Inscription des nouveaux bacheliers à l’ULSHB
Les bacheliers victimes du système de quotas!
Les inscriptions des nouveaux bacheliers à l’Université des Lettres et des Sciences Humaines de Bamako (ULSHB) ont commencé. Mais, avec l’atteinte du nombre de quotas demandé dans certaines filières, plusieurs bacheliers se voient obliger de s’inscrire dans des filières qui ne sont pas leur choix. Ce qui a soulevé la colère des uns et des autres. Seuls, les plus chanceux et les plus matinaux ont pu s’inscrire dans les filières qu’ils désirent.
Cette année, les inscriptions des nouveaux bacheliers à l’Université des Lettres et des Sciences Humaines de Bamako sont devenues un parcours de combattant. Les bacheliers et leurs parents ont du mal à cerner cette volonté de quotas d’accueil des départements instaurée par les autorités universitaires. D’après ces dernières, cette volonté d’application du système de quotas vise à résoudre certains problèmes qui minent certains départements comme ceux d’Anglais et des Lettres. Le manque crucial d’infrastructures pour abriter les étudiants et l’insuffisance des professeurs seraient à la base de la fixation de ces quotas. Il faut rappeler que de nos jours, les étudiants de la section Anglais unilingue sont plus de 10.000, soit à peu près l’effectif d’une université, et la demande reste encore forte. Cette année, c’est dès la deuxième semaine de l’inscription que le quota de cette filière a été atteint. Ce qui a suscité beaucoup de plaignants et de frustrés. Et pourtant, cela fait quelques années que les étudiants desdits départements se trouvent dans des locaux loués, non adaptés à l’enseignement. Des lieux qui souvent se trouvent très loin du Décanat et qui ralentissent la mobilité, voire la présence des professeurs qui se plaignent de la distance des trajets.
Aussi, ces départements aux effectifs pléthoriques se voient dans l’obligation de faire appel aux enseignants secondaires pour combler le vide. Selon une source proche du Rectorat, l’année passée, le nombre des enseignants recrutés dans les écoles secondaires pour servir le département Anglais, atteint quarante. C’est pourquoi un vieillard se plaignait et disait : «Si l’université fait appel aux enseignants de secondaire, à quoi sert d’inscrire nos fils à l’Université, car c’est le lycée qui continue».
Cette année, les deux départements, Anglais et Lettres, ont respectivement bouclé leurs portes avec sept cent étudiants chacun, quota fixé par les départements et les bacheliers qui ont pu s’inscrire dans ces filières, n’ont pas eu la tâche facile. Pour s’inscrire, il fallait se rendre à cinq heures ou à quatre heures du matin pour pouvoir être dans le rang. Et par conséquent, l’enceinte de ladite Université servait de dortoirs à plusieurs bacheliers. D’autres ont fait toute la semaine pour s’inscrire dans les filières de leur choix, mais sans y parvenir. Autant dire que les autorités universitaires doivent s’investir dans la construction des salles de classes. Il urge également de combler le manque de professeurs qualifiés pour que le rêve des futurs cadres de ce pays, ne soit pas un cauchemar.
TAO IBRAHIM
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Attention!!!
Il faut laisser les maliens développer les initiatives privées au Mali. Il faut Laissez les cadres construire ce pays. Le privé complète le public….Le Pr Idy n’est pas un sain…Il pouvait ( si c’est vrai) régler ce problème autrement au lieu de l’étaler dans la place publique. Le Pr Idy Cissé est d’abord un médecin, puis un enseignant et enfin un professeur. Il doit avoir de la retenu..Ce Pr Idy, est un homme à polémique….Il est dangereux et il vie dans la haine.. Ce n’est pas bon. Il faut être tolérant et avoir le savoir faire, le savoir dire, le savoir être…Karamba!!!
Garba est un cousin à moi. bien qu’imbecile, je sais qu’il est prudent et se fait passer pour quelqu’un d’honnete ce qu’il n’est pas en realité. Pour tout ce qu’il entreprend il prend toutes les precautions
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