Laurent Touchard travaille depuis de nombreuses années sur le terrorisme et l’histoire militaire. Il a collaboré à plusieurs ouvrages et certains de ses travaux sont utilisés par l’université Johns-Hopkins, aux États-Unis. Il revient cette semaine sur l’attaque d’Aguelhok par le MNLA et Ansar Eddine, pendant la guerre au Mali.
Lorsque les rebelles entament les hostilités à Aguelhok, la garnison de 200 hommes dirigée par le capitaine Sékou Traoré (alias “Bad”), n’est pas surprise. La veille, l’alerte a déjà été donnée, conséquence de l’attaque de Ménaka. Mais, par cette nuit du 17 au 18 janvier, l’ennemi est bien là, commandé par un déserteur de l’armée malienne, Ba Ag Moussa surnommé “Bamoussa”. À l’évidence, les rebelles du MNLA ne sont pas seuls ; des combattants islamistes d’Ansar Eddine, l’organisation islamiste radicale de Iyad Ag Ghaly sont présents aux côtés des irrédentistes…
18 janvier, 3 heures 30 : “ouverture du bal”
Les rebelles “ouvrent le bal” alors que le jour n’est pas encore levé. Il s’agit là d’une vieille tactique touarègue, d’ailleurs utilisée par les jihadistes. Elle permet de prendre au dépourvu un adversaire qui, a priori, sort du sommeil et ainsi, de profiter d’un moment de flottement dans ses rangs. Cependant, à Aguelhok, les soldats sont sur le pied de guerre. Ils ripostent aux premiers tirs qui fusent vers 3h30, tandis que les rebelles entreprennent de neutraliser le réseau téléphonique. Aux environs de 4h30, ces derniers s’infiltrent dans la localité. De la sorte, profitant du couvert des bâtiments, ils masquent leur approche en direction du camp militaire.
Aguelhok tient bon, l’opération de secours échoue
En dépit d’une situation difficile, la garnison résiste. Galvanisés par “Bad” les soldats maintiennent les irrédentistes à distance. Mais ils ne se contentent pas de répondre de loin : ils contre-attaquent ! Localisant les agresseurs, ils engagent les blindés légers BRDM-2 face aux 4×4 armés de mitrailleuses lourdes. Contre toute attente, les gouvernementaux réussissent à repousser les combattants du MNLA et islamistes. Ceux-ci, pour se prémunir d’éventuels raids aériens de représailles, contraignent les civils de l’IFM à servir de boucliers humains. Ils pillent le lieu, emportant les téléphones et les ordinateurs, mitraillant les réfrigérateurs. La fusillade perd en intensité entre 17h et 18h. Au cours de ces longues heures, les insurgés auraient perdu de 20 à 35 hommes, tandis que du côté malien, les pertes seraient d’un mort et de 7 blessés.
Ce même 18 janvier, d’autres gouvernementaux quittent Tessalit. Ils ont pour objectifs de rompre le siège d’Aguelhok, éliminer les insurgés et renforcer la petite garnison. Objectifs trop ambitieux : l’opération, précipitée, avec des moyens limités, tourne court. L’unité est attaquée par un groupe du MNLA que commande Assalat Ag Habi. La veille, celui-ci dirigeait ses hommes contre Ménaka… Si l’on en croit Bamako, l’intervention est un succès : le chef touareg ainsi que 9 de ses hommes auraient été tués, 4 véhicules auraient été détruits… Pourtant, les gouvernementaux font demi-tour, sans être parvenus à chasser les rebelles et encore moins à faire la jonction avec les forces implantées à Aguelhok. C’est donc bel et bien un échec.
La bataille de l’oued Imenzad
Bamoussa n’ignore pas que les heures sont comptées avant que les militaires ne réitèrent. Cependant, lui non plus ne lâche pas l’affaire. Il réorganise son dispositif : un groupe mènera un nouvel assaut contre le camp militaire après l’avoir “usé”. Un autre groupe est chargé de bloquer l’arrivée d’éventuels secours gouvernementaux. Le jour meurt à peine que des éléments irrédentistes se placent en embuscade. Ils choisissent judicieusement les endroits, sur des points de passage obligés, le long des itinéraires qui conduisent à Aguelhok. Dans la localité, les habitants évacuent en catastrophe. Les rebelles vérifient les identités de chacun, s’assurant qu’aucun militaire ne se cache parmi eux. Le siège du camp militaire se poursuit, ponctué d’échanges de tirs. Les insurgés ne laissent aucun répit à la garnison. Ils exercent une pression psychologique sur les défenseurs dont les nerfs sont mis à vif par les fusillades que déclenchent l’adversaire. À chaque instant, l’assaut peut survenir. Et surtout à l’aube. De fait, les soldats dorment peu. La tension et les détonations les maintiennent éveillés. L’atmosphère est électrique. Les stocks de munitions diminuent.
Le commandement décide donc d’une seconde tentative pour briser l’étau qui enserre Aguelhoc. Elle est lancée de Gao le 19 janvier. La colonne est formée autour de l’Échelon tactique interarmes (Etia) local. Il se compose de la milice arabe du colonel Mohamed Ould Meydou (qui commande d’ailleurs la colonne) et de militaires, notamment avec des véhicules blindés BRDM-2. Fort d’un réseau d’informateurs bien établi, le MNLA apprend rapidement ce qui se trame. L’élément “embuscade” du MNLA (probablement renforcé par des combattants d’Ansar Eddine) à l’affût depuis la veille, n’a plus qu’à “cueillir” les Maliens qui foncent vers le Nord. Les faits démontrent que les gouvernementaux sont relativement confiants. Ils paraissent convaincus que leur adversaire ne sera pas de taille et qu’il se dispersera dans la nature sitôt confronté à la puissance de feu de l’Etia…
Le 20 janvier, la colonne atteint l’oued Imenzad, à une quinzaine de kilomètres au sud d’Aguelhok. Jusque-là, le périple s’est déroulé sans anicroche notable. Militaires et miliciens s’engouffrent donc sans méfiance. L’itinéraire n’est même pas “éclairé” par des reconnaissances terrestres voire aériennes… Le piège se referme alors, brutalement. Les insurgés se dévoilent. Ils font pleuvoir un déluge de balles de DShK et de ZPU. Les hommes de l’Etia, empêtrés avec les camions de ravitaillement lourdement chargés ne peuvent manœuvrer aussi agilement que l’ennemi. C’est un carnage.
Plusieurs dizaines de miliciens et soldats sont tués (entre 50 et 101 morts selon les sources, le premier chiffre, bien qu’élevé, paraissant le plus proche de la réalité), de 1 à 5 BRDM-2, une quarantaine de camions et 4×4 détruits. À quoi s’ajoutent entre 25 et 65 prisonniers, 26 véhicules capturés. Ce bilan fourni par le MNLA doit évidemment être considéré avec prudence, Bamako n’admettant qu’une dizaine de morts. Mais, au-delà des batailles de chiffres, deux choses sont sûres : l’armée malienne a subi des pertes et la colonne de secours n’est pas passée.
À Aguelhok, la situation est désormais désespérée. Depuis plus de 48 heures, la garnison est coupée du reste du Mali, harcelée. Faute de munitions, les militaires ripostent de moins en moins, permettant ainsi à l’adversaire de s’enhardir, d’être plus précis dans ses tirs. Les soldats comprennent qu’ils ne doivent attendre aucun secours de l’extérieur. L’armée malienne est clairement incapable de franchir le terrain qui la sépare du poste avancé. La faiblesse des moyens aériens handicape un aléatoire ravitaillement aérien (dont personne ne semble d’ailleurs avoir l’idée à ce moment-là). Quant à une troisième tentative, elle exige des moyens plus conséquents pour avoir une chance de réussir. Or, ce temps, les défenseurs d’Aguelhok ne l’ont plus.
24 janvier 2012 : crépuscule sanglant sur Aguelhok
Le 21, les rebelles annoncent qu’Aguelhok est entre leurs mains. Là encore, l’allégation est fausse. La garnison agonise, mais tient toujours. Finalement, l’assaut est donné le 24 janvier vers 05h00. Les militaires n’ont plus de cartouches ; ils déposent les armes. D’une certaine manière, ils n’ont pas été vaincus. Ceux qui se rendent sont alors ligotés. La plupart d’entre-eux sont exécutés peu après, à commencer par le capitaine Sékou Traoré : balle dans la nuque ou égorgés. Ils paient ainsi leur pugnacité ainsi que les pertes subies par leurs meurtriers. Un premier bilan évoque 41 morts. Chiffre qui grimpe ensuite à 82 tués. Le 1er février 2012, le Président Amadou Toumani Touré évoquera 95 morts. Enfin, l’Association malienne des droits de l’homme parle de 153 morts… La Cour pénale internationale (CPI) dans un rapport sur la situation au Mali (en date de janvier 2013) mentionne quant à elle de 70 à 153 victimes (reprenant des sources diverses).
Dans le courant du 24 janvier, une troisième opération de secours est initiée par le colonel Ag Gamou, cette fois-ci depuis Kidal. L’Etia qui en constitue la composante principale bénéficie – enfin – d’un appui aérien, avec les hélicoptères de combat Mi-24D Hind basés à Gao (ce qui implique des points de ravitaillement en carburant au sol, les Hind n’ayant pas le rayon d’action suffisant). Les insurgés ont appris à les redouter en 2008. Tout comme ils redoutent Ag Gamou. La menace est sérieuse, contraignant donc les rebelles à se retirer d’Aguelhok. En arrivant le 25 janvier, les gouvernementaux découvrent les corps de leurs camarades militaires, gardes nationaux et gendarmes, atrocement assassinés. En tout, durant la bataille d’Aguelhok (opérations des colonnes de secours comprises), 116 hommes des forces armées auraient été tués.
Qui est responsable du massacre ?
Le MNLA ne tarde pas à affirmer qu’aucun massacre n’est survenu à Aguelhok. Pour les cadres du mouvement, les prisonniers maliens auraient perdu la vie lors de raids aériens lancés par le gouvernement. Des officiers de la DGSE malienne auraient alors orchestré toute une mise en scène, entravant les corps avant de tirer une balle dans la tête des dépouilles. Cette explication prêterait à sourire si elle n’était pas aussi tragique. L’examen des photos et vidéos des cadavres suffisent à établir que soldats et paramilitaires n’ont pas été mutilés par des balles de mitrailleuses de type “Gatling” de 12,7 mm des Mi-24, qu’ils n’ont pas été mis en charpie par des éclats de roquettes air-sol de 57 mm. Alors, qui est coupable ? Ansar Eddine ? Aqmi ? Ou encore des éléments incontrôlés du MNLA ?
Dans un premier temps, le rapport d’une commission d’enquête malienne, remis le 22 février 2012, accuse le MNLA et Aqmi. Dès le 26 janvier, Bamako affirme qu’Aqmi est présent aux côtés du MNLA. La diplomatie française est, elle, sceptique sur ce point. En revanche, la présence d’Ansar Eddine à Aguelhok ne fait aucun doute : elle est d’ailleurs mentionnée par des porte-paroles de l’organisation islamiste. Le 14 mars 2012, le groupe radical islamiste le confirme, précisant que les prisonniers qu’il détient sont bien traités. Sauf preuve du contraire, les jihadistes d’Aqmi ne semblent pas se battre à Aguelhok entre le 18 et le 24 janvier 2012…
Ne restent donc que le MNLA et Ansar Eddine. En dépit des déclarations des représentants de l’organisation installés à l’étranger, le comportement des irrédentistes est loin d’être toujours irréprochable : pillages, viols, voire meurtres. Exactions qui semblent commises par une frange opportuniste du MNLA : trafiquants, bandits du désert… Ceux-là mêmes qui intégreront les rangs d’Ansar Eddine contre monnaie sonnante et trébuchante, quelques semaines plus tard… Les soupçonner d’être les criminels d’Aguelhok, en compagnie d’islamistes zélés d’Iyad Ag Ghaly, n’a donc rien d’absurde.
Les deux vérités
“Criminels” car c’est bien de cela dont il est question : le massacre perpétré est un crime de guerre. Indéniablement. Presque un an après les faits, le 16 janvier 2013, la Cour pénale internationale (CPI) ouvre d’ailleurs une enquête sur sollicitation des autorités maliennes (en date du 13 juillet 2012). Le long processus de collecte d’indices, de recueil de témoignages a commencé. Espérons qu’il permettra de connaître enfin la vérité. Quant au capitaine Sékou Traoré et à ses hommes, ils sont considérés comme des héros par les Maliens. Sentiment encouragé par la nécessité pour Bamako de créer des figures exemplaires, des hommes qui font l’Histoire du pays afin de lui donner toute les chances pour qu’existe un avenir. Derrière ce vernis épique qui rend les tragédies plus supportables, il y a néanmoins une autre vérité : la bravoure du capitaine Sékou Traoré et de ses hommes n’est pas un mythe.
Source: Jeuneafrique.com
If the president ATT didn’t let, and gave visas to terrorists, and drug dealer; the army wouldn’t be killed. So, the first terrorists came to Mali in 2004,their first victims were Germans. The business with terrorists, and drug dealers brought a lot of money to Mali. For example, because of that money there were beautiful buildings, and too much gold everywhere in Bamako. The people were happy and celebrated every single day because there was too much wealth from drug selling in the schools and streets. Everyone knew that that happiness wouldn’t last forever, and at the end Mali became like hell. Sometimes, the polices men couldn’t do their job when they arrest terrorists, who delivered drug that they brought by airplane to the Airport Senou. They got phone calls saying that they had to leave those terrorists alone. Many people even thought that Mali became a rich very country because of that dirty money.
Allahou Akbar Capitaine Sékou Traoré les maliens t’ont déjà oublié car tes assassins ne font plus l’objet de mandats d’arrêts internationaux. Justice! Justice! Justice! Après la réconciliation nationale sera acquise.
Il faut imperativement immortaliser ce capitaine et ses hommes…….mes respects mon capitaine!
OLALA!
Je ne crois pas du tout à la sincérité de ATT dans ce combat contre la rébellion. Pourquoi la 3ème opération, plus proche d’Aguelhoc avec des appuis aériens, n’a pas été la première à mener ?. Pourquoi accueillir des inconnus avec armes et bagages et leur distribuer 200 à 250 millions à travers les 3 gouverneurs de région (laxisme, opportunisme). Sois sincère! En tout cas, je suis très satisfait de cet article révélateur du courage de nos valeureux militaires dans un pays qui était extrêmement mal gouverné. Au contraire, je reste convaincu qu’ATT répondra un jour devant la Cour Suprême du Mali, Inch-Allah!
C EST AVEC UN CŒUR REMPLIT D ÉMOTIONS QUE J AI LU CET ARTICLE.
IL NOUS MONTRE ET DÉMONTRE LE COURAGE ET LA BRAVOURE DE NOS VAILLANTS SOLDATS TOMBES SUR LE CHAMPS D HONNEUR POUR LA SURVIE DE LA NATION MALIENNE. CES HOMMES QUI SE SONT SACRIFIES POUR LA SAUVE GARDE DE L INTÉGRITÉ TERRITORIALE AFIN QUE LES FILS ET FILLES DE CE PAYS VIVENT DANS LA PAIX ET LA COMMUNIONS SANS DISTINCTION DE COULEUR DE LA PEAU.
CES HOMMES QUI INCARNENT LE COURAGE ET LA DÉTERMINATION QUI ONT JADIS FAIT LA RENOMMEE DU MALI COMME ÉTANT L EMPIRE DU MANDING.
REPOSER EN PAIX VAILLANTS SOLDATS.
A partir de cet instant j’invite les septiques à croire en Dieu. Avant , j’avoue que ne croyais pas en Dieu. Je profite de cette belle occasion pour demander pardon à ATT avant mon dernier jour. Oui , je croyais au mensonge de ceux qui vilipendaient que ATT avait trahit et avait sa responsabilité dans les massacres de Aguel. Les champions de cette calomnie s’entre tuent aujourd’hui. Combien reste de la junte? Ils vont tous mourir. Dans mon rêve , un saint avant de me dire de croire en Dieu , m’a dit de m’écarter de la calomnie . Je demande à chacun de constater dans son entourage , les grands détracteurs d’ATT vont tous mourir un à un avant 2015.
Capitaine Sékou Traoré ! …
au nom des pouvoirs qui me sont confiés…
je te nomme …
Général 5 étoiles de l’armée malienne…
et te décerne la médaille de la bravoure militaire… 😀
à compter du 20 janvier 2012… avant ta mort…
Capitaine Sékou Traoré… !
au nom des pouvoirs qui me sont confiés…
je nomme chacun des soldats qui étaient sous tes ordres …
au grade de Colonel Major de l’armée malienne…
Je leur décerne la médaille de la bravoure militaire
Colonel Sékou Traoré… !
une obélisque sera érigée en plein milieu de la ville de Bamako, et une dans chacune des régions administratives du Mali…
portant ton nom, et celui de chacun de tes soldats… pour que les hommes et les femmes du Mali donnent vos noms et prénoms à leurs nouveaux nés, afin de perpétuer votre mémoire comme ce fut le cas pour soundiata, babemba, modibo, etc…
Qu’Allah vous accueille dans son paradis éternel. 😀 😀 😀
meme pas un monument a la memoire de brave soldats,et on amnestie les criminelles du mnla.ibk l armee veille toujours
MERCI ET ENCORE MERCI MR. TOUCHARD POUR CE BEAU TRAVAIL IMPARTIAL. VOUS FAITES HONNEUR A LA DEONTOLOGIE DE VOTRE METIER EN MONTRANT A TOUS CEUX QUI NE FONT QUE DU BRICOLAGE ET DU RAPIETAGE COMMENT UN VRAI JOURNALISTE DOIT TRAVAILLER. ENCORE UNE FOIS DE PLUS MERCI. SANS POLEMIQUER JE ME CONTENTERAI DE POSER SEULEMENT QUELQUES QUESTIONS SIMPLES A SAVOIR: 1) QUE REELLEMENT VEUT LA FRANCE?
2) DE QUELLES AUTRES PREUVES LES NATIONS UNIES ET LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE EN GENERALE ONT-ELLES BESOIN POUR SITUER LES RESPONSABILITES DANS CETTE AFFAIRE?
3) SI LES VIDEOS, SOUVENT FILMEES PAR CEUX LA MEMES QUI ONT COMMIS LES CRIMES, NE SUFFISENT PAS POUR LES INCRIMER, DE QUOI D’AUTRE A-T-ON BESOIN?. POUR LE REPOS DE L’AME DES VAILLANTS SOLDATS TOMBES POUR LA PATRIE, JUSTICE DOIT ETRE FAITE ET CELA A TOUS LES NIVEAUX; C’EST-A-DIRE EN JUGIANT ET EN CONDAMNANT TOUS CES QUI ONT FACILITER LA REALISATION DE CES ATROCITES DE PRES OU DE LOIN.
Quand les Maliens vont comprendre que la destabilisation,la martyrisation ,le dénigrement ,le déshonneur ,la trainée dans la boue et dans le sang du Mali est une oeuvre méticuleusement préparée et exsécutée par des MALIENS que, le soit disant peuple est entrain d ‘honnorer aujourd’hui ( Présidence,Ministaires, Galons Militaires ) le Far West ( Insécurité totale sur tous les plans ) finira PEUT ETRE un jour.
La tuerie d’Aguelhock a été faite par le Ml-merde avec la complicité de certains militaires maliens liés á certains politiciens qui ont demandé de saboter le renfort des soldats du camp et qu’il n’yait de survivants au risque de connaitre la vérité.Des rebeles ont avoué cet etat de fait destiné á destabiliser le regime du président Touré par la rue a Bamako pour incapacité.Comme cela n`a pas suffit alors il sont passés á l’étape supérieure L’ASSASINAT.
Les Europeens auront LEUR CAMP MILITAIRE.
Sanogao n’est quele bras et la tete est actuellemnet au palais.
Refléchissez y.Hendou
Bravo mon capitaine. En realite c’est la faute aux dirigeants qui etatient incapable de fournir aus soldats les equipements necessaores poul’accomplissement de leur mission. Nous savions que les hommes ne pouvaient faillir a se battre.
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