Pourtant malgré cette recrudescence des attentats terroristes, se généralisant désormais dans l’ensemble du territoire national, jusqu’au cœur de Bamako, les moyens logistiques et humains à fournir à nos forces de défense et de sécurité restent au centre des préoccupations. Or, l’Etat (les autorités politiques et militaires) doit arrêter de se faire des illusions pour montrer ses muscles et poser illico presto des actes concrets: l’ennemi ne connaît que le langage de la violence et ne jettera les armes que par la force. Cela veut dire ce que ça veut dire. La bête féroce doit être traquée jusque dans ses derniers retranchements. Sans tambour ni trompette. La mission régalienne sur l’ensemble du territoire national requiert d’un Etat souverain l’obligation de défendre son intégrité à l’intérieur de ses frontières. Ni la présence de forces étrangères (Barkhane-Minusma), ni l’esprit et la lettre de l’Accord de paix et de réconciliation d’Alger ne devraient l’en empêcher.
La Cma dissimule à peine ses prétentions d’un meilleur positionnement dans la zone septentrionale de notre pays, ainsi qu’en témoignent les récents affrontements intercommunautaires à Gabéri (cercle de Ménaka). Ce, pour une meilleure représentativité dans le Comité de Suivi des Accords (CSA), un meilleur quota dans l’administration civile et militaire et même dans le futur gouvernement qui devrait accorder quelques strapontins aux leaders touaregs et arabes.
Face donc à cette triste réalité sur le terrain, seule la présence exclusive des forces de défense et de sécurité sur l’ensemble du territoire national, en l’occurrence dans les régions du nord, pourrait rassurer les populations et les empêcher de subir les sévices récurrents des seigneurs de guerre. Parce que parallèlement à ses engagements de respecter scrupuleusement les accords d’Alger, l’Etat malien a, outre le devoir, le droit de défendre l’intégralité du territoire national afin que tous les citoyens, quelle que soit leur origine raciale ou leur provenance régionale, aient les mêmes droits et devoirs, bref les mêmes chances dans la république unitaire du Mali.
Gaoussou M. Traoré
<>. Voyez comment ils agissent: les un démolissent les maisons à Souleymanibougou et les autres menacent les journalistes de misère tout simplement parcequ’ils sont au pouvoir aujourd’hui. Qu’adviendra-t-il donc demain lorsque vous n’y serez pas…Les maliens avaient espoir en IBK, mais pas son parti(Parti pour les Reclamations de postes au Mali:RPM). [An tè parti ko la.An bè Mali ko de la]. Si vous voulez ayez pitié du Mali et des maliens.Si vous ne le faites pas,vous regreterez tôt ou tard .
Il n’y a pas d’état au Mali Ibk ne maîtrise plus rien il na pas de programme ni de projet pour notre pays
Ibk nous sa trahi et décrédibiliser notre pays un président lache ivrogne sans fierte qui a diviser le mali
Avant de rêver que l’état ne “traque” les djihadistes, encore faudrait-il qu’il soit DEJA capable de défendre nos troupes et nos populations contre ces mêmes dihadistes! 🙄 🙄 🙄 🙄
2 ans de pouvoir (et deux ans de terrorisme!), et toujours pas le moindre hélico… 🙄 🙄
2 ans de pouvoir (et deux ans de terrorisme!), et on peut encore trouver des postes de police avec 1 arme pour 4 policiers… 🙄 🙄 🙄
Tant que nous serons dirigés par des rigolos, les terroriste “rigoleront” chez nous! 🙄 Et c’est hélas ce qu’ils font! 😥
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