Après la défaite des groupes terroristes face à l’armée malienne soutenue par l’opération Serval française, le groupe terroriste Ançar Eddine d’Iyad Ag Ghaly vient d’être baptisé du nom du Mouvement islamique de l’Azawad (MIA). C’est une pure diversion.
Aujourd’hui, la terre du Mali est le théâtre d’une guerre qui lui a été imposée par des forces obscurantistes agissant au nom de l’islam. Iyad Ag Ghaly, le fondateur et chef du groupe terroriste Ançar Eddine qui voulait transformer le Nord du Mali en marché international de drogue et de vente d’organes humains, a coûté la vie à des nombreux Maliens. Il est disparu depuis les premières frappes de l’armée française.
Et dès lors les maliennes ne savent réellement pas où donner la tête. En effet, après sa défaite avec Ançar Eddine le seigneur terroriste vient de réorganiser Ançar Eddine à Kidal et lui donner un autre nom, celui de Mouvement islamique de l’Azawad (MIA) dirigé par son bras droit Alghabass Ag Intallah.
Cet homme, après plus de neuf mois avec Iyad en collaboration avec les plus grands groupes terroristes du monde, menaçant la sécurité du monde, se moque du Mali en disant que son mouvement n’a pas d’autres préoccupations que lutter contre le terrorisme et se dit ouvert au dialogue avec les autorités du Mali.
Sachant que la lutte contre le terrorisme est plus intense que jamais, ses chances de s’en sortir sont devenues minces. Il a fallu trouver une solution pour échapper aux foudres de l’armée malienne et ses alliés.
Et, il pense que débaptiser son mouvement peut être une solution pour négocier ou s’échapper. Iyad Ag Ghaly et le MNLA doivent comprendre que le Mali n’a plus besoin de négocier avec aucun groupe islamiste ni avec un groupe rebelle qui ont commis des exactions.
Même si l’erreur de la communauté internationale notamment la France et le médiateur Blaise Compaoré a été de croire en la sincérité du MNLA, ce mouvement en réalité n’est rien d’autre que le cheval de Troie des mouvements terroristes qui ont imposé des pires souffrances au peuple du Mali.
Maliki Diallo, stagiaire
Attentats dans la ville de Gao :
Les jihadistes jaugent le moral des troupes maliennes
Après leur fuite de la ville de Gao, les jihadistes s’engagent dans les attentats pour saper le moral des militaires maliens et français dans la ville de Gao. Ce qui ne semble pas marcher en ce moment, puisque ces deux forces sont à jamais déterminées à libérer la patrie d’une nouvelle colonisation des obscurantistes, des terroristes et des narcotrafiquants.
Le moral est au beau fixe, c’est ce qu’on peut constater du côté des troupes de l’opération Serval de la France et Badenko du Mali à Gao malgré de multiples attentats que sont en train de mener les jihadistes après leur fuite de cette ville. La force franco-africaine n’abandonne pas d’une virgule son objectif de recouvrer tout le territoire du Mali aux mains des bandits armées.
Il ne se passe plus une journée dans cette région sans incident. Les militaires sont visés par des actes d’attentats (manqués) des jihadistes. La vigilance est de mise dans cette ville.
Au regard de tout ce qui se passe dans cette ville, les troupes avec le concours de la population parviennent à déjouer des complots des islamo-narcotrafiquants. Des opérations qui ont permis également de mettre aux arrêts des terroristes et de récupérer des armes cachées. La détermination de l’armée malienne à faire face à ses obligations est aujourd’hui incontestable. Le Mali triomphera malgré les mauvaises intentions. C’est en tout cas la conviction des troupes au front pour la patrie.
Ousmane Daou
BON CHANCE LES GARS. LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS. INCH ALLAH
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