Le mardi dernier, la ville de Bamako s’est réveillée avec les bruits d’attaques avec des armes lourdes qui ont visé l’école de gendarmerie de Faladiè et la partie militaire de l’aéroport international de Sénou. Les deux attaques ont été revendiquées par le groupe de soutien à l’islam (GSIM), affilié à Al-Qaïda au Maghreb islamique.
Au lendemain de ces attaques terroristes ciblées, au niveau de Bamako, des mesures de sécurité ont été prises. En plus de la fermeture de 7 marchés à bétail de la capitale, une décision a été prise de retirer les véhicules abandonnés au bord des routes par leurs propriétaires.
Dans le cadre des mesures sécuritaires, la ministre des Transports et des infrastructures, a lancé un ultimatum de 48 heures pour que tous les véhicules stationnés au bord des routes soient retirés. Dépasser ce délai, des sanctions tomberont sur les propriétaires dont les véhicules seront trouvés stationnés au bord d’une route à Bamako.
Ces véhicules garés le long des routes depuis des mois voire+ des années sont désormais considérés comme menace contre la sécurité publique et nationale. Pour joindre l’acte à la parole, une équipe de patrouille a commencé dès le samedi dernier à débarrasser certaines artères principales de la capitale de ces véhicules abandonnés.
Koureichy Cissé
Cisseke, en plus des voitures garees au bord des routes qui sont des dangers publics, il faut dégager les ‘Imams’ écervelés Wahhabites qui ne comprennent ni Allah SWT ni son Prophète paix sur lui et sa famille et ni l’islam, il faut les dégager aussi et fermer leurs mosquées et autres lieux de prière tres rapidement