Les actes terroristes de la semaine dernière à travers le pays ont suscité des réactions au sein des forces vives de la nation. On retient surtout des appels à l’union sacrée derrière notre Armée nationale.
«Les dernières attaques nous rappellent que nous devons plus que jamais demeurer unis et vigilants face à la volonté meurtrière de l’ennemi. Je condamne avec la dernière rigueur ces actes barbares…», a réagi Modibo Sidibé, ancien Premier ministre et président des Forces Alternatives pour le Renouveau et l’Emergence (FARE An Ka Wuli), sur twitter.
«Les événements du jour (l’attaque de Kati le vendredi 22 juillet 2022) rappellent comment notre environnement sécuritaire est encore précaire et comment l’unité ainsi que l’union sont nécessaires pour sortir notre pays du harcèlement terroriste», a rappelé M. Abdourhamane Dicko, membre influent de la société civile au Mali. «La multiplication des incidents témoigne de la capacité de nuisance des groupes terroristes mais aussi de la portée de l’action militaire des FAMa contre eux. Cette action ne doit point faiblir, mais elle ne saurait, à elle seule, venir à bout des terroristes. Elle a besoin de la coopération des populations dans un environnement emprunt de confiance entre elles et les FAMa», a-t-il insisté.
A son avis «cette confiance se construit sur le respect de la diversité et la dissociation de l’individu du collectif. Un membre d’un groupe ethnique quelconque présumé coupable d’une action terroriste ne doit point être considéré comme un représentant d’une communauté. C’est dire qu’il faut éviter la stigmatisation et le délit de faciès qui sont instrumentalisés par les groupes terroristes contre l’État et renvoient à une durée incertaine la résolution de nos problèmes multidimensionnels».
«Ces attaques sont à la fois inacceptables et incompréhensibles… La cohésion nationale est l’ultime gage de l’unité et la stabilité, pour sauver la patrie mère de ses ennemis de plus en plus déterminés à casser», a aussi souligné Me Mamadou Ismaïla Konaté, avocat et ancien ministre de la Justice.
Quant à Malick Coulibaly, également juriste et ancien Garde des sceaux, il a indiqué que «cette vague d’attaques terroristes ignobles nous interpelle tous. Les acteurs politiques et la société civile doivent sceller l’union sacrée autour du Mali. Les citoyens doivent redoubler de vigilance et collaborer avec les forces de défense et de sécurité». Et cela d’autant plus que, en pareille circonstance, «la défense de la patrie nous engage tous. Il n’y aura point d‘îlot de sécurité et de prospérité dans un océan de KO et de misère ! Notre pays est menacé, cela doit impacter nos comportements et attitudes».
Aujourd’hui, comme l’a si bien dit A. Dicko, les Maliennes et Maliens ont besoin de taire leurs divergences pour apporter un soutien inconditionnel à notre vaillante armée !
M.B
Une bonne partie de l histoire de ce pays en relation avec thomas sankara est bâtie sur du faux et sur des fantasmes populistes de panafricanistes !
Thomas sankara était avant tout et après tout un militaire putchiste qui est venu par les armes et qui est parti par les armes ! A l image de tous ces putchistes qui se sont succèdés au mali, en centrafrique, les deux guinées etc. Ils ont tous eu à renverser des présidents légalement élus par voie démocratique comme Ahmeth Sékou Touré, Modibo keita, tombalbay etc et ont installé leur pays dans une série de coups d états destabilisateurs à n en plus plus finir et ils ont tous eu à plomber le développement économique et en potentiel humains de valeur de leurs pays
Beaucoup de burkinabé ont eu à fuir leur pays sous ce putchiste nommé sankara pour regagner le Sénégal et la Cote d Ivoire pour devenir des professeurs émérites, des médecins, quand ils ne se sont pas retrouvés en France aux USA ou en Belgique
SOURCE: SENEWEB.
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