Compte-rendu du chat avec le journaliste du “Monde” Jean-Philippe Rémy, organisé mardi 10 avril
Jimi : Maintenant que les militaires ont cédé le pouvoir à Bamako, quelle est la solution pour le Nord ?
La question du Nord est grave, profonde et comporte de multiples facettes. La rebellion touareg, qui a commencé par attaquer des villes du nord du Mali le 17 janvier, semblait lutter pour la cause touareg. Depuis, on s’est aperçu que des mouvements et des revendications différents s’étaient greffés sur ce noyau originel. Le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) reste un interlocuteur de référence. Il a proclamé unilatéralement l’indépendance de la région il y a quelques jours, mais des voies de négociation sont de toute évidence envisageables pour trouver une solution à ses revendications, qui sont très larges.
En revanche, dans la multiplication des groupes armés se trouvent certains mouvements dont les objectifs sont totalement différents. Certains affirment, à travers des communiqués, vouloir mettre en place la charia au Mali ; d’autres ont des liens avec des mouvements djihadistes. Mais aucun de leurs dirigeants n’a clairement exprimé de revendications qu’il serait possible de soumettre au nouveau gouvernement de Bamako, lorsqu’il sera formé. Pour l’instant, on en est réduit à attendre, d’une part, la formation de ce gouvernement, d’autre part, de voir se préciser l’identité des responsables qui mènent les différents groupes rebelles dans le Nord. Il y a des pistes, mais aussi beaucoup de confusion. Attendons un peu.
Elblue : Est-ce que le MNLA est suffisamment fort pour faire plier les différents groupes islamiques qui cohabitent avec lui ?
A ce stade, il nous faut être extrêmement prudents. D’abord, si on connaît les orientations politiques du MNLA, dont les revendications tournent autour du statut des régions du Nord, celles des autres groupes sont plus mystérieuses. Prenons le groupe Ançar Eddine. Est-ce que leur chef, Iyad ag Ghali, est plus préoccupé par la charia ou par son rôle politique au sein de son groupe touareg ? Cette question est cruciale et à ce jour il est difficile d’y répondre. Or beaucoup de choses vont dépendre de ce facteur.
Les quelques déclarations, très superficielles, qui ont été diffusées par Ançar Eddine semblent indiquer une “priorité djihadiste”. Mais cela ne reflète sans doute pas la nature profonde du combat mené par ce groupe, qui a aussi d’autres ambitions politiques et pourrait par conséquent se révéler capable d’engager des négociations avec un pouvoir central qu’il jugerait légitime. Voilà pourquoi il est urgent que se constitue à Bamako un pouvoir en état de fonctionnement, reconnu par la communauté internationale, qui pourra être un interlocuteur pour l’ensemble des groupes armés qui le souhaiteront. C’est à ce moment qu’on saura vraiment “qui pèse quoi”.
Mais dans l’intervalle, il reste une crainte : que le MNLA et Ançar Eddine en viennent à se battre. Le MNLA est déterminé à conserver une position dominante dans de futures négociations, comme dans le contrôle de la région Nord, mais la compétition est rude. A ceci s’ajoute une autre difficulté : la présence de groupes armés liés à la galaxie Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI), qui pourrait faire peser la balance en faveur des tendances dures au sein d’Ançar Eddine. Rien n’est encore joué à ce stade, mais la multiplication de combattants appartenant à des groupes d’obédience djihadiste est forcément inquiétante.
Bilouette : Ne pensez-vous pas que le MNLA ait pu se servir d’Ançar Eddine pour prendre le contrôle du Nord et maintenant qu’il compte sur la communauté internationale pour s’en débarrasser en alimentant la peur de l’installation de la charia au Mali ?
Le fait qu’aucun observateur neutre, étranger, impartial ne puisse se rendre dans cette zone immense tenue par quelques centaines (deux mille au maximum) de combattants à ce stade ne rend pas la réponse facile. Le MNLA est ancré dans une série de revendications qui sont anciennes et qu’on a retrouvées dans des mouvements rebelles touaregs par le passé. Ce n’est donc pas une construction sortie de nulle part. Mais on doit reconnaître un certain flou dans la façon dont les groupes armés fonctionnent dans cette région. Il faut se garder des théories de la conspiration, mais on aurait franchement besoin de voir sur place ce qu’il se passe.
Guest : En terme de puissance de frappes, qui sont les plus forts, les Touaregs, les islamistes ou les forces de Bamako ?
Vous mettez le doigt sur les trois grandes énigmes de cette situation. Commençons par l’armée malienne. Elle avait reçu du matériel et devait être capable de répliquer à la menace d’une rebellion. Mais elle a commencé par plier lors des premières attaques en raison de multiples dysfonctionnements. Puis, le coup d’Etat est intervenu. Techniquement, sur le terrain, cela a provoqué un séisme. Des officiers ont été arrêtés par leurs subalternes, la logistique s’est totalement interrompue. Bref, le coup d’Etat du 22 mars a été le coup de grâce pour l’armée régulière.
Il n’est pas impensable qu’à présent, cette armée se réorganise et réfléchisse à une contre-offensive en direction du Nord. Cela suppose que les officiers supérieurs qui avaient été marginalisés pendant que la junte était au pouvoir puissent s’associer à ceux qui menaient le combat sur le terrain. On peut citer par exemple le colonel Al-Hadji Gamou, qui défendait Kidal et a fait semblant de rallier la rebellion alors qu’il était encerclé, pour finalement prendre la fuite et parvenir au Niger voisin, d’où il compte participer à toute opération contre le MNLA et les autres groupes. Est-ce que l’armée peut retrouver une cohésion suffisante et trouver les moyens d’une telle contre-offensive ? Nous devrions le découvrir dans les jours à venir, car le temps presse. Cette situation est particulièrement instable, et on ignore aussi – c’est le deuxième mystère – l’importance des forces rebelles, tout particulièrement du côté d’Ançar Eddine et des groupes proches d’AQMI.
Commençons par Ançar Eddine. Une source diplomatique qui suit particulièrement ces questions me disait, il y a quelques jours à Bamako : “En une nuit, ils sont passés de 30 à 300.” Que voulait-elle dire ? Que les estimations en circulation sur les forces d’Iyad ag Ghali ne se montaient qu’à quelques dizaines de combattants il y a seulement quelques semaines. Or on observe dans les villes prises récemment par les rebelles (Kidal, Gao, Tombouctou) que les hommes se réclamant d’Ançar Eddine semblent plutôt se compter en centaines. D’où sortent ces combattants ? Il y a plusieurs hypothèses, à commencer par des alliances locales, mais aussi le renfort de combattants proches de mouvements djihadistes. Seulement, il faut bien comprendre que les katiba d’AQMI ne fonctionnent pas en permanence avec des effectifs complets. Il faut distinguer les combattants permanents des “occasionnels”, qui vivent dans la région et ne rejoignent la katiba avec laquelle ils ont des liens qu’en cas de nécessité ou d’opération particulière. C’est peut-être dans ce vivier qu’Ançar Eddine a aussi fait du recrutement temporaire.
Troisième mystère : AQMI. Comme on l’a vu, l’absence d’observateurs dans cette région pousse à l’extrême prudence. Il semble que des responsables de katiba aient été signalés dans les villes du Nord. A présent, de nouveaux combattants venus de régions ou de pays voisins semblent aussi y arriver. On parle de combattants du Niger, du Nigeria et d’autres pays de la région. Leur affiliation n’est pas tout à fait claire. Dans ce contexte, vous comprenez pourquoi il est extrêmement difficile de déterminer qui, au juste, est capable de l’emporter dans cette région que le MNLA appelle l’Azawad. Le 7 avril, justement, le MNLA avait lancé un ultimatum aux autres mouvements armés présents à Tombouctou pour qu’ils quittent la ville. Depuis, il ne s’est rien passé. Si, en réalité, une chose : le MNLA et Ançar Eddine ont commencé à faire des patrouilles communes. S’agit-il de poudre aux yeux ou d’une coopération qui ira plus loin ? On ne peut absolument rien exclure.
L’idéal serait évidemment que les mouvements s’unissent et formulent des revendications communes, car le pouvoir de Bamako comme les pays de la région sont décidés à les écouter avec attention. Or, dans l’histoire récente des mouvements touareg, la difficulté à se faire entendre joue un rôle capital pour expliquer comment on en arrive à avoir l’éclatement d’une nouvelle rébellion. Le retour des “revenants”, c’est-à-dire les soldats touareg qui combattaient dans l’armée de Mouammar Kadhafi et ont quitté la Libye pendant l’effondrement du régime, n’est pas le seul facteur pour expliquer l’apparition du MNLA. Même si l’arrivée de combattants lourdement armés a joué, bien entendu, un rôle important dans la mise sur pied d’une rébellion. Je pense qu’une fenêtre d’opportunité vient de s’ouvrir. Encore une fois, le temps presse. Les nouvelles autorités qui se mettent en place à Bamako vont probablement se consacrer en priorité à ouvrir des canaux de négociation avec le MNLA et tous les mouvements qu’elles jugeront fréquentables. Ce qui suppose que ces mêmes mouvements tracent des lignes claires de séparation avec AQMI. En sont-ils capables ? Le souhaitent-ils ? C’est le moment, pour eux, de nous apporter des réponses à ce sujet.
Pitt: Quel rôle joue l’Algérie dans cette crise ?
Deux pays, deux puissances régionales exerçaient une très forte influence sur la question touareg : la Libye de Mouammar Kadhafi et l’Algérie. Le Guide libyen se présentait comme le leader naturel des Touareg, l’Algérie a parrainé deux grands processus de paix. Mais les interférences étaient nombreuses. Il faut bien se rendre compte que l’Algérie est désormais seule à bord de cette région en train de couler à pic. En tout cas, comme puissance régionale. On distingue un certain nombre d’hésitations sur la marche à suivre du côté du pouvoir algérien. Faut-il, en rupture avec les habitudes, envisager une intervention hors des frontières, au Nord Mali ? Des voix ont commencé à s’élever à Alger à ce sujet. Mais l’Algérie est aussi arc-boutée sur la nécessité d’empêcher des pays étrangers, et tout spécialement la France, d’intervenir dans cette région. La France a bien précisé qu’il était hors de question d’envisager l’envoi de troupes, même s’il s’agissait d’appuyer une force internationale, par exemple menée par la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Mais cela n’empêche pas Paris d’exercer une forme d’influence, en appuyant des pays amis, par exemple.
L’Algérie se trouve donc écartelée entre deux risques opposés : celui d’intervenir directement et celui de voir d’autres le faire à sa place. Certains observateurs avancent que des actions clandestines sont menées par certains acteurs algériens dans cette région. Il est extrêmement difficile de le prouver. Mais d’une manière générale, il est difficile de prouver beaucoup de choses dans cette situation, qui évolue très vite.
Baptiste : Bonjour, que pensez-vous de la pression sans précédant de la Cédéao sur les putchistes ? Est-il envisageable que les pays voisins interviennent directement dans le Nord ?
Tout d’abord, il faut se réjouir sans hésiter de la rapidité et de la détermination avec lesquelles les pays de la région ont réagi face au coup d’Etat à Bamako. Il est évident que chaque président, au cas par cas, a de bonnes raisons de tout mettre en œuvre pour que l’exemple de petits capitaines renversant des chefs d’Etat en cas de crise dans le pays ne se reproduise pas chez eux. Prenons le cas de la Côte d’Ivoire, qui est un peu différent. Le président Alassane Ouattara a vécu une crise post-électorale de neuf mois qui s’est terminée par des violences qui ont fait au moins 3 000 morts. Le pays n’est pas tout à fait revenu à la paix. Il a déjà connu des coups d’Etat dans le passé. Il est évident que M.Ouattara a besoin d’appuyer un message fort : les putschs, cela ne peut pas être accepté dans la région.
Prenons maintenant le Burkina Faso. Le président Blaise Compaoré a fait face récemment à des mutineries assez graves. Il est donc particulièrement sensible au danger que peuvent représenter des officiers mécontents. Et surtout, depuis le processus de paix au Liberia, en Sierra Leone, et la résolution de la crise en Côte d’Ivoire, même si rien n’est parfait, la région reprend espoir. La nécessité de bloquer net les tentatives de coups d’Etat est donc d’autant plus importante. Cette détermination s’est traduite par des gestes, comme l’embargo décrété contre le Mali, qui étaient des gestes difficiles. Il fallait avoir le courage de prendre le risque de ce coup de poker, littéralement de menacer d’affamer un pays déjà fragilisé par la sécheresse, pour faire plier la junte. Le calcul était serré, mais il a fonctionné.
Seulement, la partie n’est pas tout à fait gagnée. Il a fallu toute la maestria du Burkinabé Djibril Bassolé pour amener les putschistes à accepter le principe de l’accord-cadre de Bamako. Pour chaque étape de sa mise en œuvre, il faudra encore de la vigilance. Les pays de la région n’en ont donc pas fini avec le Mali, d’autant qu’une fois la question de la junte résolue, reste un énorme morceau : que faire pour ramener le Nord à la normalité ? L’idée d’y déployer une force (Cédéao) est sans doute un autre coup de poker. On a du mal à imaginer à ce stade les Etats de la région envoyant des troupes faire la guerre dans les zones sahariennes, qui sont particulièrement difficiles et que les rebelles touareg, sans parler des autres mouvements, maîtrisent plutôt bien. Un appui aux forces loyalistes semble donc être une hypothèse plus réaliste pour la Cédéao. Mais l’armée régulière est-elle encore capable de se ressaisir ? Cela n’est pas garanti. En résumé, même si les chefs d’Etat ont aussi joué la protection de leur club, leur action en faveur du retour à la légalité à Bamako, avec un mélange de force et d’habileté, aura été salutaire pour le Mali. Mais l’histoire ne s’arrête pas là.
Moh : Et le pétrole dans tout ça ?
Oui, il y a du pétrole, mais il y a aussi énormément de questions à ce sujet. Première remarque : il n’y a pas eu à ce stade suffisamment de forages pour être convaincu de la taille exacte des réserves au Nord-Mali. Les estimations sont optimistes parce que cette région est reliée à un grand bassin qui court entre la Mauritanie et le Niger. Mais n’oublions pas qu’outre les incertitudes sur la taille réelle de cette supposée “éponge” sous les sables, reste à déterminer comment ce pétrole, s’il était extrait, pourrait être acheminé jusqu’à un terminal d’exportation.
Il est intéressant de noter deux choses, comme l’a très bien expliqué Benjamin Augé dans un entretien qu’il nous a accordé le 4 avril (Le Monde daté du 5 avril). Ce spécialiste du pétrole africain, chercheur à l’IRIS, notait que l’Algérie était déterminée à s’investir dans les blocs pétroliers du Nord-Mali. Et aussi que certains de ces blocs avaient été attribués de manière hâtive par les autorités compétentes à Bamako. Il semble qu’à la fin du régime d’Amadou Toumani Touré (“ATT”, le président renversé), on ait assisté à une accélération fulgurante des attributions de ces blocs, pas du tout d’ailleurs à la société nationale algérienne, la Sonatrach, mais à des acteurs marginaux, dont certains étaient maliens. Ces pratiques n’ont pas aidé la mise en place d’un système cohérent permettant d’imaginer comment exporter le pétrole malien, à supposer que cela soit viable économiquement. On en est donc encore au stade des hypothèses. Mais le fantasme du pétrole, lui, est déjà bien présent.
Imaginer qu’une petite enclave sécessionniste puisse vivre de ses royalties sur le brut extrait de son sol est l’autre facette de ce fantasme. En résumé, il y a incontestablement des ressources, mais il serait trompeur d’imaginer que leur “contrôle” serait le facteur principal des événements en cours. Pour le Mali, à ce stade, ce qui compte, c’est l’or. Et l’or, justement, n’est pas extrait dans le Nord. Quant à l’uranium, cela concerne surtout le Niger. Il est difficile d’affirmer à ce stade que cela joue un rôle dans la crise malienne.
gwenelias : Vous avez indiqué, dans l’une de vos notes de blog, qu’un sentiment anti-français était perceptible à Bamako, comment l’expliquez-vous ? De plus, certains Maliens accusent la France de soutenir les rebelles touareg, qu’en pensez-vous ?
D’abord, il me semble que le coup d’Etat du 22 mars a servi de révélateur. Révélateur d’un profond malaise au Mali, qui avait été un peu dissimulé par la “démocratie consensuelle” que le président ATT présentait comme le remède à beaucoup de maux. La réalité est qu’une grande partie de la jeunesse malienne, pour commencer, se sent totalement bloquée, sans avenir, dans un pays où les emplois s’achètent et se vendent. Avec le putsch, ce sentiment de frustration est brusquement remonté à la surface, poussé aussi par certains responsables politiques. Il y a donc là, déjà, un mélange, un ressentiment anti-élite et des responsables politiques qui flirtent avec le populisme. Dans la rue, les manifestants en avaient autant contre la France que contre la Banque mondiale ou les prix du riz.
La France, si l’on s’en tient à ce qui est dit dans la rue, est soupçonnée de soutenir le président renversé, ce qui semble absurde. De toute évidence, personne ne soutenait plus ATT. La meilleure preuve en est que quelques jours seulement après le coup d’Etat, il avait pratiquement disparu des préoccupations, le retour à la légalité étant la seule chose à laquelle le monde politique tenait vraiment. ATT a été passé très vite par pertes et profits par tous les acteurs de la crise parce qu’il était devenu évident qu’il faisait partie du problème. La France avait fait ce diagnostic il y a bien longtemps déjà. On ne peut pas soupçonner Paris d’avoir voulu soutenir ATT simplement parce qu’il avait été renversé par un coup d’Etat. Plus ambiguë peut-être est la perception de la rébellion touareg. Voit-on à Paris, dans le MNLA, une arme potentielle anti-AQMI ? Pense-t-on que le discours sécessionniste peut trouver des accommodations qui serviraient à calmer la situation et mettre fin aux dommages collatéraux de la crise libyenne ? Ce sont des pistes de réflexion.
Le Monde.fr |
Voilà encore une des multiples tentatives de “Pseudo connaisseurs” français de l’Afrique pour blanchir la France par rapport à ses liens plus que visibles avec l’entreprise criminelle du soit disant MNLA.
On pose une question très claire sur les rapports entre la France et la rebellion, le Monsieur va tourner d’abord à rond en parlant de coups de d’Etat pour brouiller les pistes et venir après parler de pistes de reflexion. Que c’est malhonnête!!!
Non!!! mon cher ami, la réponse est limpide et la voilà: le principal instigateur de toute cette situation de KO c’est la France et ses. la bonne foi et l’honnêteté intellectuelle devaient vous conduire à dire à toute l’humanité le rôle ignoble des autorités françaises et des medias français (RFI et France 24) dans la situation actuelle du MALI.
D’abord la France (Qais d’Orsay et Senat de France) ont reçu les représentants du soit disant Mouvement Rebelle (MNLA) à l’insu du Mali avant qu’ils viennent s’attaquer à un ETAT INDEPENDANT et pousser des milliers de personnes à l’exil au motif d’un l’axisme de ATT contre AQMI,
Ensuite, le soit disant MNLA sachant qu’il ne peut ne peut tenir seul tête à l’armée malienne s’est allié aux Groupes Islamistes dont AQMI qu’il était pourtant sensé combattre. La preuve a été donné par la bataille de Aguelhok, la prise du camp de AMASHCH de Tessalit où des renforts islamistes sont venus du TCHAD, du SOUDAN, du NIGER, du NIGERIA (plus de 300 véhicules et 500 hommes).
Le Mali à travers ATT a dénoncé cette situation dans une interview dans le FIGARO mais personne (ni les pays voisins du MALI, ni la CDEAO, ni l’UA, ni l’ONU) n’a réagi. Ils ont dit qu’il s’agit d’un problème entre maliens.
Face à cette situation réelle mais gênante, la France et ses medias, à travers des acrobaties et jeux de mots indigestes tels que “ALLIANCE DE CIRCONSTANCE mais OBJECTIFS DIFFERENTS”, tentent de dissocier coûte que coûte son machin (MNLA) et les alliés salafistes et intégristes (Ançardine, AQMI, MUJOA, BOKO HARAM).
Comme un adage peul le dit ” les hautes herbes peuvent cacher les pintades mais elles ne peuvent pas étouffer leurs cris”. Après la prise de KIADAL’ TOMBOUCTOU et GAO, la réalité sort et les faits sur le terrain démontrent de façon têtue que c’est les islamistes qui sont les vrais maitres du jeu. Le MNLA n’est qu’une coquille vide qui ne s’agite qu’en France et sur les medias français.
Sachant son coup en train de foirer, la France tente toujours de pirouettes mal inspirées pour légitimer son “machin MNLA” en affirmant que:” La France tient à l’intégrité territorial du MALI mais le problème touareg ne doit pas avoir une solution militaire, il faut DIALOGUER avec les touareg pour une autonomie renforcée des régions NORD”. Comme si les agitateurs de ce MNLA en France représentent toutes les populations (la communauté MINORITAIRE touareg et les autres ethnies MAJORITAIRE du NORD du Mali) et les bandits qu’ils manipulent avaient une légitimité pour venir tuer, violer, pousser à l’exil les paisible, voler et piller leurs biens; Comme si le MNLA et ses alliés islamistes avaient dialogué avec le MALI pour occuper les trois villes du NORD! Non!!! Ils sont venus par les armes alors qu’on n’empêche pas le MALI d’en faire autant s’il l’estime nécessaire pour assurer la défense de son territoire!!!!
Chers Soeurs, Frères et Ami(e)s! On a toujours soupçonné une main cachée de la France derrière cette rébellion au nord du Mali , Niger , Burkina.
Pour en faire la preuve, lisez cet article de Ag Seda.
Le deal France – MNLA (Mouvement Nationale de Libération de l’Azawad)
Un véritable complot est tramé entre la France et le MNLA contre le Gouvernement et le Peuple du Mali.
En effet, d’une part mécontent du soit disant laxisme d’ATT face aux enlèvements de ses ressortissants par l’AQMI, et d’autre part voyant l’intention du gouvernement du Mali d’écarter les sociétés françaises dans l’attribution du marché d’exploitation de ses futures ressources pétrolières et minières au Nord Mali, la France a délibérément chercher à faire un deal avec la rébellion touareg en vue de déstabiliser le régime d’ATT et d’inciter les Touareg à réclamer l’Independence sinon l’autonomie de leur zone (Azawad).
Le deal convient que la France s’engage à soutenir financièrement, diplomatiquement et stratégiquement les séparatistes jusqu’au bout (c’est-à-dire jusqu’à l’atteinte de leur objectif). En contrepartie, les séparatistes devront s’engager à éradiquer l’AQMI du Nord du Mali et aussi à confier aux sociétés françaises l’exploitation du pétrole et de l’uranium.
Le scénario tracé est le suivant:
Les rebelles devront se soulever et attaquer les camps militaires du grand Nord (Aguelock et Kidal) en vue de libérer le septentrion malien. La France pourra alors les ravitailler en armements, carburants et autres via l’aéroport de Tessalit. Ils devront continuer la progression vers l’Est en annexant GAO et TOMBOUCTOU. Une fois Tombouctou tombée, l’objectif serait en partie atteint. La France de son côté garantira la légitimité et la protection des rebelles en empêchant la CEDEAO d’intervenir militairement. Pour ce faire elle devra anticiper en convoquant une réunion d’urgence du Conseil de Sécurité de l’ONU (ce qui masquera son soutien aux séparatistes) pour demander un arrêt d’hostilité aux belligérants et afin que soit privilégié le dialogue.
Dans le plan, il est prévu que le MNLA proclame la fin des opérations militaires dans les heures qui suivront la déclaration de l’ONU. Alors, la CEDEAO qui ne peut agir sans l’aide et l’aval de l’ONU sera contrainte de renoncer aux interventions militaires contre les rebelles. Aussi de par leur déclaration anticiper de cesser le feu, les rebelles parviendront à vaincre la confiance de la communauté internationale. Ainsi, ils réclameront leur autonomie territoriale afin de finaliser le deal conclu. Dans le deal, il a été recommandé au porte-parole de MNLA Moussa Ag ATTAHER (logé, escorté et protégé par la France), que pour qu’on ne soupçonne pas la France de jouer un double jeu, il ne devra citer la France qu’en dernier ressort dans son appel envers les communautés Internationales. C’est pourquoi, il citera chaque fois, les Nations Unis, les USA et ensuite la France. Voyez cette recette facile ! Qui aurait cru qu’une telle attitude, qu’un tel complot proviendrait de la France ? C’est regrettable, c’est pitoyable et c’est indigne de la part d’une soit disant Puissance ! Ces moyens ignobles et indécents déshonorent la France. C’est une violation grave du traité colonial qui lie le Mali à la France. Est-ce que les citoyens maliens ont besoin de répondre à une erreur de laxisme de leur premier dirigeant ? Dans tous les cas c’est un signal fort à l’endroit de tous les autres pays colonisés par la France, pour qu’ils sachent que la France n’a pas d’amis mais des intérêts et qu’elle est prête à vendre son honneur pour sauvegarder ses intérêts.
En fourbissant ce complot, les instigateurs ont ignoré le patriotisme malien bâti sur des liens sociaux multiséculaires par des hommes et des femmes dignes et résolus : rien de fera du Mali un Azawad imaginaire !
Nous pensions que la France pouvait avoir de moyens plus légaux pour contraindre un gouvernement laxiste que de déclencher une guerre de division territoriale et de conflit ethnique. Elle sera comptable de tout ce qui adviendra. Elle devra savoir qu’elle est passible de poursuite pénale, de crime de guerre en ayant provoqué l’invasion du territoire malien par les rebelles venant de Libye avec des armements lourds.
L’objectif de la présente pétition est d’éclater au grand jour le complot tramé par la France et le MNLA contre le gouvernement du Mali.
Il est urgent que le Gouvernement du Mali saisisse la cours pénale international pour demander réparation à la France pour complot contre son intégrité territoriale et aussi à l’OTAN pour son responsabilité à la crise en aval de la guerre de Libye. Nous avons dénoncé le fait il reste aux autorités institutionnelles de notre Etat à poursuivre le combat en saisissant qui de droit.
Maliens, maliennes ! Demeurons unis, n’offensons pas les ressortissants français vivant chez nous car ils ne sont pas comptables des erreurs de leur pays.
Mais haïssons la France et sabotons toutes ses coopérations. Haïssons Nicolas Sarkozy, Alain Juppé et leur gouvernement voyou. Levons-nous pour réclamer le droit de réparation. Demandons l’aide des USA, de la Chine et de la Russie et sollicitons l’arrêt de leur participation passive à ce deal.
Tout sauf la France et Tous contre la France et ses acolytes apatrides.
Envoyer ce message à tous les Maliens et à tous les Africains pour qu’il sache le dessous et le non-dit de la guerre au Mali
Mercredi 21 Mars 2012 par la Coalition Malienne pour l’Unité Territoriale (CMUT):
Suivez le déroulement des choses et vous donnerez raison à ceux qui l’ont écrit.
D’autres révélations plus intrigantes sont en cours.
« L’union sacrée pour la libération du Nord est la thérapie qui, avec l’ensemble de toutes les forces vives, sans distinction d’âge, de race et d’appartenance politique, permettra de relever le défi qui se pose à toute la nation malienne».
REBELLION AU NORD MALI : LA MAIN DE LA FRANCE
Chers Soeurs, Frères et Ami(e)s! On a toujours soupçonné une main cachée de la France derrière cette rébellion au nord du Mali , Niger , Burkina.
Pour en faire la preuve, lisez cet article de Ag Seda.
Le deal France – MNLA (Mouvement Nationale de Libération de l’Azawad)
Un véritable complot est tramé entre la France et le MNLA contre le Gouvernement et le Peuple du Mali.
En effet, d’une part mécontent du soit disant laxisme d’ATT face aux enlèvements de ses ressortissants par l’AQMI, et d’autre part voyant l’intention du gouvernement du Mali d’écarter les sociétés françaises dans l’attribution du marché d’exploitation de ses futures ressources pétrolières et minières au Nord Mali, la France a délibérément chercher à faire un deal avec la rébellion touareg en vue de déstabiliser le régime d’ATT et d’inciter les Touareg à réclamer l’Independence sinon l’autonomie de leur zone (Azawad).
Le deal convient que la France s’engage à soutenir financièrement, diplomatiquement et stratégiquement les séparatistes jusqu’au bout (c’est-à-dire jusqu’à l’atteinte de leur objectif). En contrepartie, les séparatistes devront s’engager à éradiquer l’AQMI du Nord du Mali et aussi à confier aux sociétés françaises l’exploitation du pétrole et de l’uranium.
Le scénario tracé est le suivant:
Les rebelles devront se soulever et attaquer les camps militaires du grand Nord (Aguelock et Kidal) en vue de libérer le septentrion malien. La France pourra alors les ravitailler en armements, carburants et autres via l’aéroport de Tessalit. Ils devront continuer la progression vers l’Est en annexant GAO et TOMBOUCTOU. Une fois Tombouctou tombée, l’objectif serait en partie atteint. La France de son côté garantira la légitimité et la protection des rebelles en empêchant la CEDEAO d’intervenir militairement. Pour ce faire elle devra anticiper en convoquant une réunion d’urgence du Conseil de Sécurité de l’ONU (ce qui masquera son soutien aux séparatistes) pour demander un arrêt d’hostilité aux belligérants et afin que soit privilégié le dialogue.
Dans le plan, il est prévu que le MNLA proclame la fin des opérations militaires dans les heures qui suivront la déclaration de l’ONU. Alors, la CEDEAO qui ne peut agir sans l’aide et l’aval de l’ONU sera contrainte de renoncer aux interventions militaires contre les rebelles. Aussi de par leur déclaration anticiper de cesser le feu, les rebelles parviendront à vaincre la confiance de la communauté internationale. Ainsi, ils réclameront leur autonomie territoriale afin de finaliser le deal conclu. Dans le deal, il a été recommandé au porte-parole de MNLA Moussa Ag ATTAHER (logé, escorté et protégé par la France), que pour qu’on ne soupçonne pas la France de jouer un double jeu, il ne devra citer la France qu’en dernier ressort dans son appel envers les communautés Internationales. C’est pourquoi, il citera chaque fois, les Nations Unis, les USA et ensuite la France. Voyez cette recette facile ! Qui aurait cru qu’une telle attitude, qu’un tel complot proviendrait de la France ? C’est regrettable, c’est pitoyable et c’est indigne de la part d’une soit disant Puissance ! Ces moyens ignobles et indécents déshonorent la France. C’est une violation grave du traité colonial qui lie le Mali à la France. Est-ce que les citoyens maliens ont besoin de répondre à une erreur de laxisme de leur premier dirigeant ? Dans tous les cas c’est un signal fort à l’endroit de tous les autres pays colonisés par la France, pour qu’ils sachent que la France n’a pas d’amis mais des intérêts et qu’elle est prête à vendre son honneur pour sauvegarder ses intérêts.
En fourbissant ce complot, les instigateurs ont ignoré le patriotisme malien bâti sur des liens sociaux multiséculaires par des hommes et des femmes dignes et résolus : rien de fera du Mali un Azawad imaginaire !
Nous pensions que la France pouvait avoir de moyens plus légaux pour contraindre un gouvernement laxiste que de déclencher une guerre de division territoriale et de conflit ethnique. Elle sera comptable de tout ce qui adviendra. Elle devra savoir qu’elle est passible de poursuite pénale, de crime de guerre en ayant provoqué l’invasion du territoire malien par les rebelles venant de Libye avec des armements lourds.
L’objectif de la présente pétition est d’éclater au grand jour le complot tramé par la France et le MNLA contre le gouvernement du Mali.
Il est urgent que le Gouvernement du Mali saisisse la cours pénale international pour demander réparation à la France pour complot contre son intégrité territoriale et aussi à l’OTAN pour son responsabilité à la crise en aval de la guerre de Libye. Nous avons dénoncé le fait il reste aux autorités institutionnelles de notre Etat à poursuivre le combat en saisissant qui de droit.
Maliens, maliennes ! Demeurons unis, n’offensons pas les ressortissants français vivant chez nous car ils ne sont pas comptables des erreurs de leur pays.
Mais haïssons la France et sabotons toutes ses coopérations. Haïssons Nicolas Sarkozy, Alain Juppé et leur gouvernement voyou. Levons-nous pour réclamer le droit de réparation. Demandons l’aide des USA, de la Chine et de la Russie et sollicitons l’arrêt de leur participation passive à ce deal.
Tout sauf la France et Tous contre la France et ses acolytes apatrides.
Envoyer ce message à tous les Maliens et à tous les Africains pour qu’il sache le dessous et le non-dit de la guerre au Mali
Mercredi 21 Mars 2012 par la Coalition Malienne pour l’Unité Territoriale (CMUT):
Suivez le déroulement des choses et vous donnerez raison à ceux qui l’ont écrit.
D’autres révélations plus intrigantes sont en cours.
« L’union sacrée pour la libération du Nord est la thérapie qui, avec l’ensemble de toutes les forces vives, sans distinction d’âge, de race et d’appartenance politique, permettra de relever le défi qui se pose à toute la nation malienne».
Concernant les suspicions maliennes à l’égard de la politique française sur ce point (celui du soutien supposé ou tout au moins d’une certaine complaisance à l’égard du MNLA), nous avons tous noté que “l’indépendance” du soi disant “Azawad” a été proclamé sur France 24 et elle seule. Par ailleurs, tous les Maliens ont noté que RFI ne commentait pas seulement l’information mais cédait parfois à la tentation de créer l’évènement : les nombreuses annonces sur les retraits de l’armée, l’avance des rebelles, les menaces sur Tombouctou, Gao, etc. A supposer que cela n’ait pas été fait à dessein, la large audience de RFI et la crédibilité qui lui est accordée dans notre pays, aurait du l’inciter , à faire preuve de plus d’objectivité et de retenue. Quelque part, nous avons eu le sentiment que pendant que les rebelles assaillaient notre pays avec des armes, un oiseau de malheur nous picotait par ci par là, aidant objectivement notre ennemi.
D’autre part, les Maliens sont souvent sidérés par l’ignorance crasse de prétendus spécialistes qui racontent doctement des mensonges sur l’histoire, la géographie ou les relations entre ethnies du Mali, comme par hasard sur RFI et France 24. Décidémment on aura tout vu. Mais cela n’entame nullement l’amitié que les Maliens ont pour les Français, et s’il y a un sentiment de colère contre la politique française sur ce point, il n’y a aucun sentiment anti français au Mali
ces rebelles sont tellement armés, je ne sais pas comment notre armée va les deloger, c est seul Dieu qui peut nous aider, sinon c est pas une petite affaire. on aura besoin d´une aviation vraiment bien coordonnée, sinon ca va prendre des années.on prie Dieu d´être de notre coté parce c´est notre terre.
Est que Maliweb peut arreter de nous balancer les propos de ces pseudo specialiste corrompus qui ne savent meme combien d’ethnies peuplant le nord du Mali!!
Il ya un certain nombre de pronostics qui nous semblent etre des evidences:
1)Les rebelles touaregues n’accepteront jamais de rendre leurs armes pour negocier.Les mitraillettes seront camouflees sous les paillassons ou enterrees sous les dunes;
2)Donner l’autonomie a la region du Nord ce serait conceder l’independance aux Touregues,ce qui serait une absurdite politique.
a)les touaregues ne constituent qu’une petite minorite dans cette region.
b)les touaregues n’ont pas de patrie (territoire national).Quels vestiges ont-ils laisses dans cette vaste region.Ou sont les eglises, les mosques,les tombes construites,representant une partie de l’Histoire du Ghana et du Mali .La dynastie des Askia .Les Sonrai, les peulhs sedentaires ont bien ecrit une partie de cette Histoire du Mali et du Ghana:
Kankan-Moussa ,Sony Aliber,qui sont alles jusqu’a importer l’architecture Hispano-arabe dans toute la region.Allez a Ibissa,
vous y retrouverez les batisses de Gao et de Tombuctou.
c)Pour etre residents ,il faut occuper un espace delimite.Les Touaregues sont comme des gitannes, des nomades qui vont de pays a pays.S’ils veulent se fixer maintenant et changer de mode de vie,ils le feront a titre d’invites qui ont acquis les memes droits et qui sont soumis aux memes obligations que les premiers habitants de ce pays.Ils ont acquis droit de cite.Mais l’Histoire de cette Region n’a pas commence au XIVe siecle!Il n’ya aucun mal a cela.Seulement l’Histoire defend les regressions, les marches a reculons.
2)Armes grace aux milliards de Kadhafi,un groupuscule de 1500 personnes seme la terreur dans toute cette region peuple de sonrais,
de peuls ,de bella.Ce probleme ,bien qu’il se produit au Mali,n’est pas seulement Malien ,mais un probleme qui touche l’Algerie, les pays limitrophes et toute les pays de la CEDEAO plus la Mauritanie.
La meilleure facon de stopper ce genre de banditisme,c’est de mettre en place une force de frappe regionale ou meme inter-regionale pour nettoyer toute la region,non seulement pour cette fois ,mais chaquefois que ces bandits essayeront de destabiliter un pays de la region ou de l’Afrique,
3)Les problemes en vue ,ce n’est pas seulement la reclamation d’independance pour ce groupe ethnique.Mais tous les groupes ethniques ont les memes specificites dans le monde;linguistiques, culturelles et meme historiques.Si cela justifiait la proclamation d’une independance,il y aurait de millions de pays independants.Les Sonrais, les peuls,les sarakoles ,les malinkas, les bambaras, les bobos,les miangas, etc savent qu’une Nation ,un Etat moderne ce sont des communautes ethiques qui ont la meme vision,le meme projet politique ,economique et social pour creer un Mali prospere, pacifique et respecte.Demain,on pourrait y ajouter des Chinois ,des Indiens,etc.Pourquoi pas !
4)Cette attaque du Mali revele d’autres absurdites: des groupes d’aveugles qui osent fouler au pied les droits humains en ce XXIe siecle et faire de l’Afrique une terre attardee,incapable de marcher avec le progres scientifique, politique et moral.Il y va de l’interet de toute l’Humanite de mettre fin a ces violations criminelles tant dans les pays Arabes qu’en Afrique Noire.Une aide internationale serait dans l’ordre des choses pour barrer la route a ces criminels ,les empecher de creer de nouveaux champs de bataille et les pourchasser jusque dans les grottes de l’Aphganistan.
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