Si la cible des uns c’est le Nord Mali, d’autres par contre ont pour cible la capitale malienne, perturbant ainsi la quiétude des honnêtes citoyens.
Le banditisme bat son plein dans la ville de Bamako. Des petits voyous qui n’ont pas pu suivre des études ou bien qui les ont tout bonnement abandonnées au profit de la délinquance et du banditisme pullulent.
Présentement, les cambriolages, braquages à mains armées, viols et autres effractions du genre sont devenus le train train des Bamakois. Aujourd’hui c’est chez nous, demain chez le voisin et après demain chez l’autre voisin, et ainsi de suite. Où donc sont les porteurs d’uniformes ? Présentement, dans certains quartiers de la capitale, l’insécurité est telle qu’à 18h passées, plus personne n’ose s’y aventurer.
Les viols des jeunes filles sans défense se multiplient, accentuant la débauche, encourageant les avortements clandestins et multipliant la transmission des MST. D’autres le crieront haut et fort, d’autres n’en auront pas le courage à cause de la honte qu’elles devront trimbaler le reste de leur vie. De jour comme de nuit, des vols et attaques à mains armées s’exécutent sous la houlette des sans scrupules. Des coups de feu en plein jour se font de plus en plus entendre dans nos quartiers. Et le comble dans tout çà, est qu’aujourd’hui le Mali compte un nombre incalculable de porteurs d’uniforme. Des agents assermentés qui ont juré de veiller sur la sécurité des Maliens et du Mali. Mais hélas ! On a l’impression que plus il y a de porteurs d’uniforme plus, le banditisme s’accentue, au lieu de l’effet inverse.
Ce que les maliens et tout autre population à leur place aurait espéré serait plutôt la formule suivante ‘’plus il y a de porteurs d’uniforme, moins il y a de voyous’’. Mais malgré leur nombre considérable, la délinquance ne finit pas de grandir. Et malheureusement, des fois, les victimes en viennent à se demander si des recherches sont effectuées, ou si nos porteurs d’uniformes prennent même le temps de faire des enquêtes. C’est pourquoi beaucoup des victimes, dans la plupart des cas, refusent de porter plainte, par peur d’une déception. Et ceux qui auront le courage d’aller déposer plainte peuvent toujours attendre. Car sur 100 affaires, celles qui aboutissent se comptent sur le bout des doigts. Parfois, ces bandits armés blessent grièvement certains ou malheureusement fauchent la vie à d’autres victimes qui leur résistent. Et le plus triste est que, lorsque les enquêtes par miracle aboutissent, les bandits arrêtés ne feront que quelques jours à l’ombre. Plus tard, les victimes étonnées risquent de les croiser dans ta rue. Et ils continueront à commettre les mêmes délits, les mêmes effractions, les mêmes crimes, impunément.
Fatoumata Labassou Touré
le mali est pourrie par les dirigeants incompétent qui pense seulement qu a leurs compte en banque il faut une révolution au mali pour changer les mentalités se pays là nous appartient il n est en location ses notre patrie
tu as bien dis.
FAITE COMME AUX USA QUE CHACUN PORTE UNE ARME ET LE PROBLEME SERAIT REGLER
Desole’ c’est pas comme sa aux USA,un tel systeme ne fera que complique’ la chose.La seule solution est qu’il faut l’homme a la place qu’il faut au moment qu’il faut donc presentement il nous faut “IBK” a koulouba et c’est tout.
Mme la journaliere alors s`il vous plait arretez de vous alarmer pour ne rien apprendre a vos lecteurs.Ou bien vous etes en manque d`inspirations en nous disant que`diegue bi djiila`Vous nous apprenez rien de nouveau.Il fallait prendre au moins un cas contret pour nous dire combien de fois l`insecurite a atteint son paroxisme.Ou sont les porteurs d`uniforme?A toi de donner la reponse…..
Mes chers compatriotes ,
Donnez moi seulement ( 5 ) ans,Walahi inchalla hou je ferai de ce pays l’un des lieux les mieux securise’s dans ce monde,je suis le seul a detenir le secret de vous securisez ,securiser chaque Malien et chaque Malienne n’importe OU et n’importe QUAND sur toute l’etendue du territoire national.
LES “11 COMMENT” D’IBK
Chers compatriotes,
La situation du Mali appelle des politiques nouvelles. Elle appelle des solutions fortes que seul un homme d’expérience, doté d’un sens aigu de l’Etat et d’une vision claire, peut porter. Elle appelle un homme qui rassure, compétent et capable d’agir. Agir efficacement et tout de suite. Car les urgences sont nombreuses.
Il faut redonner un avenir à notre jeunesse.
(1) Comment accepter plus longtemps que nos jeunes aient à braver la mer ou le désert, et parfois mourir, pour fuir la mère patrie à la recherche d’un destin meilleur, ailleurs?
(2)Comment laisser nos jeunes, sans espoir, rejoindre les rangs d’organisations terroristes, ces marchands d’illusions, qui prospèrent sur la misère et le désœuvrement, et ruinent nos efforts de développement?
(3)Comment accepter plus longtemps que beaucoup d’entre nous travaillent durement et pourtant restent pauvres?
(4)Comment accepter plus longtemps que nos valeureux paysans, femmes et hommes, qui travaillent la terre aride à l’aide de leur daba, sans répit, puissent gagner si peu, et demeurer dans la misère?
Nous devons résoudre ce paradoxe inacceptable. Cela a assez duré.
(5)Comment accepter plus longtemps la terrible inégalité devant l’accès aux soins et à la santé?
(6)Comment tolérer que des femmes meurent encore en donnant la vie, faute de soins et d’équipements sanitaires dignes de ce nom?
(7)Comment accepter plus longtemps que notre armée nationale puisse être humiliée et détroussée par des bandits armés dans le Nord Mali?
(8)Comment accepter plus longtemps le malaise de notre diaspora, parfois humiliée et livrée à elle même, avec le sentiment d’être abandonnée par la mère patrie?
(9)Comment accepter plus longtemps que des crises alimentaires puissent menacer notre population de ses effets dévastateurs, quand elles pourraient être jugulées par de l’anticipation et une meilleure gouvernance ?
(10)Comment tolérer plus longtemps que chaque année, des centaines de milliards de Francs CFA soient détournés, et que la corruption à grande échelle se soit immiscée partout dans notre société?
Enfin,(11) comment peut-on laisser l’insécurité fragiliser notre économie et écorner l’image de notre pays?
Mes chers compatriotes,
Le tableau est sombre, mais il n’est pas fatal. Des solutions existent pour concrétiser notre rêve à tous d’un Mali fort et juste. Notre pays a besoin d’une vision d’avenir et de surtout de solutions. C’est tout le sens de ma candidature et du projet que je vous propose de mettre en œuvre.
Ma chère journaliste, ce que vous avez évité de dire je vais le dire: “plus y a de policiers, plus le banditisme s’accroit”. Au fait, le nombre ne fais qu’accroitre et renforcer le banditisme. En un mot, la plupart de ces policiers font partir des bandes ou sont désormais leur parrain.
Et toi qu’est-ce que tu as fait pour denoncer ces policiers ? Complice passif alors ?
J’informe, j’avertis, je préviens, je mets en garde, quiconque signera un soit disant cesser le feu avec ces bandits et bouchers de Aguel Hoc viendra me trouver ici.
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