La mort a encore frappA� des populations civiles, prA�cisA�ment la communautA� peulhe. AprA?s le drame da��Ogossagou (23 mars 2019), ca��est les habitants da��un hameau peulh A� HA�rA�makono (rA�gion de SA�gou) qui ont A�taient attaquA�es par individus en tenu dozo. BilanA�: 15 morts, des blessA�s, des disparus, ainsi que da��importants dA�gA?ts materiels.A�
Le lundi 13 mai dernier vers 9H, un groupe individus A�A�A�chasseurs DozosA�A� a attaquA�, un hameau peulh de Heremakono A� 8Km de la ville de Niono (SA�gou). Ils A�taient sur une quinzaine de motos avant de faire irruption dans le hameau situA� dans la commune de HA?rA?makono. Selon des sources locales, les assaillants ont da��abord encerclA� les habitations. A� Ils ont ensuite commencer A� tirer dans tous les sens A�, rapportent les mA?mes sources. Un premier bilan fait A�tat de 13 personnes tuA�es et sept blessA�es dont trois en situation grave. Aujourda��hui, ce bilan a A�tA� revu A� la hausse. Plusieurs sources A�voquent un nouveau bilan de 15 morts.
Tabital Pulaaku, A� travers son prA�sident Abdul Aziz Diallo, a exprimA� sa colA?re et sa consternation, avant de lancer un appel au gouvernement et A� la communautA� internationale pour assurer la protection des innocents. A� Appel A� tous les peuls des villages, des hameaux et de la brousse A� assurer sans dA�lai la protection des innocents contre les hordes criminelles des chasseurs A�, dA�clare Abdoul Aziz Diallo.
La��une des plus meurtriA?res de ces attaques contre des populations civiles (peulhs) a A�tA� celle da��Ogossagou, le 23 mars 2019. En effet, la localitA� de Ogassagou-peulh, commune de Dialassagou (rA�gion de Mopti) avait A�tA�A� le thA�A?tre, le samedi 23 mars 2019,A� de graves atrocitA�s qui ont fait de nombreuses victimes. BilanA�: prA?s de 174 mortsA� et de nombreux blessA�s. Aussi, de nombreuses pertes matA�riellesA�sont signalA�es : cases brulA�s,A� greniersA� dA�truits, enclos de bA�tails dA�truitsa��
Selon des sources locales, cette paisible localitA� peulhe a A�tA� investie, tA?t le matin, par des assaillants armA�s jusqua��aux dents. Ceux-ci, ont, dans leur furie meurtriA?re, tirA� surA� tout ce qui bougeait. Ainsi, parmi les victimes, la��on dA�nombre de nombreuses femmes et des enfants. Cette atrocitA� a A�galement fait plusieurs dizaines de blessA�s dont certains ont A�tA� A�vacuA�s vers Bankass et Dialassagou. Cette attaque a A�galement visA� un camp du DDR oA? A�taient regroupA�s des A�lA�mentsA� appartenantA� A� la milice de SA�kou Boly, un dA�serteur de la��armA�e qui avait crA�A� sa propre milice, il y a quelques mois. La totalitA�A� des cantonnA�s de ce camp aurait A�tA� tuA�e.
Chronique da��une descente aux enfers !
Les populations du Centre (Mopti et une partie de SA�gou) vivent aujourda��hui plusieurs drames A� cause des conflits communautaires et autres crimes crapuleux commis par des groupes armA�s. En longueur de journA�e, celles-ci font, en effet, la��objet da��exactions de toutes sortesA�: meurtres, assassinats, coups et blessures, enlA?vements de bA�tails, vols da��engins et da��objets de valeurs de la part des groupuscules armA�s et autres bandits de grands chemins. La��armA�e malienne et les forces A�trangA?res ne sont pas A�pargnA�es.
Mardi 1er janvier 2019, un village peulh Kolongoa A�tA� attaquA�, dans le Centre (rA�gion de Mopti), par des chasseurs traditionnels. Cette attaque meurtriA?re a fait 36 morts, dont des femmes et des enfants, une soixantaine de greniers et de cases volontairement incendiA�s une quarantaine de blessA�s.
Des affrontements ont eu lieu, le mardi 15 janvier 2019, entre les FAMAs et les prA�sumA�s djihadistes non loin de la ville DiafarabA�, cercle de Teninkou. Le bilanA� a fait A�tat de 2 militaires blessA�s.
18 janvier 2019A�: Des individus armA�s ont attaquA� la localitA� de DjA�ri, commune de Pignari, cercle de Badiangara (rA�gion de Mopti), avant da��incendier des cases et greniers. Bilan, 2 morts et plusieurs blessA�s (civils). Le 19 janvier 2019, des individus armA�s ont attaquA� la localitA� de Niondo, commune de SeguA�,A� cercle de Bankass (rA�gion de Mopti) avant d’incendier des cases et greniers, faisant 1 mort et plusieurs blessA�s (civils).
Le lundi 21 janvier matin, des A�lA�ments des forces armA�es et de sA�curitA�, ont A�tA� la cible da��une attaque, A� Toye dans la��inter fleuve du cercle de Macina. Le bilanA�: un militaire tuA�.A� Avant de se retirer les assaillants ont aussi emportA� un vA�hicule de la��armA�e.
Deux casques bleus de l’ONU ont pA�ri et plusieurs ont A�tA� blessA�s, le vendredi 25 janvier 2019, dans l’explosion d’une mine au passage de leur convoi dans le Centre du pays, a annoncA� la MinusmaA�: A�A�Un vA�hicule d’un convoi logistique de la Minusma a heurtA� une mine aux environs de Douentza, rA�gion de MoptiA�A�. Le 25 janvier 2018, un vA�hicule de forains prA?t pour la foire de Boni a sautA� sur une mine : 28 maliens et BurkinabA�s y ont pA�ri. Quelques semaines plus tard en fA�vrier, un autre muni-bus de forains a heurtA� un engin explosif A� Dallah. Cette explosion avait fait 6 morts et 16 blessA�s.
27 janvier 2019A�: un chasseur (donzo) ouvre le feu A� Bingo, commune de MonimpA�bougou, cercle de Macina (rA�gion de SA�gou) faisant des victimes, 2 morts et 3 blessA�s (civils).
Un vA�hicule des forces armA�es et de sA�curitA� (FAMAs) a explosA�, le lundi 28 janvier 2019, sur un engin explosif improvisA�, probablement une mine, prA?s du village de Toye commune de Matomo, cercle de Macina (SA�gou). BilanA�? Plusieurs militaires tuA�s et deux autres blessA�s. Auparavant, une patrouille de la��armA�e avait subi une attaque non loin de cette mA?me zone oA? un militaire a A�tA� tuA�. La��attaque avait A�tA� revendiquA�e par le A�A�Groupe de Soutien A� la��Islam et aux MusulmansA�A� (JNIM) arguant qua��elle visait A� dA�fendre les Peulhs contre un regroupement de militaires soutenu par des chasseurs traditionnels.
Lundi 28 janvier 2019, un vA�hicule da��une patrouille des FAMAs saute sur une mine sur la route Saye-Ba, commune de Sana, cercle de Macina (SA�gou). BilanA�: 4 morts et 2 blessA�s (soldats).
Mardi 5 fA�vrier 2019, l’explosion d’un vA�hicule de forains fait 3 morts et 12 blessA�s, A� Dagana, dans la Commune du HaA?rA� (cercle de Douentza). Selon des sources locales, le minibus, revenait de la foire de Hombori quand il a heurtA� un engin explosif improvisA�. Le mA?me jour, un autre vA�hicule de forains en partance pour Boni a sautA� sur une mine. Le bilanA�: 3 morts et une douzaine de blessA�s dont 5 dans un A�tat grave.
A Macina, des hommes armA�s non identifiA�s ont attaquA�, le samedi 9 fA�vrier 2019, le village de Mamadaga dans la commune de DiafarabA�. Selon des sources locales, plusieurs personnes ont A�tA� blessA�es dont un cas grave. Ces blessA�s ont A�tA� admis au centre de santA� de Macina. L’armA�e malienne est intervenue pour libA�rer le village.
Une autre attaque intervient (dans la rA�gion de Mopti), le mardi 12 fA�vrier dernier, en dA�but de soirA�e. Des assaillants trA?s nombreux et lourdement armA�s investissent la localitA�. Les populations apeurA�es, se sont terrA�es chez elles. Un douanier est froidement abattuA�! Selon les populations, les assaillants sont restA�s longtemps aux cA?tA�s du corps du douanier sur la place publique de la localitA�a�� Ils sont ensuite repartis abandonnant le corps de leur victime aprA?s la��avoir dA�pouillA�e.
Vendredi 15 fA�vrier 2019A�: Une attaque a A�tA� perpA�trA�e par des individus armA�s contre un poste de contrA?le A� la��entrA�e de la localitA� de Mondoro (Mopti). Selon un premier bilan (non officiel), 5 A�lA�ments des forces armA�es et de sA�curitA�, notamment des gardes ont A�tA� tuA�s.
Des groupes da��hommes armA�s, selon la��ONU, auraient attaquA� les villages de Minima MaoudA� et de LibA�, sA�parA�s de 15km, les 16 et 17 fA�vrier 2019. Dans les deux attaques, le mode opA�ratoire semble A?tre identique: A�A�Ils auraient ouvert le feu sur des civils, incendiA� une grande partie des cases, des greniers et tuA� le bA�tailA�A�. Les deux attaques ont aussi occasionnA� plusieurs morts et blessA�s, dA�plore la mission onusienne au Mali.
Le chef de village de Dioungani-Dogon, Brahima Guindo est introuvable depuis le lundi 18 fA�vrier 2019. Sa famille A� inquiA?te A� est sans nouvelles de lui. Cette disparition intervient aprA?s que le chef de village ait participA� A� une rencontre de rA�conciliation de son village avec celui de Gourthy, un village peulh. Les deux communautA�s avaient dA�cidA� de cohabiter ensemble.
Mardi 26 fA�vrier, dans la commune de Diankabou, A�A�17 civils ont A�tA� tuA�s par un engin explosif enfoui dans le corps d’un homme abattuA�A�, selon un A�lu rA�gional. L’information a A�tA� confirmA�e par une source de sA�curitA�. Le cadavre piA�gA� aurait A�galement fait quinze blessA�s civils. Les parents d’un homme disparu, qui A�tait allA� chercher de la nourriture pour son bA�tail, ont dA�couvert son cadavre dans la commune de Diankabou. Ils “ont approchA� imprudemment le cadavre qui a explosA� en tuant 17 personnes. Les hommes armA�s qui ont assassinA� l’homme ont mis dans et autour de son corps des explosifs”, a prA�cisA� la source de sA�curitA�.
9 soldats du Bataillon para relevant de la force conjointe du G5-Sahel en poste A� Boulkessy, qui patrouillaient sur la��axe Dioungani-Dinangourou, dans le Centre du Mali, ont A�tA� tuA�s, le vendredi 1 suhagraat full hindi, suhagraat full hindi, suhagraat full hindi, suhagraat full hindi, suhagraat full hindi, suhagraat full hindi. er mars dernier. Da��autres ont A�galement A�tA� blessA�s. Cela, suite A� la��explosion da��une mine au passage de leur convoi.
Plusieurs sources ont fait A�tat de la dA�couverte de fosses communes prA?s de Mondoro, dans le cercle de Douentza. Au moins 24 corps auraient A�tA� exhumA�s. Les associations peuhls A� Tabital et Kisal PulakuA� prA�sentes dans la zone confirment la��information. Toutefois, les autoritA�s locales disaient ne pas A?tre au courant de la prA�sence de ces charniers. Cette dA�couverte macabre a A�tA� faite le 24 fA�vrier 2019, affirment plusieurs sources concordantes.
Le village de Tegourou situA� A� 12 kms de la ville de Bandiagara dans la commune rurale de Doucombo a A�tA� attaquA�, le jeudi 7 mars dernier vers 21heures, par des hommes armA�s non identifiA�s. Selon une source locale, les assaillants ont procA�dA� A� des tirs sur le village avec des armes lourdes. Ils ont emportA� plusieurs animaux et brA�lA� des maisons et des greniers. Un homme a A�tA� blessA� et transportA� au Csref de Bandiagara.
Mardi 12 mars dernierA�: Des vA�hicules A� bord desquels se trouvaient plusieurs militaires de la��armA�e ont A�tA� la cible da��attaque A� la��engin explosif improvisA�, probablement une mine, dans les localitA�s de DialloubA� et Hombori (Mopti). Le bilan provisoire fait A�tat da��au moins 7 militaires tuA�s et da��autres blessA�s dont certains griA?vement. Parmi les victimes, 3 ont A�tA� enregistrA�s A� DialloubA� et 4 entre Boni et Hombori.
Le jeudi 14 mars dernier, le chef de village de Boulkessi, Ibrahim Diallo dit Amirou Boulkessi, a A�tA� enlevA� A� son domicile par des prA�sumA�s djihadistes. Selon de bonnes sources, cet enlA?vement porte la signature des A�lA�ments de la Katiba Ansarul Islam, mouvement burkinabA�, dirigA� par Diafar Dicko, qui est le frA?re cadet de Malam Dicko, dA�cA�dA�. Le chef de village de Boulkessi, avait quittA� Bamako, le mardi 12 mars pour regagner son terroir.
Le mA?me jour vers 20 heures, un garde a A�tA� tuA�,A� prA?s du rondpoint central de SevarA�, par un homme non identifiA�. La victime A�tait en poste devant une banque de la place lorsque l’auteur du crime a tirA� A� bout portant. Il a ensuite emportA� l’arme du garde.
Dimanche 17 mars dernier A� la��aube, le camp militaire de DiouraA� (cercle de TA�nenkou) a A�tA� attaquA� par A�A�plusieurs dizainesA�A� de djihadistes lourdement armA�s. A 6 heures du matin, plusieurs dizaines de djihadistes lancent l’assaut A� bord deA�pick-upA�et de motos. D’autres assaillants auraient A�galement infiltrA� la localitA� quelques heures avant le dA�but des combats.
L’explosion d’un vA�hicule piA�gA� conduit par un kamikaze signale le dA�but du combat. Le camp militaire de Dioura est attaquA� par le Nord et par le Sud-Est. L’A�tat-major de l’armA�e malienne a annoncA�, lundi dernier, un bilan de 23 morts et 17 blessA�s pour ses troupes. Aucun soldat malien n’a A�tA� fait prisonnier. Des militaires un temps portA�s disparus sont retrouvA�s vivants dans des villages voisins situA�s jusqu’A� plus de 20 kilomA?tres de Dioura.
Le village de Sobangouma dans la commune de Dioungani (cercle de Koro) a A�tA� attaquA�, le jeudi 21 mars dernier, par des hommes armA�s non identifiA�s. AprA?s des A�changes de tirs qui ont fait deux blessA�s, les assaillants ont fui. InformA�es, les FAMAs se sont rendues sur les lieux. Les 2 blessA�s ont A�tA� A�vacuA�s au centre de santA� de rA�fA�rence de Koro.
Le vendredi 22 mars dernier vers 7 heures, une moto-taxi transportant 3 jeunes de la ville de Bandiagara a sautA� sur un engin explosif improvisA� entre le village de Diombolo. Le bilan de la��explosion est da��un mort et deux blessA�s graves. AlertA�s, les A�lA�ments de la brigade de gendarmerie na��ont pu avoir accA?s au village craignant les engins explosifs improvisA�s.
Toujours dans le village de Diombolo, des hommes armA�s non identifiA�s ont attaquA� les villageois. Le bilan fait A�tat de 4 personnes tuA�es dont une femme et des dA�gA?ts matA�riels importants.
Une charrette a sautA�, le lundi 1 avril 2019, sur une mine entre Anagadia et BA?mA? dans la commune de Madougou dans le cercle de Koro. Le bilan est d’un mort. Quelques instants aprA?s un motocycliste a sautA� sur une autre mine entre Kassanwan Dah et AnakedjA� toujours dans la mA?me commune. Le bilan est aussi d’un mort et d’un blessA� A�vacuA� A� la��hA?pital. Selon des sources locales les victimes se rendaient A� la foire de Madougou.
Des hommes armA�s non identifiA�s ont attaquA�, dimanche 14 avril dernier, le hameau de Bamba-TA�mA? localitA� situA�e dans la commune de Bamba (cercle de Koro). Le bilan est de 4 morts et les assaillants sont repartis avec beaucoup d’animaux. Les FAMAs aussitA?t informA�es sont venues sur le lieu pour ensuite engager une poursuite afin de retrouver les assaillants indiquent les mA?mes sources.
Le lundi 15 avril dernier, le village de KinA� A� quelques dizaines de kilomA?tres de Diankabou, cercle de Koro (rA�gion de Mopti) a A�tA� attaquA� par des hommes armA�s non identifiA�s. Les assaillants sur des motos ont A�tA� repoussA�s suite A� des A�changes de tirs avec les villageois. Bilan de l’attaqueA�: un villageois tuA� et une moto des assaillants saisie.
Dix-huit civils ont A�tA� tuA�s dans une double embuscade menA�e par des hommes armA�s A� deux jours d’intervalle dans une mA?me commune du Centre du pays, oA? opA?rent des djihadistes, “Mercredi 1 mai dernier, 12 civils ont A�tA� tuA�s par des hommes armA�s dans le village de Tigula, dans la commune rurale de Mondoro. Jeudi, six autres civils partis A� (leur) recherche ont A�tA� A� leur tour tuA�s par les mA?mes hommes”, a dA�clarA� un A�lu de Mondoro sous couvert de l’anonymat pour raisons de sA�curitA�. Le dA�roulement des faits et le bilan ont A�tA� confirmA�s par un autre A�lu municipalA�. Mercredi 1 mai 2019, un vA�hicule de l’armA�e qui transportait des vivres, prA?s du village de Tigula, a explosA�, tuant un militaire. Ayant entendu l’explosion, les villageois ont pris la direction du lieu (de l’explosion) pour secourir les militaires lorsque des terroristes sont intervenus pour les exA�cuter”, a dA�taillA� cet A�lu local. Six autres civils partis, le jeudi, A� la recherche du premier groupe de personnes dont ils A�taient sans nouvelles ont A�tA� A� leur tour “tuA�s par les terroristes”, a-t-il poursuivi.
Le bilan de 18 civils tuA�s est A�galement confirmA� par une source de sA�curitA�, qui n’a cependant pas fait A�tat du soldat tuA�. “Les assaillants ont mis des mines dans les corps des douze civils. On ne sait pas trA?s bien encore si c’est en voulant prendre les corps que les six (autres civils) ont A�tA� tuA�s ou s’ils ont A�tA� exA�cutA�s comme les autres”, a indiquA� cette source de sA�curitA�.
Le lundi 25 avril dernierA�: Mondoro dans le cercle de Douentza, aprA?s la��attaque A� BouldA� qui a fait une quinzaine de morts et beaucoup de blessA�s. Les populations locales affirment vivre dans la peur et la��inquiA�tude. Selon des tA�moignages, les militaires qui sont sur place ne surveillent que le chef-lieu de la commune.
Depuis la��apparition il y a cinq ans dans le Centre du Mali du groupe djihadiste du prA�dicateur peulh Amadou Koufa, les violences se multiplient entre les Peulhs, et les bambara et dogon. Ces violences intercommunautaires ont fait plusieurs centaines morts civils en 2019.
Par ailleurs plusieurs organisations, associations et personnalitA�s ont dA�noncA� ces exactions A� la��endroit des peulhsa��
Mohamed Sylla