Mamadou Fofana, le chroniqueur politique est l’ancien Chef de Cabinet du Ministre de la santé. Le dédoublement de sa personnalité lui a fait oublier, qu’il était chef de cabinet du Ministre de la santé Oumar Ibrahima Touré.
Comment qualifier l’attitude de ce journaliste, ancien cadre de l’administration malienne qui en veut à mort à son ancien patron dont il fut le Chef de cabinet. Ingratitude, déchéance ou démence ?
Il convient de retenir que Mamadou Fofana le Chroniqueur politique de l’Indépendant a profité de son statut antérieur, pour intégrer dans la fonction publique ses deux épouses (une à la DAF et l’autre à la Direction régionale de la santé de Bamako), ses frères (dont un au PNLP), ses cousins, et toute une horde de parents et courtisans. C’était en complicité avec l’ex-chef de personnel de la DAF Santé.
Il convient de retenir que Mamadou Fofana le Chroniqueur politique de l’Indépendant a profité de son statut antérieur pour signer un contrat de production de revue trimestrielle, entre lui et son service employeur en 2009. Coût de l’opération : 20 millions de francs CFA. A présent, deux parutions seulement sur quatre, ont été honorées. Il a donc escroqué son ancien département, si l’on en reste là. Parce qu’il doit recevoir seulement 10 millions, au lieu de 20 millions.
Il a voulu renouveler l’opération en 2010. Mais le Daf Ousmane Diarra lui a gentiment signifié que n’ayant pas rempli les termes de son engagement en 2010, la Daf du Ministère de la santé ne saurait lui attribuer un autre contrat. Pour cela, il en veut à mort à la DAF du Ministère de la santé, et se réjouit fort que le Daf soit en prison. Mamadou Fofana le Chroniqueur politique de l’Indépendant ne réalise pas que son affaire des 20 millions peut l’amener lui aussi en prison, durant les dix prochaines années à compter de 2009.
Oumar Ibrahima Touré, qui a découvert beaucoup de vilaines choses de son chef de cabinet Mamadou Fofana, l’a gentiment viré en septembre 2009.
Quand Mamadou Fofana le Chroniqueur politique de l’Indépendant a été viré, il est parti avec un véhicule 4×4 de couleur blanche. Il a voulu réformer ce véhicule, en usant de faux et usage de faux. Il a simplement gratté la date originelle de la carte grise. Mais le pot aux roses a été découvert, et on lui signifia l’impossibilité de la réforme. On lui demanda gentiment de ramener la voiture. Il opposa un niet catégorique et énergique. La police malienne rentra dans la danse. La voiture fut saisie manu militari, et ramenée au département de la santé.
Cet ancien chef de cabinet s’est trouvé un job fort intéressant. Il s’appelle désormais Chroniqueur politique. Il parcourt les rédactions, répand de fausses informations sur son ancien département. Ce nouveau job brille par la haine, la médisance, l’ingratitude, la méchanceté.
L’abonné du " djinatologuen " (danse avec les diables) auxquels il offrait des taureaux quant il était chef de cabinet au Ministère de la santé, a décidé tout simplement d’induire dans une erreur grotesque, les valeureux hommes de plume maliens. Quel homme au pouvoir voudrait encore d’un journaliste à des postes de responsabilité de ce pays ? Parce qu’une fois relever de ses fonctions, ce journaliste peut aisément se transformer en chroniqueur politique de la médisance et de la haine.
Aujourd’hui Mamadou Fofana a enfourché Satan. Les petits diables ne supportent plus le djinatologuen avec lui. Il s’est trouvé un allié, un grand journaliste de la place qui, selon un témoignage, a fuit Dakar pour venir s’installer au Mali. Parce qu’une scène filmée a montré ce grand journaliste spécialisé dans l’acharnement, se laisser corrompre par un libanais. Tout Dakar l’a su. Arrivé à Bamako, ce grand journaliste a été reçu par des amis. Il les a " bien remerciés", en les trahissant comme le fait actuellement aujourd’hui Mamadou Fofana.
Cette personnalité controversée du Chroniqueur politique de l’Indépendant, ne date pas d’aujourd’hui. Une fille du Général Sékou LY, s’en souvient. Elle était sa fiancée. Au lendemain de l’arrestation de Sékou Ly en 1991, sa fille a été renvoyée proprement et sans commentaires. Parce que si le vent tourne à gauche, Mamadou Fofana tourne à droite. De 1991 à nos jours, le vent a beaucoup tourné avec IBK, Tereta à la CAMOPA, Soumaïla Cissé et Oumar Ibrahima Touré.
Le fait que le vent tourne, obscurcit la vision et le mental du Chroniqueur politique de l’Indépendant. C’est comme si le ciel tombait sur sa tête, et il ne parvient plus à se souvenir du bien. Il enjambe Satan, tout en broyant du noir. Un jeune ami kakolo m’a dit : " Celui-là n’est pas un vrai kokolo, parce qu’un vrai kakolo ne crache pas dans la tasse qui l’a nourrit ne serait-ce qu’une seconde. "
Les psychanalystes ont à travers cet individu lugubre et macabre, un bon sujet d’examen de la démence.
Affaire à suivre !