Hier à l’hôtel Laïco Amitié, s’est tenue la première réunion ministérielle sur l’opérationnalisation de la Force conjointe du G5 Sahel (FC-G5S) qui a regroupé les ministres en charge des Affaires étrangères, de la Défense et de tutelle du G5 Sahel. Cette rencontre décisive dans l’action commune en faveur de la paix et de la sécurité aura permis aux participants d’approuver des documents relatifs notamment à la création d’un mécanisme de mobilisation, de coordination et de gestion des contributions à la FC-G5S, et à la mise en place d’un Comité de soutien et de contrôle de la Force conjointe.
L’ouverture des travaux était présidée par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale du Mali et président du Conseil des ministres du G5 Sahel, Tiéman Hubert Coulibaly. Il avait à ses côtés ses collègues en charge de la Défense et des Anciens combattants, Tiéna Coulibaly, et de l’Economie et des Finances, Dr Boubou Cissé. En outre, on notait la présence du secrétaire permanent du G5 Sahel, Najim Elhadj Mohamed, du commandant de la Force conjointe, Didier Dakouo et des chefs d’état-major général des armées des pays membres de l’organisation. Cette réunion couronne les travaux des experts civils et militaires qui, quatre jours durant, avaient planché sur des questions de défense, de sécurité et celles relatives aux aspects institutionnels et partenariaux pour permettre l’opérationnalisation de la FC-G5S. Ces experts ont formulé les trois projets de décision soumis à l’approbation du Conseil des ministres. Le premier projet portait sur la décision de création d’un mécanisme de mobilisation, de coordination et de gestion des contributions de la FC-G5S. Le second avait trait au règlement organique de la Force conjointe. Et le dernier concernait la création, l’organisation et le fonctionnement d’un comité de soutien et de contrôle de la FC-G5S.
D’importance égale, ces documents approuvés matérialisent la ferme volonté des acteurs à réussir la pleine opérationnalisation de la FC-G5S, prévue pour mars 2018. Les ministres sont davantage galvanisés par l’appui de la communauté internationale qui, à travers le Conseil de sécurité des Nations unies, a adopté à l’unanimité la résolution 2391 du 8 décembre 2017. Ainsi, le G5 Sahel a-t-il bénéficié d’un intérêt manifeste tant à Bruxelles le 11 décembre qu’à Paris le 13 décembre lors des rencontres entre les chefs d’Etat des pays membres et leurs partenaires de coopération.
Sans doute, les fruits de cette attention particulière de la communauté internationale seront pour beaucoup dans l’opérationnalisation du G5 Sahel. « À ce jour, la FC-G5S a enregistré 294 millions d’euros d’annonces de contribution sur le budget prévisionnel de 423 millions d’euros (soit 69,5%) », a révélé le secrétaire permanent du G5 Sahel, Najim Elhadj Mohamed. Il s’est dit convaincu que « ce niveau de financement permettra, une fois les mécanismes de sa mobilisation et de sa bonne gestion définis, d’assurer la pleine opérationnalisation de la Force conjointe». Si des avancées significatives sont aujourd’hui enregistrées sur le plan sécuritaire, Najim Elhadj estime cependant qu’il y a lieu de redoubler d’efforts pour faire face aux problèmes de développement. «Nous avons la ferme conviction qu’une fois notre espace progressivement sécurisé, le développement devrait suivre pour en assurer la durabilité et la pérennité», a-t-il indiqué. Par ailleurs, il a rendu un hommage appuyé au président de la République du Mali et président en exercice du G5S, Ibrahim Boubacar Kéita, et à son gouvernement, pour le travail remarquable accompli.
Le président du Conseil des ministres du G5 Sahel, Tiéman Hubert Coulibaly, a rappelé que cette rencontre est la suite logique de la réunion de concertation des ministres des Affaires étrangères, tenue le 11 décembre 2017 à Bruxelles. Lors de cette concertation, les participants avaient convenu de prendre toutes les mesures qui s’imposent en vue d’assurer l’appropriation par les Etats membres des différentes dimensions du processus d’opérationnalisation de la FC-G5, aux plans politique, institutionnel, opérationnel, financier, de l’information et de la communication.
Cette réunion ministérielle conjointe, a-t-il poursuivi, marque une étape décisive qui vient s’ajouter aux actes majeurs pris par les Etats aux plans régional et international. Au nombre de ces actes, il a cité l’inauguration du PCIAT de la Force conjointe, le 9 septembre 2017 et le déroulement de la première opération dans le fuseau transfrontalier central, le 27 octobre 2017.
Pour l’appropriation effective du processus de la FC-G5S, Tiéman Hubert Coulibaly a indiqué que la démarche commune devrait s’articuler autour de six leviers. Entre autres, il y a le «maintien d’un très haut niveau de préparation et de déploiement opérationnels de la FC-G5S», le «développement continu de l’interopérabilité de nos forces de défense et de sécurité et le maillage de notre partenariat avec les autres armées amies», «l’accélération de la mise en œuvre de la résolution 2391 (2017) », la «constitution d’un système G5S de financement», le «renforcement du pilotage politique»…
Issa DEMBÉLÉ
Les ethnies qui veullent continuer à traîner dérière les singes peuvent s’occuper du G5. Ma communauté est prise en ottage par des singes humanoïdes, et nous voulon avancer en créant notre propre Etat indépendant.
La cohésion sociale ne sera jamais possible dans une société de loup, agneaux, caïmans, hyènes, chèvres, choux et salades !!!!!!!
Chaque ethnie doit créer son propre Etat et utiliser sa propre langue !
Adieu le français !
Adieu la Françafrique !
Vive les Etats ethniques en Afrique !
Les indépendantistes touareg ont maintenant un allié de poids. Je veux qu’on en finisse avec cette farce grossière appelée le Mali. Chaque ethnie doit créer son propre Etat. Et on verra dans 5 ans maximum, certains vont créver de faim et de soif, tandisque d’autres deviendront un nouvel eldorado. Le vivre ensemble n’est pas possible et ne sera jamais possible!!@
Nous allons prendre la France en contre-pied et ces fascistes vont bien regréter leurs sals jeux de diviser pour reigner. La langue française va complètement disparaître dans les nouveaux Etats ethniques, car chaque ethnie va utiliser sa propre langue comme unique langue officielle de son Etat.
Au Mali, il existe un Apartheid qui ne dit pas son nom, mais qu’il va falloir reconnaître en fin, et faire le bilan du vivre-ensemble dans un Mali pluri-ethnique. L’hypocrisie n’a que trop duré !!!
Maintenant, il n’y aura plus de “mussalaka”, et le chat sera démormais appélé par son nom: Miamm !!!!
A lire certains commentaires je commence à comprendre pourquoi tous les postes stratégiques au Mali sont entre les mains des Songhoy, Peuhls, Touareg et Arabes.
Le Mali fut détruit progressivement par le tribalisme cancérogène de ces groupes ethniques et ce, dépuis Moussa Traoré. C’est d’ailleurs Moussa Traoré qui a inicié cet apartheid au Mali, en accordant systématiquement, et de manière disproportionnée tous les postes clés à ces groupes ethniques au Mali, au mépris des autres ethnies.
Donc, pourquoi pas diviser le Mali, si certaines ethnies se croient supérieures aux autres ???
A partir d’aujourd’hui, je suis fervant partisant de la division du Mali en micro-Etats basés sur l’occupation ethnique. C’est la seule solution pour le Mali et le seul moyen d’éviter des génocides pires qu’au Rwanda.
Que chaque ethnie réclame son propre Etat et s’occupe de son propre dévélloppement socio-économique. Si certaines ethnies voudront s’unir pour créer un Etat ensembles, tant mieux pour elles, mais aucune ethnie ne doit être pénalisée par ce régime d’apartheid qui ne dit pas son nom !!
Les ethnies qui refusent de travailler et passent leur temps à parasiter sur le fruit du travail des autres seront obligés de travailler ou de partir chez les autrez ethnies vivre comme immigrants sans-papier et sans droits !
Chacun pour soit, le travail pour tous !!!
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