Tombouctou a marché pour le retour à la paix sous l’encadrement du groupe Ançardine qui contrôle la ville et impose de force sa loi.
Au moment où Bamako était le théâtre d’affrontements entre bérets rouges et autres militaires proches de la junte, une grande marche pour la paix a été mardi organisée à Tombouctou. Les marcheurs ont fait le tour de l’ancienne ville, la médina, sous l’œil vigilant des maîtres des lieux : les éléments du groupe islamique Ançardine. La marche a drainé du monde et visait un seul objectif : attirer encore une fois l’attention des nouvelles autorités sur les conditions de vie.
Tout au long de leur parcours, les manifestants ont scandé des slogans comme «Nous voulons la paix», «Dégage Sanogo !». Une façon de signifier leur ras-le-bol. Fatigués de voir la belle cité vidée de son contenu, les habitants de Tombouctou n’ont eu d’autre choix que de se confier au groupe Ançardine, face aux voleurs et bandits du MNLA et alliés. Dans la localité, il a fallu l’assistance de la Croix rouge pour que l’hôpital reprenne du service avec un personnel majoritairement composé des natifs de la localité. En effet, face à l’urgence, nombreux sont les jeunes ayant reçu une formation en santé qui ont investi la ville pour porter main forte aux autres médecins spécialistes et généralistes. Avec la multiplication des pillages, le groupe Ançardine a installé une police de répression et reçoit les plaintes des victimes. Une autre raison pour laquelle les populations se confient aux hommes d’Iyad Ag Ghaly, c’est leur intervention pour empêcher les éléments du MNLA d’incendier les installations d’EDM. Si la marche organisée a pu réussir, c’est aussi grâce à l’implication du groupe salafiste.
En attendant la fin des hostilités à Bamako, Tombouctou et environs peuvent se confier au diable. Quand bien même le groupe islamiste continue de plus belle sa randonnée et fait du lavage de cerveau, ce qui est inquiétant. Comme quoi, face au désespoir, c’est la porte ouverte à tous les vices. Aux dernières nouvelles, nous apprenons qu’Ançardine a autorisé l’ouverture des classes à la seule condition de séparer les filles des garçons.
Mahamane Cissé
Sanogo et le CNRDR+E au pouvoir= pouvoir des militaires= negociations par les armes= discusions par les armes= sanctions de la communaute inter= pas de vente d’arme au mali= statu quo au Nord(le reglement par le dialogue est une leuerre)=partition consomee= ……
AUTANT IL EST *****URGENT**** POUR LES POPULATIONS DU NORD DE COMMENCER LA *****RESISTANCE(car les militaires maliens ont peur de bouger)****** CONTRE AQMI ET LES AUTRES CAFARDS, AUTANT IL EST IMPERIEUX QU’A BAMAKO , KATI ET « AU SUD », ON ENTAME LA **** »DESOBEISSANCE CIVILE »***** pour bouter le CNRDR+E et ses tentacules des rouages du pouvoir.
Tant que la population dans les villes (Bamako, Kati, Segou Sikasso ect…) ne fait pas pression sur les politiques et les militaires, CEUX-CI NE VONT PAS BOUGER.
Une grande partie des armes commandees par ATT est arrivee. On attend seulement que le CNRDR+E se barre pour que le reste soit autorise a rentrer au Mali.
IL EST TEMPS QUE LA CEDEAO COMMENCE LES BOMBARDEMENTS AERIENS. IL NE FAUT PAS « DONNER AUX ANSAR DIENS, INDEPENDANTISTES DOMINES, AQMIENS ET AUTRES CAFARDS DE SE FECONDER INVITRO’LEMENT » ET DE S’INSTALLER.
« HONTE AUX MILITAIRES QUI SE CACHENT A BAMAKO, KATI, KOULIKORO… ALORS QUE LES 2/3 DE LEUR PAYS SONT OCCUPES. A BAS LE MILITAIRES CITADINS »
!!!!!!!!!!!!!!+++++++++Juste une Idee!!!!!!!!!!!!!!!!!
j n’attendais pas moins d’eux…
Comment tu ose parler ainsi Mr Cissé
Bon sang!
Pourquoi ne pas solliciter ançar dine à Bamako pour deloger cet abruti de capitaine?
Bonne idée
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