L’occupation anarchique de l’emprise de rail sur la route de Koulikoro commence à agacer les riverains. Ils ont déjà porté plainte contre les prédateurs fonciers qui ont envahi les lieux.
Face à l’occupation illicite des domaines du rail et surtout la construction anarchique des lots vendus par le maire de la Commune I, les riverains, organisés en Collectif, ont haussé le ton, estimant que les travaux bouchent leur accès au goudron.
Au cours d’une rencontre avec la presse, le Collectif des riverains a dénoncé les projets de construction sur l’emprise de rail. Selon Ibrahim Yattassaye, porte-parole du Collectif, ces constructions, motivées par le maire de la Commune I, violent non seulement les domaines ferroviaires, mais aussi les droits fondamentaux des personnes.
A en croire le Collectif, le maire, en complicité avec un opérateur économique soninké, est à la base de cette situation. Malgré la visite de trois membres du gouvernement, rien n’a changé, selon nos interlocuteurs, qui ont déploré l’accélération des travaux.
Au-delà de l’appel aux plus hautes autorités, les riverains ont porté plainte contre les envahisseurs au Tribunal de grande instance de la Commune I. Les yeux sont donc tournés vers la justice qui devrait prochainement trancher l’affaire.
Visiblement en colère, le porte-parole du Collectif a promis d’autres actions si leurs doléances n’étaient pas immédiatement prises en compte.
Y. Doumbia
Les mairies constituent un serieux obstacle a la lutte contre l’anarchie, le désordre et l’insalubrité dans le district de Bamako. Le poisson pourrissant par la tête, tout le probleme émane directement du comportement de la Mairie centrale du district dirigée Adama Sangare, arch-spécialiste de désordre foncier. Sous Adama Sangare BAMAKO est devenu une jungle de la vraie sauvagerie urbaine, où tout est permis et même signé par les maires: des milliers des RUES BARRÉES a travers les quartiers, plus 1400 ESPACES VERTS vendus ou cedés pour être transformés en bâtiments commerciaux, les propriétaires des terres autorisés par les maires a morceler les terrains avec des rues de 10m au lieu de 20m, afin de bénéficier d’un maximum des lots, les espaces publics aux bords de nos grandes artères, au lieu d’être aménagés pour des trottoirs, reboisements etc.., sont plutôt loué par les mairies aux vendeurs anarchiques de la rue, les domaines publics et autres servitudes sont vendus en bis (“rajouts” ) par le maires pour des construction anarchiques et dangereuses sur le passage des eaux (cas des inondations de Banconi 2014 et 2017 où des enfants étaient emportés par les vagues)… etc.
En mot les MOTS de nos zones urbaines sont nos MAIRES! A part bien sure quelques exceptions tels l’excellent maire de Koulikoro Eli Diarra et l’ancien Maire de OUELESSEBOUGOU Yeah SAMAKE etc..
Les mairies des communes 1, 2, 6 et de Moutougoula sont parmi les plus grandes mafias foncières qui puisse être. De criminels comme Diarrah Diarra de Moribabougou doivent aller directement en prison si il y avait une justice dan ce pays. Des maires incapables comme Daouda Diarra de MOUTOUGOULA aussi font honte…ce monsieur depuis des années est train de trainer sans pouvoir bitumer une route de moins 10 km entre Dialakorobougou et Moutougoula alors que des sociétés d’exploitation de carrière déploient des centaines des bennes de transport de gravier en va -et -viens sur cette route poussiéreuse qui et étouffe les populations au quotidien. Il y a quelqu’un qui m’a dit que ces sociétés avaient même propose de bitumer cette route mais que le maire incapable aurait préféré autrement! Sinon comment un maire peut laisser des sociétés exploiter l’une des plus grandes mines de carrière de gravier du pays sans que ces dernières puissent lui bitumer une route de 10 km et éviter a sa population la torture quotidienne de la poussière soulevée par leurs bennes de transport??? Ce qui en dit long sur l’état d’esprit médiocre du Maire Daouda DIARRA de MOUTOUGOULA. Voila le genre des maires qui ont mis ce pays a terre et qui n’ont absolument aucun sens de responsabilité vis a vis du bien- être de leurs populations, sauf que vendre et morceler les terres…. c’est tout ce qui les intéresse. Encore ces societes ne sont pas les ennemis de la population de Dialokorobougou et Moutougoula c’est plutôt les deux maires de ces communes qui sont des ennemis traitreux de leurs propres populations! Daouda DIARRA de MOUTOUGOULA un exemple typique de maire médiocres au Mali!
Il faut que la population prenne sa responsabilité face a ces constructions illégales.
Les mairies constituent un serieux obstacle a la lutte contre l’anarchie, le désordre et l’insalubrité dans le district de Bamako. Le poisson pourrissant par la tête, tout le probleme émane directement du comportement de la Mairie centrale du district dirigée Adama Sangare, arch-spécialiste de désordre foncier. Sous Adama Sangare BAMAKO est devenu une jungle de la vraie sauvagerie urbaine, où tout est permis et même signé par les maires: des milliers des RUES BARRÉES a travers les quartiers, plus 1400 ESPACES VERTS vendus ou cedés pour être transformés en bâtiments commerciaux, les propriétaires des terres autorisés par les maires a morceler les terrains avec des rues de 10m au lieu de 20m, afin de bénéficier d’un maximum des lots, les espaces publics aux bords de nos grandes artères, au lieu d’être aménagés pour des trottoirs, reboisements etc.., sont plutôt loué par les mairies aux vendeurs anarchiques de la rue, les domaines publics et autres servitudes sont vendus en bis (“rajouts” ) par le maires pour des construction anarchiques et dangereuses sur le passage des eaux (cas des inondations de Banconi 2014 et 2017 où des enfants étaient emportés par les vagues)… etc.
En mot les MOTS de nos zones urbaines sont nos MAIRES! A part bien sure quelques exceptions tels l’excellent maire de Koulikoro Eli Diarra et l’ancien Maire de OUELESSEBOUGOU Yeah SAMAKE etc..
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