Deux soldats de la force antijihadiste Barkhane, déployée au Sahel, ont été blessés par un des leurs lors d’une dispute sous l’emprise de l’alcool, a-t-on appris samedi auprès de l’état-major des armées françaises.
L’altercation entre soldats français est survenue dans la nuit du 24 au 25 décembre sur la base de Gao, au Mali. “Des soldats de la même unité se sont, en langage commun, pris la tête. Un soldat a blessé deux de ses camarades avec son arme de service”, un pistolet automatique, a indiqué à l’AFP le porte-parole de l’état-major Frédéric Barbry. Un homme a été blessé très légèrement, l’autre plus sérieusement, mais sans que son pronostic vital ne soit engagé. Tous deux ont été évacués dans la foulée puis admis à l’hôpital en France. Une enquête de la prévôté a été ouverte. “Dés que l’enquête sera terminée, il sera rapatrié”, a indiqué le colonel Barbry. Une enquête de commandement devrait aussi être ouverte pour faire la lumière sur les circonstances de l’incident.
La force Barkhane compte 5.100 soldats au Sahel, où elle lutte depuis 2014 contre les groupes jihadistes avec ses partenaires du G5 Sahel (Mauritanie, Tchad, Mali, Burkina Faso, Niger). La France réfléchit depuis quelques semaines à une possible réduction de ses effectifs dans la zone. Un sommet est prévu mi-février pour faire le point sur la situation, un peu plus d’un an après le sommet de Pau (sud de la France).
Ag Azamanae, je vais amemner notre Sangare a Tominian pour avoir un peu de Gno dolo ensemble et comme ca il va decouvrir le Mali, le vrai!
MALIENS, OUVREZ LES YEUX !!! SOYEZ INSPIRÉS PAR LE PEUPPLE DE LA RCA…!!!
MALIENS, OUVREZ LES YEUX !!! MALIENS, OUVREZ LES YEUX !!!
—- L’analyse géopolitique par Luc Michel : Centrafrique, les plans occidentaux mis en échec —- !!!
« Présidentielle en Centrafrique : tout sauf Touadéra », la ligne politique de la nouvelle coalition de l’opposition soutenue par l’Occident continue de faire du zèle en Centrafrique afin de déstabiliser le pays et surtout d’empêcher le président Touadera, favori de l’élection présidentielle d’être réélu.
À un an de la présidentielle, les principaux leaders de l’opposition centrafricaine ont mis sur les rails une nouvelle coalition.
Initiée par Anicet-Georges Dologuélé, cette plateforme politique rassemble notamment Nicolas Tiangaye et Abdou Karim Meckassoua ».
Une offensive surprise de groupes armés dans l’ouest de la Centrafrique, défaite par les FACA avec l’appui logistique de la Russie, a contraint les Nations Unies à déployer des Casques Bleus vendredi, dénonçant « une tentative délibérée de perturber les élections » présidentielles et législatives du 27 décembre.
La réaction de Bangui et des FACA a été foudroyante.
« L’aviation russe est entrée dans la danse en RCA conformément aux accords de défense signés entre le pays de Touadera et celui de Vladimir Poutine ».
L’aviation russe a appuyé les FACA qui ont écrasé le putsch de groupes armés instigués par l’ex-président Bozizé, qui est actuellement recherché par le parquet de Bangui !
« Les villes de Bossembélé, Yaloké et Bossemptélé sont sous le contrôle conjoint des FACA et des Forces de la MINUSCA.
Le travail de sécurisation continue et va s’intensifier, y compris dans la Lobaye où des troupes supplémentaires sont envoyées », déclare le porte-parole du Gouvernement. Présentées comme la force stabilisatrice par les médias occidentaux, la Mission des Nations Unies en Centrafrique (MINUSCA) « a déployé vendredi des forces à Bossemptélé et à Bossembélé, deux localités de la préfecture de l’Ombella-M’Poko cibles d’attaques (menées) par des éléments armés du 3R, du MPC et des anti-Balaka », a déclaré dans un communiqué son porte-parole Vladimir Monteiro.
Ces trois des plus importants groupes armés qui occupent deux tiers de la Centrafrique, instigués par l’ex-président Bozizé, ont menacé de s’en prendre au pouvoir du président Faustin Archange Touadéra si ce dernier organiserait des fraudes, comme ils l’en accusent, pour obtenir un second mandat.
On notera l’alliance opportuniste anti-Touadera d’éléments reliés au groupe terroriste à la solde occidentale al-Qaïda, et de groupes armés anti-Balaka, créés en 2012 par Bozizé.
« Tous contre Touadéra » est le programme de Paris résumé il y a quelques mois par Jeune Afrique !
Selon des sources humanitaires et onusiennes, les groupes armés se sont emparés quelques heures de « plusieurs localités situées sur les axes qui desservent la capitale Bangui », que les médias mainstream disaient déjà « menacée par un blocus à distance ».
La réaction foudroyante des FACA, avec un appui russe, les a mis en déroute.
Bozizé, le joker de Paris est en fuite, un mandat d’arrêt ayant été émis contre lui par le Parquet de Bangui.
La réaction des Nations Unies révèle l’isolement des putschistes, et de leurs soutiens parisiens.
À New York, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a condamné dès ce vendredi « l’escalade de la violence et appelle tous les acteurs à cesser toute hostilité de manière urgente », a indiqué son porte-parole Stéphane Dujarric.
Antonio Guterres a appelé les parties à résoudre « tout différend de manière pacifique », dans l’intérêt du peuple centrafricain, qui a selon lui « souffert pendant trop longtemps du conflit et de l’instabilité ».
Les tensions sont très vives en Centrafrique, où le gouvernement du président Touadera (que les médias parisiens appellent le « régime Touadera ») avait accusé ce mercredi l’ancien président François Bozizé, exclu du scrutin par la Cour constitutionnelle, de préparer un « plan de déstabilisation du pays ».
La Mission des Hauts représentants de la CEEAC, l’union régionale, en visite en RCA avait fait de même !
Depuis 2018, la guerre a évolué en un conflit de basse intensité, « où les groupes armés se disputent le contrôle des ressources du pays, bétail et minerai principalement, tout en perpétrant régulièrement des exactions contre les populations civiles ».
Le président Touadera, en partenariat avec Moscou et face à l’hostilité de Washington et Paris, a reconstitué les FACA et reconstruit la République.
« Cela fait 4 ans que la France et les USA s’en prennent régulièrement à la Russie, l’allié que l’état centrafricain a choisi en toute indépendance comme partenaire, cherche à présenter de la RCA d’un état défait où les forces vives se battent les unes contre les autres et où la réconciliation n’existe que sous perfusion russe ».
Depuis son retour clandestin d’exil en décembre 2019, François Bozizé cristallisait les inquiétudes de la majorité présidentielle, qui accusait ce « putschiste récidiviste » de fomenter un nouveau coup de force.
François Bozizé est soupçonné d’avoir « organisé une contre-insurrection sanglante depuis son exil », mais il est resté libre malgré des sanctions de l’ONU, qui l’accusent « d’avoir soutenu des milices anti-balaka coupables, selon l’ONU, de crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité en 2013 et 2014 ».
Une opération de désinformation a été mise en route par les réseaux de déstabilisation US en Afrique, qui, relayé par des médias mainstream, diffusent des fake news :
« L’alliance de plusieurs groupes armés née en 2019 pour défier l’autorité du « régime » de Bangui s’est mise en action depuis plusieurs jours avec des soutiens au plus haut niveau de l’État, au Tchad et au Congo Brazzaville affirme ainsi une certaine Nathalie Dukhan, chercheuse pour l’ONG THE SENTRY et « spécialiste des groupes armés en Centrafrique ».
« L’objectif ultime est d’empêcher le plan de réélection de Touadéra au premier tour », assure-t-elle.
Le but de ces fake news est simple, fâcher Touadera avec le tchadien Idriss Deby Itno et le Congolais Sassou Nguesso.
Ce mercredi, le porte-parole de la MINUSCA, chargée à côté des FACA, de sécuriser les élections avec ses 11 500 Casques Bleus, avait appelé François Bozizé « à œuvrer sincèrement pour un retour véritable de la paix […] plutôt que de tisser des alliances avec des leaders de groupes armés pour déstabiliser le pays ». « La MINUSCA note que, suite à l’invalidation de la candidature de l’ancien Président Bozizé, et après ses récentes rencontres avec les trois groupes armés susmentionnés, les incidents sécuritaires se sont multipliés et intensifiés », avait renchéri le porte-parole dans le communiqué de ce vendredi.
François Bozizé avait pourtant réaffirmé son « attachement au processus électoral » en déclarant mercredi son soutien à la candidature d’Anicet Georges Dologuélé (un autre joker de Paris) pour battre le président Touadéra.
Dologuélé, économiste de formation et premier ministre de 1999 à 2001, était désormais présenté par les médias français comme « le principal challenger de Touadéra ».
Pendant leur séjour, la délégation de haut-représentants de la CEEAC a rencontré l’ancien chef d’État François Bozizé, dont la candidature a été rejetée.
Ces derniers ont pu discuter avec François Bozizé. Ce dernier avait justifié ses déplacements en province « pour soutenir des candidats aux élections législatives de son parti ».
Et sur sa rencontre avec les groupes armés, il a affirmé « vouloir simplement saluer les chefs de groupe armé dans les zones traversées ».
On rappellera que Bozizé, renversé par la Seleka, est devenu un seigneur de la guerre et que ses milices anti-Balaka sont poursuivies pour crimes de guerre.
La CPI réclame d’ailleurs Bozizé, protégé par le Quai d’Orsay, à La Haye pour ces crimes. Raison du rejet de la candidature de Bozizé par la Cour Constitutionnelle de Bangui !
Bozizé préparait en fait un putsch ! AVEC L’ AIDE DE PARIS..!!
MALIENS, OUVREZ LES YEUX !!! SOYEZ INSPIRÉS PAR LE PEUPPLE DE LA RCA…!!!
https://reseauinternational.net/lanalyse-geopolitique-par-luc-michel-centrafrique-les-plans-occidentaux-mis-en-echec/
PS : il faut lire ” … sous peine d’ agressions …” et non ” …. sous d’ agressions … ” merci !
Pensez être exclus à cause de sa race n’ est pas malien ! C’ est semer la zizanie ! Alors si vous etes vraiment maliens il faut eviter ca !
J’aurais voulu commenter l’article mais comme je suis identifié par les webmasters de Maliweb “de subversif relativement à la chose militaire”, en censurant mon dernier posting réponse @Sangaré sur l’article portant le titre “dernier conseil des ministres” (d’il y a deux jours) alors que, s’agissant de lui, Sangaré,; le “bon peulh”, qui ne voile pas ses opinions avérées de soutien aux militaires sur le site, n’est pas censuré; donc deux poids, deux mesures.
Est-ce que parce que je signe par un pseudo touareg que je subis le “racisme ethnique internautique” des administrateurs de Maliweb? En tout état de cause, je suis fondé à le croire!
Sincèrement
PS: si mon présent commentaire n’est pas validé, je quitte le site Maliweb!
Non ne quittes pas, il faut patienter et surtout nous Maliens et pas Touareg, pas Peulh, pas Soninke, pas Sonrai, pas Minianka, pas Bobo, pas Khasonka, pas Senoufo, pas Dafing, pas Maniinka, pas Bamanan, etc. de temps a autre on boit un peu trop du vin rouge de France et on se dispute avec Sangare le vieux qui confond Tieblen et Tieoulen et plus grave Drame avec Konate! On lui demande d’aller jouer avec ses petits-enfants qui ont besoin de leur grand-pere! Si Toumany Djime Diallo etait Ambassadeur encore il allait nous parler devant le Senat de France des tatouages des soldats Francais qui aiment les Maliennes!
Kinguiranke il faut faire attention à Sangare qui n’accepte pas la contradiction sous d’ agressions , ce qui n’ est pas digne d’ un soit disant intellectuel qui oublie d’etre issu de villageois soit par ses parents ou grands parents ou arrières et de surcroit qui oublie que son idole vient de Niafunke ! Soh don , yiri don , yèrè don de niogon tèh ! C’ est un rappel !
Comments are closed.