-l’incompétance tous les niveaux
-la soumission, notamment à la france, toujours prendre un entraîneur blanc français très très nul
-aucun projet: pas de projet de jeu, on se contente de prendre des grands baraqués de 1m85-1m95
qui utilisent très peu leurs cerveaux
-les joueurs sont nuls: pas de technique, savent pas faire des centres, les passes sont à proximatives etc…
-Pas de formation: aucune politique de formation, de discipline, d’encadrement
-quand l’équipe nationale porte un maillot avec un faux drapeau du pays, ça veut tout dire!
Putain, un pays qui prend giresse, le type le plus nul d’europe, c’est la catastrophe annoncé.
Attendons-nous bien, nous ne sommes pas contre les entraineurs européens.
Mais pourquoi la femafoot ne va chercher les meilleurs, mais toujours des blancs de 2ème et 3ème zone… comme les autres fédérations africaines.
Du coup à part gagner la can, nos équipes ne progressent pas!!!
Si nos fédé allaient au moins chercher des Bielsa, Prandeli et autres, je serais pour!
Mais les entraîneurs nuls de ligue 1, extrêmement mauvais, ça me dépasse!
Le problème du football malien est lié au comportement des dirigeants, au lieu de poser le problème clairement, les responsables du football malien se mettrons tout de suite à digresser en faisant haro sur le baudet, le pauvre Alain Giresse. Il faut une véritable équipe nationale avec très peu de joueurs internationaux qui peuvent rester longtemps pour la phase préparatoire. Il faut cette équipe travaille ensemble toute l’année et de façon régulière. C’est seulement avec de telle recette que la victoire viendra au bout des efforts.
Il va falloir tirer tous les enseignements de cette 2è élimination consécutive lors d’un rendez-vous continental. Si on pouvait avoir une certaine compréhension lors de la 1ère ( En Guinée Equatoriale 2015) qui a vu nos Frères Guinéens passés grâce au tirage au sort et une pensée solidaire à cause de l’épidémie Ebola qui a ébranlé le pays pendant une année, la 2è (au Gabon 2017) sortie prématurée laisse un goût amer, parce que le potentiel est là:
1- Les joueurs ont tout de même un certain niveau au même titre que les autres!
2- Le Gabon n’est pas un terrain inconnu vu le nombre de nos compatriotes qui nous supportent là-bàs!
3- Qu’un match de football se gagne d’abord et éviter tout calcul sur les autres!
4- Qu’une équipe de football c’est aussi avec des jeunes espoirs avec le risque que cela peut comporter…
5- L’expérience et le baptême de feu, c’est aussi sur le terrain et non sur le banc…
6- Surtout quand il s’agit de jeunes joueurs, qui tout de même ont montré des preuves au niveau international…
7- Ayons simplement le courage de les intégrer, parce qu’ils nous ont montré un autre football plus élaboré techniquement et intelligemment même quand ils ont perdu (en Nvlle Zélande, au Chili)
La femafoot c’est comme le ripouxblique du mali:
-l’incompétance tous les niveaux
-la soumission, notamment à la france, toujours prendre un entraîneur blanc français très très nul
-aucun projet: pas de projet de jeu, on se contente de prendre des grands baraqués de 1m85-1m95
qui utilisent très peu leurs cerveaux
-les joueurs sont nuls: pas de technique, savent pas faire des centres, les passes sont à proximatives etc…
-Pas de formation: aucune politique de formation, de discipline, d’encadrement
-quand l’équipe nationale porte un maillot avec un faux drapeau du pays, ça veut tout dire!
Putain, un pays qui prend giresse, le type le plus nul d’europe, c’est la catastrophe annoncé.
Attendons-nous bien, nous ne sommes pas contre les entraineurs européens.
Mais pourquoi la femafoot ne va chercher les meilleurs, mais toujours des blancs de 2ème et 3ème zone… comme les autres fédérations africaines.
Du coup à part gagner la can, nos équipes ne progressent pas!!!
Si nos fédé allaient au moins chercher des Bielsa, Prandeli et autres, je serais pour!
Mais les entraîneurs nuls de ligue 1, extrêmement mauvais, ça me dépasse!
Le problème du football malien est lié au comportement des dirigeants, au lieu de poser le problème clairement, les responsables du football malien se mettrons tout de suite à digresser en faisant haro sur le baudet, le pauvre Alain Giresse. Il faut une véritable équipe nationale avec très peu de joueurs internationaux qui peuvent rester longtemps pour la phase préparatoire. Il faut cette équipe travaille ensemble toute l’année et de façon régulière. C’est seulement avec de telle recette que la victoire viendra au bout des efforts.
Il va falloir tirer tous les enseignements de cette 2è élimination consécutive lors d’un rendez-vous continental. Si on pouvait avoir une certaine compréhension lors de la 1ère ( En Guinée Equatoriale 2015) qui a vu nos Frères Guinéens passés grâce au tirage au sort et une pensée solidaire à cause de l’épidémie Ebola qui a ébranlé le pays pendant une année, la 2è (au Gabon 2017) sortie prématurée laisse un goût amer, parce que le potentiel est là:
1- Les joueurs ont tout de même un certain niveau au même titre que les autres!
2- Le Gabon n’est pas un terrain inconnu vu le nombre de nos compatriotes qui nous supportent là-bàs!
3- Qu’un match de football se gagne d’abord et éviter tout calcul sur les autres!
4- Qu’une équipe de football c’est aussi avec des jeunes espoirs avec le risque que cela peut comporter…
5- L’expérience et le baptême de feu, c’est aussi sur le terrain et non sur le banc…
6- Surtout quand il s’agit de jeunes joueurs, qui tout de même ont montré des preuves au niveau international…
7- Ayons simplement le courage de les intégrer, parce qu’ils nous ont montré un autre football plus élaboré techniquement et intelligemment même quand ils ont perdu (en Nvlle Zélande, au Chili)
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