L’un des principaux éléments indispensables dans la lutte anti-terroriste est le renseignement. Les résultats escomptés dans cette lutte sont quasiment proportionnelles à la maitrise de l’information concernant le fléau. Autant est faible cette performance, autant est grande la menace terroriste. Que dispose notre pays comme «commodités» dans ce domaine ? Pas grand-chose ! Sinon suffisamment peu pour qu’il soit une proie facile à toute sorte de menace. Les révélations d’un collaborateur interne de la Sécurité d’Etat malienne dont nous taisons l’identité sont très accablantes et place la S.E comme maillon faible de la politique de lutte anti-terroriste et de toute stratégie de prévention et de défense.
C’est le dimanche, aux environs de 14h qu’un numéro inconnu nous a appelé pour nous déclarer qu’il a des informations à nous donner et qu’il souhaiterait nous rencontrer. Du fait de son caractère anonyme, nous nous sommes montrés hésitants. Comprenant ceci, l’intéressé propose alors de lui-même que nous lui donnons notre adresse email afin de nous balancer ce qu’il compte porter à notre connaissance. Ce que nous avons fait tout naturellement. Quelques minutes plus tard, telle ne fut notre surprise de retrouver dans notre boite électronique une interminable note révélatrice des tares, des dysfonctionnements et de la corruption qui gangrènent la sécurité d’Etat du Mali et dont nous faisons l’obligation de vous livrer une portion de la partie consacrée à la culpabilité direct de ladite structure dans l’attentat du week-end et qui seraient aujourd’hui à leur phase opératoire, mais qui aurait pu être circonscrits. « Ce qui nous traumatise aujourd’hui est la mise en œuvre introductive d’une grande offensive terroriste qui a été préparée pendant plusieurs mois et dont le Directeur de la S.E a eu échos dès les toutes premières heures de son élaboration. Pour être clair, le Directeur Moussa Diawara et l’ensemble de son équipe ont été alertés depuis les premiers jours où les agents recruteurs de l’organisation terroriste en question ont commencé leurs prises de contact à Bamako, Koulikoro, Nara, Diema et dans toutes les localités situées sur la bande frontalière Mali-Mauritanie. L’informateur qui a attiré l’attention de la S.E sur la question a fait parvenir à la S.E son premier message d’alerte depuis le mois de Mai 2014 en précisant dedans des éléments on ne peut plus explicites faisant ressortir même des noms suspectés coupables ou complices. Mais au niveau de cette boite l’alerte n’étant jamais prise en compte, le message de l’indicateur a été tout simplement ignoré et jeté à la poubelle ». Voici quelques lignes du très long message détaillant tous les dysfonctionnements qui entravent le bon fonctionnement de la S.E et dont nous vous promettons la suite dan nos prochaine parutions.
A suivre !
Ousmane KONE
avec un article criblé de fautes et d’incorrection tu penses pouvoir attirer des lecteurs? cher journalier je vous avoue sincèrement que Moussa Diawara est le seul qui travaille convenablement dans ce pays sans attendre de personne. En fait, à force de travailler il n’a plus de vie de famille. Il a tout le été un bon soldat depuis à la garde nationale du Mali. De grâce si vous avez besoin d’informations rendez vous dans sa structure il pourra vous briffer. Par contre, aucun agent de la SE ne vous a donnez cette information car elle est inventée de toute pièce…
avec un article criblé de fautes et d’incorrections tu penses pouvoir attirer des lecteurs? cher journalier je vous avoue sincèrement que Moussa Diawara est le seul qui travaille convenablement dans ce pays sans attendre rien de personne. En fait, à force de travailler il n’a plus de vie de famille. Il a tout le temps été un bon soldat depuis à la garde nationale du Mali. De grâce si vous avez besoin d’informations rendez vous dans sa structure il pourra vous briffer. Par contre, aucun agent de la SE ne vous a donnez cette mauvaise information car elle est inventée de toute pièce… pauvre journaliste!!!
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