Contacté samedi, alors qu’il séjournait dans la localité de Kadiolo, pour la restitution de la session parlementaire, l’honorable Bréhima Béridogo, a indiqué que cette attaque a été plutôt « un coup d’éclat qui a provoqué non pas une panique réelle, mais une indignation au niveau de la population ». Selon lui la population exige beaucoup plus de vigilance de la part des forces de sécurité, dans des zones comme Misseni dans le cercle de Kodiolo (région de Sikasso). Les activités reprennent, et ce samedi 13 juin, plus de 300 personnes en provenance des villages les plus reculés, dont 31 personnes de Misseni, ont assisté à la conférence de restitution de l’honorable député à Kadiolo. Ce qui a réconforté l’élu sur son avis qu’il n’y a pas de traumatisme au niveau de la population. Selon le député, toutes les 9 communes de la localité de Kadiolo ont répondu présentes à cette restitution qui a été rendue possible, grâce au soutien de l’ONG IRI. Toutefois, les Américains n’ont pas effectué le déplacement de Kadiolo, craignant l’insécurité. La restitution s’est bien passée, selon notre interlocuteur.
Selon toute vraisemblance, les assaillants sont des Maliens qui auraient longé la frontière en dents de scie entre le Mali et la Côte d’Ivoire. Partis de la localité de Kolondiéba, ils peuvent être à certains endroits passés en territoire ivoirien, avant de venir attaquer Misseni. En repartant, les assaillants semblent avoir emprunté le même chemin avant de se fondre dans la nature, explique l’honorable Béridogo élu à Kadiolo. Ils auraient été aperçus par des paysans sur le chemin, avant et après l’attaque, mais cette situation a paru avoir pris tout le monde de court, occupés par des travaux champêtres : « On s’attendait à tout sauf ça », selon le député. L’avertissement est donné désormais, la situation sera signalée dès qu’il y aura un mouvement suspect. Le député recommande de changer le fusil d’épaule afin que les forces de l’ordre soient à cheval sur la déontologie et l’éthique, avoir l’adhésion populaire, et passer dans l’opinion comme des protecteurs et non des racketteurs.
B. Daou
Tout ce que je peux dire c'est que l'afrique n'est et ne sera jamais indépendante car les blancs dictent et les chefs d'état appliquent celui qui n'est pas d'accord ne durera pas au pouvoir par ce qu'ils vont créer le désordre dans ton pays jusqu'à ce que tu quitte le pouvoir pure que tout cela encore je n'ai jamais vu ni entendu un président blanc jugé au TPI ( tribunal pénal international)
On se rappel un certain Oumar Hamaha disait à Tombouctou qu’il frapperont j’usqu’a Kolondiéba.
On se rappel qu’une personnalité Politique s’est aussi rendu à KIDAL,ensuite à Niafunké rencontrer les mêmes mécréants .
Est ce la mise en œuvre d’un pacte ?
un contrat?
aidez à nous a bien comprendre SVP.
Ce qui est sur,Oumar HAMAHA l’a dit ;il à fait.
Bonjour.
L’image qui illustre votre commentaire n’est pas le député Bréhima BEREDOGO qui est professeur d’Anthropologie à L’UNIVERSITE et à L’ENSUP.
Merci.
La jeunesse de sikasso ne doivent attendre ibk qui est un déshonneur pour notre pays sikasso doit se defendre tout seul ibk nest pas fait pour diriger un état sikasso a été humilie tiebe babemba et kelletiqui berete vont se retourner dans leurs tombe ibk a trahi le peuple mali il nest pas crédible j’ai honte pour mon pays qui ne mériter pas d’être decredibilise comme sa
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