L’annonce, effectuée par Ibrahim Ag Mohamed Assaleh, le chargé des relations extérieures du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), au sortir d’une audience à Ouagadougou avec le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur de la crise malienne, relance le processus de paix, alors que des violences avaient repris dans le nord du Mali.
« Désireux de créer un climat de confiance réciproque pour la poursuite du processus de paix, réaffirmant notre attachement à l’esprit de l’accord préliminaire à l’élection présidentielle et aux pourparlers inclusifs de paix au Mali, (nous) déclarons la levée de la suspension de notre participation au sein des organes de l’accord », a lu M. Assaleh devant la presse.
Les rebelles ont indiqué avoir pris « acte des engagements récemment pris par les nouvelles autorités maliennes et la main tendue d’(…) Ibrahim Boubacar Keïta en vue d’une pleine et entière mise en oeuvre des mesures de confiance prévues par l’accord ».
Après dix-huit mois de crise politico-militaire, les mouvements rebelles touareg ont signé le 18 juin à Ouagadougou un accord avec Bamako visant à permettre l’organisation de la présidentielle du 28 juillet à Kidal, ville située au nord-est du Mali sous contrôle des groupes armés touareg, après l’intervention française qui a chassé du nord du Mali les groupes djihadistes alliés à Aqmi.
Après plusieurs mois de collaboration, qui avaient notamment permis l’élection d’Ibrahim Boubacar Keïta à la tête du Mali en août, les rebelles avaient suspendu les négociations avec Bamako le 26 septembre parce que les autorités maliennes ne respectaient pas leurs engagements, a expliqué samedi à l’AFP Mahamadou Djeri Maïga, le vice-président du MNLA.
« Depuis l’investiture du nouveau président, on a l’impression que pour le nouveau pouvoir la paix est retrouvée, que le terrain a été conquis et que donc il n’y a plus de problème. Mais la vérité est autre », a déclaré M. Maïga.
« L’accord (de Ouagadougou) n’est que préliminaire. C’est maintenant que les discussions sérieuses vont démarrer et c’est à travers ces discussions que nous saurons quel type de statut nous aurons pour l’Azawad », a-t-il poursuivi, dans un entretien avec l’AFP.
La question de l’autonomie des territoires du nord du Mali (nommés +Azawad+ par les touareg) est la principale pomme de discorde entre les deux parties. Voulue par les insurgés, elle se heurte à un refus inflexible de Bamako, pour qui l’intégrité territoriale du pays ne saurait être remise en cause.
La rupture des négociations avait provoqué une éruption de violence instantanée au Mali.
Dès le 27 septembre, deux militaires maliens étaient blessés dans un attentat à la grenade à Kidal (nord-est), où des échanges de tirs, parfois nourris, ont eu lieu entre soldats maliens et rebelles touaregs le 29 et le 30 septembre.
Le 28 septembre, un attentat suicide d’Aqmi à Tombouctou tuait deux civils et blessait six soldats, selon Bamako. Al-Qaïda au Maghreb islamique a chiffré à 16 le nombre de morts au sein des troupes maliennes.
Mercredi, le président malien Ibrahim Boubacar Keïta a répété qu’il gardait la main « tendue » vers les touareg, alors que vingt-trois prisonniers arrêtés « sur le théâtre des opérations » militaires dans le nord ont été libérés dans le cadre de l’accord de Ouagadougou.
« Le problème de l’Azawad ne saurait être un problème de terrorisme et de développement, a observé Mahamadou Djeri Maïga. C’est un problème politique qu’il faut gérer. Les uns et les autres doivent le comprendre. »
MNLA
Mahamadou Djeri Maïga est un imbécile à la pensée binaire.
Quand on nous parle d’AZAWAD c’est totalement ignorer l’histoire même du Mali.
Il faut rappeler que les touareg et les arabes n’ont pas toujours été des Maliens. Ce sont des gens qui ont émigré chez nous voilà plusieurs centaines d’années. Qu’ils soient maliens à part entière aujourd’hui, je veux bien, avec des droits mais aussi avec des devoirs. On ne prend pas les armes contre son pays pour quelque raison que ça soit. Il faut les mettre dehors ces gens là. Prenons une région comme Koulikoro totalement ignorée par tous les présidents du Mali. Il n’y a pas jamais eu de problèmes. Les députés sont là pour ça. S’il n’y a pas de changement mettez le député dehors puis que incompétent.Il y a aussi le plaidoyer-Lobyying pour amener des investissements dans sa région. A chaque fois qu’il y a un problème, s’il faut prendre des armes pour demander l’indépendance, chaque malien aura son lopin de terre aujourd’hui et on ne parlera plus de pays.
La création d’un ministère pour le développement des régions du nord c’est du grand n’importe quoi. Le Mali a besoin du développement au nord, au sud, à l’ouest, à l’est. La première ville du Mali Bamako n’a rien d’une capitale moderne. Il faut juste un peu voyager pour s’en rendre compte. Le président IBK s’est planté sur la création de ce ministère.
Eh Yamôgô déen!
Ce monsieur a la tête typique d’un bellah. Avec ses crocs dehors de tout temps comme pour charmer ses maîtres enturbannés. Il tient ce langage de peur des djihadistes qui se sont récemment explosés à Tombouctou.
Chers internautes de Maliweb, dites moi d’où vient ce Djeri Maiga. (Gao, Tombouctou ou Kidal). Je ne vois rien d’un tamacheq, Arabe ou Hartane de lui). Est-ce un tamacheq du Burkina Faso? OU s’agit-il du fils d’un muezzin de la Libye ou du Soudan de Bechir? 😆 😆 😆
Ce Mr me rappelle le rebelle bamoussa diarra, qui en 2006, jouait le même rôle: le patin de service. D’ailleurs diarra vit il toujours?
Djery Maiga’s back ground come from berber because the last name Maiga means in tuareg, who is he? Moreover, the language that Sorrai speak is annother version of berber . For example, the Tribe of Idoussahake, who are themselves tuareg speak the same language as Sorrai. God bless you!
ce Maiga n est pas le fils digne de son pere, ce n est qu un bella den si non un vrai songrai ne laisse jamais ses compas pour aller prendre les sacs de mil de ces racistes independantistes
Je me demande si ce Mr est vraiment un Maïga c’est à dire un songhoï car le projet d’indépendance des régions du nord prôné par le MNLA, ne vise ni plus ni moins qu’à réduire en esclaves les songhoï de la zone.
Face aux terroristes déguisés en politiques ; il n y a pas de discussions possibles ; convention internationale
Ces gens se sont associés aux bandits de tous les pays pour attaquer le Mali
Avec le soutien financier et logistique des Etats qui se disent musulmans
Après avoir commis toutes sortes de crimes et de forfaits ; voilà que le nouveau gouvernement du Mali courbe l échine en toute injustice devant ces personnes responsables du malheur des pauvres citoyens
Vraiment; qu avons nous fait Seigneur pour mériter ce déshonneur de la part de nos responsables; que nous croyons qu ils nous honoreraient ?
Nous avons très mal Seigneur pour la mémoire des nombreuses innocentes victimes pour lesquelles il n y aura pas de justice ; ainsi ont décidé nos responsables
L’integrite territoriale du Mali est l’affaire du peuple du Mali.Ce burlesque aura a rendre compte un jour.Nous nous tenons tous debout derriere le President du Mali inflexible,implacable et intraitable.Tous les Anciens Chefs d’Etat du Mali qui ont incarne cette Nation a un moment doivent se mettre a la disposition du Capitaine en charge du Navire pour preserver l’integrite,la cohesion et la consolidation des structures de l’Etat Malien.Le Mali doit sortir grandi de ce complot et non depouille.C’est le moment d’affirmer notre force de caractere,de refuser le marchandage et de prouver que nous sommes les descendants de ces Negro-Africains qui ont fait du Ghana,du Mali et de l’Empire Songhai des Empires-phare.Les descendants de Samory,d’El Hadj Omar, des rois de Segou et de Sikasso sont parmi nous.C’est le peuple du Mali qui les a fait grandir.L’Armee du Mali doit mediter son role et se mettre a la hauteur.Nous sommes attaques.L’honneur est d’ecraser l’ennemi ou de le mettre a genoux
CE GARCON NIAIT A PERDU SON TURBAN…
IBK doit dissoudre ces groupes armés, hors la loi et criminels. Le dialogue est valable pour tous les citoyens maliens, ceux qui veulent n’ont qu’a s’y associer un point c’est tout.
Il faut arreter toutes discutions avec ces illégaux. Un état ne traite pas avec des malfrats aussi longtemps. AUCUNE SAGESSE N’EST DE MISE EN CE DOMAINE.
Cet individu est le dindon de la farce, mais un dindon qui se plait tellement dans son rôle. Le HCUA=28 membres, 24 sont des touaregs de Kidal en grande majorité précisément des ifoghas. et ces gens prétendent (insolemment) représenter la diversité du nord du Mali. Admettons que ça soit un problème politique, un groupuscule de quelques bandits égarés peut-il dicter la politique nationale de tout un pays? Sachez que la Mauritanie et le Burkina Faso qui vous servent de refuge aujourd’hui sont des pays en sursis dans l’attente d’une bourrasque dévastatrice. Alors à ce moment vous n’avez plus où fuir. Continuer vos rêves avec l’argent de la drogue à Ouaga et Nouakchott.
Azawad tè mènè… aw doro bara wade dè don ! 🙁 🙁 🙁
La nouvelle armée du Mali… disciplinée… républicaine… défendra l’intégrité territoriale … et toutes les populations à l’intérieur de notre Maliba… 😀
Les apatrides qui se sont alliés avec les criminels jihadistes pour commettre les crimes sur des population sans défense sont tout autant des criminels… ils devront répondre devant la justice des hommes et devant la CPI…
Ce n’est pas parce que Ançardine vous a botté les fesses que vous serez pardonnés… ce n’est pas parce que le Mujajo vous a massacré… que vos actes sont prescrits… 🙁
Pas de réconciliation sans justice… 🙁 🙁 🙁
Vos crimes ne seront pas rescrits…
apres les negociations ,ils vont rendre ton compte –apatride
Un belah comme ça la
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