Affaire de la zone aéroportuaire : David Sagara, victime d’un règlement de comptes politique

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Le jeudi 14 août, la presse  a fait ses choux gras de la convocation, par le Pôle Economique et financier de Bamako,  de l’ancien ministre des Domaines, David Sagara,  de Seydou Nantoumé, PDG de Toguna Agro-industries, d’Amadou Diallo et d’Etienne Dioné pour malversations ou   complicité de malversations dans la concession de la zone aéroportuaire. Mais ce qui était parti pour être un grand scandale s’est vite révélé être un vulgaire et grossier règlement de comptes politique entre les partis UDD, Yelema et Codem.

 

David Sagara
David Sagara

Comme une trainée de poudre, la nouvelle de la convocation au Pôle  économique et financier de Bamako de l’ancien ministre des Domaines, David Sagara, du PDG de Toguna,  Seydou Nantoumé, de l’ancien directeur national de l’Urbanisme, Amadou Diallo ainsi que du conseiller technique au secrétariat  général du gouvernement, Etienne Dioné a fait le tour du Mali.  Raisons évoquées : malversations dans la concession et l’attribution des parcelles dans la zone aéroportuaire de Sénou pour les uns et complicité de malversation pour les autres.   Mais à analyser du fond de ce dossier, il s’agit plutôt d’un règlement de comptes politique, d’une cabale contre David Sagara. Coordinateur régional de la Codem à Mopti, l’ancien ministre David Sagara constitue pour Mara et Tiéman Hubert Coulibaly  un handicap sérieux pour l’ascension  de leurs formations politiques respectives à Mopti.

 

 

Pour rappel, en tant que président de l’UDD, Tieman Hubert Coulibaly, aujourd’hui ministre des domaines de l’Etat, des affaires foncières et du patrimoine, n’arrive pas à digérer le fait que la Codem ait réussi à invalider sa liste lors des dernières législatives à Bandiagara. Mieux que cela, son parti a été battu à plate couture par la Codem à Bankass. Et à Koro, avec la création de la Codem, l’UDD a disparu, les électeurs ne se souviennent plus de son logo.

 

 

Quant à Moussa Mara, Premier ministre et président du parti Yelema, il s’acharne contre David Sagara pour régler ses comptes avec le président de la Codem, Housseiny Amion Guindo, ministre des sports. Car lors de la « lutte » pour le contrôle de la présidence des Partis unis pour la République (Pur), qui était devenu une question de vie ou de mort pour lui, Mara a été déboulonné par le Président de la Codem, Guindo à 15 voix contre 2. A l’issue de cette défaite, Mara a claqué  la porte de ce regroupement de partis politiques dirigés par les jeunes. Dès lors, il en veut à ce jeune parti politique qui a le vent en poupe. Et aurait juré de ne pas pardonner cela.

 

 

L’occasion est toute trouvée, aujourd’hui Mara est aux affaires. Le ministère des domaines est aujourd’hui divisé en différents Départements. A savoir : le ministère  de l’habitat et de l’urbanisme, dirigé par Mahamadou Diarra, l’intendant d’IBK,  et celui des domaines de l’Etat, des affaires foncières et du patrimoine, occupé par  Tiéman Hubert Coulibaly, protégé par son géniteur, Moussa Balla Coulibaly auprès d’IBK. Avant de s’envoler pour le Congo, Mara a saisi le ministre de la justice garde des sceaux pour faire la lumière sur cette affaire. Quant à Seydou Nantoumé, on lui reproche d’être riche. Pour les nouvelles autorités, il travaille avec les milliards d’ATT et de Modibo Sidibé. Donc, il faut l’intimider afin de le récupérer avec ses milliards. Réunis, le trio veut déclencher une machine infernale de dénigrement afin de se venger de Housseiny Amion Guindo à travers l’ex ministre de son parti, David Sagara.

 

 

Mais la cause est déjà perdue. Car l’opinion publique a découvert que c’est une machination et une cabale politiques.

Les preuves d’un acharnement gratuit

Le domaine aéroportuaire dont il est question est reparti entre deux Départements. Il s’agit du ministère de l’Equipement et des transports qui gère les environs immédiats de l’aéroport et le reste appartient au ministère des domaines de l’Etat. Dans le cadre de la gestion de cet espace, il y a eu le programme de développement intégré de l’aéroport adopté depuis 2003 en conseil de ministres qui dit que compte tenu de la situation d’insécurité de la zone aéroportuaire, il fallait aménager cette zone pour en faire un pôle d’attraction.

 

Dans le programme, il est prévu toutes les activités connexes à l’activité aéroportuaire, (des magasins, des entrepôts, des hôtels etc.) C’est dans cette situation que les ministres qui se sont succédé ont pris des arrêtés d’occupation temporaires. Et David Sagara a trouvé que le Ministre Mme Diallo Fadima Touré avait demandé au Directeur national des domaines, Abdoulaye Imrane de lui faire le point des demandes de parcelles dans la zone aéroportuaire de Bamako. En réponse, le 6 décembre 2012, le chef de la division des domaines et de la curatelle a recensé 45 demandes et 3 demandes qui avaient déjà fait l’objet d’arrêté d’occupation temporaire. Donc, c’est pour dire que des décisions ont été prises avant Sagara. Ces 3 sites étaient pour Sodima d’Oumar Niangadou allias «Petit Barou» ; la Fibreoptique du ministère des Postes, de la télécommunication et des nouvelles technologies ainsi que Togouna SA de Seydou Nantoumé. En clair, David Sagara n’a rien attribué comme parcelle à Toguna Agro-Industries. Son terrain est situé à proximité des marchés de poisson et de l’usine de mangue. Les 10 hectares lui ont été attribués suivant l’arrêté N° 2012/0777 Mlafu-SG du 06/03/2012.

 

 

Que reproche-t-on à David Sagara et à Seydou Nantoumé ?                                              

Sous  Yacouba Diallo, Nantoumé a écrit le 04/01/12 pour demander le transfert sur un autre site de 20 hectares cette fois. Motif : raisons de sécurité d’une part et l’éloignement des installations aéroportuaires d’autre part. C’est après tout cela que Seydoun Nantoumé a fait une autre demande pour obtenir 20 hectares supplémentaires, mais il n’a obtenu que 16 Ha des 36 Ha au total.

 

Ensuite, il est allé faire le bail pour les 20 hectares au niveau de la direction nationale des domaines. Pour les 16 hectares, il n’a pas obtenu le bail parce qu’il y a eu la suspension des baux. C’est en attendant la levée de la suspension qu’il a commencé à aménager les 36 hectares. Aujourd’hui, la justice lui reproche  d’avoir aménagé les 36 hectares  alors qu’il n’a réellement le bail que sur 20 hectares. On pense qu’il est dans l’illégalité en aménageant les 16 hectares supplémentaires. Mais cette accusation a été  battue en brèche par le camp Nantoumé. Selon un communiqué de Toguna Agro-Industries qui nous est parvenu, l’audition de leur Président directeur général  fait suite à l’attribution par l’Etat Malien en 2013 d’une parcelle de 36 hectares de terres à la société Toguna Agro-Industries.

 

En 2013, précise le document, les autorités de transition ont déclassifié la zone située aéroportuaire et attribué près de 200 lots à des opérateurs économiques. L’objectif était de rendre cette zone dynamique en y développant des infrastructures commerciales et industrielles tout en préservant les intérêts de l’Etat. «Dans cette attribution régulière de parcelles, la société Toguna Agro-Industries a toujours agi conformément à la loi. De plus, elle dispose de tous les documents administratifs  dont l’arrêté d’attribution, le contrat de bail, l’autorisation de construction. Enfin, elle s’est régulièrement acquittée du payement de ses redevances annuelles. A ce jour, sur les 36 hectares attribués, seuls 20 hectares ont été exploités, le développement de l’usine étant prévu sur plusieurs années. Il n’y a pas eu de mise en valeur des 16 hectares restants d’autant plus que leur attribution a été annulée par le Ministère des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières le 3 février 2014», indique le communiqué. Paradoxalement, on dit qu’il est en train de construire en matériaux durables (béton) contrairement à ce que dit l’arrêté. La faute à qui ? Allez chercher au niveau de l’urbanisme

 

Pour le cas de David Sagara, il a pris son courage à deux mains pour répondre aux demandes de centaines de nos compatriotes qui souhaitent faire des réalisations sur le domaine aéroportuaire. Il n’a fait que suivre les traces de ses prédécesseurs qui ont signé des arrêtés avant lui. Pour Petit Barou, c’était du temps de Mamadou Coulibaly ; Fibreoptique et Togouna ont eu lieu avec  Yacouba Diallo. Aujourd’hui, on lui reproche de n’avoir pas observé les règles administratives en matière de transmission de dossiers. Notamment du Cabinet au secrétariat général du gouvernement. Ce qui est démenti par son entourage. Car on a suivi les traces de ses prédécesseurs qui ne sont jusqu’à présent pas inquiétés pour inobservation des règles administratives. Pourquoi autant d’acharnement contre Sagara, s’interroge son entourage. Que dire des autres bénéficiaires de cet espace qui l’ont acquis dans les mêmes conditions que Nantoumé? Des correspondances transmises au secrétariat général du gouvernement sans bordereaux d’envoi, le crime d’Etienne Dioné c’est d’avoir apposé son cachet  sur certains de ces arrêtés. Un acte jugé irrégulier  par nos limiers. Tel est le grief qui est aujourd’hui reproché à Etienne Dioné. L’ancien Directeur national de l’urbanisme, Amadou Diallo quant à lui séjourne depuis plus de quarante huit heures  au Pôle économique et financier de Bamako pour les mêmes  raisons. A savoir la transmission des correspondances  au secrétariat général du gouvernement sans bordereau d’envoi. Une faute administrative  sous d’autres cieux  qu’on tente de pénaliser au Mali. Vu la tournure des événements, l’ancien Ministre Sagara a déjà  constitué  deux avocats de la place. Aux dernières nouvelle, Seydou Nantoumé a regagné son domicile le jeudi à 22 heures après moult tractations. Et pour ce faire, nous informe-t-on, il a fallu toute l’implication du Directeur de la SE, le colonel Moussa Diawara.

 

Rappelons que la raffinerie Kankou Moussa est en train d’être construite dans la même zone alors qu’elle n’a pas  de bail encore. Dans cette sulfureuse affaire, certains praticiens du droit affirment que le périmètre de l’infraction n’a pas été franchi. Il suffisait simplement d’annuler les actes administratifs en question pour que les choses retournent à leurs états initiaux. Il n’y avait aucun élément pénal pour justifier les garde-à vue inutiles.   Malgré ce constat, l’acharnement continue car il nous revient qu’il a été demandé au  PDG de Toguna Agro-Industries, Seydou Natoumé, de se présenter au Pôle économique ce  matin. De sources concordantes, cette cabale est en train de créer une dissension au sein de la majorité présidentielle. Il nous revient en effet de source sûre que le parti Codem, membre de la majorité présidentielle, entend donner une suite à cette affaire.

 

Oumar KONATE

 

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16 COMMENTAIRES

  1. ne croit a des information satanique de ce nullard journaliste,il faut etre elétre pour croire a ses genres d’informations

  2. C’est pas mara qui a proposer Poulo. Dalleur ni aucun ministre, tu pense que mara à d’autorité sur quelqu’un dans ce gouvernement avec 1 député et 1% au élection présidentiel.

  3. Quant on regarde la zone aéroportuaire, on se rend compte que l’ASECNA a aussi fait des victimes parmi les pauvres. Regarder l’étendue de cette zone on se rend compte de la complicité quelque part. Comparer cette zone à celle de Dakar, d’Addis (ethiopie), Newdheli (inde), abidjan (cote d’ivoire), conakry (guinée) et j’en passe.

  4. Voilà une des raisons pour lesquelles on ne doit pas nommer les politiciens à des postes ministériels. Dès qu’on leur touche même en cas de faute grave, ils crient au complot politique. Moussa Mara et Housseyni A. Guindo ne devraient pas accepter un poste de ministre tout comme Mountaga Tall pour la simple raison qu’ils étaient candidats à la présidentielle. Quelqu’un qui voulait être président du Mali doit-il accepter être ministre dans un gouvernement du Mali pour exécuter le programme du candidat élu? Cela veut tout simplement dire que ces candidats n’avaient comme programme que d’avoir un bon poste dans la sphère de l’état. Honte à ces politiciens sans scrupule.

  5. Bathyli le ministre de la justice doit mettre tout le monde d’accord il y’a des endroits qui ne son pas a vendre surtout l’entourage de l’aéroport la loi doit être pareil pour tout le monde

  6. …….J’étais convaincu que certains allaient parler de règlement politique ou complot dans cette affaire. En continuant de cette manière, aucun problème ne sera résolu au MALI. La justice ne peut plus faire son travail au MALI sans que les individus mal intentionnés et qui veulent tuer ce pays déjà à l’agonie se mettent à crier au complot. Quant est ce que, vous allez comprendre qu’on ne peut pas construire une nation forte dans sans justice.Il suffit que les voleurs glissent quelques billets de banques entre les mains des soient disant journalistes et ils se mettent à rédiger de pareils articles. Nous sommes encore dans les trous de l’impunité de ces dernières années et de grâce, laisser les gens faire leur travail.

  7. Même il m’est arrivé quelquefois de manger
    Le berger.
    Je me dévouerai donc, s’il le faut: mais je pense
    Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi:
    Car on doit souhaiter, selon toute justice,
    Que le plus coupable périsse.
    – Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi;
    Vos scrupules font voir trop de délicatesse.
    Eh bien! manger moutons, canaille, sotte espèce.
    Est-ce un pêché? Non, non. Vous leur fîtes, Seigneur,
    En les croquant, beaucoup d’honneur;
    Et quant au berger, l’on peut dire
    Qu’il était digne de tous maux,
    Etant de ces gens-là qui sur les animaux
    Se font un chimérique empire.»
    Ainsi dit le renard; et flatteurs d’applaudir.
    On n’osa trop approfondir
    Du tigre, ni de l’ours, ni des autres puissances
    Les moins pardonnables offenses:
    Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtins,
    Au dire de chacun, étaient de petits saints.
    L’âne vint à son tour, et dit: «J’ai souvenance
    Qu’en un pré de moines passant,
    La faim, l’occasion, l’herbe

    VIVE LA REPUBLIQUE

  8. Un mal qui répand la terreur,
    Mal que le ciel en sa fureur
    Inventa pour punir les crimes de la terre,
    La peste (puisqu’il faut l’appeler par son nom),
    Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,
    Faisait aux animaux la guerre.
    Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés:
    On n’en voyait point d’occupés
    A chercher le soutien d’une mourante vie;
    Nul mets n’excitait leur envie,
    Ni loups ni renards n’épiaient
    La douce et l’innocente proie;
    Les tourterelles se fuyaient:
    Plus d’amour, partant plus de joie.
    Le lion tint conseil, et dit: «Mes chers amis,
    Je crois que le Ciel a permis
    Pour nos péchés cette infortune;
    Que le plus coupable de nous
    Se sacrifie aux traits du céleste courroux;
    Peut-être il obtiendra la guérison commune.
    L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents
    On fait de pareils dévouements: (1)
    Ne nous flattons donc point, voyons sans indulgence
    L’état de notre conscience
    Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons,
    J’ai dévoré force moutons.
    Que m’avaient-ils fait? Nul

    • La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et, je pense,
      Quelque diable aussi me poussant,
      Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
      Je n’en avais nul droit, puis qu’il faut parler net.»
      A ces mots on cria haro sur le baudet.
      Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue
      Qu’il fallait dévouer ce maudit animal,
      Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout le mal.
      Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
      Manger l’herbe d’autrui! quel crime abominable!
      Rien que la mort n’était capable
      D’expier son forfait: on le lui fit bien voir.
      Selon que vous serez puissant ou misérable,
      Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.

      Voilà les couleurs de la corruption au Mali.
      VIVE LA JUSTICE. Vive BATHILY l’audacieux ministre. VIVE LA REPUBLIQUE

  9. Je ne comprend pas les Maliens qui défend les personnes de l’affaire de la zone aéroportuaire et cris aux complots (vous avez reçu quelque chose comme le journaliste que vous prenez de corrompu ?)
    Je crois à la justice Malienne, s’ils n’ont rien fait, mais ils seront libéré, c’est tout simple quoi !

    • QUI PEUT LES ARRÊTÉE ? ONT ILS VOLER OU ONT ILS TUE LE PÈRE DE QUELQU’UN ? SEYDOU NANTOUME EST UN DIGNE FILS DU PAYS . TOUT CE QU’IL A GAGNE DANS CE PAYS, IL LA PARTAGE AVEC TOUT LE MONDE DANS CE PAYS .IL EST DIFFÉRANT DE VOTRE PRÉSIDENT OU VOS MINISTRES QUI ONT DES VILLA ET COMPTE EN BANQUE EN FRANCE EN SUISSE OU AUX ÉTATS UNIS .IL A CONSTRUIS DES ROUTES ,DES PONTS ,DES ÉCOLES ,DES CENTRES DE SANTÉ . IL A ÉQUIPÉ DES SALLES EN MOBILIERS ET EN ORDINATEURS . EST CE QU’ON MANGE LA ZONE AÉROPORTUAIRE? QUI VA AMENÉ LA ZONE AVEC LUI DANS SA TOMBE? LES TOUAREGS ON RAISON . ON AI VRAIMENT MÉCHANT AU SUD . ON NE VEUT PAS VOIR QUELQU’UN RÉUSSIR.IBK ET SON MARA SONT ÉGOÏSTES JUSQUE DANS LEUR SANG . EN TOUT CAS SEYDOU LA; VOUS ALLEZ LUI VOIR ET PROSPER TOUS LES JOURS IN CHA ALLAH . QUE DIEU POSE TOUS LES PROBLÈMES DU MONDE A CE LUI QUI VEUT TERNIR L’IMAGE DE CE MONSIEUR UNIQUE EN SON GENRE DANS CE MALI D’AUJOURD’HUI .QU’ALLAH YA SMADOU ,YA KOUDOUSS ,YA KAFI LUI COUVRE ET LUI PROTÈGE.AMEN .

  10. vraiment le mali est vendu comment peut on brader le patrimoine foncier de l’etat sans ètre inquieté regarder le nombre d’hectares vendus le site qui a fait l’objet d’ attributions de terrains aux spéculateurs fonciers n’est pas delimité ;donc il ne doit pas faire l’objet d’attributions c’est cela la loi; mieux il fallait faire l’amenagement du site d’abord il faut eclairer cette affaire ;des centaines d’ hectares sont bradés

  11. Ce Monsieur pensait être a la tête d’une société a but lucratif. Qui ne se rappelle pas du budget de 5 milliards a réunir pour la campagne présidentielle du candidat de la CODEM. N’importe qui devient ministre au Mali. M le le journaliste il faut respecter notre intelligence.

  12. Oumar KONATE. Moi je ne crois pas à votre version des faits. C’est encore vous mêmes journalistes qui avez écrit ici même que le ministre SAGARA vendait (à l’époque) le domaine aéroportuaire pour venir en aide au CODEM son parti en cours d’argent pour la campagne au moment des dernières présidentielles…Maintenant quand le monsieur est “épinglé” par le pole économique vous venez nous parler d’acharnement encore, on ne comprend rien! De toutes les façons ce n’est pas le CODEM seul qui a battu le candidat du “yèlèma” et puis s’il y avait autant de mésentente entre les PUR et “yèlèma”, Poulo ne serait pas ministre du gouvernement MARA! De grâce un peu de respect pour vos lecteurs. Sans rancune. 😉

    • Sambpu, notre journaliste a oublié qu’il avait écrit cet article parlant des ventes de parcelles de sagara aux moment où il était aux affaires.
      Le journaliste Oumar KONATE se dénie parce que il a reçu de l’argent pour dire du n’importe quoi au nom des prôches d’un tel. On n’a qu’à laisser la justice faire son travail.

    • Pour ton information aucune proposition de mara ne figure dans le gouvernement. Donc c’est pas un menteur national comme mara qui peut amené Poulo dans un gouvernement. À ce que je sache Poulo à battu mara l’ors des élections legislaf et Presidentiel. Mara 1% et 1 député. . Si réellement les maliens voulaient de lui c’est pas 1depute qu’il allait avoir.

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