Attaques de Goundam et de Diré : La Rébellion bientôt aux portes de Bamako ?

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Après la prise de Tessalit dimanche dernier, les rebelles du Mouvement National de Libération de l’Azawad (MNLA), appuyés, selon le communiqué du Ministre de la Défense et des Anciens Combattants, par les éléments d’AQMI, d’Ançar Dine, des trafiquants de drogues et des renforts venus de divers horizons, continuent de poser, sans être inquiétés leurs actes ignobles et barbares, défiant ainsi l’autorité de l’Etat malien.
On apprend en effet que ces assaillants ont attaqué avant-hier, 13 mars 2012, dans l’après-midi les villes de Goundam et de Diré. Ils ont semé la zizanie en scandant «Vive l’Azawad» dans les deux localités. Ils ont saccagé la gendarmerie, enlevé les véhicules et motos des hôpitaux et du lycée, saboté l’EDM et emporté du carburant et des armes. Ils auraient même enlevé certaines personnes et ….
Trop, c’est trop. La question que l’on se pose est de savoir si le Mali dispose d’une armée nationale. Si oui, pourquoi ne pas utiliser les gros moyens pour en découdre avec ces apatrides qui, sous le prétexte fallacieux qu’ils réclament l’indépendance de l’AZAWAD, tuent et massacrent tout sur leur passage.
On ne négocie pas avec des assassins. Le Général-Président ATT qui avait opté pour cette solution négociée, se rend aujourd’hui à l’évidence qu’il s’est lourdement trompé. Une rébellion, ça se matte, martelait un chef d’Etat de la sous-région.
Il est donc opportun qu’au lieu de penser à l’organisation des élections, de mettre plutôt fin à la capacité de nuisance de ces assaillants. On nous a souvent dit que le Mali dispose d’une solide armada guerrière. Pourquoi alors ne pas la sortir maintenant, au lieu de laisser ces hommes sans foi ni loi continuer à dicter leurs lois à nos forces armées et de sécurité ?
Après la prise de Tessalit, ce sont maintenant les attaques des paisibles populations de Goundam et de Diré. Et après, à quelle ville reviendra le tour ?  Bamako ? En tout cas, même si ce n’est pas pour demain, il ne faut pas prendre cette alternative à la légère.
Il est temps que le Mali passe à la vitesse supérieure, quitte à ce qu’il perdre ces hommes au front. Il en va de la sauvegarde de la cohésion sociale et de l’intégrité du  territoire national.
B. LOMA

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54 COMMENTAIRES

  1. Le problème de l’armée malienne n’est pas une question d’armement ou de materiels de guerre.
    C’est surtout un problème d’hommes courageux.

    Dans l’armée malienne il n’ya que des enfants et neveux sans compétences des hauts gradés ( géléral, colennel, lieutnant etc…). Maintenat quand il s’agit d’aller se battre sur le front. Il n’ya personne à part quelques patriotes militaires courageux pour défendre la patrie. Voilà le problème de notre armée.

  2. La responsabilité de ATT dans la rébellion du nort est sans équivoque:

    Les propos de ATT sur RFI le 3 SEPTE?BRE 2011:(Mais, je sais que la Libye est une poudrière, un magasin d’armes et je pense qu’avec les désordres qui sont autour des différents affrontements, certainement, nous sommes sûrs que des armes ont quitté certaines zones pour se déverser dans la bande sahélo-sahélienne. Nous sommes convaincus que certains anciens combattants ou autres sont retournés dans la bande sahélo-sahélienne. Il y a des Maliens ; il y a d’autres nationalités. Et nous savons également que certains sont revenus avec armes et bagages.

    Est-ce que vous craignez le retour de Touareg qui auraient pris les armes en Libye et qui reviendraient au Mali ?

    Nous n’avons aucune crainte. Tout dépendra de leur volonté. Il y a des touareg d’origine malienne qui sont libyens. Il y a des Touareg libyens également. Mais, si quelqu’un vient et qui doit retourner un jour dans son pays d’origine, avec la bonne volonté devenir faire l’élevage, la pêche ou autre pour s’intégrer dans la société qu’il avait quittée, il n’y a aucun problème).

  3. Mon cher ATT serais tu un général en deroute comme ce Burkinabé le dit ? pour l’amour de la patrie prouve moi le contraire VIVE le Mali VIVE l’armée du Mali.

    dimanche 18 mars 2012

    Un Etat en faillite. Une nation en ruine. Il ne reste pas grand-chose du Mali des années ATT
    Nous sommes entrés dans un temps où la volatilité des systèmes politiques a pris une ampleur particulière. La Côte d’Ivoire, longtemps présentée comme un modèle de cohabitation ethnique, s’est illustrée dans la xénophobie et la violence, mettant par terre, en quelques années, tout ce qui avait été construit en plusieurs décennies.
    Au Niger, Mamadou Tandja, dont on disait que le double mandat présidentiel était, tout compte fait, un modèle d’alternance dans ce pays trop souvent victime de coups d’Etat militaires, voudra refaire un tour de manège à quelques mois d’une fin de parcours annoncée. On sait ce qu’il en advint. En 2011, l’inimaginable est arrivé : Tunisie, Egypte, Libye, ces trois régimes férocement répressifs et anti-démocratiques, dont les leaders étaient présentés comme indéboulonnables, ont sombré brutalement sous les coups de boutoirs des populations (et, en ce qui concerne la Libye, d’une coalition « occidental »).
    Au Sénégal, un homme raisonnable dans un pays où les choses se sont passées, jusqu’à présent, plutôt mieux qu’ailleurs, est devenu totalement déraisonnable. Jusqu’à présent, on y a évité le pire. Jusqu’à présent… ! Et puis il y a le Mali. Sur les rives du fleuve Niger, Bamako avait, en vingt ans, vu disparaître un dictateur et l’alternance s’installer entre deux hommes, Amadou Toumani Touré (ATT) et Alpha Oumar Konaré. Un modèle, disait-on. A tel point que le pays devenait une référence culturelle et un passage obligé pour toutes les personnalités politiques « occidentales », de gauche comme de droite, qui entendaient célébrer la « démocratisation », enfin en marche, de l’Afrique noire.
    ATT, après ses deux mandats, avait annoncé sa décision de ne pas forcer le destin. Il ne serait pas candidat à sa propre succession et, dès lors, une flopée de candidats s’est précipitée pour prendre la suite. Les commentateurs souligneront la vitalité de la démocratie malienne où les hommes politiques étaient légion. Et, dans l’ensemble, plutôt crédibles. Jusqu’à ce jour du 17 janvier 2012 – il n’y a pas loin de deux mois – où le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) a déclenché la « guerre » contre le régime en place à Bamako.
    La situation, tout d’abord, a été perçue comme « intra-malienne » puis, les réfugiés fuyant la guerre et les exactions contre les populations « blanches » s’étant multipliés dans les pays de la sous-région voisins du Mali, comme « humanitaire ». Alain Juppé, le ministre français des Affaires étrangères et de la Coopération régionale, fera le déplacement à Cotonou, Ouagadougou et Bamako pour appeler au nécessaire « dialogue », redoutant par-dessus tout les connexions entre la « rébellion » touarègue et les katibas d’AQMI. A un moment critique : le premier tour de la prochaine présidentielle est programmé le dimanche 29 avril 2012. Il est évident, aujourd’hui, à sept semaines de cette consultation électorale, que celle-ci ne pourra pas être organisée. Ce qui ne semble pas chagriner grand monde à Bamako.
    Et c’est là que le bât blesse. Alors que partout dans la région, à Alger, Nouakchott, Ouagadougou, Niamey notamment, chacun s’inquiète d’une situation militaire que le gouvernement malien ne semble plus maîtriser, Bamako semble se foutre totalement de ce qui se passe dans le Nord de son territoire. Y compris quand les « rebelles » s’emparent du camp de Tessalit, pôle stratégique situé dans le Nord-Est du Mali, à la frontière avec l’Algérie et le Niger, et mettent la main sur un arsenal considérable.
    « Il n’y a pas eu de conquête car c’est nous-mêmes qui avons décidé de faire évacuer le camp […] Il fallait faire l’économie des pertes humaines inutiles d’autant plus que si nous abandonnons le camp aujourd’hui, nous pourrons toujours le reprendre plus tard ». L’explication du ministre malien des Affaires étrangères, Soumaïla Boubèye Maïga, exprime la déliquescence dans laquelle se trouve, aujourd’hui, l’Etat malien. Une rébellion armée occupe le Nord du pays et y fait ce qu’elle veut sans que la classe politique au pouvoir ne semble s’en soucier. « Nous verrons plus tard », dit-elle en substance. Sauf qu’en pratiquant ainsi « le retrait stratégique », Bamako abandonne de plus en plus de terrain, de plus en plus de moyens logistiques, de plus en plus d’armes… à la « rébellion » qui renforce ainsi ses positions ; et décrédibilise l’action gouvernementale tout en démoralisant les troupes maliennes. Qui voudra mourir pour Kidal, à 200 km au Sud de Tessalit, que les Touareg considèrent comme la capitale de la République de l’Azawad qu’ils veulent fonder ? Et quand la « communauté internationale » prône le dialogue entre les parties en présence, personne ne dit comment on peut négocier utilement avec des « rebelles » en position de force qui vont de victoire en victoire sans jamais être inquiétés par les forces loyalistes. La position malienne est incompréhensible pour les autres pays de la région, touchés par les effets collatéraux de cette « guerre » des Touareg contre Bamako. Quelle république, quel Etat, quelle nation peuvent ainsi accepter, sans broncher, une domination étrangère sur son territoire et de voir, aussi durablement, sa souveraineté bafouée ? Ce qui amène bien sûr à se poser des questions sur la République malienne, l’Etat malien, la nation malienne et crédibilise la thèse selon laquelle l’entourage d’ATT instrumentalise cette « guerre » pour perdurer au pouvoir au-delà du 29 avril 2012. L’autre question est de savoir si ATT est un chef d’Etat (qui plus est un chef militaire) vraiment nul ou s’il est l’otage des ultras de son régime. L’avis général est d’ailleurs qu’il est nul et que c’est pour cela qu’il s’est fait prendre en otage ! Il est vrai que l’image d’ATT en a pris un sacré coup en l’espace de quelques semaines*. Reste, du même coup, que toute médiation devient difficile dès lors que Bamako accepte l’inacceptable et supporte l’insupportable. Déjà, la Mauritanie joue sa propre partition et n’hésite plus à multiplier les incursions dans l’espace aérien malien, Nouakchott étant convaincu que la « guerre » dans laquelle se sont lancés les Touareg est un vecteur d’implantation « durable » d’AQMI et de ses divers démembrements dans le « corridor sahélo-saharien » et que tout laxisme peut être mortel pour la région. Alger, de son côté, voit la menace se rapprocher de son territoire avec la prise de Tessalit (qui dispose d’infrastructures importantes dont notamment une piste d’atterrissage). Le président Bouteflika sait la difficulté qu’il y a à éradiquer le terrorisme dès lors que les réseaux parviennent à s’implanter et à se structurer. Il sait aussi quelle est la vulnérabilité sociale de son pays où la jeunesse n’en peut plus d’être exclue de la croissance et de voir les apparatchiks du FLN se goberger (plus encore en cette année 2012, cinquantenaire de l’indépendance du pays après une longue guerre de libération 1954-1962). Une médiation étrangère au Mali peut-elle s’engager avec le MNLA alors que c’est le territoire malien qui est concerné ? Et peut-on négocier utilement avec le MNLA si c’est AQMI qui tire les ficelles ? C’est le défi auquel est confronté le Burkina Faso qui s’implique dans la recherche d’une solution en multipliant, aujourd’hui, les déplacements dans les capitales concernées. Djibrill Y. Bassolé, qui a en charge ces contacts, a fixé le fondement sur lequel la négociation peut être menée, soulignant que « l’agenda du MNLA : l’indépendance régionale, est hors de portée. La communauté internationale n’est pas prête à soutenir un tel agenda ». On ne s’étonnera pas que la question de la souveraineté soit au cœur de la préoccupation des Burkinabè. En la matière, ils ne transigent jamais ! A bon entendeur, salut.
    * Considéré en Afrique comme un modèle en matière d’acceptation des alternances en un temps où la tendance était au tripatouillage des constitutions, ATT était présenté dans la presse burkinabè, voici encore quelques semaines, comme un homme « droit dans ses bottes » (L’Observateur Paalga – 21 février 2012), « un démocrate jusqu’au bout » (Le Pays – 27 février 2012). Depuis, il a beaucoup perdu de son aura et n’est plus qu’un général en déroute.
    Jean-Pierre BEJOT
    LA Dépêche Diplomatique,

  4. Ce qu’il faille comprendre Quand l’autorité de l’etat s’efrite cela laisse la place aux hors la loi et que chaque peuple merite son chef.à moi humble avis nous n’avons pas de responsables qui s’assument face à telle situation pour appuyer cette remarque tous les politiciens sont braqués sur les présidentielles pire l’armee n’existe plus a fortiori defendre le Territoire et cla est désolant pour le Mali et humiliant pour ce vaillant peuple qui ne merite pas cela après d’enorme sacifice en mars 91 donnez l’orde pour la sauvegarde du mali et je suis prêt à repondre devant la cour!!!

  5. Message sur kidal.info
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    Message demandé

     
    timbuktu
    Posté le 17/23/2212 à 12H25
    debat de fond sur KI pas de ping pong
    Le Gvt et tout ce que tu decris Liberté est le fruit de nos erreurs à nous tous et depuis longtemps. Le Mali depuis l’independance a peur de nous et for malheureusement pour nous on leur a toujours donné raison. Nous ne sommes pas serieux et bien entendu que le probleme à eu pour simplifier 5 phases
    de 1962 à 1964
    Independance acquise dans la douleur dans la division des communautés du nord dont la majorité a souhaité prendre l’independance avec le Mali. Une fois acquise le Mali a voulu s’implanter durablement et imposé sa domination sans partage. Premiere rebellion post independance: dominate touareg (je vais epargner le jeu tribal pour gagner du temps et garantir un consensus global au sein de KI). Arrestation de Feu Mohamed ALI et exil Marocain.
    de 1964 à 1991
    Modibo Keita et Moussa Traore ont geré d’une main de fer le Nord. et à mon sens période sombre pour l’Azawad. Forte presence militaire avec des abus importants allant avec cette periode de monopartisme et où l’Etat avait avec lui la force et la loi, bagne de Taoudeni, exclusion notamment au sein de l’armée nationale où on comptait quasiment un seul officier “blanc” touareg
    de 1991 à 1994
    “periode des lumières” pour l’Azawad avec l’émancipation grace à la lutte armée et au retour de nos acteurs actuels : Iyad, Gamou, Meydou, etc…..
    Le Pacte National reussit ce que tout le monde souhaitait une integration des populations du nord au sein de l’etat du mali, police, gendarmerie, douane et de l’Armée Nationale. Contre le gré de l’armée les premiers officiers superieurs du nord blanc faisaient leur entrée fracassante au sein de l’Armée.
    pour saboter l’Etat s’essaye à etre le diable en creant Gandakoye et on sait ce que le coktail GandaKoy/Iyad/armée conseillée par Iyad and Co va donner avec tous les massacres de civils. A ce moment là permettez de faire un clin d’oeil à Zahaby Ould Sidi Mohamed,Ould Meydou et le chef d’Etat major du FIAA qui succombera sur le chemin du retour à Gao à une lache agression de l’armee malienne et au FIAA qui ont attaqué la base de FAFA et demonté ce scenario catastrophe. Ce que Alpha Oumar KONARE n’a jamais pardonné à la communauté arabe du Mali: aucun Ministre, aucun directeur national, aucun ambassadeur durant les dix ans de Alpha et la severité et haine totale envers SE Feu Moulaye Mohamed HAIDARA présumé fondateur du FIAA avec Feu Sidi Boubacar Bally.
    L’autre erreur de cette periode c’est le fait que l’Algerie et le Mali ont empeché les Kalantsars et les Idnanes d’avoir leur mouvement (FULA et FNLA). Ces tribus n’ont jamais supporté cet affront. Mais le nombre de mouvements touaregs MPA; MPLA; ARLA; FPLA et FIAA nous obligea à creer les MFUA comme base de regroupement et nos leaders auraient dû dissoudre leur mouvement respectif pour jeter les ponts d’une reconciliation azawadienne sinceres. Mais c’etait trop leur demander tant les egos etaient et sont encore aujourd’hui demesurés.
    Autre remarque qui a son poids tous les mvts touaregs adoraient le mot Liberation mais cela a toujours eu comme objectif de demander le plus pour avoir le maximum et le FIAA a toujours été unique representant des arabes.
    Les azawadiens auraient pu mieux exploiter cette periode faste pour nous mais les egoismes ont repris le dessus et le debut du chacun pour soi, chacun cherchant les faveurs de l’Etat Central pour mieux tirer la couverture à lui et à ses inféodés.
    Les milliers d’intégration dans l’administration et l’armée et les milliards “investis” au nord ont été tres mal geré et l’homme azawadien n’a jamais été au centre des interets en jeu tant l’egocentrisme et le tribalisme prenait le dessus et ce n’est pas la faute de l’etat.
    1994 à janvier 2212
    Arrivée de AQMI, des prises d’otage, de la Drogue et de Feu Bahanga.
    Succesion d’accords de Alger et d’accords tout court. des promesses fallacieuses jamais tenues et qui arrangeaient tout le monde et les agressions successives de touaregs (jamais des arabes ce n’est pas une pique j’y reviendrai). La plupart des requetes avaient des fondements individualistes et de l’égoisme la “cause” de l’azawad n’a jamais été primordiale chacun prechant pour sa paroisse et ses paroissiens pour des musulmans quelle honte. Pendant ce temps les arabes les chiens de garde de la Republique qu’ont ils eu pour les bons et loyaux services?
    Tout le monde sait que apres Bahanga, IYAD a demandé à tous les combattants de rejoindre AQMI en attendant; Quoi? seul lui le savait.
    Création par la SE du Mali du MNA qui lui echappe progressivement, arrivée des exclus de la Lybie et malgré tous les avis reçus le Mali a laissé entré des hommes avec des armes sur son territoire par negligence? suite à un piege de Iyad? etc….
    de 2212
    Les hostilités sont engagées par le MNLA et chaque jour on se rend compte que le MNLA est un canard qui sert de leure pour une diversité explosive: AQMI, AnçarDine, des deserteurs de 3 tribus touaregs, des trafiquants de drogue qui preservent leur interet, etc…
    le reste vous connaissez la position de Timbuktu et vous avez toutes les preuves sur KI forum.
    Alors Liberté oui le Mali a eu raison de pas nous faire confiance jusqu’à présent.
    Liberté il n y aura jamais d’independance arrete de rever
    Liberté on a pas le choix on va vivre ensemble, tu remarqueras que j’ai volontairement tû les nombreuses trahisons à la “cause” de l’azawad pour essayer de reduire la fracture.
    Liberté le Mali a eu tort de jouer la division des populations du nord
    Liberté maintenant qu’allons nous faire?

    • Bjr kassin je retient de ce message un seul passage qui pour moi explique tout le probleme ou dirais-je la débacle de notre armée et le pétrin dans le quel nous sommes: Création par la SE du Mali du MNA qui lui échappe progressivement, arrivée des exclus de la Lybie et malgré tous les avis recus, le Mali a laissé des hommes avec des armes sur son territoire par négligence? Suite a un piege de Iyad? ect…
      ce passage a mon avis résume toute la faiblesse de notre armée car c’est le MNA qui est devenus MNLA, et IYAD a crée Ansar-adine. Donc une fois que les masques tombent, la haute sphere de l’état va etre éclaboussé donc il faut tous faire pour régler le probleme a l’amiable ce que veulent pas entendre les rebelles
      Merci de me corriger si vous trouver que j’ai pas bien compris

      • Ce qu’il faut comprendre dans ce message de Timbuctu (qui est un arabe pro Mali et qui est contre le Mnla) c’est que nos autorités ont une responsabilité dans la crise actuelle car la gestion du nord a été fait avec amateurisme et laxisme au plus haut niveau de l’état à tel point que certains de nos compatriotes du nord n’ont plus aucun respect pour la république. Il ne fait pas le lien entre Mna et Mnla mais dit que le premier a échappé à nos services secrets qui l’ont pourtant crée.

        • Je sais bien qu’il ne fait pas le lien mais c’est le ministre Kafougouna qui a fait le lien en disant que le L a eté ajouté plus tard. Moi je dis pas que nos autorités ont une part, mais je dirais qu’ils sont entiérement responsable. Je t’informe pour accrédité ma thése que mon frere foudkg etait chargé de la supervision du programme de récupération des armes légére au Nord en tant que conseillé a la présidence. Tu le vois a ce poste?

    • Tous les forumistes de maliweb conviendront avec moi que l’abandon du camp de Amachach été un souci de moins dans leurs problème,maintenant tout monde peut se coucher l esprit tranquille ne pesant pas a un éventuel chut du camp,MNLAQMI est a son terminus il ne sagira plus de se cacher derriere les montagnes,mais d avance a decouvert on va voit ce qu il peuvent faire maintenant
      le Mali vaincra VIVE L ARMEE la Victoire est proche

    • R E A L I T E ……..tu aurais des doutes ??? bien sur qu’il y a des complicités dans l’armée malienne avec AQMI ❗ ❗

      • Je te cause pas toi! laisse moi en paix j’aime mon pays et j’ai l’impression que toi tu n’en a pas!!les histoires de compliciés sont des maneuvres dilatoire de la part de vous les infiltrés des bandits armés!!! 😈

    • Mr soyez brève dans vos commentaires, moi je voudrais bien avoir confiance à notre armée cependant nous avons remarqué qu’ avec tous ces militaires dans le grand sahel qu’est le nord. le problème ne fait que s’empirer .Donc sois l’armée fait son devoir ou le mali engage des mercenaires pour baiser ses fils de putes merci

  6. le régime d’ATT est le pire qui pouvait arrive au mali
    un régime sans honneur.
    depuis que des généraux se bousculent pour être des conseils aux ministère doivent dire qui ya plus des militaires au Mali
    ils sont tous des parasites

  7. les maliens doivent cesser de parler et de prendre dans les mains le destin de leur pays avant qu’il ne soit trop tard.dans l’histoire ,nous n’avons jamais agit a temps,c’est toujours apres les degats.ne comptons surtout pas sur les autorités actuelles et l’armée qui va avec elles pour nous proteger.
    la preuve frappante est l’attaque de goundam et de diré.l’armée n’a pas bougé d’un metre et jusqu’a nos jours aucun soutien des autorités n’est parvenu a ces deux villes sinistrées.
    reveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard

  8. info
    selon nos sources les attaques de goundam et diré etaient de la dissuasion pour faire passer un convoi d’armes des rebelles venu de la lybie aux bords de six vehicules.nos soldats continuaient a dormir toujours.
    le MLNA a decidé d’attaquer a la fois les villes de kidal et de gao selon la modalité suivante:
    plus d’une centaine de vehicules seront dirigés vers kidal.l’objectif étant de prendre la ville en un temps court et de faire un maximum de victime parmis les militaires qui l’occupent.
    en meme temps la base de gao sera attaquée par des ogives de stalines pour faire de la dissuasion et empecher tout envoi de renfort
    le temps nous le justifiera…

  9. Le régime ATT: la gouvernance d’un état faible et le péril de la république 

    52 ans que le Mali est indépendant, de mémoire de maliens, la république n’a été autant en danger: menaces graves sur l’intégrité du territoire national, sur la cohésion sociale, risque de vide constitutionnel, risque de péril humanitaire et alimentaire, risque d’explosion du système universitaire, risque d’explosion social et politique, image désastreuse du pays à l’extérieur…

    Comment en est-on arrivé là?

    Comment sommes nous tombés aussi bas  alors que nous avons mis en place un régime démocratique (pour favoriser l’alternance et éviter qu’un clan ne s’éternise au pouvoir), et augmenté le nombre des institutions pour assurer des contres pouvoirs, la justice et la liberté (surtout la liberté d’expression donc de débat et de dénonciation des abus et dysfonctionnements en tout genre)?

    Face au péril, le régime démocratique est-il en cause, serait-il moins efficace qu’une dictature à assurer un cadre favorable au bien-être des maliens?

    Ou plutôt est-ce le pouvoir exécutif incarné par Koulouba qui est à la base de cette virée suicidaire qu’à pris notre pays depuis un certain temps?

    Vous remarquerez ma prudence, “depuis un certain temps” car pour certains il faut remonter au régime Alpha, donc Adema et alliés, pour retrouver l’origine du péril, mais pour d’autres il a bien commencé sous Att. 

    Quelque soit son point de départ le péril actuel de la république est un double forfaits, une démission de la classe politique voire de la société civile qui a aider à travestir le fonctionnement régulier des institutions et de la justice et des choix politiques malencontreux voir du laxisme de l’exécutif qui a profité d’un système démocratique travesti pour cumuler erreurs sur erreurs.

    Démonstration:

    1. La démocratie consensuelle et l’absence d’une réelle opposition:

    -Carte blanche a été donnée à Att et à ses gouvernements successifs dans la conduite des affaires du pays (aucun premier ministre n’est issu de la majorité parlementaire et pourtant celle-ci vote à deux bras levés les lois souvent sans en connaitre les enjeux pour le Mali).

    -La justice n’a jamais vraiment inquiété les hautes autorités  alors qu’elle est sensée être la même pour tous les citoyens.
     Un climat d’impunité qui est un passeport aux dérives les plus folles.

    -Le statut d’opposant est perçu comme anormal et les opposants sont vus comme des récalcitrants voire des réactionnaires au lieu d’être vus comme des contre-pouvoirs 
    nécessaires aux débats démocratiques sur les sujets d’intérêt national et des acteurs d’émergence des bonnes pratiques de la gouvernance.

    -L’opportunisme des hommes politiques et leur transhumance politique montrent que la majorité des politiciens agissent sur la scène politique pour leur propre promotion et non pour aider à renforcer nos institutions pour qu’elles assurent leur rôle de contre-pouvoirs au service du Mali.

    -La démission et les auto-censures des médias publics sur les vrais débats interpellant les décideurs sur les questions d’intérêt national tout en les confrontant aux citoyens directement touchés par les conséquences de leurs décisions et aux opposants.

    Il s’agit d’éclairer les maliens sur l’opportunité, la nécessité de telles et telles mesures et décisions prises et/ou non prises  par les décideurs. 
    De situer les responsabilités sur telles ou telles fautes ayant eu des conséquences graves pour que les leçons soient tirées.

    -L’amateurisme, et le manque de pratiques déontologiques et d’éthique des médias privés a beaucoup entamé leur crédibilité et les a affaiblis pour qu’ils puissent assurer le relais des médias publics démissionnaires et constitués de vrais contre-pouvoirs.

    2. Le régime Att et le spectre de la faiblesse d’un l’état laxiste.

    La situation décrite plus haut, a permis à un clan de gérer le pays comme bon le semble. 

    On pourra résumer la situation de la manière suivante:

    Tant qu’on fait des infrastructures que nos prédécesseurs n’ont pas fait et qu’on donne l’assurance de quitter le pouvoir dans le respect de la constitution, le reste n’est pas important, donc ménageons les gens pour arriver à bon terme:

    -Ménageons les rebelles du nord quels que soit leurs forfaits en les mettant là ou ils veulent et en leur donnant tout ce qu’ils veulent. 
    Une sorte de super citoyens!!!

    -Ménageons la grande corruption (en dépit des preuves flagrantes des rapports du vérificateur général  car certains de nos amis, certains membres de nos familles ou de notre “Grin” sont impliqués et on ne doit pas les “humilier”

    -Ménageons les perturbateurs de l’école, les réactionnaires et fauteurs de troubles de la police, les mauvais éléments  de l’armée, de la justice, des administrations, des communes et des projets car nous voulons préserver la “stabilité” des liens d’amitié, de cousinage, de mariage et de voisinage.

    Bizarre non?

    Mais bon, comme personne ne lève le petit doigt, continuons dans la gouvernance du laxisme.
     
    -Ménageons les organisations musulmanes et dirigeons selon leurs désirs car ils ont une capacité de grande mobilisation et un pouvoir de mosquée “le Coutouba” et autres prêches qui peut nous attraper d’un moment à l’autre.

    -Ménageons l’aqmi et le mnlaqmi pour des raisons que j’ignore.
     C’est pas que je n’ai pas cherché mais, en vain.

    Cette multiplication de “ménageons” n’a trouvé aucune opposition crédible pendant dix ans au contraire elle a été applaudie à grands cris apparentés à des chants de la Cigale.

    Mais que faisiez-vous aux temps chauds?

    Vous chantiez? Eh bien dansez maintenant!

  10. les rebelles qui cris Azawad font pitié comment dire vouloir libérer un peuple qui ne te reconnais pas ;car ils doivent comprendre que ce n’est pas avec des armes à feu ou en le mettant sur le chemin de l’exil(72000 PERSONNES) qu’on libère un peuple; mais en proposant des projets de développement dans un cadre démocratique.
    Qu’ils occupent tout le pays ne servira à rien.

  11. les rebelles qui cris Azawad font pitié comment dire vouloir libérer un peuple qui te reconnais car ils doivent comprendre que ce n’est pas avec des armes à feu ou en le mettant sur le chemin de réfugiés(72000 PERSONNES) qu’on libère un peuple; mais en proposant des projets de développement dans un cadre démocratique.
    Qu’ils occupent tout le pays ne servira à rien.

  12. Il faut se dire la vérité: les autorités maliennes ont commis de graves erreurs dans la gestion de cette crise. Mais ce n’est pas le temps de se chamailler entre Maliens. C’est le temps de rester déterminés, solidaires et unis. L’armée fait des replis tactics mais les bandits-terroristes ne vaincront pas un peuple déterminé. Ces fous furieux inconscients ont été reçus à bras ouverts et voilà leur reconnaissance envers le Mali: tuer, saccager, enléver,…Qu’on se dise la vérité: tout pays democratique négocierait une autonomie de gestion avec des mouvements démocratiques représentant les intérêt d’une partie de la population. Mais ces mouvements MNLA-AQMI et autres qui combattent l’armée malienne ont des objectifs malsains et ne représentent aucune couche de la population.

  13. Il parait que c est demain qu ils vont poser leur grin devant Koulouba, donc les Maliens il faut qu on aille tous se mettre le turban et apprendre a danser le Takamba style touareg sinon on est foutu deh, moi en tout cas je commence a esquiver les pas de danse et apprendre le Tamasheq, d ailleurs je ne comprends plus le bamananankan depuis ce matin. 😆 😆 😆

    • Cousin moi ca fait 2 semaines que je me rase plus la barbe c’est plus important que la dance car franchement si tu dance a coup sure tu as ta balle. Oui cousin tu as ta balle, c’est ANSAR-ADINE(AQMI) MNLA n’existe que dans les médias le terrain c’est ANSAR-ADINE et la, il faut:-une barbe bien arrosé -un pantalon sauté(20 cm des chevilles), -un boubou trois-quart( pour las habit c’est pas un probléme si tu as un petit frere plus court que toi, ses habits font l’affaire), – connaitre quelques sourates du coran. Voila ce qu’il faut cousin alors tu as la vie sauve si non, le second choix tu fais un replis TAC-TIC sur la Guinée ou le Sénégal
      j allais oublié si tu peux pas faire ni l’un ni l’autre, quant tu les vois tu cries trés fort ALLAHOU-AKBAR ALLAHOU-AKBAR avec les deux mains en L,air. Cousin je te garantie que mes conseils la marche a tous les coups sans blague

  14. La réalité,c’est que nous avons une guerre totale.D’un côte des rebelles puissamment armés et de l’autre côté une armée nationale sous équipée.je ne dirai pas que c’est la faute au gouvernement,mais celle de l’Otan pour ne pas contrôler la circulation des armes en LYBIE .L’armée ne que replier sinon ils mouront inutilement.C’est un casse-tête pour nos officiers que Dieu les aide.

  15. ATT et l’armée se cachent et donne l’itineraire d’attaque aux bandits armé si non pourquoi les bandits rentrent dans les villes sans resistance?

  16. donc si je comprends bien, l’armée malienne n’est pas partout dans le Mali et elle veut sécuriser les personnes et leurs biens au Mali alors que les bandits rentrent et sortent dans n’importe quelle ville au Mali, n’importe quand et n’importe comment.
    ATT tu nous a trahi

  17. “Retrait tac-tic”, “Repli stratégique”, “tic-tac”…. ces mots resteront à jamais dans nos pensées. On pourra bientôt utiliser ces fameux mots dans nos plaisanterie par cousinage comme “Cinzani (sansanding) wôklô ko (diable maudit)” entre les ressortissants de Cinzani et ceux de Niamina ou l’histoire de “môkô gnouman dji (l’eau bennie)” entre ces mêmes ressortissants !!!
    Celui qui osera prononcer ces mots mystérieux en public devra désormais s’acquitter d’une amande (woro). Mais avant d’en arriver là faut d’abord que l’armée nationale prenne le destin du pays en main.

  18. karamoko sambou la plus part des dirigeants du mali d,aujourdhui sont des gens d,origine douteux raison pour la quelle la defense du pays n,est pas leur affaire…..a chaque occasion ils montrent leur mepris envers les maliens…le mali peut bruler c,est pas le probleme de laji burama lui il est francais il sufit pour lui d,arriver a l,aeroport il sera vite evacuer en france…

    • Ah ah!!!!! Et après??? Vous vous prenez pour des DIEUX hein!!!!!!Vous faites pitiés REBELTOUAREG!!!

    • ils feront un repli tactic et technique sur la guinee bientot
      si les maliens se rendent comptent de ceux qui les diriges des tetes de moutons cuitent . des voleurs reunis ils ne peuvent meme pas se defendre.

      • bien dit ses voleur qui son entraint de pie ce pays des annee et annee son plus dengere que les rebel je prefere un ennemie qui me fait la guerre direct que un enemeie vipere (samakoro)

    • L’ideal serait que vous veniez recuperer votre frere ATT a Koulouba, au moins, le peuple malien serait debarasse d’une mauvaise graine. 😈 😈 😈

    • mdrrrrrrrr REBELTOUAREG en tout cas c ca dehhhhhhhhh!!! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    • rebeltouareg,ce que tu ne sais pas, nous braves soldats Maliens,on a fait REPLIS TACTIQUE, c’esr pour bien se positioner enfin de vous négocier d’arrêter de nous tuer???

    • Rebeltouareg, ce que tu ne sais pas,nous braves soldats maliens, on a fait REPLIS TACTIQUE,c’est pour bien se positioner afin de vous négocier de ne plus nous tuer.Tu crois que quoi?????

  19. Je me demande s’il y a cette volonté de sursaut de la part de nos autorités.
    Quelles les actions menées pour récupérer Ménaka? Rien!
    Depuis presque une semaine Tessalit est aux mains des bandits, « on prépare encore un déluge feu ».
    Parlant de déluge de feu il n’y en aura pas puis que tous les hélicoptères ont été transférés à Sévaré pour “réparation” dit-on.
    Pire des officiers sur le terrain aurait commencé à dire que même si on coupe l’azawad du reste du pays, eux ils ont déjà construit leur villa à Bamako.
    Malgré les différentes contributions patriotiques aucun changement sur le terrain pour preuve les combattants de Gandakoye sont toujours à la charge des populations locales alors que d’autres milices sont totalement prises en charges par nos impôts. C’est d’ailleurs cette situation ségrégationniste qui a contribué à cet embrasement.

  20. je suis avec interet l’évolution de la situation au Mali et je ve puis m’empecher de donner mon point de vue.
    cHERS AMIS MALIENS,je ne sais pas si vous vous rendez compte mais j’imagine que les maliens se trouvent dans le meme etat d’esprit que les Ivoiriens lorsque en 2002 une rebellion lourdement armée a attaqué le pouvoir de Laurent Gbagbo. Qu’on l’aime ou pas mais les faits sont tetus.
    A defaut de juguler militairement la situation,notre pays s’est durablement installé dans une situation de crise qui a fini par entammée l’unité nationale, mis en mal les institutions de la republiques.
    les rebelles d’alors sont devenus des gouvernants, des DEMOCRATES et des SAUVEURS de la nation aujourdhui. je vous passent des frustrations de ceux qui comme vous chers patriotes Maliens n’avaient alors accepté que la violence armée s’invite dans le debat politique quelque soient les motivations.
    Hélas, les armes ont fini par avoir raison.
    De hauts militaires de rangs se sont rangé du coté de de ceux qui attaquaient la republique. Ne vous y trompez pas. des traites ne viendront pas du nord.ILS sont la ou vous ne pouvez l’imaginer. ils sont la juste à deux pattées de maison de chez vous.ils ne se battront pas ces militaires dont la plupart s’est “embougeoiser” au fil des années.
    Surtout ne pas commettre l’erreur de penser qu’une quelconque organisation des election dans un environnement pareil sera la bienvenue. je sais de quoi je parle.
    LE Mali a des ressources nécessaires pour prendre son destin en main. Le Mali doit faire front dans l’unité de ses fils et de ses filles.
    Le DANCER EST IMMINENT. L’hEURE EST GRAVE.
    Nous seront du coté de toute initiative tendant à donner aux africains leur dignité. Vive le Mali.

  21. Je demande si vraiement ce monsieur est un journaliste. C’est bien d’accuser l’armée malien aujourd’hui. Ce que ces bandits ont fait dans le nord, si l’armée qui avait fait cela, on allait traiter de criminels. Mais dieu merci. Sachez avant l’information que possède les journalistes est érronnée. Si vraiment nous avons des vrais journalistes, ils devraient être sur le terrain. Dans les journaux, ce qu’on dit “d’après les rebelles”, “d’après un coup de fil” sans source fiable. Soutenons notre vaillante armée quel que soit ce qui advient. Journaliste à la socle des rebelles. Sachant avant tout qu’il y a parmi les journalistes des rebelles qui sont là pour l’intox.

  22. N’importe quoi! Si ATT n’organise pas les éléctions à temps il sera chassé du pouvoir par les français, la deuxième tentative de coup d’Etat n’échouera pas et ATT le sait.
    Tous nos présidents sont des patriotes très convaincus; car malgré qu’ils aient tous accédé au pouvoir avec la bénédiction de l’insolente france;ils ont tous dit non à un moment donné et cela leur a toujours coûté quelque chose; coup d’Etat pour les deux premiers Modibo et Moussa et Alpha a été lui contraint de faire élire ATT puisqu’ayant été sauvé par les maliens qui lui ont réfusé une manipulation de la Constitution! ATT devait tous donné aux super citoyens (les touareg); maintenant qu’il tente de réfuser cela alors il a droit lui aussi à son traitement. ATT en voulant modifier la Constitution veut le faire en bon patriote parce que si après lui un patriote convaincu arrive au pouvoir ce dernier pourra aisement enlever le Mali du joug français. Le côté néfaste de cette modification pourrait être la malchance de nous rétrouver avec un inconscient moins patriote comme président qui fera du Mali un département français d’outre-mer; que DIEU nous en garde! Que DIEU sauve et bénisse le Mali!

  23. Mon cher, même si les rebelles du MNLAQMI arrivaient à Bamako, tes soldats de l’armée nationale se retireront vers la Guinée au nom du
    “repli tactique”.Une armée de fils à papa où tout le budget destiné à
    l’achat des avions de combat, des armements et des minutions….A ETE
    UTILISE POUR CONSTRUIRE DES VILLAS DANS LA ZONE ACI!Les recrutement dans la fonction publique y compris dans l’armée se font sur fond de CORRUPTION-NEPOTISME-LAXISME si bien que des “djiito” sont recrutés à la place des “tiè farin”.Jusque là, ILS NE FONT QUE FUIR L’ENNEMI.C’est vraiment la HONTE!!!! 👿 👿 👿 👿

  24. Je ne comprends pas tous ces gens qui veulent abandonner la tenue des élections à cause de quelques centaines de malfaiteurs qui ne peuvent empêcher que deux pour cent de la population nationale de voter. Nos institutions démocratiques ne sont pas à jeter à la poubelle pour un prétexte aussi minable !

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