Le capitaine Lamine Ag Billal avait à peine 12 ans lorsqu’il a rejoint les camps militaires libyens ouverts par El Gueddafi.
C’était en 1982, alors que des centaines de Touareg maliens bénéficiaient d’entraînements militaires depuis près de 5 ans. Père de deux enfants, un en Libye et un autre au Mali, il rêve d’un Azawad libre et prospère. Dans l’entretien qu’il nous a accordé à Achebrach, au nord du Mali, il exprime son «inquiétude» quant à l’issue de la guerre pour l’indépendance de sa région…
-Comment avez-vous été enrôlé dans les rangs de la légion verte créée par El Gueddafi ?
C’était en 1982. J’avais à peine 12 ans. Je vivais l’enfer à Ménaka. Je mangeais un jour sur trois et je ne connaissais pas ce qu’était la chaleur familiale. Si la première rébellion des années 1960 a emporté des centaines de chefs de famille, la misère et la soif ont enterré des milliers de femmes, d’enfants et d’hommes. A l’époque, la Libye était pour nous le paradis. El Gueddafi a offert aux Touareg tout ce dont ils avaient besoin. De l’argent, un toit et des papiers pour circuler. En intégrant la légion targuie, les Touareg bénéficient d’un salaire, d’une maison, d’une voiture, d’armes et de papiers libyens. L’offre ne pouvait être refusée. Pour beaucoup, c’était un rêve.
La Libye était pour nous l’eldorado. J’avais à peine 12 ans, mais je voulais rejoindre mes aînés qui avaient tous participé à la rébellion de 1963. Je n’étais pas le seul. Des dizaines d’enfants de mon âge et même plus jeunes ont fait le voyage. Nous avons été installés dans des camps militaires où nous nous sommes entraînés à l’art de la guerre. C’est dans ces camps que j’ai eu à connaître vraiment ceux qui ont organisé la rébellion de 1963. Ils ne nous parlaient pas d’indépendance mais plutôt de droit à une vie décente sur notre territoire qu’est l’Azawad. Durant cette période, des contingents partaient vers le Liban pour combattre au nom de la libération de la Palestine.
En 1985, après avoir appris les rudiments du maniement des armes et les techniques de guérilla, j’ai été envoyé au Tchad. J’y suis resté six mois où j’ai vécu l’horreur. J’ai demandé à revenir au Mali, mais en vain. J’ai décidé de prendre la fuite. Je suis resté durant trois mois dans les montagnes. A la fin, je suis revenu en Libye. Je savais que les autorités n’allaient pas me pardonner mon acte. La sanction a été très lourde. Ils m’ont renvoyé au Tchad, où je suis resté jusqu’à la fin des années 1980. En 1990, je suis rentré au Mali pour prendre part à la rébellion. Après l’accord de Tamanrasset, j’étais parmi les combattants qui avaient été intégrés en tant que soldats dans les rangs de l’armée malienne dans le cadre de la réinsertion. C’était en 1993.
-Dix ans après, vous reprenez les armes aux côtés de Brahim Ag Bahanga. Qu’est-ce qui a motivé votre action ?
En fait, l’accord de Tamanrasset, qui prévoyait de nombreuses mesures de réinsertion et de développement de la région du nord, n’a malheureusement pas été appliqué. La situation est restée telle quelle. La misère ne faisait que s’installer. Aucune réalisation n’a été concrétisée. Dix ans après, nous étions encore plus pauvres qu’avant. Nos enfants n’avaient ni école, ni électricité, ni eau et encore moins de quoi vivre. Les Touareg, qui avaient rejoint les rangs de l’armée malienne, subissaient la discrimination et l’exclusion. Ils n’avaient pas les mêmes droits que ceux des villes du Sud et pouvaient rester des années sans connaître une quelconque promotion. Nous nous sommes rendu compte que finalement l’accord de Tamanrasset n’était qu’un leurre destiné beaucoup plus à mettre un terme à la situation de guerre qui prévalait au Nord. Lorsque Brahim Ag Bahanga avait décidé de reprendre les armes, une bonne partie des Touareg, dont moi-même, n’a pas hésité à répondre à l’appel. En 2006, nous sommes retournés en Libye. Nous avions nos camps et nous en profitions pour nous réorganiser et réunifier nos rangs. Notre objectif étant de retourner au Mali avec une organisation plus solide et plus structurée.
-Comment expliquer qu’El Gueddafi, qui réprimait ses Touareg, leur refusait le droit de croire à leur culture et puisse aider les Touareg d’autres pays à accéder à l’indépendance ?
Mais il ne nous a jamais aidés à accéder à l’indépendance. Il nous utilisait pour d’autres objectifs. Au fond, il n’était pas aimé parce qu’il était très dur avec les Touareg. Beaucoup ont été torturés et exécutés pour avoir revendiqué le droit à un territoire ou tout simplement le droit à pratiquer leur culture. Lui, il avait besoin d’une armée pour aller combattre en-dehors de son territoire, et les Touareg avaient besoin de se former à l’art de la guerre, de lire et écrire, de manger à leur faim et de nourrir leurs familles. Chacune des deux parties y trouvait son compte. Mais nous savions qu’un jour nous retournerions sur nos terres pour les libérer. Nous ne portions pas dans nos cœurs El Gueddafi, qui était plus un allié de l’heure qu’autre chose.
-Pourtant, les Touareg lui sont restés loyalistes durant la guerre…
En fait, ce n’était pas le cas. Nous savions que son régime allait tomber. C’était une question de temps seulement. Nous étions en position de force au sud de la Libye. El Gueddafi nous a demandé de l’aider, en contrepartie il nous a promis des armes et même des avions pour libérer notre territoire au Mali. Il était aux abois. Mais nous ne l’avons pas cru, parce qu’il nous a toujours promis monts et merveilles sans pour autant qu’il y ait de suite. Il nous a permis de prendre tout l’armement de guerre dont on avait besoin ainsi que les moyens de télécommunication et de transport. Nous étions tous convaincus qu’il n’était pas crédible. Nous avons défendu nos positions. Les forces d’El Gueddafi n’ont pas pu pénétrer dans les zones que nous contrôlions. A ce moment-là, nous nous sommes entendu avec l’opposition pour quitter la région en direction du Mali avec armes et bagages.
-Quel a été le bilan des affrontements ?
Il a été très lourd. Vous savez, les Touareg ont été qualifiés à tort de mercenaires. Ce qui les a, de fait, placés dans une position de cible privilégiée, non seulement de l’opposition, mais aussi des forces loyalistes d’El Gueddafi, qui nous accusaient de les avoir abandonnées.Rien que pour ceux qui ont pu être identifiés, il y a eu 1700 morts. On estime le nombre de Touareg tués à environ 3000 hommes en l’espace de quelques mois seulement, et dans des circonstances inhumaines. Beaucoup ont été torturés à mort, et d’autres carrément exécutés après avoir été faits prisonniers. Contrairement à ce qui s’est dit, ce sont les Touareg qui ont libéré le sud de la Libye de l’emprise des forces loyalistes d’El Gueddafi. Juste après, c’est-à-dire en septembre 2011, nous avons décidé de retourner au Mali. Nous étions quelque 3000 hommes, à bord de plus de 500 véhicules tout-terrain, bourrés d’armement lourd, léger et de munitions. Le voyage a eu lieu en plusieurs convois et a duré des jours. Nous avons traversé le Niger, pour arriver au nord du Mali.
-Vous avez traversé des milliers de kilomètres à travers le désert, n’avez-vous pas rencontré l’armée nigérienne ?
Il est vrai que notre principale hantise était de rencontrer l’armée nigérienne en cours de route. Certains préféraient s’aventurer sur le territoire algérien que de passer par le Niger, parce qu’en Algérie, quelques convois ont été interceptés. Les militaires leur ont confisqué les armes, les équipements et les véhicules, avant de les déférer devant la justice. Certains ont été expulsés vers le Mali, d’autres ont été condamnés à des peines de prison.
Au Niger, ceux qui ont été arrêtés ont été passés au peloton d’exécution. Lorsque nous sommes arrivés dans nos villes respectives, nos familles étaient contentes, mais les autorités avaient très peur de nous. Elles ne pouvaient rien faire. Elles ont essayé de faire pression sur nos familles pour que nous déposions les armes, mais en vain. Elles nous ont même proposé des postes au sein de l’administration et de l’armée, mais personne n’a accepté.
Des réunions entre les anciens cadres de la rébellion et les officiers revenus de Libye ont eu lieu. Ces derniers voulaient l’indépendance, d’autres aspiraient beaucoup plus à une vie meilleure. Finalement, la tendance forte a été de reprendre les armes pour libérer l’Azawad. Leur argumentation était que toutes les rébellions précédentes n’avaient servi à rien, du fait du manque de moyens. Pour eux, la nouvelle donne est que les rebelles sont en position de force avec l’armement qu’ils ont ramené de Libye. Il a donc été décidé de la création du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA). Ayad Ag Ghaly, qui est une figure de proue dans le combat pour l’Azawad, voulait être à la tête du mouvement, mais les Maliens de Libye ont refusé. Ce qui l’a poussé à créer un autre groupe, tout en promettant de ne pas se mettre à contre-courant du combat.
Aujourd’hui, avec les groupes d’AQMI, les organisations salafistes et les trafiquants de drogue et d’armes compromettent lourdement notre guerre pour l’autodétermination. J’ai comme l’impression qu’il y a des forces internes et externes qui profitent de la manne financière engendrée par les trafics en tout genre et les rançons et de ce fait, elles sont prêtes à tout pour faire capoter notre combat dans le seul but de préserver leurs intérêts. Je n’écarte pas des luttes ethniques qui mettront en échec tous nos sacrifices.
Salima Tlemçani
elwatan.com
21.04.12 | 10h00
je vous le dit o mes freres malien l’azawad etait a nous touareg lorsque vous autres soit disant malien etait encore un peuple meconnu et inexistant qui a ete creer par le colon francais alor oui je vous le dit lazawad vivra dans 10 ans 100 ans 1000 ans par la grace de dieu mes il vivra nous sommes les premier habitant de cette terre on reprendra notre du tot ou tard on commencera par le mali du nord le niger la mauritanie et le sud de l’algerie nous avons ete les banni de la decolonisation nous reprendron ce qui nous revien de droit par la grace de dieu inch’allah 😉
mon frère dit nous que vous des bandits ,mécreant et que vous allez tous en enfer.un croyan devais metre son éspoir que sur dieu et lui meme,l’etat peut pas faire tout sauf qu’il y a d’autr qui profite et favorise certaine que d’autre.je suis de la région de kayes et soninké en plus cela represente une vrais hadicape pour nous.REGARDE les soninkos ont obté pour l’immigration nous avons puit nourrire nos famille et parent ainssi que proche.aprés toutavec le peut qu’ont gagne nous avons construit des hopiteaux mosqueé école méderssa magasin alimentaire etc.NOUS pouvions prendre aussi les armes mais non cela nous correspond pas.UN VOLEUR est un voleur et le restera vous ne méritez pas de vivre avec nous dans un meme pays nous faisons vous defez.il nous faut une loi pour arrete toute personne qui detien une arme sans autorisation. ou son nos génereaux et tous ses députés qui ne voit pas l’interet du pays mais leurs propre interer ,qui dieu nous protege wa salam. ❗
il y a beaucoup de chose qui prouve que ce bandit n’est pas un malien
il vivait dans son eldorado en libye mais il n’a pensé rien faire pour le Mali qu’il reclame comme un de ses fils.
il a pris les armes pour venir revendiquer un pays qu’il ne connait même pas l’histoire
tu as quitté le Mali depuis 12 ans cela veut dire qu’il n’est même pas éduquer alors que les enfants qui sont restés au Mali sont 60% inscrit
mon frère El Guedaffi a detruit ta vie
manifestement, le Mali aussi est un pays 100% touareg, tout comme l’azawad. Regardez bien: presque tous les militaires du MNLA(dignes fils de l’azawad) sont touaregs, ce qui est normal. Mais ce qui est très curieux c’est que le colonisateur malien aussi compte sur une armée de touaregs (Colonel Majour Elhadji ag Gamou et ses hommes) pour sauver sa peau. Cela m’a amené la conclusion que les touaregs sont les seuls dignes fils et du Mali et de l’azawad. Les autres sont justes des fuillards, qui ne cherchent qu’à se remplir les poches et terroriser les populations. Dès qu’ils entendent un seul tir, c’est la debandande.
A la lumière de cette réalité que je viens de relater ici, il est indeniable que les touaregs ont le droit de reclamer et le Mali, et l’azawad, car étant les seuls maliens et azawadiens à avoir le courage de defendre ces deux états y compris au prix de leur vie. A bon entendeur…
Monsieur stp pense avant douvrir ta bouche! le Mali est 100% touareg? detrompe toi les touareg ne valent meme pas 10% de la population, tout dabord ils (les rebelles touaregs)sont paresseux et veulent kon les fournissent a manger a boire et a leur donner du travail sans kils ne fournissent aucun effort! je vais te dire une chose le travail est la seule chose qui recompense. sils veulent avoir leurs vies de reve ils nont ka faire kelke chose eux memes. c’est vrai ke le gouvernement malien est corrompu mais on ne peut pas dire kils nont jamais investi au nord. et puis je te dis le Mali restera un etat indivisible, cest juste une question de temps.Yaura pas detat comme lazawad a plus forte raison une population nommE “Azawadien”.
Ce commentaire est pour tout ce ki pensent ke l’Azawad est digne d’independance! encore une fois Detrompez vous! le Mali restera un et indivisible!
Le silence me ronge!
Le 25 mars dernier, j’avais promis de me retirer du débat sur MW jusqu’à ce que le Mali recouvre ses terres perdues.
Près d’un moins, je ne vois pas un début de solution dans ce sens, pire l’essentiel de nos moyens militaires serait désormais focalisé à Bamako à des fins de règlement de compte.
A part les néophytes de MW on retient que CMD était mon président.
Mon cher CMD la meute de Kati a déposé et mis fin au “régime incompétent et désavoué” de mon Général par ce qu’il voulait négocier. Alors tenez-en compte!
Mon cher CMD ne pas EXIGER la dissolution du CNRDRE, cette bande des soldats fuyards,
Mon cher CMD tenter une cohabitation intelligente avec ce forcené capitaine,
serait, je vous préviens, une erreur grave que tout ce qu’on reproche à ATT.
Pourquoi le CNRDRE n’a t-il pas été dissout, dans l’accord cadre?
A entendre le capitaine qui s’est arrogé le droit et le titre du grand manitou, on sent qu’il n’attend que la fin des 40 jours du deuil (intérim) pour revenir avec force et assouvir son envie de PRÉSIDENT.
Demain, ca craint car personne ne pourra parler de constitution. Elle n’existerait plus! Donc bonjour le Far west: quelqu’un te regarde de travers,…si tu es armée tu lui met du plomb dans son carafon!
A mon cher Prof, Président par intérim vous avez rendez-vous avec l’histoire, ne “tremblez pas devant vos élèves et ne préférez pas les flatter”.
Mon cher Traoré ne laissez plus faire le capitaine du chaos, car il a assez “profité” de la frustration, de l’ignorance du peuple.
Demandez leur de vous adresser une liste de matériels et de moyens necessaire pour remplir leur engagements envers le peuple (défendre le peuple et ses terres). Maintenant et tout de suite. Prenez le peuple pour témoin. Nous sommes tous prêts à verser nos oboles!
Dites leur que notre terre ne sera défendue que par ses fils(aucune troupe étrangère ne sera sollicitée!) ,
Dites leur que les allemands avaient envahi Paris, donc leur mission n’est pas hors de la portée d’un COEUR VAILLANT,
Dites leur que les U.S.A ont perdu plus 4 000 de leur boys pour défendre seulement leur intérêt, donc étant surarmée on peut mourir telle est la réalité de la guerre.
Dites leur que pour nous l’enjeu est de taille, nous voulons nos terres et nous sommes prêt à faire 100 fois plus de martyrs (que les USA) dans cette reconquête,
Dites leur que ceux qui se sont engagés “Si l’ennemi découvre son front… nous sommes résolus de mourir” ne doivent pas rester à Kati
Dites leur que le temps presse, Kabila a marché sur Kinshasa avec des garçons et filles (dont d’à peine 12 ans) qui apprenaient à tirer le matin et le soir étaient opérationnels sur le front, donc aucun alibi ne tient!
Dites leur, que s’il le faut, tous ces jeunes gens de plus de 25 ans qui n’ont jamais travaillé dans leur vie pour gagner 1 Fcfa,…qui fassent le monde avec plein de château en carton sous l’arbre à palabre, qui pense que être maliens de l’extérieur est un privilège indu,…sans aucune compassion pour nos malheureux immigrés,
Irons grossir nos rangs!
ATT, mon Général, est parti donc toutes les conditions sont désormais réunies pour donner du sourire de Tessalit à Toumbouctou!
Entre temps, arrêtons d’imaginer un grand Mali avec des petits gens de Kati.
C’est dommage qu’il n’est pas eu la mort lui aussi, ce serait un chien d’appatride de moins a assassiner. Mais n’empeche, nous l’aurons cette fois parce qu’il est au Mali pas en Lybie.
On ne peut pas suivre deux lievres a la foi. Qu’ils retournent la ou ils on quitte. Comme le barrage de Taoussa est en cours d’execution, qu’ils se preparent a aller cultuviver. Comme ca il y aura sans doute a boire et a manger, meme une couverture en electricite de la region Nord du Mali (82%). On ne peut rien sans la paix les amis Touregs. Acceptez de travailler, c’est la meilleure arme.
C’est la faute des autorités maliennes! on leur en veut beaucoup! mais l’heure n’est plus aux accusations!
Ce ne sont pas des maliens ces touaregs, ce sont des libyens même s’ils sont originaires du Mali. La vie meilleure à laquelle ces touaregs aspirent ne s’arrache pas par les armes mais par le travail! pendant qu’ils étaient en Libye, quelle réalisation ont-il faites en signe d’amour à leur terroir d’origine? Le septentrion malien est plein de cadres à Bamako et dans d’autres pays de la sous région mais la zone reste toujours la plus pauvre du Mali. Les gens doivent se remettre en cause avant d’accuser. Renseignez vous sur les projets et programmes financés par le Mali et ses PTF à l’attention du Nord et visitez la réalité du terrain! ce sont ces mêmes Touaregs qui dirigent les programmes de développement du septentrion!
……Au moins,on comprend mieux maaintenant, comment ces voyous ont pu pénétrer facilement au MALI et, au lieu de les comnbattre de suite, ATT et ses laquais ont eu peur. L’ennemie sait que tu as peur de lui, c’est la porte grandement ouverte. HKADAFI et ATT sont patris, SARKO va patrir aussi bientôt et vous allez voir bandes de narcotrafiquants et de violeurs de filles. Mort à vous tous.
C’est trop tard vous serez capturer et juger
Capitaine Bilal… Kadhafi a détruit votre vie…. Kadhafi a été lapidé… et est en enfer. Il vous a entraînés comme des chiens pour tuer. Vous avez tué au Tchad… vous avez tué des lybiens en Lybie pour le dictateur Kadhafi… Vous avez été dressés comme des chiens pour tuer, masacrer, égorger des être humains.
Vous êtes venus massacrer… égorger vos propres frères au Mali. Avec des armes volés au peuple lybien. Vous devez rendre ces armes et arrêter les massacres.
L’Azawad, c’est un territoire qui sort de votre imagination. ça n’existe pas. Vous êtes sur le territoire des arabes, des songhaîs, des maures, des peuls, des toubous, des haoussa, des touaregs… et tant d’autres ethnies.
Vous êtes des criminels qui seront capturés et jugés pour ceux qui ont commis des crimes sordides. Les autres doivent accepter de se sédentariser et de vivre avec les arabes, des songhaîs, des maures, des peuls, des toubous, des haoussa, des touaregs, dans un territoire qui s’appelle le MALI. 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀
Nul n’a le droit de tuer pour occuper un lopin de terre au Mali. Déposez vos armes et arrêtez de tuer. 🙁 🙁 🙁 🙁 🙁
BROU BROU il y aurait 3000 touaregs morts en Libye ,ce qui veut dire qu’il y a pas loin de 3000 veuves au Mali .Rends toi utile ,epouses une femme touarégue ,de plus elles sont belles et avec la peau claire .Tu feras des économies sur les crèmes eclaicissantes 😆 😆 😆 😆
toi t’en a qu’une pour l’instant – tu peux en rajouter trois autres : 4 à ne pas dépasser (c’est la Sounnah) !!!
Les Allemands n’omt pas epousé les veuves françaises pour des raisons bien connues. Certains tirrailleurs Sénégalais, ou autres Africains qui ont aidé à liberer la France ont epouser des françaises de souche pour leur donner du “vrai plaisir”.
Les Blancs, les Noirs et les Jaunes recourent à la chirurgie plastique, aux crèmes, au botox, au bronzage… pour changer d’apparence.
Ce n’est pas le malheur du Peuple Malien que tu va utiliser pour insulter toute une race, ok?
Tu deconnes, go to hell, f**k you!!!
N’insulter pas le fou, c’est un blanc haigri qui travaille pour ceux qui tiainne le maliweb.
Je le rappelle le site maliweb n’appartient oas à des maliens
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