMANS NOS FEMMES ET NOS TANTIES FOUETTÉES PUBLIQUEMENT (ET SOUS NOS YEUX) COMME DES CHIENNES…
– NOS VILLAGEOIS PUBLIQUEMENT (ET SOUS NOS YEUX) AMPUTÉS VIFS DE MAINS OU DE PIEDS…
– NOS VILLAGEOIS PUBLIQUEMENT (ET SOUS NOS YEUX ) ASSASSINÉS PAR LAPIDATION…
– NOS TOMBEAUX SACRÉS DETRUITS (SOUS NOS YEUX ) A COUPS DE DABA…
Et tout ça…………………SANS QUE NOUS OSIONS TIRER UN SEUL COUP DE FEU et que les redoutables soldats de l’armée malienne restaient prudemment planqués dans leurs camps a kati ou ailleurs!😎😎😎😎
– Enfin, la nuit de janvier 2013 ou les troupes de Serval sont arrivées chez nous, L’ENNEMI AVAIT APLATI NOS SOLDATS ET ETAIT EN TRAIN DE PRENDRE KONNA, POUR ETRE ENSUITE EN QUELQUES HEURES À BAMAKO !!!😎😎😎😎
Voilà un bref résumé rigoureusement authentique de ce que toi, pauvre abruti, tu oses qualifier (sans rire!) de…….”SITUATION BIEN MEILLEURE”!😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆😆
Dernière chose, cerveau musclé :
Quand on est MALIEN et qu’une guerre se déroule au MALI (et donc sur notre PROPRE SOL), il me semble qu’avant de prétendre “EVALUER”😆 le travail des armées étrangères, il est serait plus normal “d’evaluer” D’ABORD ET AVANT TOUT le travail de nos propres armées, LES PREMIÈRES CONCERNÉES !😎😎😎
Monsieur le supposé “analyste” (de quoi???) et supposé “homme politique” (ou ça ???), arrête un peu ton ton bla-bla pour intellectuels de grin semi-lettrés, et fais-toi greffer un cerveau…
Qu’on soit ou pas d’accord avec leur presence, comment peut-on avoir L’ARROGANCE “d’evaluer” le travail des forces étrangères, alors que nos propres forces dorment tranquillement la nuit au lieu de monter la garde, restent cachées dans leurs camps quand des villages se font massacrer à 10 petits kilomètres, et ne neutralisent ou ne traquent JAMAIS depuis le début le moindre jihadiste !
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“Quand on est MALIEN et qu’une guerre se déroule au MALI (et donc sur notre PROPRE SOL), il me semble qu’avant de prétendre “EVALUER” le travail des armées étrangères, il est serait plus normal “d’evaluer” D’ABORD ET AVANT TOUT le travail de nos propres armées, LES PREMIÈRES CONCERNÉES ”
tu es vrainent le nègre non savant en chef !!!
1. le malin ‘a pas d’armée
2. la vrai armée au mali est larmée franSSaise : soit disant avec des satellites (imaginaires dans l’espace), des espions, des écoutes téléphoniques …. mais malgré àa, la guerre se deplece au centre et maintenat avec l’arrivée de l’onul à Bamako … CE sera la “fête” partout …
IL FAUT d’abord évaluer l’armée franSSaise dont les autorités ont dit que leurs amis sont les rebelles touaregs qui ont pris des armes contre notres pays avec leurs amis islamistes !!!
Tu es un vrai cancre !!! Le mali est rempli de gens comme toi !!!
LE centreafrique a fait le bilan de la présence miliatire franSSaise au pays, resultat : ils ont viré l’armée franSSaise !!! Et aujourd’hui ils sont en paix !!!
Le Rwanda a fait pareil, le vietnam aussi a viré l’armée criminelle inpunie franSSaise pédophiles blancs !
Point prévison :
-attentatas à Bamako : écoles et marchers avec l’installation de l’onul à Bamako
-marche sur Koulouba et l’ambassade de France le même jour
La seule chance pour le mali : une personne qui viendra après ibk …
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